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La coordination: l'expérience des équipes du premier recours au profit des établissements de santé


par Virginie LOPEZ
Université Paul SABATIER Toulouse - Master 2 coordonnateur de parcours de soins 2019
  

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3. Le cadre théorique

3.1. Des concepts clés 3.1.1. La coordination

Du latin « cum » avec, et « ordinare », mettre en ordre, ranger, disposer, ordonner, arranger, organiser (4), la coordination se définit comme l'action de coordonner, d'harmoniser les diverses activités dans un souci d'efficacité (5).

La Haute Autorité de Santé (HAS) définit la coordination des soins comme une organisation délibérée des activités de soins à un patient entre plusieurs acteurs du système de santé. Elle implique la mobilisation de personnels et d'autres ressources nécessaires à la prise en charge du patient et est souvent gérée par l'échange d'informations entre les participants responsables de différents aspects de soins (6).

Dans le cadre d'une prise en charge pluridisciplinaire, elle peut se définir comme l'articulation des interventions des différents professionnels du soin, de services et d'aide relevant des 3 secteurs d'activités : sanitaire, social et médico-social. Ainsi elle est organisée pour limiter la fragmentation de l'offre disponible et les divers cloisonnements, limiter les ruptures de parcours, pallier au manque de transmissions d'information, et enfin pour harmoniser les pratiques. Les principaux bénéficiaires de cette coordination sont en premier lieu la personne accompagnée mais aussi les différents professionnels impliqués (7).

La DGOS définit la coordination des soins comme une action conjointe des professionnels de santé et des structures de soins en vue d'organiser la meilleure prise en charge des patients en situation complexe, en termes d'orientation dans le système, de programmation des étapes diagnostiques et thérapeutiques et d'organisation du suivi.

Les enjeux essentiels de la coordination sont alors de permettre au patient de bénéficier de la bonne réponse au bon endroit et au bon moment mais aussi pour les professionnels de la prise en charge de réduire les cloisonnements existants. Enfin au niveau du système de santé en général, elle va contribuer à son amélioration tout en préservant un équilibre devenu au fil du temps trop fragile.

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La coordination des actions de chacun est donc indispensable lors d'une prise en charge nécessitant différents acteurs. L'ensemble des acteurs constitue alors une équipe. Il est alors important de définir cette notion d'équipe pour comprendre les enjeux mais aussi les freins qu'elle peut engendrer en matière de coordination.

3.1.2. L'équipe

Equipe vient du vieux français « esquif » qui désignait une suite de bateaux attachés les uns à la suite des autres et tirés par un groupe d'hommes depuis le rivage (8).

De par l'étymologie du mot nous pouvons déjà voir apparaître des notions de travail en collaboration (groupe d'hommes) ainsi que de partage de tâches et d'objectifs communs.

Le dictionnaire « le Robert » nous apprend que c'est au 15ème siècle que le mot équipe prend le sens de groupe de personnes unies dans une tâche commune, d'où la notion de travailler en équipe (9).

Cette définition renvoie à la notion de groupe. Il est alors intéressant de connaitre la définition de ce terme pour appréhender les similitudes et différences entre une équipe et un groupe.

En effet, toujours selon « le Robert », le groupe se dit d'un ensemble de personne ayant un point commun. La différence entre un groupe et une équipe est que le premier se réunit autour d'un point commun alors que le second possède un objectif commun qui, dans l'univers du soin, est la prise en charge du patient. Nous en revenons donc à la définition de l'équipe et pouvons affirmer qu'il n'y a pas d'équipe sans groupe.

Pour Margot PHANEUF, enseignante dans le domaine de la santé et de l'éducation au Québec, l'équipe se définit comme un ensemble d'individus travaillant ensemble, liés par des interrelations et ayant conscience d'appartenir à un groupe poursuivant un objectif commun (10).

Mais alors qu'est-ce que le travail d'équipe ?

Au 19ème siècle, le travail désigne l'activité humaine organisée à l'intérieur d'un groupe et exercée régulièrement (11). Toujours selon Margot PHANEUF, cela suppose un investissement collectif mais aussi une répartition des tâches entre les membres de l'équipe et une convergence de leurs efforts (12).

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Gilles DESSERPIT, directeur de l'IFCS de l'AP/HP, reprend ces notions tout en précisant qu'une coordination de travail doit être assurée par un responsable désigné (14).

On peut alors se référer aux propos de MUCCHIELLI qui précise que le travail en équipe s'apprend et que l'efficacité de ce dernier ne repose pas uniquement sur des notions d'organisation et de cohésion. En effet, il rajoute qu'un dynamisme et des règles doivent être imposés à l'équipe afin de conduire à sa réussite (14).

Nous pouvons alors, en se référant à ces 2 auteurs, avancer que pour qu'une équipe mène à bien ses objectifs communs il est nécessaire d'avoir « un chef d'orchestre » capable de faire respecter les règles mais aussi d'insuffler une certaine dynamique de groupe. Dans le cadre de la coordination d'une prise en charge nous avons vu précédemment que l'équipe en charge de cette situation doit être composée d'un réfèrent.

Quel acteur doit alors se positionner comme le « chef d'orchestre » ou « référent » dans le cadre d'une coordination nécessitant plusieurs professionnels d'horizon et de structures différents ? Cette notion peut alors apparaître comme un frein à la coordination si ce dernier n'est pas clairement identifié ou si son positionnement n'est pas accepté en tant que tel.

Nous avons évoqué dans la première partie de ce travail les notions de pluralité, transversalité et de lien. Nous allons donc définir à présent ces trois concepts supplémentaires qui se référent d'ailleurs à la notion d'équipe avant de tenter de comprendre comment se sont organisées les structures et équipes qui ont pour mission principale la coordination.

3.1.3. La pluralité

Nous avons évoqué d'emblée la pluralité des acteurs du domicile et nous avons vu que ces derniers sont nombreux à transiter autour du patient pour un maintien ou un retour à domicile efficient.

Qu'entend-on alors par pluralité ?

Du latin « pluralis », composé de plusieurs, multiples (15), la pluralité se définit comme le fait d'être plusieurs, d'exister en grand nombre (16).

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Dans le cadre du soin, la pluralité peut alors se définir par une multitude de professionnels issus du sanitaire, du social ou du médico-social. Cette notion, nous l'avons vu précédemment, s'applique bien à la multitude d'acteur qui agit dans le cadre de la coordination d'une situation de prise en charge. En effet, nous pouvons regrouper l'équipe hospitalière dans laquelle se trouvent plusieurs corps de métiers mais aussi l'équipe du premier recours.

Devant cette pluralité d'acteurs que va composer l'équipe de coordination, il est alors intéressant de s'interroger sur le mode de relation, sur les liens qui vont être établis entre les acteurs mais aussi avec les intervenants extérieurs et comment vont s'organiser les actions de chacun.

3.1.4. La transversalité

La transversalité signifie le fait d'être perpendiculaire à un axe longitudinal, à une direction donnée. Transversal, du latin « transversalis », placé en travers, qui coupe en travers, signifie « qui recoupe plusieurs disciplines, secteurs » ou encore « organisation horizontale » par opposition à une organisation hiérarchisée ou centralisée (17).

Antonyme du caractère vertical, du cloisonnement ou de la segmentation, la transversalité s'impose désormais dans les différentes disciplines des sciences humaines, de l'éducation, et plus généralement de tout ce qui a trait aux organisations.

Le terme transversalité est couramment utilisé dans le domaine des politiques publiques de santé. La coordination des soins gérée par les ARS privilégie cette stratégie territoriale et transversale des soins, afin de répondre aux besoins de chaque bassin de population mais également aux enjeux épidémiologiques que constituent le vieillissement de la population et l'augmentation des pathologies chroniques. Ces facteurs ont un impact sanitaire, social et environnemental majeur sur les modalités de prises en soins au sein d'un établissement hospitalier, d'une structure médico-sociale ou encore à domicile.

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Nous pouvons alors dire au regard de ces premiers concepts que la coordination s'inscrit dans le domaine de la transversalité puisqu'en principe aucune hiérarchie verticale n'intervient dans la dynamique d'une telle équipe qui est animée uniquement par son objectif commun.

Pourtant nous avons mis en avant dans la notion d'équipe que cette dernière, pour mener à bien son objectif, doit être accompagnée par « un chef d'orchestre », « un référent », capable de définir l'organisation adaptée pour arriver au but commun.

La notion de pouvoir devient alors sous-jacente.

Intéressons-nous maintenant à la notion de lien qui va être construit entre les acteurs.

3.1.5. Le lien

Le lien correspond à l'action, l'effet de lier (rattacher une chose, une situation ou une personne à une autre, associer, soumettre le comportement d'une personne à celui d'une autre, joindre, connecter...). C'est une question de relation, d'association ou d'union. Deux personnes ou objets sont liés entre eux à partir du moment où ils ont une liaison commune ou qu'ils partagent une même chose. Certains liens sont symboliques ou spirituels tandis que d'autres se constituent par la voie matérielle (18).

Dans le cadre de la coordination, l'enjeu va alors résider dans le fait de la capacité des membres de l'équipe à faire du lien entre eux et avec les acteurs extérieurs à l'équipe, en ne perdant pas de vue l'objectif que l'équipe s'est fixée.

Si nous devions faire une synthèse de l'ensemble de ces concepts nous pourrions dire que la coordination s'organise autour d'une équipe dont la particularité est la pluralité de ses membres. Les relations en intra mais aussi en extra équipe sont symbolisées sous forme de lien interprofessionnel. Son organisation en interne est essentiellement transversale et chaque membre de l'équipe a un objectif commun.

Cependant la notion de référent et de pouvoir reste sous-jacente. En effet, nous avons vu que pour une équipe mène à bien son objectif, elle doit être conduite par un « chef d'équipe » qui va impulser la dynamique et définir les règles.

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Cette notion fait défaut dans une équipe de coordination où tous les membres de l'équipe sont sur un même pied d'égalité. Qu'en est-il lors d'une problématique de coordination entre des équipes hospitalières et de premier recours ?

Est-ce que les équipes hospitalières ne prennent pas le pas sur le premier recours sous couvert de la notion d'hospitalo-centrisme ?

Est-ce que cette notion n'implique pas le manque de coordination entre ces différents acteurs lors d'une situation complexe par exemple ?

Est-ce que, si les établissements de santé prenaient pour modèle les organisations présentes sur le premier recours, ces enjeux de pouvoir ne seraient-ils pas gommés ?

Afin de répondre à ce questionnement et pour pouvoir mettre en pratique ces différents concepts, il est alors intéressant de comprendre comment s'est organisée la coordination au sein d'un établissement de santé mais aussi sur le premier recours.

3.2. La coordination dans un établissement de santé : l'exemple des équipes mobiles de soins palliatifs (EMSP)

C'est pour faciliter un transfert de compétence que les EMSP ont été créées. Elles se composent d'une équipe pluridisciplinaire regroupant des médecins, infirmières, psychologue, kinésithérapeute, assistante sociale et secrétaire. Elles interviennent dans les services hospitaliers ou extra hospitaliers lorsque ceux-ci en font la demande. Leur objectif est d'aider les services qui souhaitent accompagner leurs patients tout au long de l'évolution de la maladie. Elles ne se substituent jamais aux équipes référentes, ni dans les soins, ni dans les décisions et peuvent se limiter parfois, à la collaboration d'un intervenant extérieur pour faire « le point » de la situation et trouver le meilleur accompagnement. Sa mission principale est de soutenir un projet de vie malgré le risque de mort, un projet de confort malgré la maladie, un projet de relation et de travail en commun malgré les contraintes institutionnelles (19).

Ces équipes se positionnent comme un véritable levier de la continuité des soins quand le patient souhaite mourir à son domicile. En effet, elles vont organiser le retour à domicile en collaboration avec l'équipe référente du patient et feront le lien

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avec les équipes du domicile. Dans ce cadre, elles sont habilitées à suivre le patient à son domicile au travers de rendez- vous ponctuel dont la fréquence est à déterminer avec les équipes du domicile. Elles se placent comme un soutien au niveau des équipes hospitalières mais aussi de ville. De par ce rôle de soutien, elles s'assurent que la continuité des soins s'effectue dans des conditions idéales et adaptées au patient.

Ces équipes, quand elles sont appelées en soutien d'une prise en charge, développent le lien entre les acteurs hospitaliers et ceux du domicile. Pourtant certains services hésitent, par manque de connaissance ou par peur peut être que leur compétence soit remise en question, à faire appel à ces équipes.

3.3. La coordination du premier recours : l'exemple des réseaux

La notion de parcours de santé n'est pas un hasard dans la loi de 2016. En effet, si nous devions faire un bilan de ce qui a été fait et proposé ces vingt dernières années, nous nous rendons compte que les autorités publiques abordent cette notion par le biais des réseaux de santé dès 1996.

Les premiers réseaux instaurés ont tenté de répondre au vieillissement de la population mais aussi à la perte d'autonomie. C'est dans les années 90 que leur essor s'est fait ressentir. En effet, nous sommes à l'époque de la découverte du SIDA et de toutes les problématiques liées à sa prise en charge et à l'accompagnement des malades. Des réseaux VIH ville-hôpital sont créés spontanément par des professionnels de terrain mais aussi par les diverses associations de malades mais sans cadre réglementaire.

Ainsi, la circulaire n°97-277 du 9 avril 1997 relative aux réseaux de soins et aux communautés d'établissements, précise les modalités de création des réseaux impliquant des établissements de santé. Les partenaires doivent alors être liés par une convention constitutive qui recevra l'agrément de l'agence régionale de l'hospitalisation. Leur organisation s'appuie sur des structures associatives la plupart du temps ; l'idée principale est que les professionnels du monde sanitaire, social et médico-social, se réunissent autour de la prise en charge d'un patient afin de définir

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un projet médical commun et de mettre en oeuvre des actions permettant de le mener à bien. Le chef d'orchestre de cette organisation est déjà le médecin traitant qui est en lien direct avec la structure hospitalière. Son rôle de pivot, décrit dans la loi n°2004-806 du 9 août 2004 relative à la politique de santé publique, se dessine alors. Nous sommes donc bien dans la coordination des différents acteurs, avec en place centrale le patient, qui va élaborer le projet, mener des actions mais aussi les évaluer pour pouvoir le cas échéant les réajuster.

Les professionnels intégrant le réseau vont développer une certaine expertise de la pathologie traitée et de la population concernée. C'est un des atouts principaux de ce type de fonctionnement. Le second atout, à ne pas négliger, est le lien qui se crée entre les acteurs des structures et les acteurs de la ville. Concernant le patient souffrant d'une pathologie chronique comme le diabète ou l'asthme par exemple, le réseau lui offre la possibilité d'avoir un « parcours de soins coordonnés » avec des consultations médicales (médecin spécialiste, généraliste) et/ou paramédicales (suivi thérapeutique, éducation thérapeutique) prévues pour le suivi de sa pathologie. Toutes ces démarches sont organisées de façon à ce que le patient devienne plus autonome dans sa prise en charge mais aussi que ses hospitalisations diminuent (20).

La circulaire n°2007-88 du 2 mars 2007 relative aux réseaux de santé précise leurs rôles et leurs objectifs en lien avec l'évolution de notre système de santé (21). En effet, la prise en charge globale des patients, le décloisonnement des professionnels ainsi que la qualité, la sécurité et la continuité des soins s'inscrivent comme les objectifs principaux des réseaux de santé. Ainsi, la création d'un réseau doit être en cohérence avec l'organisation territoriale des soins et répondre aux besoins identifiés sur ce dit territoire. La circulaire précise que l'identification de ces besoins doit se faire en collaboration avec les acteurs sanitaires et médico-sociaux du territoire concerné, mais qu'il convient également de veiller à ce que l'ensemble des professionnels libéraux, hospitaliers et médico-sociaux soit bien associé à ce diagnostic et aux propositions qui en découlent.

Nous voyons bien au travers de cette mesure, que les tentatives de décloisonnement des professionnels s'exercent dès la naissance d'un réseau : impliquer les différents professionnels dès sa création pour favoriser la collaboration. C'est d'ailleurs dans ce sens-là que la circulaire précise également que la continuité

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des soins est l'une des dimensions essentielles liée à la sécurité et la qualité des soins. L'implication de tous les acteurs du réseau doit alors permettre une prise en charge globale. Il est alors important de développer plus précisément le rôle d'appui de ces réseaux de santé. En effet, leur objectif prioritaire est de développer une offre de service aux professionnels de premier recours et notamment aux médecins traitants de patients porteurs d'une ou plusieurs pathologies chroniques.

Ainsi ils doivent pouvoir :

? Proposer un appui aux professionnels pour qu'ils puissent orienter les patients dans le système de soins et leur permettre un accès aux modes de prise en charge les plus adaptés en les ayant répertoriés,

? Développer des fonctions nécessaires à la prise en charge de pathologies chroniques : éducation thérapeutique (prévention des complications), suivi de l'observance, et conformément aux recommandations de l'HAS concernant les affections de longue durée, « accompagnement des parcours de soins des patients au sein du système de santé »,

? Organiser le maintien à domicile ou le retour dans les suites d'une hospitalisation par la mobilisation des personnes ressources et la simplification des démarches administratives.

L'historique des réseaux nous rappelle que leur création est due entre autre à une certaine mobilisation des patients. Nous voyons bien au cours de leurs évolutions qu'ils s'inscrivent à part entière dans une démarche de parcours de santé. Ainsi la circulaire de 2007, fixe des objectifs précis en matière de coordination des professionnels au sein même du réseau. D'ailleurs, nous nous rendons compte à la lecture de la circulaire à quel point leur rôle d'appui pour les professionnels du premier recours est prégnant.

Les équipes mobiles monothématiques ont été bien intégrées au sein des établissements de santé. Nous pouvons alors nous questionner en conclusion de ces deux premières parties pourquoi il n'a jamais été organisé une équipe mobile de coordination ayant pour objectif de créer du lien avec les professionnels et organisation du premiers recours ? En effet, ces équipes mobiles dans leurs fondements ont été construites pour agir dans la transversalité et effectuer un soutien

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des équipes actrices de la prise en charge. Ne serait-il pas possible au regard de toutes les difficultés évoquées précédemment, de construire une équipe dédiée à la coordination sur ce modèle-là ?

La problématique de ce travail évoqué précédemment prend alors tous son sens à la lecture de ces exemples :

En quoi une équipe de coordination hospitalière transversale permettrait de construire du lien avec les professionnels du premier recours ?

En effet, il semblerait que les enjeux de pouvoir, mis en avant comme étant un frein à la coordination, seraient ainsi absorber au profit de la transversalité et du lien que cette même équipe devra construire avec les organisations du premier recours.

L'hypothèse de travail qui devra être vérifiée avec l'enquête de terrain est la suivante : La création d'une équipe mobile de coordination hospitalière permet de créer du lien avec les organisations du premier recours.

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"Je voudrais vivre pour étudier, non pas étudier pour vivre"   Francis Bacon