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Contribution a l'éducation aux catastrophes naturelles en la Grande Comore: cas des eruptions vocaniques et des inondations


par Dr Soilihi DJAE Abderemane
Ecole normale supérieure de Tuléar - Master 2 recherche en science de l'éducation 2014
  

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DEUXIÈMEPARTIE : PLAN PROVISOIRE DE LA FUTURE THÈSE

TITRE DE LA THÈSE : L'ÉDUCATION AUX CATASTROPHES NATURELLES EN GRANDECOMORE, CAS DES ÉRUPTIONSVOLCANIQUES ET LES INONDATIONS

INTRODUCTION GÉNÉRALE

PREMIÈRE PARTIE : GÉNÉRALITÉ SUR LES COMORES

Introduction

I.1 GÉNÉRALITÉS SUR LES CATASTROPHES NATURELLESAUX COMORES

I.1.1 Le volcan Karthala

I.1.2 Définition et origine d'une éruption volcanique

I.1.3 Conséquences négatives et gestion d'une éruption VOLCANIQUE

I.1.4 Mesures préventives d'une éruption volcanique

I.2 LES INONDATIONS

I.2.1 Définition et origine des inondations

I.2.2 Manifestation et conséquences des inondations

I.2.3 Gestion des inondations

CONCLUSION PARTIELLE

DEUXIÈME PARTIE : RÉDUCTION DES RISQUES ET VULNÉRABILITÉ DES COMORES FACE AUX ÉRUPTIONSVOLCANIQUES ET AUX INONDATIONS

INTRODUCTION

I.1 L'ÉDUCATION

I.1.1 Education formelle

I.1.2 Education informelle

I.1.3 Education non formelle

I.2 LA SENSIBILISATION DE LA POPULATION

I.2.1 La radio et télévision

I.2.2 Les théâtres et sketch

I.2.3 Exercice de simulation

I.3 SYSTÈME D'ALERTE

I.3.1 Alerte jaune

I.3.2 Alerte orange

I.3.3 Alerte rouge

I.3.3.1 La préparation

I.3.3.2 La prévention

I.3.3.3 Réhabilitation et construction

CONCLUSION PARTIELLE

TROISIÈME PARTIE :APPROCHE PRÉVISIONNELLE

INTRODUCTION

I.1 ACQUIS ET CONTRAINTES

I.1.1 Acquis des programmes d'éducation, de sensibilisation et d'alerte du public

I.1.2 Les obstacles et contraintes pour l'efficacité de notre stratégie

I.1.3 Principales contraintes

I.2 POUR UNE MEILLEURE RÉDUCTION DE RISQUE

I.2.1 Propositions d'actions issues des populations enquêtées

I.2.2 Recommandations issues des bonnes pratiques et expériences d'ailleurs

I.2.3 recommandations au niveau de l'organe en charge de réduction des risques de catastrophes aux Comores

I.3 ÉTUDIE COMPARATIVE ET LEÇONSTIRÉES

I.3.1 cas de Madagascar

I.3.2 cas de l'Unioneuropéenne

I.3.3 Leçons tirées

Conclusion partielle

CONCLUSION GÉNÉRALE

JUSTIFICATION DES PARTIES DU PLAN DE LA FUTURE THESE

PREMIÈRE PARTIE : GÉNÉRALITÉ SUR LES COMORES

Pour mieux élaborer le plan provisoire de la future thèse, nous avons choisi comme titre de la première partie, généralité sur les Comores.

En effet, pour comprendre le problème et y remédier, Il est important de recourir à sa genèseet son passé.De ce fait,l'Union des Comores se situe dans une zone où les risques de catastrophes naturelles sont multiples et de plus en plus importants.Le pays estexposé à un nombre élevé d'aléas d'origine géophysique, Hydrométéorologique, biologique, Technologique... et ainsi présente une forte vulnérabilité tant environnementale, sociale, physique qu'économique qui entraine un risque important de catastrophe.

Dans cette partie, nous allons présenter les différents aléas qui menacent les Comores ainsi que les mesures à apprendre afin de réduire les impacts des catastrophes naturelles.

Par ailleurs, nous avons constaté que les changements climatiques en cours et les mauvaises pratiques de la population restent un problème à résoudre, dans les années à venir.

Cette situation nous pousse à nous intéresser au rendement interne et externe en matière de GRC éducative aux Comores. Nous allons essayer de mettre en évidence les différents changements qui ont eu lieu à cause des bouleversements politiques et sociaux de la population.

Ensuite, nous avons mis l'accent sur les écoles les moyens locaux et les pouvoirs traditionnels. En fin, nous ne pouvons- nous passer sans reconnaitre les différents efforts déjà réalisés aux pays.

DEUXIÈME PARTIE : STRATÉGIE DE RÉDUIRE LES RISQUES ET VULNÉRABILITÉ DES COMORES FACE AUX CATASTROPHES NATURELLES AUX COMORES

En choisissant comme deuxième partieles stratégies de réduction de risques de catastrophes, cela nous parait évident et instructif.

Nous ne pouvons en aucun cas étudier un problème d'une manière approfondie sans pour autant chercher et rechercher à connaitre les principales causes et conséquences ainsi que les différents outils et moyens nécessaires à la réduction de réduction de risques de catastrophes. Nous pouvons montrer que le titre de la deuxième partie est nécessaire puisqu'il est au coeur de nos préoccupations.

Concernant nos expériences depuis l'école primaire jusqu'au lycée et en tant que citoyen observateur, nous avons pu soulever plusieurs problèmes. C'est ainsi que nous avons voulu montrer en premier lieu la situation économique et sociale du pays. En second lieu, nous avons insisté sur l'inertie de l'État pour insuffisance de considération du problème.En troisième moment, il nous semble nécessaire de réfléchir surles facteurs de croissance des problèmes naturels qui menacent la population. Ainsi, il est important de savoir l'environnement local et les influences extérieures. Finalement, nousétudierons les différentes étapes et les méthodes employées pour une bonne gestion de risques de catastrophes naturelles sur toutes les dimensions.

TROISIÈME PARTIE : APPROCHE PRÉVISIONNELLE

L'éducation aux catastrophes naturelles est choisie comme sujet de recherche dans le but de prévenir, de préparer de gérer et remédier notre problématique. Après avoir identifié les éventuelles contraintes et obstacles, réduire les impacts des phénomènes naturels, nous permettra de proposer des solutions en adéquation avec le milieu.

En effet, cette dernière partie constitue un moment décisif de notre travail de recherche. C'est ainsi que nous avons jugé efficace de proposer en première circonstance des acquis de nos enquêtes. Ensuite, il est important de mettre en évidence l'éducation aux catastrophes naturelles surtout les éruptions volcaniques et les inondations afin de soulever les éventuels obstacles.

En dernier lieu, nous allons mettre l'accent sur les propositions d'actions de gestion de risque. Enfin, il est nécessaire de mettre en exergue les recommandations issues des différents acteurs nationaux et internationaux.

La considération des ressources et contextes locaux sera prise en compte. Une étude comparative de la situation des Comores avec d'autres pays et les leçons tirées clôture notre troisième partie dans le but de mieux comprendre notre problématique.

RÉSULTATS ATTENDUS

RÉSULTAT 1 : Les acteurs de la gestion des catastrophes sont renforcés en matière d'alerte et la coordination est améliorée par mise en place logiciel SIG, donation de téléphones satellites dans les communautés concernées.

RÉSULTAT 2 : Les communautés sont mieux préparées face à la menace volcanique, inondation et àla réponse immédiate en cas de catastrophe par une sensibilisation et cartographie communautaires

RÉSULTAT 3 : Les communautés disposent d'un système d'éducation et d'alerte communautaire en coordination avec le système d'alerte national de la COSEP par la mise en place d'un schéma alerte communautaire et réalisation des exercices de simulations en commençant par les écoles et autres structures de base communautaire hiérarchisées.

Étude comparative entre Comores et Madagascar en matière de GRC

pour bien différencier le système de GRC comorien et malgache, il serait préférable de voir un aperçu de la Politique malgache sur la gestion des risques et catastrophes.

La loi n° 2003-010 du 05 septembre 2003 relative à la Politique nationale

sur la gestion de risques et catastrophes reste un exemple éloquent pour montrer la défaillance du système aux Comores. Cette loi:

ü Énonce que la gestion des risques et des catastrophes s'inscrit dans le cadre global des activités relatives à la protection et à la sécurité civile. Elle prévoit également des dispositifs et des mesures pour assurer, en toute situation de risques et de catastrophes, quelles qu'en soient la nature, l'origine et l'importance, le maintien des conditions nécessaires à la vie de la population et sa défense.

ü Détermine les orientations générales en matière de gestion des risques et des catastrophes et dresse la liste des principes de base nécessaires à sa mise en oeuvre.

ü Préconise la nécessité d'un mécanisme intégré pour la prise des mesures de prévention, d'alerte, de préparation, de gestion, de secours, de rétablissement, de reconstruction, et de développement;

ü Recommande l'intégration de la Politique nationale sur la gestion de risques et catastrophes dans le programme national de gestion de l'environnement et celui de réduction de la pauvreté et priorise les communautés les plus exposées aux risques et les zones à hautrisque pour la réduction des vulnérabilités et la mitigation des risques;

La Politique nationale de gestion des risques et des catastrophes :

ü Établi l'importance de la participation de tous les acteurs dans la GRC notamment, l'État, les collectivités décentralisées, les organisations non gouvernementales régulièrement constituées, les opérateurs économiques, les communautés, ainsi que les citoyens;

ü Préconise l'approche participative dans le processus de GRC et énonce la nécessité d'une instance de conception et de supervision incluant les élus, et d'une instance de gestion et de coordination, de suivi et d'appui des programmes et des actions;

ü Renferme la doctrine de planification de secours dont le but est de développer la préparation de tous les acteurs, public ou privé intervenant dans la GRC; énonce les différents types de plans de GRC et en définit leur mécanisme de mises en oeuvre à tous les niveaux.

ü Mets en exergue l'importance de la coopération régionale et internationale qui se traduit notamment par la mobilisation des aides " pour les zones faibles " et par le partage des ressources matérielles et techniques ou par des échanges d'information en matière d'alertes.

ü Prévoir la mise en place des structures de gestion des risques et des catastrophes;

ü Institue l'importance des plans de gestion des risques et des catastrophes qui estconstituée par: le plan général de gestion des risques et des catastrophes, les plans de soutien destinés aux risques spécifiques, les plans d'organisation des secours, dénommé plan ORSEC, les plans d'urgence;

ü Contiens des dispositions sur les mécanismes de financement de la gestion des risques et des catastrophes.

A Madagascar possède des entités institutionnelles impliquées dans la Gestion desRisques et des Catastrophes,dont le CRIC, le BNGRC, le CNGCR et le CPGU, contrairement à ce qui se passe aux Comores.

Toutefois, même sans statut juridique, on peut qualifier le CRICpar exemple comme une plate-forme nationale en matière de Gestion des Risques et des Catastrophes parle fait qu'il réunit l'ensemble des intervenants sur les catastrophes et ce, à toutes les étapes.

Leçons tirées pour le cas de Madagascar

Aux Comores, nous préconisons de voir les leçons tirées par le système malgache à savoir:

ü Aménagement de sentier d'évacuation

ü Sensibilisation des enfants sur les catastrophes naturelles

ü Communication et formation sur le schéma d'alerte et les couleurs de l'alerte peu connue

ü Impliquer davantage les acteurs communautaires et institutionnels

Conclusion partielle

Dans cette partie intitulée plan provisoire de la future thèse et sa justification est élément capital de notre étude surtout la position géographique du pays, car lesComores est pays situé dans l'océan Indien au large du sud-est de l'Afrique avec climat tropical. Le pays est particulièrement vulnérable aux risques de catastrophes naturelles avec un climatique saisonniers. De par sa position géographique, il subit, chaque année, les effets des fatalismesnaturels tels que les éruptions volcaniques, les tsunamis, les cyclones et les inondations. c'est ainsi qu'une meilleure éducation aux catastrophes naturelles est nécessaire.

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"Le doute est le commencement de la sagesse"   Aristote