WOW !! MUCH LOVE ! SO WORLD PEACE !
Fond bitcoin pour l'amélioration du site: 1memzGeKS7CB3ECNkzSn2qHwxU6NZoJ8o
  Dogecoin (tips/pourboires): DCLoo9Dd4qECqpMLurdgGnaoqbftj16Nvp


Home | Publier un mémoire | Une page au hasard

 > 

Mission des institutions d'enseignement supérieur et universitaire et les attentes de la population en cité d'Uvira, RDC

( Télécharger le fichier original )
par Théodore BAHIMBA NYEMBO
Université officielle de Bukavu - Licence en sociologie 2011
  

précédent sommaire suivant

Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy

2. ANALYSE DES POINTS DE VUE DES ENQUETES EN RAPPORT AVEC LA MISSION DES INSTITUTS SUPERIEURS ET UNIVERSITES D'UVIRA.

a. Points de vue des étudiants.

Tableau n°11 : Répartition des points de vue des étudiants

Questions

Réponses

%

Oui

Non

Néant

Total

Oui

Non

Néant

Total

Connaissez-vous la mission (les objectifs) de votre Institut supérieur/Université ?

17

06

00

23

73,9

26,1

00

100

Pensez-vous que votre Institut supérieur/Université fonctionne toujours selon cette mission (les objectifs) de départ ?

10

13

00

23

43,5

56,5

00

100

En dehors de sa mission (ses objectifs), poursuit-il/elle une autre mission (objectifs) ?

05

02

16

23

21,7

8,7

69,6

100

Commentaire :

Il résulte de ce résulta que sur 23 étudiants qui ont constitué notre échantillon, 17 d'entre eux, soit 73,9% connaissent la mission ou certains objectifs de leurs institutions d'enseignement, 6 seulement parmi eux, soit 26,1% n'en connaissent pas, pas de néant. Quant à ce qui est de savoir si leur institution d'enseignement suit toujours ou fonctionne suivant leur mission (objectifs), 13 soit 56,5% ont répondu Non et 10 soit 43,5 ont répondu par Oui, pas de néant. Ces institutions ne fonctionnent pas selon leur mission parce qu'elles ne mettent pas à la disposition des étudiants (apprenants) toutes les dispositions (les matériels) permettant de bien apprendre les matières. Quand à la question de savoir si qu'en dehors de la mission (les objectifs), l'institution ne poursuit pas une mission (objectifs), 16 en quêtés, soit 69,6% se sont réservés de répondre à cette question ; 05 soit 21,7% ont affirmé, 02 soit 8,7% ont rejeté. La mission/objectif des chefs de ces institutions, outre celle noble, cherchent à s'enrichir matériellement de la part des « pauvre » parents dans toutes les conditions possibles.

b. Points de vue des enseignants.

Tableau n°12 : Répartition des points de vue des enseignants.

Questions

Réponses

%

Oui

Non

Néant

Total

Oui

Non

Néant

Total

Pensez-vous que votre Institut supérieur/Université fonctionne toujours selon la mission (les objectifs) de départ ?

17

00

00

17

100

00

00

100

En dehors de sa mission (ses objectifs), poursuit-il/elle une autre mission (objectifs) ?

15

02

00

17

88,2

11,8

00

100

Commentaire :

Il résulte de ce tableau que sur 17 enseignants d'universités qui ont constitué notre échantillon, 17 soit 100% affirment que leur institution agissent conformément à leur mission (objectifs) car 80% de leur produit se sont créé des emplois et s'ils ne créent pas, ils sont utilisé dans d'autres entreprises.

Quant à question de savoir si en dehors de cette mission/objectifs, si l'institution poursuit une autre mission/objectif, 15 d'entre eux soit 88,2% ont affirmé qu'il existe d'autres objectifs qui peuvent être circonstanciels ou occasionnels, 02 soit 11,8% ont rejeté qu'il n'y a pas une mission ou objectifs supplémentaires.

Néanmoins, les enseignants restent convaincus qu'il y a beaucoup à fustiger sur tout à la maîtrise (écrire correctement et parler convenablement) de la langue français, étant la langue officielle de l'administration publique et de l'enseignement en RDC.

c. Points de vue de la population.

Dans cette couche, nous y trouvons les agriculteurs, les pêcheurs, les commerçants/vendeurs, les ouvriers, les élèves et les sans emplois.

Tableau n°13 : Répartition des points de vue de la population.

Questions

Réponses

%

Oui

Non

Néant

Total

Oui

Non

Néant

Total

Souhaiterez-vous que votre enfant puisse faire ses études universitaires à Uvira ?

27

17

00

44

63,4

38,6

00

100

Peut-on dire que ces instituts supérieurs et universités accomplissement loyalement leur mission ?

15

28

01

44

34,1

63,6

2,3

100

Pensez-vous que ces instituts supérieurs/universités peuvent contribuer au développement de la cité d'Uvira ?

35

09

00

44

79,5

20,5

00

100

Commentaire :

Il ressort de ce tableau que 27 enquêtés soit 63,4% affirment qu'ils peuvent faire ou étudier leurs enfants dans des instituts supérieurs et universités d'Uvira car se sont des universités comme tant d'autres leur permettant de diminuer au coût économique et financier élevé de l'enfant mais aussi permettre de suivre à la loupe leurs comportements surtout ceux des filles. Par contre, 17 soit 38,6% restent persuadés qu'ils ne peuvent pas car les conditions de travail ne peuvent permettre aux étudiants d'étudier et d'apprendre convenablement.

Les avis se divers aussi quant à la question de savoir s'ils accomplissent loyalement leur mission étant celle d'octroyer la formation générale dispensant savoirs et savoir-faire nécessaires à l'insertion dans la société actuelle., 28 enquêtés soit 63,6% restent catégoriques et soutenant que les conditions dans lesquelles ils fonctionnent, sont précaire et défavorable quant à l'atteinte de cette mission et restent par ailleurs convaincus qu'aussi tôt les conditions réunies, ils peuvent contribuer. Pour 35 enquêtés soit 79,5%, ils contribuent au développement du fait qu'ils participent à la formation de l'élite congolaise dans plusieurs domaines, contribuent au désenclavement du milieu universitaire, octroient des diplômes, contribuent à la diminution des dépenses quant il s'agirait d'aller loin, des emplois pour ses différents travaux, à la réduction du taux de chômage et de la fuite de cerveau.

d. Points de vue des professionnels (agents et fonctionnaires).

Dans ce point, sont consacrées les opinions des fonctionnaires et agents des services étatiques et du secteur privé et celles des clubs des intellectuels de cité d'Uvira constituées d'un échantillon de 51 enquêtés.

A peine terminée leurs études universitaires dans l'insuffisance, les étudiants sont contraintes d'aller se former pour avoir plus de chance de trouver un emploi plus particulier en informatique et en anglais.

Souvent, l'idée de création ou d'implantation de l'extension d'une université vient de l'initiative des autorités religieuses pour celles religieuses, et de promoteurs pour celles privées et en général des autorités politiques pour les publiques sans étude/enquêtes au préalable. L'UEA y avait offrit une extension qu'elle avait fermée dans moins de 2ans par manque d'effectif.

Avoir un diplôme ou titre universitaire est l'objectif d'un nombre croissant jeunes/étudiants de la cité, à n'importe quel prix. Pour les uns, avoir des études universitaires supérieures est nécessaire pour avoir un bon travail (emploi) qui a à sa suite, lui remerciera par l'octroi d'un salaire de prestige ou décent ; mais pour d'autres, c'est essentiellement pour le prestige. Péniblement terminer le cycle si pas par cotisation ou contribution de toute la famille restreinte, cette dernière tendra main forte sur ce chômeur « chikiza » et/ou « chikson42(*) » confondus, chacun à la chasse de l'emploi, et qui, à force de chercher l'emploi, sont appelés communément les « j'ai l'honneur ».

Une fois le travail ou l'emploi trouvé, quelques connaissances et pratiques anti éthiques et déontologiques se développent, à savoir : « tuko mucongo » pour justifier que tous les coûts sont permis (le vol, détournement,...) ; « Bunzi inakuliaka kwenye banaifungia » pour dire que c'est sur le poste sur lequel on est affecté, qu'on cherchera à manger et non de la hiérarchie, « celui qui travail à l'hôtel mange à l'hôtel ».

Les « chikiza » ont en leur tête quelques connaissances phénoménologiques les empêchant même à d'énormes efforts pour les études entre autre : « wasoma wafwa, waleka wafwa », c'est-à-dire même si vous étudiez, vous allez mourir ; « oza na mbongo, oza na nyoso ; français ao licence haiuzake pombe », c'est-à-dire que quand on a de l'argent, on a tout et pour acheter la boisson (le loisir), on pandit pas la licence ni suffit de parler le français. Ces connaissances font et poussent que les étudiants cherchent d'abord l'argent.

. Avec un diplôme homologué ou pas, trouver un emploi correspondant à sa formation académique relève de la chance. A la sortie de l'université, très peu d'emplois sont à pourvoir et sans aide d'une personne influente, le travail est bien plus difficile à trouver.

Le C.V et les lettres de motivation dans leurs mains, ils se rendent où ils ont vu une offre d'emploi et sont parfois 50 à se présenter pour une seule et même place.

C'est ainsi par manque de choix et en fuyant le chômage, les jeunes diplômés finissent ainsi par accepter des postes sans rapport avec leur formation ou à leur spécialité. Où on forme les managers, certains d'entre eux, ont jugé bon de se lancer dans l'enseignement, d'autres comme opérateurs de saisie dans les secrétariats publics, dans les petits commerces dans les  kiosques, d'autres encore dans l'agriculture, comme sentinelle à des ONGs, d'autres encore sont devenus des Kaka security,...

Signalons qu'il y a ceux préférant travailler dans des ONGs ou dans les entreprises où ils auront un salaire décent, ont préféré ne pas travailler dans de telles conditions c'est-à-dire ont jugé bon de rester d'abord dans le statut de chômeur en espérant un sourire aux lèvres (occuper des fonctions bureaucratiques, ONG onusienne,...).

Ces difficultés, surtout de dépendance et de soumission poussent certains diplômés à créer leurs propres emplois que d'exercer un métier qui n'est pas de leur ressort. Etant créateur d'emploi, certains s'étaient lancés dans les activités d'élevage des poules, d'autres l'ouverture des ateliers de menuiserie, d'autres encore des ateliers de coupe couture, mais sont confrontés à beaucoup de difficultés et beaucoup, d'entre eux, sont tombé en faillite.

Cette situation de chômage qu'il soit structurel ou déguisé, pousse ou favorise l'exode rural et l'exode de cerveau vers les pays limitrophes, car de sa vue extérieur, il était incontestablement celui qui devrait vivre grâce aux subsides de l'Etat et qui a espéré au bout de 5 années de scolarité, obtenir un poste bien rémunéré.

Les professionnels (travailleurs) estiment qu'ils ne peuvent en rien redoutés les diplômes des fruits ou produits de ces universités et instituts supérieurs.

e. Politique du Gouvernement en matière de l'ESU.

Lors du cadre d'action de Dakar en avril 2000, le gouvernement s'était assigné aux objectifs ci-dessous dans l'optique de l'EPT :

- Développer et améliorer sous tous leurs aspects la protection et l'éducation de la petite enfance, notamment des enfants les plus vulnérables et défavorisés ;

- Faire en sorte que d'ici 2015 tous les enfants, notamment les filles et les enfants en difficulté ou issus de minorités ethniques, aient la possibilité d'accéder à un enseignement primaire obligatoire et gratuit de qualité et de le suivre jusqu'à son terme ;

- Répondre aux besoins éducatifs de tous les jeunes en leur assurant un accès équitable à des programmes adéquats ayant pour objet l'acquisition des connaissances ainsi que des compétences liées à la vie courante ;

- Améliorer de 50 % le niveau d'alphabétisation des adultes, notamment des femmes, d'ici 2015, et assurer à tous les adultes un accès équitable aux programmes d'éducation de base et d'éducation permanente ;

- Eliminer les disparités entre les sexes dans l'enseignement primaire et secondaire d'ici 2005 et instaurer l'égalité dans ce domaine d'ici 2015 en veillant notamment à assurer aux filles l'accès équitable et sans restriction à une éducation de base de qualité avec les mêmes chances de réussite ;

- Améliorer sous tous ses aspects la qualité de l'éducation et garantir son excellence de façon à obtenir pour tous des résultats d'apprentissage reconnus et quantifiables - notamment en ce qui concerne la lecture, l'écriture, le calcul et les compétences indispensables dans la vie courante.

Au regard du diagnostic du Secteur éducatif et plus spécialement celui de l'enseignement supérieur et universitaire, en 2010, selon le ministre, 30% d'institution d'enseignement supérieur et universitaire en RDC sont non viables et condamnées à être fermé, et fut ainsi.

De manière générale, le Gouvernement de la République, se trouve être confronté par six défis majeurs à relever ; il s'agit de :

1. Assainir les secteurs Public et Privé de l'ESU ;

2. Améliorer l'offre éducative existante et réaliser la nouvelle carte universitaire ;

3. Se conformer aux standards internationaux en ce qui concerne l'encadrement académique ;

4. Désenclaver numériquement les Etablissements de l'ESU ;

5. Promouvoir la Recherche Universitaire ;

6. Jouer pleinement le rôle de charnière en impactant sur le développement des communautés rurales.

En effet, la nouvelle Politique de l'Enseignement Supérieur et Universitaire en RDC se fonde sur la nécessité de faire jouer à l'éducation un rôle capital dans le développement économique et social du pays en ayant soin de former des hommes et des femmes imprégnés de valeurs humaines, morales, spirituelles, culturelles et civiques pour l'éclosion d'une nouvelle société congolaise plus prospère et davantage solidaire ainsi qu'éprise de paix.

Cinq principes sous tendent cette vision :

1. La promotion de l'excellence dans tous les domaines d'intervention de l'ESU ;

2. Le renforcement des capacités de pilotage du système;

3. Le recours au partenariat impliquant l'Etat central, les entités administratives décentralisées, le secteur privé et les partenaires au développement ;

4. L'ouverture au monde et aux technologies modernes ;

5. L'adhésion et la participation des bénéficiaires et des acteurs du changement.

Face aux enjeux de la reconstruction du pays et aux défis de l'économie mondialisée du 21ième siècle basée sur l'information, la communication, la science et la technologie, la RDC s'engage résolument sur la voie de la refondation de son système éducatif afin de produire des compétences de plus haut niveau compétitives et maîtrisant les fondamentaux de l'information, de la communication, de la science et de la technologie, qui conditionnent désormais la croissance et le développement économique d'un pays.

C'est dans cette optique que le Gouvernement de la RDC tient à doter le pays d'un système éducatif du supérieur dynamique et compétitif fondé autour d'une vision claire fédérant toutes les énergies et inoxydable aux changements politiques ayant pour fondement l'Excellence dans les Universités, Instituts Supérieurs et Centres de Recherche.
Afin d'arriver à réaliser cette Politique, le Gouvernement s'est assigné les Objectifs généraux et Spécifiques.

0. En ce qui concerne les Objectifs Généraux :

- Redresser le Secteur de l'Enseignement Supérieur et Universitaire ;

- Rendre adéquate la Formation et l'Emploi ;

- Fournir à l'ensemble des Secteurs de la vie nationale, en amont, les cadres compétents pour participer au Développement stable et durable du pays ;

- Revitaliser la Recherche Fondamentale, Appliquée et Opérationnelle ;

- Contribuer à l'amélioration des conditions de vie des communautés rurales.

1. S'agissant des Objectifs Spécifiques :

- Valoriser les Ressources Naturelles et l'Environnement ;

- Améliorer la Gouvernance des Universités et Instituts Supérieurs ;

- Arrimer le secteur aux standards internationaux par l'adhésion au Processus de Bologne;

- Mettre en place les mécanismes d'Assurance-Qualité ;

- Promouvoir les langues nationales et l'apprentissage des langues étrangères avec en tête la langue anglaises ;

- Promouvoir l'accès des filles à l'ESU et surtout dans les Filières Techniques et Technologiques.

Ce système éducatif devra intégrer les besoins réels du marché de l'emploi et de la reconstruction du pays fondé sur une nouvelle carte universitaire priorisant les filières Techniques, Professionnelles et de Métiers selon les spécificités de chaque province.

Compte tenu des urgences qu'impose le redressement de l'Enseignement Supérieur et Universitaire, les actions suivantes ont été entreprises depuis 2009 ; il s'agit de :

- La Reconnaissance de la Spécificité du Statut du personnel de l'Enseignement Supérieur et Universitaire ;

- Le plaidoyer auprès du Gouvernement pour l'octroi d'une bourse doctorale aux chefs de travaux afin d'assurer la relève académique ;

- La suspension d'ouverture de nouveaux établissements, des extensions et de nouvelles filières ;

-  Le renforcement des conditions d'admission à l'ESU fixant à au moins 60% des points aux diplômés des humanités ;

- La réalisation des audits financiers et de scolarité dans les Universités et Instituts Supérieurs ;

- La réglementation des divers frais connexes institués dans les établissements ;

- La décision gouvernementale autorisant le Ministère à organiser l'enquête nationale sur le Fonctionnement (Audit Organisationnel) des Institutions et la Viabilité des Etablissements de l'ESU sur toute l'étendue du pays ;

- La fermeture des 51 Etablissements de la Ville Province de Kinshasa jugés non viables à l'issue de l'Enquête ;

- L'audit de viabilité de tous les Etablissements de l'ESU organisant les filières d'Etudes médicales ;

- La fermeture de 88 Etablissements organisant les filières d'Etudes Médicales jugés non viables ;

- L'implantation des cellules locales d'Assurance-Qualité dans chaque Etablissement ;

- L'organisation de la 1ère conférence des Chefs d'Etablissements et de la 1ère Edition de l'Exposition des OEuvres de l'esprit ;

- L'homologation des grades du Personnel Académique et Scientifique des Etablissements de l'ESU privés agréés ;

- L'exonération des droits de douane et avantages des tarifs sociaux de consommations d'eau et d'électricité au profit des Etablissements privés agrées ;

- La lutte contre les antivaleurs dans le Secteur.

Enfin, le Gouvernement vise la valorisation du diplôme de l'ESU et ainsi garantir la qualité des autres ordres d'enseignement. Cette nouvelle politique nécessite un engagement conséquent du Gouvernement et aussi un accompagnement des partenaires bi et multilatéraux43(*).

* 42 Les «Chikiza» sont les étudiants dont les études ne sont qu'un passe temps et qui étudient pour avoir les points (passer des promotions), et les « chikson » sont ceux qui s'adonnent aux études.

* 43 NEDERLANDSE VERSIE, Politique du Gouvernement Congolais en matière d'Enseignement Universitaire et attentes vis-à-vis des Universités et des Autorités Belges, sur www.kuleuven/congo2010/speeches/Mashako_nl.html.

précédent sommaire suivant






Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy








"L'ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit"   Aristote