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Les enfants d'immigrés italiens dans les écoles françaises (1935-1955)

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par Louise CANETTE
Université de Nantes - Master 2 2010
  

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DOCUMENTS ANNEXES

> Chronologie :

Annexe n° 1

Chronologie générale de l'immigration italienne, de la situation juridique des candidats italiens à l' émigration.et des réformes sur l'école en France :

1799 : République napolitaine et premiers exilés politiques.

1816 : Création d'un brevet de capacité à trois degrés, premier diplôme officiel exigé des instituteurs.

1833 : Loi Guizot : naissance d'un véritable enseignement primaire public. Une école normale par département, une école primaire supérieure dans chaque commune de plus de 6 000 habitants, une école primaire publique par commune.

1848 : première fuite en masse de la Lombardie après l'insurrection milanaise.

1850 : Loi Falloux sur l'instruction primaire, visant à renforcer le contrôle de l'Eglise catholique sur l'Ecole. Les communes de plus de 800 habitants doivent ouvrir une école de filles.

1867 : Loi Duruy : les communes sont autorisées à percevoir un impôt pour instaurer la gratuité de leurs écoles primaires publiques ; l'obligation d'ouvrir une école de filles est étendue à toutes les communes de plus de 500 habitants.

1878 : Création de la Caisse des écoles facilitant le financement des constructions scolaires. 1879 : Jules Ferry ministre de l'Instruction publique.

Loi Paul Bert sur la création des écoles normales d'institutrices.

1881 : Loi Ferry instaurant la gratuité de l'école primaire publique.

1882 : Loi Ferry instaurant l'obligation de l'enseignement élémentaire et la laïcisation des programmes des écoles publiques. Création de la Commission d'hygiène des écoles chargée « d'étudier les questions relatives soit au mobilier scolaire, soit au matériel d'enseignement, soit aux méthodes et aux procédés d'instruction dans leurs rapports avec l'hygiène ».

1886 : Loi Goblet fixant l'organisation générale de l'école primaire. Laïcisation du personnel des écoles publiques.

1887 : Monseigneur Scalabrini fonde la Congrégation des missionnaires de San Carlo pour les émigrants.

Une première loi en 1888 établit les rapports entre émigrants et entrepreneurs de transports. Elle déclare libre l'émigration des personnes.

1889 : Les maîtres des écoles publiques deviennent fonctionnaires de l'Etat.

1893 : massacre d'Aigues Mortes.

1901 : loi Luzzati sur l'émigration.

Institution du Commissariat Général de l'immigration (CGE) (article 7 de la Loi de 1901) En 1901 un Conseil de l'Emigration et un Commissariat Général sont créés en Italie.

1904 : La loi Combes interdit à tous les congréganistes d'enseigner (c'est-à-dire aux hommes et femmes faisant partie d'une congrégation religieuse).

1905 : Loi de séparation des Eglises et de l'Etat.

1908 : premier congrès des Italiens de l'étranger

1910 : le commissariat général de l'émigration devient une partie du Ministère des affaires étrangères.

En 1911, le gouvernement italien crée à Milan un Office d'émigration.

1915 : avec la guerre, on oblige les émigrants italiens à avoir un passeport.

2 avril 1917 : Un décret institue pour la première fois une carte de séjour pour les étrangers de plus de 15 ans résidant en France.

1919 : Le « test unique » met des restrictions à la liberté d'émigrer, l'Italie commence à filtrer le départ de ses ouvriers qualifiés et le fascisme entend bien que ceux qui partent pour la France ne soient pas perdus pour la patrie.

Le traité franco-italien de 1919 reprend certaines dispositions de la loi de 1904. Il établit l'égalité dans les domaines des traitements entre Italiens et Français et évoque les salaires, les assurances sociales, l'hygiène et la sécurité des travailleurs.

En 1922, la ligue pour la défense des intéréts nationaux, émue par le chômage, ne voit qu'une solution à ce problème : favoriser l'émigration afin de combattre la crise de la main-d'oeuvre. L'Italie considère l'émigration comme un exutoire nécessaire, une contribution à l'enrichissement du pays par l'épargne de ses émigrants.

1923 : Le ministre Paul Lapie met en place une réforme des programmes : la morale est réduite et jumelée à l'instruction civique.

1924 : Première conférence nationale et internationale sur l'émigration.

1924 : Organisation du recrutement à travers la Société générale d'immigration (organismes patronaux).

En 1924 toujours, la conférence Internationale de l'Emigration, tenue à Rome, a essayé d'élaborer une formule qui soit admise par tous les pays.

Des mesures sont prises en 1924 par le « Quota Act » aux Etats Unis pour tenter de freiner l'immigration. Ceci prive l'Italie du plus important marché de travail. De plus, la crise économique dans les années vingt en Amérique du Sud réduit considérablement la migration italienne.

Globalement, entre 1920 et 1924, 900 000 Italiens émigrent. Bien que les motivations aient des origines différentes mais concomitantes, le pays connaît un accroissement notable de la population. Un accroissement de 13 millions d'habitants en 55 ans pose un problème alimentaire dans la Péninsule.

1927 : Vote d'une loi permettant l'extradition (procédure selon laquelle l'Etat livre une personne appréhendée sur son territoire à l'Etat requérant qui la réclame pour exercer contre elle des poursuites pénales ou lui faire exécuter une peine).

Loi visant à rendre plus aisées et plus efficaces les mesures de 1889 : l'enfant, s'il est né en France n'a plus de possibilité de choix s'il est de mère française ou de parents étrangers nés en France, il est nécessairement français.

« Il peut, si ses parents sont étrangers nés hors du territoire, choisir à la majorité de garder la nationalité de ces parents. Pour les étrangers immigrés, le grand changement est la réduction de 10 à 3 ans du temps de résidence obligatoire avant la demande de naturalisation ».

En 1927, on assiste à un changement complet en Italie, dans la façon d'envisager le problème de l'émigration. Au mois de mai, Mussolini la condamne. Il prend des mesures restrictives pour freiner le départ des candidats. Il ne peut, cependant, geler de façon totale les départs vers la France. L'intention du gouvernement est d'accroître les forces productives de l'Italie, de restreindre l'émigration au minimum, et d'utiliser au maximum à l'intérieur les travailleurs qui veulent partir à l'étranger.

Le Commissariat Général de l'Emigration est donc supprimé en 1927.

Par ailleurs, la méme année, en France la loi d'aoüt 1927 pousse l'immigré à associer installation et francisation. Il va sans dire que les habitudes traditionnelles de migrations pendulaires, de vaet-vient constant entre l'Italie et la France depuis plus d'un siècle sont ainsi remises en cause. Pour obtenir un passeport ou une autorisation de sortie d'Italie, l'aspirant à l'émigration doit solliciter un certificat, appelé « Nulla Osta » précisant sa situation civile, pénale et militaire. Souvent, les autorités locales se servent de cette obligation pour retarder sinon empêcher toute initiative de départ, ou comme d'un moyen de pression.

Au travers des autorités consulaires, les faisceaux veillent à la protection des travailleurs italiens, pour que ceux-ci restent attachés à leur patrie.

En plus du travail des fonctionnaires gouvernementaux, l'oeuvre « Bonomelli », à tendance catholique, compte un grand nombre de missionnaires qui proposent une assistance religieuse, matérielle et morale aux émigrants. Des prêtres suivent des cours spéciaux pour apprendre leurs devoirs vis à vis des émigrés ; leur but est d'entretenir chez eux l'amour de la terre natale. Ainsi, la religion elle-même lutte contre l'assimilation et la dénationalisation des Italiens à l'étranger.

A Nice, cette organisation possède un secrétariat qui organise des rencontres entre Italiens, mais il est dissout en 1928.

La frontière entre l'Italie et la France est provisoirement ré ouverte ce qui permet à un dernier contingent de migrants de traverser les Alpes vers la voisine française.

1927 : le CGE est transformé par Mussolini en « Direction Générale des Italiens à l'étranger ». 1929 : nouvelle loi sur les quotas approuvée par les Etats-Unis.

1930 : la gratuité, jusqu'alors réservée à l'enseignement primaire, est étendue aux sixièmes. Après 1930, le régime fasciste fait obstacle à l'émigration. Au méme moment, la France, plongée dans la guerre, a besoin du concours d'une main d'oeuvre complémentaire pour sa reconstruction. 1931 : la crise économique internationale frappe la France, des dispositions sont prises pour ralentir l'entrée des travailleurs étrangers.

10 août 1932 : Une nouvelle loi accorde priorité du travail à l'ouvrier français dans l'industrie en instaurant des quotas d'ouvriers étrangers dans les entreprises.

1933 : La gratuité, jusqu'alors réservée à l'enseignement primaire et aux sixièmes est étendue à tout le secondaire.

Avril 1933 : La loi Armbruster limite l'exercice de la médecine aux titulaires français de doctorats de médecine.

1934 : Une aide au rapatriement des ouvriers volontaires est décidée

Juin 1934 : Le Parlement français fait voter une loi interdisant aux français naturalisés l'inscription au barreau pendant une durée de 10 ans.

1935 : Des retours forcés sont organisés (ils concerneront surtout les ressortissants polonais). 1936 : Le Front Populaire représente un intermède libéral, plus par l'interprétation de textes précédemment votés, et par la façon de les mettre en oeuvre que par l'adoption d'une législation nouvelle.

L'obligation scolaire est portée de 13 à 14 ans, à l'initiative de Jean Zay, ministre du Front Populaire, cette mesure conduit ainsi à aménager des classes de fin d'études et permet l'ouverture des centres d'apprentissage. Ainsi l'école garde plus longtemps aussi les élèves destinés au travail manuel.

Les circulaires Jean Zay de 1936 et 1937 interdisent toute forme de propagande (politique, confessionnelle) et tout prosélytisme à l'école.

En 1937, Jean Zay uniformise les programmes du premier cycle des lycées et ceux des E.P.S (c'est le premier pas sur la voie d'une école moyenne).

De nouvelles Instructions sur les constructions et le mobilier scolaires sont publiées : la classe type est désormais prévue pour quarante élèves et le pupitre individuel est recommandé. novembre 1938 : l'Italie revendique la Savoie, Nice, la Corse et Djibouti.

1937-1939 : Mesures restrictives et libérales se conjuguent : ainsi un simple arrété ou l'accord de l'inspecteur du travail suffisent pour qu'une entreprise obtienne une dérogation aux quotas d'emploi d'étrangers, les naturalisations sont favorisées à l'approche de la guerre.

1940 : Après la loi mettant tous les Juifs au ban de la société, la loi du 4 octobre 1940 sur "les ressortissants étrangers de race juive" permet d'interner ceux-ci dans des camps spéciaux par décision du préfet du département de leur résidence". La loi du 27 septembre 1940 concernant les autres étrangers non juifs, règle le sort des "étrangers en surnombre dans l'économie nationale" : l'étranger est soumis à une surveillance étroite et n'a plus le droit de libre circulation sur le territoire et ne bénéficie pas de la législation du travail.

3 septembre 1940 : Abrogation de la loi interdisant aux congréganistes d'enseigner.

18 septembre 1940 : Le gouvernement supprime les écoles normales d'instituteurs, trop républicaines. Les instituteurs doivent désormais obtenir le baccalauréat.

15 octobre 1940 : Les syndicats enseignants sont supprimés

6 décembre 1940 : Les devoirs envers Dieu sont explicitement rétablis dans les programmes primaires.

1940-1946 : avec l'entrée de l'Italie dans la deuxième guerre mondiale, les émigrants qui partent vers les pays alliés sont déclarés étrangers ennemis et parfois enfermés dans des camps d'internement en Italie.

1941 : Le ministre Carcopino transforme les Écoles primaires supérieures en collèges modernes et les Écoles pratiques de commerce et d'industrie en collèges techniques.

2 novembre 1941 : A la demande de l'épiscopat, une subvention de quatre cent millions de francs au profit des écoles privées est inscrite au budget du ministère de l'Intérieur.

17 avril 1945 : Une ordonnance du général De Gaulle abroge la législation scolaire de Vichy. 2 novembre 1945 : Vote de l'ordonnance sur l'entrée et le séjour des étrangers en France.

Création de l'ONI (Office National d'Immigration) qui donne à l'Etat le monopole de l'introduction de la main d'oeuvre étrangère dans le pays.

Trois cartes de séjour sont instaurées (1, 3 et 10 ans).

L'immigration des familles est favorisée dans une optique démographique.

Suppression des classes élémentaires payantes dans les lycées et les collèges. La disparition effective de cette filière destinée aux milieux aisés n'interviendra pas avant les années 1960.

22 février 1946 : Un accord prévoit le recrutement de 20 000 ouvriers italiens en directions des mines françaises.

21 mars 1947 : Un accord de main d'oeuvre est signé à Rome, il inaugure un dispositif dérogatoire au regard du traitement réservé aux autres étrangers.

1947 : Création du brevet d'études du premier cycle du second degré (BEPC) qui se substitue au brevet élémentaire qui permettait d'accéder aux postes de bases dans l'administration.

5 mai 1948 : Les décrets Poinsot-Chapuis permettent l'attribution de fonds publics aux écoles privées.

Novembre 1948 : suppression du visa consulaire pour les Italiens séjournant en France moins de trois mois.

28 septembre 1951 : La loi Barrangé accorde des bourses et des subventions à l'enseignement privé (le 9 novembre, une grève réunira 80% des instituteurs du pays à manifester contre cette réforme).

1er janvier 1958 : Entrée en vigueur du traité de Rome qui instaure le principe de libre circulation.

L'immigration s'accélère avec la décolonisation et la modernisation de l'appareil productif conduit à remplacer la main-d'oeuvre qualifiée par des ouvriers effectuant un travail parcellisé avec une productivité accrue.

? Tableaux :

(Annexes 2, 3 et 4 : réalisées d'après les données du site de l'ISTAT (Sommario di statistiche storiche italiane)).

Annexe n° 2
Immigration italienne dans le monde

monde entier en milliers

1876

- 1879

1 163 000

1880

- 1889

1 783 000

1890

- 1899

2 698 000

1900

- 1909

5 728 000

1910

- 1919

3 836 000

1920

- 1929

301 000

1930

- 1939

931 000

1940

- 1949

996 000

Annexe n° 3
Immigration italienne vers les pays européens

 

Vers les pays européens en milliers

 

1876

- 1879

25

000

1880

- 1889

97

000

1890

- 1899

135

000

1900

- 1909

328

000

1910

- 1919

213

000

1920

- 1929

148

000

1930

- 1939

28

000

Annexe n° 4
Immigration italienne en France

Années :

Italiens de France

1916

- 1925

998

642

1926

- 1935

532

383

1936

- 1945

47

045

1946

- 1950

192

039

1951

- 1960

592

492

1961

- 1970

206

687

1971

- 1980

61

355

1981

- 1990

43

685

Annexe n° 5
Les ministres français en charge des questions scolaires du 8 novembre 1934 au 1er février 1956

(D'après Les écoliers d'hier et leurs instituteurs, Marie-Odile MERGNAC, Caroline GOROSCIO-BRANCQ et Delphine VILRET, 2008, Paris - p. 44 et p. 48).

Nom du ministre et titre

Début

Fin

MALLARME André Victor
Ministre de l'Education Nationale

8 novembre 1934

31 mai 1935

ROUSTAN Marius, François, Pierre (dit
Mario)
Ministre de l'Education Nationale

1er juin 1935

6 juin 1935

MARCCOMBES Marie Jean Philippe
Ministre de l'Education Nationale

7 juin 1935

16 juin 1935.

ROUSTAN Marius, François, Pierre (dit
Mario)
Ministre de l'Education Nationale

17 juin 1935

23 janvier 1936.

GUERNUT Henri
Ministre de l'Education Nationale

24 janvier 1936

4 juin 1936

ZAY Jean Elie Paul
Ministre de l'Education Nationale

4 juin 1936

10 septembre 1939

DELBOS Yvon
Ministre de l'Education Nationale

13 septembre 1939

20 mars 1940

SARRAUT Albert Pierre
Ministre de l'Education Nationale

21 mars 1940

5 juin 1940

DELBOS Yvon
Ministre de l'Education Nationale

5 juin 1940

16 juin 1940

RIVAUD Georges
Ministre de l'Education Nationale

16 juin 1940

12 juillet 1940.

MIREAUX Emile Bernard
Secrétaire d'Etat de l'Instruction publique
et des Beaux-Arts

12 juillet 1940

6 septembre 1940

RIPERT Georges
Secrétaire d'Etat Instruction publique et
Jeunesse

6 septembre

13 décembre 1940

CHEVALIER Jacques
Ministre de l'Education nationale

13 décembre 1940

23 février 1941

Jérôme Carcopino
Secrétaire d'État à l'Education Nationale

25 février 1941

18 avril 1942

BONNARD Abel
Ministre et secrétaire d'État de l'Education
nationale et de la Jeunesse

18 avril 1942

20 août 1944

CAPITANT René
Ministre de l'Education nationale

20 août 1944

21 novembre 1945

GIACOBBI Paul Joseph Marie
Ministre de l'Education nationale

21 novembre 1945

26 janvier 1946

NAEGELEN Marcel-Edmond Naegelen
Ministre de l'Education nationale

26 janvier 1946

13 octobre 1946

NAEGELEN Marcel-Edmond
Ministre de l'Education nationale

13 octobre 1946

12 février 1948

DEPREUX Édouard
Ministre de l'Education nationale

12 février 1948

26 juillet 1948

DELBOS Yvon
Ministre de l'Education nationale

26 juillet 1948

5 septembre 1948

REVILLON Tony
Ministre de l'Education nationale

5 septembre 1948

11 septembre 1948

DELBOS Yvon
Ministre de l'Education nationale

11 septembre 1948

2 juillet 1950

MORICE André
Ministre de l'Education nationale

2 juillet 1950

12 juillet 1950

LAPIE Pierre-Olivier
Ministre de l'Education nationale

12 juillet 1950

11 août 1952

MARIE André
Ministre de l'Education nationale

11 août 1952

19 juin 1954

BERTHOUIN Jean
Ministre de l'Education nationale

19 juin 1954

1er février 1956

? Carte :

Annexe no 6
Les régions italiennes
(Fond de carte de l'Italie complété à l'aide Grand Atlas du Monde, Paris, 1999, 370 p.)

> Documents « scolaires » :

- Extraits de rédactions de la revue scolaire « Joyeux écoliers »

(Journal mensuel publié dans la classe de Jean ROMAC, instituteur de l'école Poincaré de Villerupt, n° 36, mois de janvier et février 1954).

(On remarque le grand nombre de patronymes italiens dans les petits récits des enfants de Villerupt. Par ailleurs, ces sources illustrent bien l'organisation de « classes promenades » de la part des instituteurs).

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"Il existe une chose plus puissante que toutes les armées du monde, c'est une idée dont l'heure est venue"   Victor Hugo