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Stratégie de communication pour la revalorisation des activités de la galerie d'art: Cas de Houkami Guyzagn

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par Salifou dit Cheickna DABOU
Groupe Management Informatique, Sports et Arts (MISA)- Abidjan - DSS 2008
  

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L'INTRODUCTION

Le manque de structures principalement vouées à la diffusion et à la promotion des oeuvres d'art entrave l'émergence des arts visuels dans le paysage culturel ivoirien. Et pourtant la création est foisonnante. Ces structures ne sont pas légion, hormis quelques galeries d'art (Arts Pluriels, Euréka, Le Lab, Santa Maria, Aniss'art, la galerie de l'INSAAC etc.) et des musées dont le musée des civilisations de Côte d'Ivoire et le musée d'art contemporain de Cocody.

Depuis 2001, Houkami Guyzagn, structure de promotion des arts visuels et des jeunes artistes plasticiens, située à Cocody, II Plateaux les Vallons, mène une expérience féconde auprès de ces derniers et accentue à travers ses activités la circulation des oeuvres d'art auprès du public.

Mieux, Houkami Guyzagn a compris qu'à travers, ses activités, elle doit mettre un accent particulier sur la communication pour se faire connaître et être présente dans les esprits des consommateurs d'oeuvre d'art.

En plus des rencontres débats autour de l'art appelées encore Apéro art, d'une biennale nationale des arts visuels, dénommé les Guyzagn, doté du Grand Prix Guy Nairay, des expositions d'art aussi bien individuelles que collectives, accompagnés de catalogues ; elle s'est dotée d'un mensuel spécialisé des arts visuels, «Le Guyzagner, mécène de l'art», premier support de communication du genre.

Malgré cela, l'on assiste à un manque d'intérêt du public pour les oeuvres d'art et Houkami Guyzagn semble ne pas être connu du grand public.

Le pis, c'est que même dans la hiérarchisation des informations à la télévision, à la radio ou dans la presse écrite, il est courant que les reportages relatifs à la culture et principalement aux arts visuels sont relégués au second plan. Et les critiques d'art plastiques, eux qui servent de relais entre le plasticien et le public, se font compter au bout des doigts. Toute chose qui a fait dire à ZIO Moussa que « la culture constitue la cinquième roue de la charrette »1(*).

Aujourd'hui, la connaissance des publics et des marchés restent à développer. Il faut en outre reconnaître que si les oeuvres des jeunes artistes plasticiens ivoiriens restent méconnues du public, cela est dû en grande partie aux manques de promotion des structures de diffusion.

Partant de ce fait, notre travail s'articulera autour de quatre parties essentielles.

Ainsi, nous essayerons de montrer en premier lieu les fondements théoriques et méthodologiques de l'étude, en deuxième lieu de présenter l'entreprise, en troisième lieu de présenter les résultats et discussions de notre étude et enfin en quatrième partie, nous poserons un diagnostic qui nous mènera à d'actions stratégiques pour une revalorisation des activités promotionnelles de la galerie Houkami Guyzagn.

Mais, qu'est ce qui nous a poussé à entreprendre un tel travail de recherche sur la stratégie de communication pour revaloriser les activités de la galerie d'art Houkami Guyzagn ?

* 1 ZIO Moussa est journaliste au groupe Fraternité Matin. C'est l'actuel président de l'OLPED.

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"Il existe une chose plus puissante que toutes les armées du monde, c'est une idée dont l'heure est venue"   Victor Hugo