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La détérioration du climat des affaires en RDC et son impact sur le niveau d'activités des opérateurs économiques. Cas des PME de la ville de Bukavu.

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par LWANGO BIENVENU
UNIVERSITE EVANGELIQUE EN AFRIQUE (UEA) - Licence 2016
  

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CONCLUSION PARTIELLE

Dans ce second chapitre portant sur la présentation du milieu d'étude et de l'approche méthodologique, nous nous sommes efforcés dans la première section, de présenter la ville de Bukavu, l'entité où nous avons mené nos investigations. Il s'est démontré que les activités économiques de la ville de Bukavu se passent beaucoup plus dans le secteur tertiaire (la prestation des services) dont la plupart se passe dans l'informel, mais aussi dans le secteur d'industrie (transformation agro-alimentaire). Le secteur primaire n'existe presque pas (l'agriculture, l'élevage et l'extraction des minerais).

Dans la seconde section, nous avons présenté la méthodologie que nous avons empruntée pour récolter les donnes sur terrain : l'échantillon que nous enquêtons, la spécification du modèle théorique des variables ainsi que la présentation des différentes variables qui caractérisent notre étude.

CHAPITRE TROISIEME

PRESENTATION, ANALYSE, INTERPRETATION ET DISCUSSION DES RESULTATS

Ce chapitre concerne la présentation, l'analyse, l'interprétation et la discussion des résultats provenant de nos enquêtes sur le terrain. Il s'agit plus clairement des opinions de différentes PME installées dans la ville de Bukavu.

3. CARACTERISTIQUES DE L'ECHANTILLON

3.1. PRESENTATION DE LA STATISTIQUE DESCRIPTIVE

Cette section présente les différentes statistiques descriptives liées aux caractéristiques de notre population sous-étude (échantillon).

Graphique n°3.1.1. Régime juridique des PME enquêtées

Source : Nos analyses à partir des données d'enquête dans SPSS 20.0

Il ressort clairement de ce graphique que notre échantillon est beaucoup plus constitué des PME individuelles et donc des établissements avec 84,44% alors que les PME sociétaires ne représentent que 15,56%. Cela peut s'expliquer par le fait que les entrepreneurs de la ville de Bukavu veulent travailler seuls et non en société.

Graphique n°3.1.2. Adresse et secteur d'activités des PME enquêtées

Source : Nos analyses à partir des données d'enquête dans SPSS 20.0

Ce graphique croisé nous renseigne sur la répartition de l'échantillon selon l'adresse et suivant le secteur d'activités. On remarque donc que nous avons enquêté 17 PME dans la commune de Bagira dont 9 oeuvrant dans le commerce général, 6 dans les services et 2 dans le transport. Dans la commune d'Ibanda, il s'agit de 44 PME dont 32 oeuvrant dans le commerce général, 11 dans les services et 1 dans le transport. De même pour la commune de Kadutu, nous avons enquêté 29 PME dont 16 dans le commerce général, 13 dans les services et aucune d'entre elles dans le secteur de transport.

De cela, on remarque donc que dans la ville de Bukavu, le secteur du commerce général est celui qui regroupe beaucoup plus des opérateurs économiques soit 57 PME sur les 90 enquêtées. Aucune d'entre elles ne réalise les activités d'agriculture, de pêche, d'élevage ni celles de production, de transformation des matières premières en produits finis et donc du secteur primaire et secondaire. Cela nous amène à dire que le secteur tertiaire et surtout le commerce est le secteur d'activités qui englobe la quasi-totalité des activités économiques dans la ville de Bukavu. En outre, cela peut bien expliquer le graphique 3.1., concernant le régime juridique des PME. Avec le commerce général, il peut être plus aisé de choisir le régime juridique individuel plutôt que sociétaire.

Graphique n°3.1.3. Le sexe et le niveau d'études des managers

Source : Nos analyses à partir des données d'enquête dans SPSS 20.0

Ce graphique croisé présente le sexe et le niveau d'études des managers. Ainsi donc, dans les 90 PME enquêtées, 33 managers sont femmes dont 8 ont un niveau d'études supérieures ou universitaire, 8 ont un niveau d'études secondaires, 6 ont un niveau d'études primaires et 11 n'ont aucun niveau d'études. Du coté des hommes, la situation est la suivante : 23 managers ont un niveau d'études supérieures ou universitaire, 17 ont un niveau d'études secondaires, 6 ont un niveau d'études primaires et 11 n'ont aucun niveau d'études, soit 57 managers.

D'une manière globale, il ressort donc que la majorité des managers ont un niveau d'études supérieur et universitaire, soit 31, suivi de ceux qui ont un niveau d'études secondaires soit 25, vient ensuite ceux-là qui n'ont aucun niveau d'études, soit 22 et enfin ceux du niveau d'études primaire soit 12 managers et cela pour un total de 90 managers.

Tableau n°3.1.1. Répartition des enquêtées suivant l'accès aux financements externes et le moyen de financement

Tableau croisé Accès aux financements externes * Moyen de financement

Effectif

 

Moyen de financement

Total

Capitaux propres

Crédit auprès d'une banque ou coopéc

Accès aux financements externes

Non

60

0

60

Oui

0

30

30

Total

60

30

90

Source : Nos analyses à partir des données d'enquête dans SPSS 20.0

Ce tableau croisé renseigne sur l'accès aux financements externes des PME, il s'observe donc que la majorité des PME n'accèdent pas aux financements externes, soit 60 PME sur les 90 enquêtées, alors que seules 30 PME ont affirmé avoir accès aux financements externes. En outre, il est à remarquer que la totalité des PME qui ont accès aux financements externes recourent à un crédit auprès d'une banque ou d'une coopérative d'épargne et de crédit. Cela pourrait expliquer le fait que de nombreuses autres PME n'accèdent pas, soit 60 PME, sur les 90 enquêtées, aux financements externes car il y a de conditions à remplir pour que la coopec donne les crédits. Les PME n'ayant pas la confiance des banques et coopéc, il serait difficile d'être octroyé des crédits.

Or, le financement est un élément très important dans la vie d'une entreprise. La détérioration du climat des affaires, serait à la base du manque de financement externes dans l'activité économique dans la ville de Bukavu en particulier et en RDC en général car les investisseurs étrangers ne sont pas prêts à se risquer dans un environnement incertain.

Tableau n°3.1.2. Opinions des enquêtées selon le respect et l'application stricte des lois et réglementations établies sur l'activité économique en RDC

Respect et application stricte des lois et règles établies sur l'activité économique

 

Effectifs

Pourcentage

Pourcentage valide

Pourcentage cumulé

 

Non

73

81,1

81,1

81,1

Oui

17

18,9

18,9

100,0

Total

90

100,0

100,0

 

Source : Nos analyses à partir des données d'enquête dans SPSS 20.0

De ce tableau, s'observe que les lois et réglementations sur l'activité économique ne sont pas respectées ni appliquées d'une manière stricte. 73 soit 81,1% des PME ont affirmé que le respect et l'application stricte des lois et réglementations pose toujours problème car les lois n'ont jamais été respectées ni appliquées tel que voulu par le législateur. De même, 17, soit 18,9% des PME, ont montré que les lois et réglementations sur l'activité économique sont tant soit peu respectées et appliquées.

De cette illustration, il s'observe que la responsabilité est renvoyée auprès des pouvoirs publics, à savoir l'Etat et les entités décentralisées, régulateurs de la vie économique du pays. Le non respect et non application stricte des lois et réglementations sur l'activité économique est un problème majeur qui occasionne le désordre dans le secteur. Certains opérateurs en bénéficient par la corruption et d'autres en souffrent par des impositions arbitraires et cela perturbe le fonctionnement adéquat de la vie économique.

Tableau n°3.1.3. Répartition des enquêtées suivant la façon dont la concurrence impacte sur le niveau de leurs activités

L'impact de la concurrence sur le niveau d'activités de l'entreprise

Aucun impact

Impact négatif

Impact positif

Total

Effectifs

Pourcentage

Pourcentage valide

Pourcentage cumulé

31

34,4

34,4

34,4

51

56,7

56,7

91,1

8

8,9

8,9

100,0

90

100,0

100,0

 

Source : Nos analyses à partir des données d'enquête dans SPSS 20.0

Ce tableau illustre les opinions de PME sur la concurrence face à leur niveau d'activités. Il ressort que 51 PME, soit 56,7%, affirment que la concurrence impacte négativement sur le niveau de leurs activités parce que l'Etat ne punit pas et ne s'intéresse même pas à la concurrence déloyale. Par ailleurs, 31 PME, soit 34,4%, affirment que la concurrence n'a aucun impact sur le niveau de leurs activités car elles ont déjà acquis la confiance de leurs clients et 8 PME, soit 8,9%, ont prétendu que la concurrence avait un impact positif sur le niveau de leurs activités car ayant les mêmes produits, parviennent à faire des échanges mutuels.

Tableau n°3.1.4. Opinion des enquêtées suivant la maîtrise de l'activité économique (la capacité managériale)

La maîtrise de l'activité de l'entreprise

 

Effectifs

Pourcentage

Pourcentage valide

Pourcentage cumulé

 

Non

15

16,7

16,7

16,7

Oui

37

41,1

41,1

57,8

Pas mal

38

42,2

42,2

100,0

Total

90

100,0

100,0

 

Source : Nos analyses à partir des données d'enquête dans SPSS 20.0

Ce tableau nous fait remarquer que la plupart des managers essaient tant soit peu de maîtriser l'activité de l'entreprise, c'est-à-dire 38 PME soit 42,2%, qui ont répondu « Pas mal ». De l'autre côté, nous avons 37 PME soit 41,1%, qui ont répondu affirmativement et donc ont affirmé avoir des managers qui maîtrisent parfaitement l'activité de l'entreprise et enfin, nous avons 15 PME, soit 16,7%, qui ont répondu par la négative et par conséquent affirment qu'ils ont des managers qui ne maitrisent pas parfaitement l'activité de l'entreprise.

Tableau n°3.1.5. Répartition des enquêtées suivant l'utilisation de la technologie

Tableau croisé Utilisation de la technologie * Type de technologie utilisée

Effectif

 

Type de technologie utilisée

Total

Aucun

Commerce en ligne

Informatisation des principales activités

Prestation des services en ligne

Utilisation de la technologie

Non

75

0

0

0

75

Oui

0

1

12

2

15

Total

75

1

12

2

90

Source : Nos analyses à partir des données d'enquête dans SPSS 20.0

Ce tableau illustre l'utilisation de la technologie et la manière dont les PME de la ville de Bukavu l'utilisent. Il se démarque clairement que la quasi-totalité des PME n'utilise pas une quelconque technologie pour assurer le bon déroulement de leurs activités. Il s'agit donc de 75 PME sur les 90 interrogées alors que seules 15 PME sur les 90 utilisent la technologie dans le déroulement de leurs activités. Cependant, dans les 15 PME qui utilisent la technologie dans leurs activités, 12 ne se limitent qu'à informatiser leurs principales activités, 2 prestent des services en ligne et 1 d'entre elles exerce le commerce en ligne.

La technologie est un élément essentiel dans le déroulement des activités économiques. Elle explique même la compétitivité des entreprises, or à l'image de ce tableau presque toutes les PME installées à Bukavu ne l'utilisent pas. La question à se poser est alors de savoir le pourquoi de la non utilisation de la technologie à Bukavu. Cette question pourrait être développée par d'autres chercheurs qui en seront intéressés.

Graphique n°3.1.4. Comportement des PME enquêtées pendant la période des guerres et des tensions politiques

Source : Nos analyses à partir des données d'enquête dans SPSS 20.0

Ce graphique nous présente les opinions des PME sur le comportement de leurs activités pendant la période des guerres et des tensions politiques. Cependant, 59, soit 65,6% des PME, constatent une baisse de leurs activités car généralement elles ne travaillent presque pas. 26 soit 28,9% constatent un déroulement normal de leurs activités car, travaillent comme d'habitude sous certaines mesures de sécurité et 5 PME, soit 5,6%, constatent une hausse de leurs activités car étant les seules qui travaillent d'ailleurs sous un haut risque, toute la demande globale du secteur leur est adressée.

Tableau n°3.1.6. Répartition des enquêtées suivant l'appréciation des infrastructures routières, portuaires et aéroportuaires

 

Effectifs

Pourcentage

Pourcentage valide

Pourcentage cumulé

Non

56

62,2

62,2

62,2

Oui

34

37,8

37,8

100,0

Total

90

100,0

100,0

 

Source : Nos analyses à partir des données d'enquête dans SPSS 20.0

Ce tableau nous montre l'opinion des PME sur l'appréciation des infrastructures notamment les routes, les ports et les aéroports sur leurs activités. Au regard de ce tableau 52 sur les 90 PME enquêtées, soit 62,2%, n'apprécient pas les infrastructures surtout routières qu'elles empruntent de plus en plus dans le cadre de leurs activités économiques et donc ne leur permettent pas de bien fonctionner alors que 34, soit 37,8% de celles-ci apprécient les infrastructures routières et pensent qu'elles leur permettent de bien fonctionner.

Tableau n°3.1.7. Répartition des PME enquêtées selon qu'elles pensent que l'instabilité politique entraîne le disfonctionnement de leurs activités

Disfonctionnement d'activités de l'entreprise suite à l'instabilité politique

 

Effectifs

Pourcentage

Pourcentage valide

Pourcentage cumulé

Valide

Non

26

28,9

28,9

28,9

Oui

64

71,1

71,1

100,0

Total

90

100,0

100,0

 

Source : Nos analyses à partir des données d'enquête dans SPSS 20.0

Il ressort de ce tableau que la majorité des PME, c'est-à-dire 64 sur les 90 enquêtées, soit 71,1%, affirment que l'instabilité politique entraine le dysfonctionnement de leurs activités. Par le fait que les gouvernements tant national que provincial sont changés au jour le jour, les ministres nationaux que provinciaux sont nommés puis révoqués dans un laps de temps et cela implique directement le changement des lois et réglementations et affecte ainsi leur fonctionnement. Par contre, 26 PME, soit 28,9%, affirment que cela n'a rien à faire avec leurs activités.

Graphique n°3.1.5. Opinions des PME enquêtées sur la probable contribution des opérateurs économiques à la détérioration du climat des affaires en RDC

Source : Nos analyses à partir des données d'enquête dans SPSS 20.0

Ce graphique nous présente l'opinion des PME enquêtées sur la probable contribution des opérateurs économiques dans la détérioration du climat des affaires en RDC. De cela, nous remarquons que 53 PME, soit 58,9%, pensent que les opérateurs économiques contribuent à la détérioration du climat des affaires en proposant et encourageant la corruption, en voulant chercher par tous les moyens à pratiquer l'évasion fiscale, en mettant en avant le trafic d'influence, etc. alors que 37 PME, soit 41,1%, pensent que les opérateurs économiques ne contribuent en rien à la détérioration du climat des affaires et rejettent en effet la responsabilité à l'Etat congolais à travers ses agents.

Tableau 3.1.8. Statistiques descriptives des variables quantitatives

Descriptive Statistics

 

N

Minimum

Maximum

Mean

Std. Deviation

Skewness

Kurtosis

Statistic

Statistic

Statistic

Statistic

Statistic

Statistic

Std. Error

Statistic

Std. Error

L'âge de l'entreprise

90

0

26

6.11

5.857

1.220

.254

.953

.503

Chiffre d'affaires par mois

90

30

10000

1047.59

1418.824

3.467

.254

17.743

.503

Financement par an

90

0

25000

2015.56

4936.078

2.970

.254

8.557

.503

Impôts et taxes par mois

90

8

250

26.31

35.767

4.598

.254

24.116

.503

Valid N (listwise)

90

 
 
 
 
 
 
 
 

Source : Nos analyses à partir des données d'enquête dans SPSS 20.0

De ce tableau, il ressort qu'en moyenne les PME que nous avons enquêtées sont dans la phase d'enfance et ont l'âge moyen de 6,11 ans avec un écart type de 5,857. Cela montre que l'âge des PME que nous avons enquêtées n'est pas dispersé au tour de la moyenne avec un âge maximum de 26 ans et le minimum étant de 0 ans c'est-à-dire quelques mois.

En ce qui concerne le chiffre d'affaires, les PME encaissent en moyenne 1047,59$ le mois, ils vendent au maximum 10.000$ le mois et au minimum 30$. Nous observons également que pour le chiffre d'affaires, l'écart type est considérable avec 1.418,824 nous renseignant ainsi que les données ne gravitent pas autour de la moyenne.

Par contre, les financements externes moyens sont de 2.015,56$ le mois, le maximum est de 25.000$ alors que le minimum est de 0$ le mois avec un écart type de 4.936,078 nous renseignant ainsi que les financements externes des PME sont trop dispersés. Cela peut s'expliquer par le fait que certaines PME accèdent à des grosses sommes pendant que les autres n'en accèdent pas. En plus départ ces données nous pourrons estimer que l'accès aux financements externes et principalement l'accès au crédit auprès de la coopec est de plus en plus limité suite aux critères établis par celle-ci mais aussi cela montre que les investisseurs sont quasiment inexistants.

Enfin, pour ce qui est des impôts et taxes, les PME que nous avons enquêtées payent en moyenne 26,31$ le mois, elles paient au maximum 250$ et au minimum 8$ le mois avec un écart type de 35,767 qui est aussi bien fort.

Suite à ces écarts types fortement dispersés, nous essayons de chercher les coefficients de variations (CV) pour essayer de comparer ces variables (H.S. Donald, F. Allard, Y. Boldur, 1992). Ainsi, la formule ci-dessous nous servira pour cette fin :

CV= %)

d'où á : l'écart type ; u : la moyenne

- Age : CV= =

- Chiffre d'affaires : CV =

- Financements externes : CV =

- Impôts et taxes : CV =

Eu égard à ces coefficients de variation (CV), nous remarquons que les données relatives à l'âge ont une faible dispersion par rapport aux autres variables, notamment le chiffre d'affaires (135,4%), le financement (245%) et les impôts et taxes dont le coefficient de variation s'élève à 135,98%.

La comparaison de ces dernières variables nous révèle que les données relatives au chiffre d'affaires et aux impôts et taxes (respectivement de 135,4% et 135,98) sont plus homogènes que celles de financements externes, cette forte dispersion pourrait s'expliquer comme nous l'avons déjà dit précédemment, par le fait que certaines PME accèdent à de grosses sommes pendant que les autres n'accèdent pas à ces dernières.

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"Je ne pense pas qu'un écrivain puisse avoir de profondes assises s'il n'a pas ressenti avec amertume les injustices de la société ou il vit"   Thomas Lanier dit Tennessie Williams