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La communication politique dans les élections au Sénégal: l'exemple du PS(Parti Socialiste) et de l'AFP(Alliance des Forces de Progrès) en l'an 2000

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par Hamad Jean Stanislas Ndiaye
Université Gaston Berger de Saint-Louis (Senegal) - Maitrise de Sciences Politiques 2004
  

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INTRODUCTION GENERALE

La science politique, en étudiant le politique, n'en s'étend pas moins à la politique. Et la scène

politique nous offre des événements et des phénomènes fort intéressants pour ne pas être appréhendés et étudiés. Dans cette «autopsie» de la scène ou du jeu politique, la communication

ne saurait manquer d'être prise en compte car ce milieu, parce que politique, conserve ses réalités et principes propres qui le différencient de toute autre sphère de la société.

Cette communication propre à la sphère politique communication politique a désigné au départ, l'étude de la communication du gouvernement vers l'électorat, puis l'échange des discours politiques entre la majorité et l'opposition. Le domaine s'est ensuite élargi à l'étude du rôle des médias dans la formation de l'opinion publique, puis à l'influence des sondages sur la

vie politique. 1

Aujourd'hui, elle englobe l'étude du rôle de la communication dans la vie politique au sens large, en intégrant aussi bien les médias que les sondages, le marketing politique et la publicité

1Dominique WOLTON, Glossaire des concepts utilises voir site : www.wolton.cnrs.fr/glossaire/fr_glossaire.htm

avec un intérêt particulier pour les périodes électorales. A la limite, la communication politique désignetelle toute communication qui a pour objet la politique!

Cette définition, trop extensive, a cependant l'avantage de prendre en compte les deux grandes caractéristiques de la politique contemporaine: l'élargissement de la sphère politique et la place croissante accordée à la communication, avec le poids des médias et de l'opinion publique à travers les sondages.

La communication politique moderne ne peut plus se contenter, comme auparavant, de la

qualité littéraire des discours politiques et du brio de la rhétorique de ses énonciateurs. En effet, ainsi que le rappelle Philippe J. MAAREK « à cause du marketing politique, les idées ne suffisent plus pour être élu ». 2

En dehors de l'activité électorale, la communication politique instaure l'existence symbolique des acteurs politiques et des partis. Elle leur donne la visibilité qui leur permet d'exister dans l'espace public, et, en particulier, c'est par les stratégies de la communication politique que les partis et les acteurs collectifs de la sociabilité politique suscitent l'adhésion ou l'intérêt et engagent la permanence d'une relation médiatée aux citoyens et aux autres acteurs singuliers de

la sociabilité politique. La construction de l'identité des partis politiques s'inscrit dans trois types d'activités de communication : l'affichage et la manifestation d'une présence militante dans l'espace public (tracts, présence dans les marchés...) ; l'élaboration et la diffusion d'une presse propre, destinée aussi bien à l'usage interne (informations institutionnelles, calendrier des manifestations prévues) qu'à l'usage externe (diffusion des textes importants et des déclarations des acteurs politiques) ; l'organisation de débats, de réunions publiques et de manifestations assurant une visibilité dans l'espace public.

La communication politique, en ce sens, donne aux partis l'existence symbolique qui leur assure une place dans l'espace public, et qui rend possible la discussion publique de leurs projets et de leurs idées. C'est, enfin, sur la base de cette consistance symbolique que les partis s'engagent dans les confrontations électorales et institutionnelles qui les opposent les uns aux autres.

Or, le pouvoir n'est pas quelque chose que l'on possède, du moins, indéfiniment ; c'est une interaction. Il est généralement considéré par les politologues comme une relation entre deux

2MAAREK, Philippe J., Communication et Marketing de l'homme politique, Collection communication politique et publique, Paris, LITEC, 1992, p.1.

ou plusieurs personnes.3 Et parce qu'étant une relation, le pouvoir demeure l'enjeu majeur sinon le seul dans le combat politique qui nourrit et vivifie le jeu démocratique, un enjeu des stratégies des acteurs. Vu sous cet angle, le pouvoir doit également être légitimé, c'estàdire accepté tacitement par le peuple qui y est soumis. Alors toute stratégie est développée par les partis politiques pour séduire et s'octroyer les faveurs et le suffrage des citoyens.

Un aspect des travaux de Pierre BOURDIEU qui s'intéresse, au premier chef, à la communication politique, porte sur les discours et le champ politiques et concerne le pouvoir symbolique et leurs effets. Selon lui, la communication joue un rôle prépondérant dans le champ politique, qui comme tout autre champ, possède ses règles, épreuves et rites de passage propres, mais ce champ dépend fortement de l'extérieur; la force des agents politiques est fonction de leur capacité à mobiliser l'électorat. " La concurrence pour le pouvoir (...) s'accomplit par l'intermédiaire de la concurrence pour les profanes ou, mieux, pour le monopole du droit de parler et d'agir " au nom de la population. 4

La prééminence de la communication dans le champ politique s'explique en ce que la fonction

de mobilisation prend le pas sur la fonction d'expression des idées et des idéaux et sur la fonction de représentation. On cherche donc à faire voir et faire croire, prédire et prescrire, faire connaître et faire reconnaître.

Pour Bourdieu, si les dynamiques de pouvoir s'exercent dans tous les champs, c'est dans le

champ politique que s'établissent les catégories constitutives des oppositions sociales; " le pouvoir de représentation " qui est le propre du champ politique constitue aussi un " pouvoir de manifestation " qui " contribue à faire exister pleinement " ce qui existe à l'état tacite ou implicite, et donc à faire " surgir de nouvelles oppositions " grâce à leur apparition dans l'espace public. Il se fabrique donc à l'intérieur du champ politique " des formes de perception

et d'exposition politiques agissantes et légitimes ". 5

Aussi pour Ibrahima NDIAYE DIADJI, « parmi les champs normatifs d'action (...), les stratégies de communication auront nécessairement un rôle de plus en plus accru »6 Il ajoute que « ...Il va de soi que le parti politique qui ne sait pas comment diffuser au mieux ses

3 cf. cours de communication politique

4 Pierre Bourdieu et la communication politique : www.lasciencepolitique.com/revue/revue1/article10.htm

5 (Ibid.)

6 NDIAYE I., Etre syndicaliste aujourd'hui...Editions XAMAL, SaintLouis, 2001, p.99

opinions, ses projets, sa vision, éveille l'interrogation de ses propres militants ou sympathisants sur sa visibilité dans le champ politique ...» 7.

La forte médiatisation des campagnes électorales a fait apparaître de nouveaux éléments dans le comportement des acteurs du jeu politique. On note, en effet, une adaptation des acteurs aux nouvelles exigences médiatiques, le marketing politique fait son apparition. L'on fait même appel à de grands spécialistes du marketing politique, à l'image du PS et du candidat Abdou DIOUF, qui a accepté la proposition d'aide du français Jacques SEGUELA.

Il ressort clairement que toutes les formations en compétition se dotent de conseillers en communication et de directoires de campagne qui élaborent de véritables plans médiatiques de conquête électorale.

C'est aussi dans ce cadre du développement des technologies de l'information et de la communication (TIC), de l'essor des médias de masse et de la transformation des modes de communication des hommes politiques que s'inscrit notre étude, étude rétrospective de la campagne électorale des élections présidentielles de l'an 2000 au SENEGAL.

D'ores et déjà, ce regard a posteriori se fera au travers de quotidiens sénégalais; néanmoins, pareille approche ne devra aucunement nous contenter dans cette recherche car l'apport des quotidiens nous sera certes nécessaire et bénéfique mais pas suffisant.

Il nous faudra donc obligatoirement aller vers les partis politiques, en faisant nôtre cette formule qui veut qu' «A tout seigneur, tout honneur!»

Il demeure, cependant, qu'objet classique de la science politique, les partis politiques ont été quelque peu délaissés par la recherche depuis une vingtaine d'années. Ce désintérêt relatif est indissociable d'une recomposition des formes d'engagement et de participation politique, du déclin de la visibilité des idéologies et d'une certaine crise des modes de la représentation collective.

Les formations politiques du Sénégal n'échappent pas à cette perte de vitesse et l'on pourrait

même convenir avec Zaki LAIDI d'une « perte de sens » 8 , vu que l'échiquier politique sénégalais se trouve actuellement sujet à un bouleversement sans précédent et à une

7(Ibid. P.100)

8 LAIDI, Z., Un monde privé de sens, Editions Hachette pluriel référence, mai 2001, 330 p.

recomposition des forces politiques et des idéologies, laissant apparaître des alliances et des allégeances dont nul observateur n'aurait pu avancer le postulat.

Pour autant, les partis politiques ne sont pas morts. Si la vision idéal typique du parti de masse

a été malmenée ces dernières années, les partis, soucieux de leur survie et de leur conservation, inventent et découvrent de nouvelles pratiques et tentent de s'adapter à une société de gouvernance multi niveaux.

Dès lors, comment justifier le choix de notre étude dans le cadre précis de ce sujet ?

L'observation systématique des dispositifs de communication politique et des modèles d'interaction proposés aux populations (ou aux acteurs sociaux) peut justifier le questionnement sur la concordance réelle entre la visibilité médiatique et la lisibilité sociale ou entre le discours politique et l'expérience vécue.

Mais l'on pourrait expliquer ce choix par les particularités qu'a pu revêtir l'élection présidentielle de l'an 2000 dans l'histoire politique du Sénégal. Pour trouver réponse à ce qui aura fait la singularité de ces échéances électorales, trois axes peuvent nous aider, hormis la mémorable et historique alternance politique qui en a découlé :

D'abord, l' « essoufflement du régime socialiste » 9 . Il reste justifié par l'implosion et les querelles fratricides qui vont miner le Parti Socialiste (PS) et déboucher sur un schisme inédit avec les départs de Djibo Leity KA et de Moustapha NIASSE.

De là vont apparaître deux nouvelles formations politiques que sont, respectivement, l'Union pour le Renouveau Démocratique (URD) et l'Alliance des Forces de Progrès (AFP) qui vont, pour beaucoup, contribuer à la débâcle du PS et amener pour la première fois dans l'histoire politique du Sénégal, au ballottage du candidat socialiste et à la convocation du collège électoral en vue d'un second tour aux présidentielles.

Ensuite, le nouveau visage et la recomposition du champ politique sénégalais qui en devient plus ouvert par le jeu des alliances ou coalitions et celui des nouveaux partis qui tentent de percer et de s'imposer.

9 DIOP A. B., Logiques sociales et démocratie électorale au Sénégal. Essai de reconstitution et d'interprétation d'une trajectoire de crise : l'exemple de Fouta Toro (19832001) Thèse de doctorat en science politique, Université MONTESQUIEU, Bordeaux IV, IEP Bordeaux , CEAN, juillet 2002

On peut y lire une « maturité » de l'opposition politique qui fait bloc avec un seul mot d'ordre :

débouter un régime socialiste vieux de quarante ans !

Enfin, la forte aspiration des populations au changement. Ce changement s'entend tant dans un renouvellement des méthodes et pratiques politiques, que dans un renouvellement de la classe politique et plus précisément, de certains barons ou ténors, qui ont fini par lasser les citoyens.

Le « SOPI » (changement, en wolof), slogan du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) dirigé

par le candidat Abdoulaye WADE, n'aura jamais connu autant de regain d'intérêt.

Problématique

Notre étude n'aura pas pour objet le vote en tant que tel, mais sera plutôt centrée sur la communication politique de deux partis (PS et AFP) par le biais des quotidiens que sont, principalement LE SOLEIL,WALFADJRI, SUD QUOTIDIEN et LE MATIN. Ce qui n'empêchera, le cas échéant, le recours à d'autres sources médiatiques qui puissent constituer

un apport réel à notre investigation.

Cette logique adoptée nous amènera à explorer l'impact des campagnes et sorties des leaders politiques, notamment des candidats DIOUF et NIASSE, sur l'électorat sénégalais. Autrement

dit :

Quelles ont été les politiques communicationnelles initiées par les différentes formations politiques ?

Comment le PS et l'AFP ontils fait campagne en l'an 2000, dans la période officielle de campagne électorale qui constitue notre cadre de référence ?

Quel était le but de cette publicité politique ?

Comment a telle été perçue et quels ont pu en être les impacts et incidences sur l'électorat ?

Hypothèses

En se proposant d'étudier la communication politique de l'AFP et du PS dans la campagne électorale de l'an 2000 et s'inscrivant dans une dynamique d'appréciation de cette phase importante de l'évolution politique nationale, l'on pourrait partir de plusieurs schémas. Des hypothèses qui peuvent trouver crédit dans la « singularité » ,admise ou non, de cette élection. Bien singulière élection car ayant abouti à une alternance politique au sommet de l'Etat sénégalais, la première d'ailleurs issue des urnes, quarante ans après l'accession du pays à la souveraineté internationale !

On se rappelle en effet, le départ du Président Léopold Sédar SENGHOR de la tête de la magistrature suprême le 31 décembre 1980 et l'accession au pouvoir de son dauphin Abdou DIOUF qui prêtera serment dès le lendemain, 1er janvier 1981, en vertu de l'article 35 de la

constitution sénégalaise. Le président Senghor faisait modifier la Constitution pour introduire

l'article 35, en 1976, et s'assurer que le Premier ministre en fonction au moment du départ du président terminerait le mandat de ce dernier. Diouf supprimera cet article 35 après son accession au pouvoir. Il rappelle qu'en recevant Abdoulaye WADE dans les premiers mois de

sa présidence, ce dernier lui avait laissé comprendre que cet article gagnerait à être supprimé car étant « un article de fin de règne » et qu'il ne pouvait envisager d'« imposer son successeur ». Et lui de répondre que Wade avait raison.

Il s'y ajoute un fait assez nouveau au Sénégal pour manquer d'être relevé : la sollicitation par le candidat DIOUF de Jacques SEGUELA, le consultant français en marketing politique qui mena François MITTERRAND à l'Elysée en 1981 avec son slogan « LA FORCE TRANQUILLE ! ».

Le PS avait donc compris l'enjeu des cette présidentielle !

Peuton donc avancer, comme premier postulat, que les campagnes de communication de l'AFP et du PS ont eu des effets des incidences sur la cible électorale ;

Ou alors que cellesci n'auront en rien influencé les citoyens et que d'autres logiques peuvent

être invoquées car ayant pu intervenir lors des deux tours de la présidentielle de février et mars

2000.

Cadre théorique de l'analyse

Dans le cadre de cette analyse, nous nous emploierons à étudier le discours des hommes

politiques, à savoir Abdou DIOUF (PS) et Moustapha NIASSE (AFP), la politique communicationnelle de leurs partis et leurs éventuels impacts sur l'électorat sénégalais.

En période de campagne électorale, les relations avec les médias, sont de la plus haute

importance pour la politique de communication : de leur bonne qualité dépend la participation

de la presse en tant que relais d'opinion, plus ou moins volontaire, de l'action des leaders politiques et de leurs partis.

En effet, les médias participent beaucoup à l'éducation du citoyen sur la sensibilisation des

électeurs, sur les programmes d'activités des partis politiques en lice pour les élections et sur le déroulement du scrutin luimême.

Les usages politiques des médias sont une préoccupation des politiques qui recherchent un pouvoir de persuasion. La propagande est l'action exercée sur l'opinion pour l'amener à avoir certaines idées politiques et sociales, à soutenir une politique, un gouvernement, un représentant. En ce sens, la communication politique s'apparente plutôt à de l'influence. Les techniques sont celles du monde commercial, d'où le terme de « marketing politique » consistant à séduire l'électeur.

La stratégie consiste à présenter l'homme politique avec la plus grande attention, que ce soit ses manières, son allure physique, le caractère et bien d'autres images susceptibles d'influencer le vote du citoyen. En effet, rien n'est laissé au hasard, de la couleur du costume au pas à contrôler, à la coiffure et au regard, en passant par le sourire affiché et la manière de saluer les populations susceptibles de voter pour lui...

A la suite des travaux de l'Ecole de Chicago de Paul LAZARSFELD dans le cadre de l'étude

du comportement des électeurs dans le comté d'Erié, sera ton amené à la conclusion que « une personne pense politiquement comme elle est socialement » et que « les caractéristiques sociales déterminent les préférences politiques » ? ;

Ou plutôt que la communication des leaders politiques lors de ces élections aura bien été

perçue par les citoyens ?

Méthodologie de la recherche

Si nous convenons avec Norman NIE, Sydney VERBA et John PETROCIK que « le public

répond aux stimuli politiques qui lui sont offerts, (il) n'est pas déterminé uniquement par des forces psychologiques ou sociologiques, mais aussi par les problèmes du jour et par la façon dont les candidats présentent les problèmes » (NIE et ali.. The changing American Voter, Havard University Press, Cambridge, 1976, p.319), notre méthodologie consistera:

dans un premier temps, en une étape théorique, avec l'approche bibliographique qui nous renseigne sur l'état de recherche sur cette thématique de la communication politique. A cela s'ajoutent les quotidiens, articles de journaux, la documentation et les discours des candidats à des moments précis de la campagne ;

dans une seconde étape, en une phase pratique, par le biais d'entretiens et d'enquêtes sur le terrain. La première cible sera les leaders et acteurs politiques et leurs partis, qui nous intéressent dans notre étude. Nous irons aussi vers les citoyens pour recueillir les appréciations

et la perception des populations afin de juger de l'éventuel impact desdiscours sur leur

expression citoyenne ;

dans un dernier moment, en un exercice d'exploitation des données et de rédaction. Il s'agira de confronter les deux perceptions que sont celle des acteurs directs du jeu politique et celle de l'électeur.

Intérêt de l'étude

L'étude que nous nous proposons de faire s'inscrit dans une dynamique d'investissement d'un

domaine peu ou très mal connu, surtout au plan national. Nul doute que la communication politique n'en sera que mieux connue, eu égard à l'enjeu majeur qu'elle revêt dans le jeu politique. En étudiant ce phénomène par le prisme des médias, au sein du paysage politique sénégalais, notre souci ne sera pas celui du simple citoyen ou du journaliste; la vision du politologue s'inscrit bien au delà!

Investir le domaine de la communication politique, surtout au Sénégal où elle est balbutiante

(du moins dans une conception moderne, à l'image de l'exemple américain où shows et forte

médiatisation rythment les échéances électorales), nous inscrira dans une perspective prospective .Nul doute qu'au regard du fulgurant essor des TIC et de la familiarisation plus ou moins grande des citoyens avec ce qu'il est maintenant convenu d'appeler la cybercitoyenneté,

le spectacle ne fait que commencer. Alors, silence, ça tourne !

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"L'imagination est plus importante que le savoir"   Albert Einstein