Intitulé élaboration des
éléments empirico-contextuels et pratiques sur le terrain de
l'étude, dans cette partie du travail, qui vient après avoir
présenté les modélisations nécessaires du capital
social ainsi que ses particularités en concordance avec le champ
socioculturel local de activités économiques spontanées,
cette partie de la recherche s'interroge sur les situations de mise en oeuvre
du capital social chez les opératrices filles du poteau de la Elf
à Douala. Occasion pour nous de bien passer en revue les données
du terrain, c'est dans cette partie que nous avons eu l'occasion de
présenter, de discuter et d'analyser les différents
résultats obtenus sur le terrain sous le prisme et les regard
théoriques préalables. L'interrogation phare était ici de
comprendre la formation du collectif dans un cadre social de
spontanéité et de profitabilité concurrentielle et ce qui
prédisposé l'acteur urbain en même temps vers la pratique
d'un tel commerce ou d'une telle activité et vers la construction du
collectif avant de voir comment s'opère le processus de
construction ou de renforcement du lien social fait sous le soutènement
de la création de capital social chez les prostituées de la Elf
Douala. Nous avons en outre passer en revue les déterminants
économiques et sociopolitiques des activités économiques
spontanées et ceux de la montée du marche du poteau. Le
quotidien des acteurs de la prostitution et la symbolique de la construction
du lien social a constitué un volet important de cette partie. Enfin
nous avons jeter un regard sur ce qui à notre avis semble
s'imposer ; à savoir cette trajectoire partant de
l'itinéraire d'accumulation ou de contingence vers la construction d'un
corps de métier assortie des conséquences et des diverses
implications de ce marché du sexe. Tout ceci vient se conclure par la
fiche de recommandation ouverte aux politiques et aux décideurs.
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