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Investigation numérique et expérimentale d'une flamme de diffusion d'impact

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par Nadjib GHITI
Ecole militaire Polytechnique - Magister en Aérodynamique et propulsion 2007
  

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V Résultats expérimentaux

Les résultats suivants sont obtenus après traitement des images de la caméra thermique. Ils donnent la forme des isothermes de la flamme dans le plan de symétrie pour le cas de deux jets impactant. On voit qu'il y a naissance de deux tourbillons, un pour le butane et l'autre pour l'air. Ces deux tourbillons se détachent et se mélangent. La zone de mélange est la zone dans laquelle la combustion a lieu (zone de réaction). La position de cette zone varie suivant plusieurs critères. L'un des principaux critères est le nombre de Reynolds des deux jets.

Figure (V-13) : Variation temporelle de l'écoulement diffusif des deux jets d'impacts: l'intervalle de temps entre deux figures successifs est 0.02 seconds ReC4H10=225 1, Reair=214. (T1 à T9).

On voit dans les figures qu'il y a naissances de deux tourbillons. Le premier provient du jet d'air, alors que l'autre vient du jet de butane. Les deux tourbillons se diffuse complètement l'un dans l'autre pour former un grand tourbillon. C'est la zone où a lieu la combustion pour un maximum de température (T4). Du fait que les vitesses des deux écoulements ne sont pas très élevées l'effet de compressibilité due aux vitesses est négligeable. Il reste uniquement l'effet de la variation de la densité entre l'air et les espèces produites par la réaction. Cet effet peut causer des interactions entre ces deux tourbillons agités par l'écoulement moyen. Chacun à sa propre trajectoire le long de l'axe de la flamme qui peut être considéré comme un axe de symétrie pour ces deux tourbillons. Dans ce cas le mélange n'est pas parfait (T1, T6, T8, T9) Fig. (V-13).

Le développement d'un grand tourbillon central dans T5 et T7 se fait par la diffusion des tourbillons des réactifs par la couche extérieure jusqu' à leurs noyaux. Le front de flamme est vu comme une interface entre gaz frais / gaz brûlés ou fuel / oxydant. Dans d'autres cas le front se trouve sur l'interface de contacte des deux tourbillons (Fig. V-2, V-3).

Figure (V-14) : Front de flamme

Si les tourbillons des deux écoulements ont le même sens de rotation les gaz ne sont pas parfaitement mélangés (Fig.V- 15-b).

Si les tourbillons des deux écoulements ont des sens de rotation opposés, les gaz sont parfaitement mélangés (Fig.V-15-a) favorisant le mélange des gaz.

(a) (b)

Figure (V-15) : Cas de deux tourbillons (a) sens opposés, (b) même sens.

Figure (V-16) : Mélange de deux tourbillons.

L'énergie des tourbillons existant dans la première zone est transférée par advection à la deuxième zone.

D'après la (fig.V-17) on voit que le mécanisme de combustion est constitué de trois zones principales. La première se trouve au dessous du point d'impact. Dans cette zone le carburant et l'air ne sont pas encore mélangés. Elle est caractérisée par des vitesses élevées. C'est une zone caractérisée par un faible apport de chaleur.

Avant de passer à la deuxième région, on constate que le point d'impact des deux jets est un point de transition entre les deux régions. Ce point est caractérisé par une vitesse nulle, donc aucun échange de quantité de mouvement n'intervient. C'est une zone de sous pression. Ce point joue le rôle d'accroche flamme dans les StatoRéacteurs. Puis vient la deuxième zone principale qui est la zone de mélange dans laquelle toutes les bouffées tourbillonnaires chargées par la sous pression crées dans le point d'impact éclatent et donnent une zone de mélange. Les espèces chimiques entres en réaction avec l'air puisque ces espèces trouvent une intensité de turbulence favorable pour réagir.

Dans la troisième zone les tourbillons sont chargés par les gaz brûlés dans la deuxième zone. Donc c'est une région complémentaire et moins énergétique.

Après cette analyse on voit que les gros tourbillons ne sont pas responsables de l'efficacité en termes de rendement énergétique dans les flammes d'impact. Ils transportant les gaz seulement d'une région à un autre. Aussi les petits tourbillons situés dans la deuxième zone jouent un rôle important pour augmenter la température de la flamme de diffusion stabilisé après le point d'impact.

Figure (V-17) : Mécanisme de combustion dans une flamme de diffusion d'impact.

Nous avons calculé l'intensité de turbulence comme suit :

En premier lieu nous avons captée le signale de température brut. Après le calcul de sa moyenne, en calcul sa fluctuation et on suite en applique la formule de l'intensité de turbulence pour calculer l'intensité de l'écoulement.

T

?= 1

n

i

T i

n

(V-9)

La fluctuation est calculée par la formule suivante :

T=T-T

' (V-10)

L'intensité de l'écoulement est calculée par :

T

I = . (V-11)

T

2

40

70

60

50

30

20

10

0

Reair=214 (Vair=1 .5m/s) ReC4H10=2251 (VC4H 10=1 m/s) ReC4H10=3376 (VC4H 10=1 .5m/s) ReC4H10=4502 (VC4H10=2m/s)

0,0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9

Intensité de turbulente (%)

Figure-(V-18): Expérimentale de l'intensité de turbulence pour un ReC4H 10 variable

le long de l'axe de la flamme.

D'après l'expérimental réalisée sur les flammes de diffusion d'impactes, on a observés les points suivantes :

> Quand les vitesses du jets d'air sont supérieures à celles du butane on observe, une déviation de la flamme vers le coté du butane et la consommation du carburant est meilleur, et une diminution des suites dues à la combustion. Ceci s'explique par le fait que le butane contient quatre atomes du carbone lies à 10 atomes de l'hydrogène. Puisque le débit d'air est augmenté toutes les liaisons entre molécules du carbone et de l'hydrogène sont détruites. Comme conséquence, on trouve moins d'hydrocarbures imbrûlés (CnHm) dans le mélange. contrairement à une flamme de diffusion d'un jet simple qui produit beaucoup de suies à cause de la faible intensité turbulente.

> Lorsque les vitesses du jets du butane sont supérieures à celles de l'air on observe une déviation de la flamme vers le coté du jet d'air. Ainsi la richesse augmente. En conséquence la flamme redonne une quantité significative des suies où des hydrocarbures imbrûlés.

> Quand la vitesse du jet de butane est égale à la vitesse du jet d'air la flamme prend une position verticale. Cela influe négativement sur la longueur de la chambre de combustion et sur la production des suies.

> Quand la flamme est constituée par un seul jet libre de butane la longueur de la flamme est petite ceci s'explique par la faible consommation de carburant et une température maximale inférieure à celle des deux jets impactant.

1300

1250

1200

1150

1100

1050

1000

950

900

850

800

650

600

550

750

700

Expérimentale y=0.06m y=0.05m y=0.04m y=0.03m y=0.02m

Moyen des températures

-1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

temps (second)

Figure V-19: tracées de la température en fonction du temps

Dans la figure (V-19), on voit que le champ thermique varie selon la distance à partir des deux jets ceci est confirmé avec les signaux captés dans différentes régions de la flamme. A y= 0.03m le signal thermique et caractérisé par une amplitude élevée. C'est la zone juste après le point d'impact. Dans cette zone les particules trouvent ont une énergie cinétique élevée. Après le rencontre au voisinage du point d'impact, une chute enthalpique avec une intensité de turbulence très élevée a été créée. De ce fait on peut considérer que la distance entre le point d'impact et le point y=0.03m représente la zone où prennent naissance les grands tourbillons.

5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 55 60 65 70

Y /D

0,7

0,6

0,5

0,4

0,3

0,2

0,1

0,0

Reair= 21 4 (V a ir= 1 .5m/s)

ReC4H 1 0 =2251 (VC4H10 = 1 m/s)

Figure(V-20): Intensité turbulente

des fluctuations de température le long de l'axe entre les deux jets.

Ecole Militaire Polytechnique Etude expérimentale

0 10 20 30 40 50 60 70

0,8

0,7

0,6

0,5

0,4

0,3

0,2

0,1

0,0

Reair=214 (Vair=1.5m/s) ReC4H10=4502(VC4H10=2m/s).

0,8

0,6

0,4

0,2

0,0

1,0

Reair=274 (V a ir=2m/s)

ReC 4H 1 0=3376 (VC 4H 1 0=1 .5m/s).

Y/D 0 1 0 2 0 3 0 4 0 5 0 6 0

Y/D

Figure(V-2 1): Intensité turbulente estimé par les fluctuations du température.

Figure(V-22): Intensité turbulente du fluctuations detempérature sur l'axe entre les deux jets.

Les fig. (V-20), (V-21), (V-22) donnent l'intensité de turbulente calculée à partir des fluctuations du champ de température pour différents pairs de nombres de Reynolds pour le jet d'air et le jet du carburant. Dans la fig. (V-20) on trouve que l'intensité de turbulence augmente le long de l'axe de la flamme jusqu'à Y/D=57. A partir de cette distance, l'intensité de turbulence prend une valeur constante. Dans la fig. (V-21) l'intensité de turbulence diminue pour Y/D entre 0 et 15. Cette diminution est située avant le point d'impact. Une quantité du carburant est éjecté vers le bas de la flamme. Dans la fig. (V-22) cette intensité de turbulence augmente et ensuite elle diminue à partir de Y/D =35. Cette diminution est due à l'apparition d'une zone de re-circulation.

0 10 20 30 40 50 60 70

Y/D

0,8

0,6

0,4

0,2

0,0

1,2

1,0

Reair= 137 ((V a ir= 1m /s)

ReC 4H 1 0=214 (VC 4H 1 0=1.5m/s)).

Figure(V-23): Intensité turbulente de la tem p érature

0,8

0,7

0,6

0,5

0,4

0,3

0,2

0,1

0,0

Mélange maximal

Reair=214 (Vair=1 .5m/s) ReC4H10=2251 (Vbut=1 m/s)

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0

X axis title

Figure(V-24) Intensité de turbulence le longueur de l'axe de la flamme

0,8

0,7

0,6

0,5

0,4

0,3

0,2

0,1

0,0

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0

Zone I

distance le long de l'axe de la flamme

Mélange complète

Zone II Reair=214 (Vair=1 .5m/s)

ReC4H10=4502 (Vbut=2m/s)

1,0

Reair=24 14 (Vair= 1 m/s) ReC4H10=3376 (Vbut=1 .5m/s).

0,8

0,6

0,4

Pic d'intensité maximal

0,2

0,0

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0

distance le long de la flamme

Figure(V-26) Intensité de turbulence le long de l'axe de la flamme

Figure(V-25) Intensité de turbulence le long de l'axe de la flamme

Ecole Militaire Polytechnique Etude expérimentale

0,7

0,6

0,5

0,4

0,3

0,2

0,1

0,0

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0

Reair=274 (Vair=2m/s) ReC4H10=3376 (Vbut=1 .5m/s).

distance le long de la flamme

Figure (V-27) Intensité de turbulence le long de l'axe de la flamme

1,0

0,8

0,6

0,4

0,2

0,0

=3376

C4H10

m/s).

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Reair=214, Re

(Vair=VC4H 10=1.5

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0

distance le long de la flamme

Figure(V-28) Intensité de turbulence le long de l'axe de la flammme

D'après les fig.(V-24), (V-25), (V-26), (V-27), on voit bien que l'intensité de turbulence basée sur les fluctuations de température augmente le long de l'axe de la flamme, donc la température augmente aussi quand en s'éloigne du point d'impact. Les deux tourbillons issues des deux régions commencent se mouvoir et à se mélanger en augmentant l'intensité de turbulence. Dans les figures précédente le point d'intensité maximale est le point où les deux

tourbillons se mélanger complètement sur une longueur à peut prés égale à la moitié de la longueur de la flamme

A partir de ce point l'intensité de turbulence diminue. Donc, c'est la zone de combustion brûlage de quelques quantités du carburant. Au de la de ce point, la production d'énergie n'est pas significative, mais avec augmentation de la longueur de la flamme ce qui fait encombré notre chambre de combustion. Pour rattraper cette inconvénient en jeu sur l'augmentation du diamètre avec réduction du nombre de Reynolds pour crées un turbulence locale.

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0

0,9

0,8

0,7

0,6

0,5

0,4

0,3

0,2

0,1

0,0

1,1

1,0

séq 01

Vair=1 .5m/s, Vbut=1 m/s

séq 02

Vair=1 .5m/s, Vbut=2m/s

séq 03 Vair=1m/s, Vbut=1.5m/s

séq 04 Vair=2m/s, Vbut=1.5m/s

séq 05

Vair=1 .5m/s, Vbut=1 .5m/s

distance le long de la flamme

Figure(V-29) Intensité de turbulence le long de l'axe de la flamme

La fig. (V-29) illustre bien ce qui a été dit dans le paragraphe précédent. Les courbes d'intensité de turbulence coïncident sur la même distance pour différents nombres de Reynolds.

En plus de la convection, de la turbulence, de la diffusion turbulente et des réactions chimiques, deux phénomènes physiques sont souvent importants pour les flammes et les foyers non prémélangés. Ce sont le transfert de chaleur par rayonnement et par convection naturelle. En effet, les flammes non prémélangées chauffées, rayonnent de façon efficace. Ce rayonnement peut jouer un rôle non négligeable dans le bilan énergétique du milieu gazeux pendant la combustion. Par ailleurs, lorsque les vitesses des jets qui amènent le combustible, ou le comburant, ne sont pas trops élevées, et si des zones assez larges existent dans la

flamme où la vitesse des gaz ne dépasse pas des valeurs de l'ordre du mètre par second la flamme est attachée à la sortie des deux jets.

V-5-2 Distribution de la température pour deux jets impactant

D'après les fig.(V-32), (V-30), (V-31), (V-B-33) le gradient de température augmente le long de la flamme jusqu'au début de la zone III où ce gradient diminue. La confirmation de ce pic de température apparaît sur les courbes des fig. (V-24), (V-25), (V-26), (V-27). Quand le transfert de chaleur par convection domine dans l'écoulement, on obtient des courbes très allongées et ceci se produit pour les grands nombres de Reynolds.

1300

1200

1100

1000

900

800

700

600

500

Reair=274 (Vair=2m/s)

ReC4H10=3376(VC4H10=1.5m/s) Y/D=10

Y/D=20 Y/D=30 Y/D=40 Y/D=50 Y/D=60

SEQUENOE004

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0 2,5 3,0

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0 2,5

1500

1400

1300

1200

1100

1000

600

900

800

700

500

sp001

Reair=214 (Vair=1.5m/s)

ReC4H10=2251(VC4H10=1m/s) Y/D=10

Y/D=20 Y/D=30 Y/D=40 Y/D=50 Y/D=60

X

l'axe X

Figure(V-30) Distribution de la température pour deux jets impacts

Figure(V-31) Distribution de la température pour deux jets impacts

1600

1400

1200

Séquence 003

Reair=137 (Vair=1m/s)

ReC4H10=3376 (VC4H10=2m/s) Y/D=10

Y/D=20 Y/D=30 Y/D=40 Y/D=50 Y/D=60

1000

800

600

400

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0 2,5

2000

1800

Reair=214 (Vair=1.5m/s)

ReC4H10=4502 (VC4H10=2m/s) Y/D=10

Y/D=20 Y/D=30 Y/D=40 Y/D=50 Y/D=60

séquence 002

1600

1400

1200

1000

800

600

400

2000

1800

X -0,5 0,0 0,5 1,0 1,5 2,0 2,5 3,0

X

Figure(V-32) Distribution de la température pour deux jets impacts (K)

Figure(V-33) Distribution de la température pour deux jets impacts (K)

Dans le cas où le transfert de chaleur par rayonnement domine sur les autres modes de transfert thermique on voit que les courbes sont un peut aplaties puisque pour ce mode, le transfert thermique se fait dans toute les directions et non pas seulement dans la direction de l'écoulement fig. (V-31), (V-34). L'écoulement dans la région centrale du jet est différent de celui de l'écoulement dans la région frontière. L'écoulement dans la région de frontière n'est pas continue, et devient intermittent vers l'extérieur. Cette différence trouve sa signification à partir des Fig.(V-32), (V-30), (V-31), (V-33), (V-34), (V-35) des résultats expérimentaux de jets impactant. Cette intermittence dans la région de frontière indique qu'il y à présence de grands échelles de turbulence.

0,0 0,5 1,0 1,5 2,0 2,5

X

1400

1300

1200

1100

1000

900

800

600

500

700

Séquence 005

Reair=214 (Vair=1 .5m/s)

ReC4H10=3376 (VC4H10=1 .5m/s) Y/D=10

Y/D=20 Y/D=30 Y/D=40 Y/D=50 Y/D=60

1100

1OE0

1000

950

900

850

800

750

700

650

600

550

500

0,0 0,2 0,4 0,6 0,8 1,0 1,2

X

1350

1300

1250

1200

1150

ReC4H10=3376 (VC4H10=1.5m/s)

Y/D=10 Y/D=20 Y/D=30 Y/D=40 Y/D=50 Y/D=60

Figure(V-34) Distribution de la température pour deux jet impactants (K)

Figure(V-35) Distribution de la température pour un jet réactive ejecte dans de l'air libre.

Puisque la turbulence est caractérisée par une grand diffusivité, l'écoulement des jets d'impacts est un écoulement dissipatif. Cette dissipation se produit dans la région dominée par les petites échelles de turbulence.

La production d'intensité tourbillonnaire, et donc de la turbulence, s'accompagne d'un étirement des filets tourbillonnaires et par conséquent, d'une augmentation des distances séparant les particules fluides fig. (V-3), (V-4), (V-5).

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"Je ne pense pas qu'un écrivain puisse avoir de profondes assises s'il n'a pas ressenti avec amertume les injustices de la société ou il vit"   Thomas Lanier dit Tennessie Williams