WOW !! MUCH LOVE ! SO WORLD PEACE !
Fond bitcoin pour l'amélioration du site: 1memzGeKS7CB3ECNkzSn2qHwxU6NZoJ8o
  Dogecoin (tips/pourboires): DCLoo9Dd4qECqpMLurdgGnaoqbftj16Nvp


Home | Publier un mémoire | Une page au hasard

 > 

De la veille stratégique à  la capitalisation des savoirs. Le cas des grands moulins de Strasbourg.

( Télécharger le fichier original )
par Séverine Balaska
EM Strasbourg - Master 2 Marketing et écoute des marchés 2016
  

précédent sommaire suivant

Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy

3.2) De la veille stratégique au Knowledge Management : le développement d'un avantage concurrentiel

3.2.1) La veille comme un outil du Knowledge Management

La surveillance de l'environnement, des informations sur la concurrence, des signaux faibles indiquant l'arrivée d'une nouvelle tendance, sont autant d'éléments stratégiques que la veille extrait et met à disposition du manager et de ses équipes. En couplant ces données à leurs expériences personnelles, la bonne décision est prise et de nouvelles connaissances sont acquises.

EM Strasbourg | De la veille stratégique à la capitalisation des savoirs : le cas des Grands Moulins de Strasbourg

40

La collecte de données pertinentes est le fruit d'une veille efficace, mais l'utilisation et le partage de ces nouvelles connaissances intègre davantage la démarche du Knowledge Management. Parmi les étapes du cycle de veille, certaines rejoignent celui de la gestion des connaissances : transmettre la bonne information à la bonne personne. C'est en cela que ces deux notions sont cousines. La veille fait partie intégrante du Knowledge management, elle en est l'un des outils majeurs.

3.2.2) Le Knowledge Management comme valeur ajoutée pour l'entreprise

Une entreprise possède des actifs matériels et immatériels. Parmi ces derniers, elle compte le capital humain comprenant l'expérience, les savoir-faire, les compétences et les connaissances des employés. Si on se réfère à la définition de Michel Grunstein (2003), « capitaliser sur les connaissances de l'entreprise, c'est considérer les connaissances utilisées et produites par l'entreprise comme un ensemble de richesses constituant un capital et en tirer des intérêts contribuant à augmenter la valeur de ce capital », entreprendre une démarche de Knowledge Management permet de développer la valeur du capital humain et donc d'augmenter la richesse intellectuelle de l'entreprise.

Pour Michel Ferrary et Yvon Pesqueux (2011), La gestion des connaissances ne consiste pas seulement à mettre en commun les savoirs, elle est aussi considérée comme une ouverture de l'intelligence et la base d'un développement de la connaissance individuelle mise au service du collectif.

En résumé, la gestion des connaissances valorise le capital intellectuel de l'entreprise et favorise une culture de partage. Un capital humain exploité à son maximum représente une réelle valeur ajoutée : les salariés seront davantage efficaces, motivés, impliqués et solidaires. De plus, les prises d'initiatives seront facilitées et des idées innovantes verront le jour, c'est là tout l'enjeu de la capitalisation des savoirs.

précédent sommaire suivant






Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy








"Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre"   Paul Eluard