WOW !! MUCH LOVE ! SO WORLD PEACE !
Fond bitcoin pour l'amélioration du site: 1memzGeKS7CB3ECNkzSn2qHwxU6NZoJ8o
  Dogecoin (tips/pourboires): DCLoo9Dd4qECqpMLurdgGnaoqbftj16Nvp


Home | Publier un mémoire | Une page au hasard

 > 

Etat des lieux de la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans la ville de Kikwit : cas du quartier Ngulunzamba dans la commune de Lukemi


par Célestin SUNKEY
Université de KIkwit - d'Ingénieur Agroéconomiste  2020
  

précédent sommaire suivant

Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy

1.1.5. Aperçu de la sécurité alimentaire en RDC

Etant donné, la sécurité alimentaire signifie que tous les êtres humains ont, à tout moment, un accès physique et économique à une nourriture suffisante, saine et nutritive leur permettant de satisfaire leurs besoins énergétiques et leurs préférences alimentaire en RDC ( https://reliefweb.int/report/...).

Avec un système national de production agricole du type extensif, il est caractérisé par une faible productivité et repose sur une agriculture de substance pratiquée par de petites exploitations familiales sur une superficie moyenne de 1 à 2 hectares en culture pluviale, et de 0,5 à 1 hectare en culture irriguée. Les importations des végétaux, produits végétaux et autres articles réglementés constituent la voie privilégiée pour l'introduction d'organisme de quarantaine dans les pays. Il est à signalé que la majorité des nuisibles émergeants, observés ces dernières années en République Démocratique Du Congo ont majoritairement pour origine, les échanges commerciaux de matériel de plantation, article réglementés et le changement agro-climatique remarquable dans certaines zones du pays ( https://reliefweb.int/report/...).

Les cultures vivrières occupent annuellement une moyenne de 5 millions d'hectares avec une production estimée en 2006 à 20 millions de tonnes, composées essentiellement de plantes à, tubercule, de banane, de maïs, de riz, d'arachide de haricot et cultivées selon un système traditionnel itinérant sur brulis, associé à une longue jachère allant jusqu'à 5 ans et plus ( https://reliefweb.int/report/...).

Le manioc reste de loin la principale culture vivrière en RDC ; il occupe une superficie d'environ 2 millions d'hectares et depuis 2002, la production annuelle est de l'ordre de 15 millions de tonnes. La demande nationale en manioc représente environ 70% de la demande totale des produits vivriers consommés. La banane est la seconde culture du pays après le manioc tant du point de vue de la production que de la demande ; la production totale des bananes et d'autres fruitiers atteint une valeur annuelle moyenne de 4,1 millions de tonnes dont 47% pour les différents produits e banane : Plantin 25%, douce 8%, de bière 14%. Les céréales viennent en troisième position avec une production totale moyenne annuelle de l'ordre de 1,55 millions de tonnes dont 74% de maïs, 23% de riz 3% de millet et 1% de blé. Quant aux légumineuses, la production moyenne en valeur absolue sur la période de 16 ans (1991 à 2006) est 670. 681 tonnes dont 64% pour l'arachide, 320% pour le haricot, 7% pour le niébé et 5% pour la courge. Les cultures maraichères sont très importantes en volume consommé (24,35 kg/tète en 2000 à Kinshasa) (Ministère de l'agriculture, 2010).

précédent sommaire suivant






Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy








"Le don sans la technique n'est qu'une maladie"