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L'impact de la levée de l'exonération de la TVA sur le secteur du leasing

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par Said BOUH
ISCAE casablanca - Diplôme du cycle normal de l'ISCAE option Finances 2007
  

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1. Textes législatifs

Er Dahir du 12 août 1913 (9 Ramadan 1331) formant Code des Obligations et Contrats.

Er Dahir n° 1-92-138 du 25 Décembre 1992 portant promulgation de la loi n° 9- relative aux obligations comptables des commerçants.

Er Dahir portant loi n° 1-93-147 du 06 Juillet 1993 relatif à l'exercice de l'activité des établissements de Crédit et de leur contrôle.

Er Décret n° 2-91-967 du 21 Juillet 1993 fixant la composition et le fonctionnement du Comité des Etablissements de Crédit.

Er Dahir n° 1-96-83 du 1ier Août 1996 formant code de commerce. Er Textes et circulaires des lois fiscales.

2. Réglementations comptables et bancaires

Arrêté du Ministère des Finances et des Investissements Extérieurs n° 2450-95 du 06 Octobre 1995 fixant le capital minimum ou la dotation minimale des sociétés de financement.

Arrêté du Ministère des Finances et des Investissements Extérieurs n° 1331-99 du 23 Août 1999 relatif au plan comptable des établissements de crédit.

3. 0uvrages

GARRIDO ERIC : « Le cadre économique et réglementaire du crédit-bail TOME 1 » édition : Revue Banque, 2002.

GARRIDO ERIC : « Le crédit-bail : outil de financement structurel et d'ingénierie commerciale TOME 2» édition : Revue Banque, 2002.

ROBERT OBERT : « Pratique des normes IAS/IFRS - comparaison avec les régles françaises et les US GAAP » édition : DUNOD 2004.

4. Publications sectorielles

 

Rapport annuel de l'APSF de 1999 Rapport annuel de l'APSF de 2000 Rapport annuel de l'APSF de 2001 Rapport annuel de l'APSF de 2002 Rapport annuel de l'APSF de 2003 Rapport annuel de l'APSF de 2004 Rapport annuel de l'APSF de 2005

5. Presse spécialisée et publications

DREME BRIGETTE & HERBAS RAYMONDE. « La problématique comptable des opérations de Crédit-bail » Revue Banque, n° 596 Octobre 1998 page 68-70.

L'Economiste, « la TVA, bête noire du leasing » édition 329 du 7 mai 1998.

 

L'Economiste, « Crédit-bail : Les régles de fonctionnement en place » édition 314 du 22 janvier 1998.

L'Economiste, « Crédit-bail : un coup de frein révélateur du ralentissement de l'investissement » édition 314 du 22 janvier 1998.

6. Sites Internet

Association Professionnelle des Sociétés de Financement :

{ HYPERLINK

" http://www.apsf.org.ma" }

Association Française des Sociétés de Financement :

www.asf-france.fr

Bank Al Maghreb :

f HYPERLINK
"
http://www.bkm.ma" }

Leaseurope :

www.leaseurope.or g

 

(PAGE I

Remerciements

1

Dédicaces

2

Avant propos

3

Introduction

5

Problématique du sujet

7

La méthodologie poursuivie

8

PREMIERE PARTIE

9

Généralités sur le crédit bail

10

1- Définition

10

2- Le crédit bail et le leasing sont-ils synonymes ?

10

3- Les différentes formes du crédit bail

10

a) le crédit-bail mobilier

10

b) le crédit-bail immobilier

11

 

4- Les différentes variantes du crédit bail

12

a) Le Lease-back (ou cession-bail)

12

b) Le crédit-bail adossé

12

c) Le full service

13

d) Le leasing financier (finance lease) : location financement

13

e) Le leasing opérationnel (operating lease) : location exploitation

13

5- Le crédit-bail en chiffres

13

6- Les intervenants du marché

14

7- Genèse du leasing dans le monde et son apparition au Maroc

14

Le cadre juridique

16

1- Rappel des textes

16

a) La note circulaire des impôts de 1965

16

b) Le code des investissements de 1973

16

c) La loi bancaire de juillet 1993

17

d) La loi de Finances 1995/1996

17

e) Consécration juridique par le code de commerce en 1996

17

f) La consécration du Plan Comptable des Etablissements de Crédit (PCEC) en 2000

18

g) Elargissement des opérations de crédit-bail dans la nouvelle loi bancaire en 2006

18

2- La nature juridique du contrat de crédit-bail

19

3- Les conditions de fonds du contrat de crédit-bail

20

4- Le contenu du contrat de crédit-bail

20

5- Les phases contractuelles d'un contrat de crédit-bail

20

6- Les conséquences de la nature juridique

21

a) La publicité des cotrats de crédit-bail

21

b) La révision périodique des prix

21

7- Les obligations des parties contractantes

21

a) Les obligations du fournisseur

21

b) Les obligations du bailleur

22

 
 

(PAGE I

 

(PAGE I

c) Les obligations du crédit-preneur

22

Le cadre réglementaire

23

1- Les conditions générales d'exercice relatives aux sociétés de crédit-bail

23

a) L'agrément ou l'autorisation d'exercer

23

2- Les règles prudentielles et comptables

23

a) Le capital minimum

23

b) Les documents comptables

24

c) Le contrôle et l'audit des comptes

24

d) Le respect des ratios réglementaires

24

e)Les règles de classification et de provisionnement des créances en souffrance

25

3- Les autorités de tutelle et de représentation

25

a) Les autorités de tutelle et contrôle

25

b) Les organes de consultation et de représentation

25

Le cadre comptable

26

1- Les dispositions comptables applicables aux sociétés de crédit-bail au Maroc

26

a) L'évolution du cadre comptable des société de crédit-bail

26

b) Les dispositions du PCEC relatives aux comptes des sociétés de crédit- bail

27

2- Les normes comptables internationales applicables aux opérations de crédit- bail

29

a) Les normes IAS-IFRS applicables au crédit-bail

29

b) Le référentiel US GAAP : la norme n° 13 du FASB

30

Le cadre fiscal

32

1- La Taxe sur la Valeur Ajoutée

32

a) Le taux

32

b) Les exonérations

32

c) La régularisation de la TVA

33

d) Les difficultés soulevées par la profession et l'APSF

33

2- L'impôt sur les sociétés

34

a) Le taux de l'impôt

34

b) Les amortissements

34

c) Les plus value sur cessions des immobilisations

34

3- Les droits d'enregistrement

35

a) Cas du crédit-bail immobilier

35

b) Cas du crédit-bail mobilier

35

4- La taxe d'édilité

35

5- La taxe urbaine

36

6- La patente

36

Conclusion de la première partie

37

DEUXIEME PARTIE

38

Analyse de la situation actuelle

39

1- Etat des lieux du paysage fiscal relatif aux opérations de crédit-bail

39

2- Mécanisme De Non Récupération De la TVA Depuis Le 1er Janvier 2007

40

 

3- Réaction de l'APSF suite à cette nouvelle disposition fiscale et réponses du Directeur des Impôts

41

L'impact sur le secteur du leasing

44

1- La situation actuelle du secteur

44

2- L'estimation du montant du crédit TVA du secteur en 2007

46

3- Effet direct sur les activités du leasing à court terme

46

a) L'impact sur les capitaux propres des sociétés de leasing

46

b) L'impact commercial sur les sociétés de crédit bail

47

c) L'impact sur la rentabilité des sociétés de crédit bail

47

d) L'impact financier sur les sociétés de crédit bail

48

4- Effet de contagion prévisible

49

Conclusion

50

Impact sur les sociétés de leasing cotées

51

1- Comparatifs entre les indicateurs de MAB et MLE et les autres valeurs comparables

51

2- L'analyse boursière de Maghrebail et de Maroc leasing

52

a) MAB

52

b) Perspectives prévisionnelles de l'action MAB

54

c) MLE

54

d) Perspectives prévisionnelles de l'action MLE

56

Impact sur les PME/PMI

58

1- Le financement en crédit-bail comme alternative pour les PME

58

2- Intérêt du financement par leasing suivant la dimension de l'entreprise

59

3- Le crédit-bail vu par les « PME » et les professionnels

59

4- Comparaison du coût du crédit-bail avant et après la réforme

60

5- Répercussion de la levée sur les PME-PMI

63

Conclusion

63

Impact sur le budget de l'état

64

1- Spécificités du budget d'état

64

2- Structure du budget d'état

65

3- Répercussions de la levée de l'exonération de la TVA sur le budget de l'état

66

Est-ce que le gain sur les recettes publiques relatif à cette levée d'exonération pourrait il servir la politique incitative à l'investissement ?

66

Impact sur le secteur automobile

68

Impact sur l'investissement

70

1- Définition de l'investissement

70

2- Répercussions sur l'investissement

70

 

a) Contribution du crédit-bail à l'investissement

70

b) Qu'en est-il en 2007

71

Les solutions envisagées

73

1- Egalisation des taux

73

2- Remboursement du crédit TVA par l'état

75

3- Limitation de la production par les sociétés de crédit bail

76

4- L'amendement de la loi de finances

76

5- Conglomérat des sociétés de leasing en lobby

76

Conclusion générale

77

Bibliographie

79

Annexes

84

 

(PAGE I

ACOMPTE

Contrairement à d'autres formes de financement, le crédit-bail ne nécessite pas d'acompte ou d'apport en fonds propres.

Le versement d'un acompte est toujours possible, si le client le souhaite. Son traitement comptable et financier s'opère au cas par cas.

AGRÉMENT

Les sociétés de crédit-bail sont agréées en tant qu'établissement financier pour exercer leur activité.

L'agrément est délivré par le Ministre des Finances, après avis conforme du Comité des Établissements de Crédit qui évalue, notamment, les moyens techniques et financiers de la société, ainsi que la compétence et l'honorabilité de ses dirigeants.

AMORTISSEMENT

Propriétaires des biens qu'elles financent, ce sont les sociétés de crédit-bail qui les inscrivent à leur bilan et procèdent ainsi à leur amortissement. L'amortissement de cet actif s'effectue sur une période correspondant à la durée de son utilisation. L'amortissement peut être accéléré.

APSF

Les sociétés de crédit-bail dûment agréées sont membres de droit de l'Association Professionnelle des Sociétés de Financement (APSF) instituée par la loi du 6 juillet 1993 relative à l'activité des établissements de crédit. L'APSF a pour objet notamment d'étudier les moyens d'amélioration de la technique et de stimulation de la concurrence.

ASSURANCE

Les opérations de financement en crédit-bail sont assorties de produits d'assurance destinés à protéger les partenaires (bailleur et preneur) et le bien financé (en cas de destruction totale ou partielle). L'obligation d'assurance revient au client qui en assume la charge.

AUTORITÉS MONÉTAIRES

En tant qu'établissements de crédit, les sociétés de leasing exercent leur activité sous la tutelle des

Autorités Monétaires (Ministre des Finances et Gouverneur de Bank Al-Maghrib). La loi du 6 juillet 1993 relative à l'activité des établissements de crédit leur confère de larges pouvoirs de réglementation, de supervision et de contrôle. Les sociétés de crédit-bail sont dotées de compétences humaines à la mesure des conditions d'exercice et de contrôle auxquelles elles sont assujetties.

 

(PAGE I

BAILLEUR

Le bailleur ou crédit-bailleur est la société de crédit-bail qui acquiert un bien pour le donner en location. Le bailleur est le propriétaire légal du bien, dont il cède au client le droit d'usage. Il reçoit en contrepartie des redevances périodiques convenues.

BÉNÉFICIAIRE

Toute entreprise, quel que soit son secteur d'activité ou sa taille :

- désirant investir pour innover son matériel productif ou pour étendre sa capacité, - ayant un besoin urgent d'équipements non budgétisé,

- payant des loyers élevés à fonds perdus et qui voudrait constituer un patrimoine, - exerçant son activité dans un secteur porteur,

- désirant préserver son fonds de roulement pour l'affecter à d'autres utilisations, peut bénéficier d'un financement en crédit-bail.

Les commerçants, les entrepreneurs individuels, les médecins, les architectes et les autres professions libérales peuvent également bénéficier de financements en crédit-bail.

CESSION

Le bien financé appartient juridiquement au bailleur. Il ne peut être vendu par le client durant la période contractuelle. Une fois le matériel acheté pour sa valeur résiduelle par le client à la fin de la période locative, il lui est possible de le vendre à sa guise. Cette clause vaut aussi pour la sous-location et pour l'hypothèque.

COMITE DES ETABLISSEMENTS DE CREDIT

Donne son avis conforme au ministère des Finances sur les questions intéressant l'activité des établissements de crédit. Par ailleurs, ses membres peuvent émettre leur avis au Gouverneur de Bank Al Maghrib sur les aspects techniques des instruments de la politique monétaire et des règles prudentielles.

CONTRAT

C'est le document-clé de l'opération de crédit-bail, puisqu'il crée le lien juridique entre le client et la société de crédit-bail. Les parties y fixent les droits et obligations réciproques, ainsi que les conditions et procédures. Il précise la durée de location et l'échéancier des loyers.

La société de crédit-bail y réserve le droit au client, par une promesse unilatérale de vente, de se porter acquéreur du bien à l'issue de la période contractuelle à un prix convenu d'avance.

Le contrat fixe, également, l'indemnité de résiliation à laquelle s'expose le client en cas de non paiement des redevances.

DÉLAI DE RÉPONSE

En sociétés spécialisées, les sociétés de crédit-bail sont outillées pour répondre dans les délais les plus réduits à une demande de financement.

Sitôt le dossier complètement constitué, la réponse ne dépasse guère 24 à 48 heures pour une demande de crédit-bail mobilier et une semaine pour une demande de crédit-bail immobilier.

 

(PAGE I

DOSSIER

La demande de financement en crédit-bail est examinée sur la base d'un dossier constitué de différents documents, en fonction de la nature du bien à financer (bien mobilier ou immobilier) et du statut juridique du demandeur. Les justificatifs demandés se rapportent en général à son identité, sa situation économique et financière et aux caractéristiques du bien à financer.

ENGAGEMENTS RÉCIPROQUES

Le crédit bailleur garantit au crédit preneur l'utilisation et la jouissance du bien financé. Le crédit preneur s'engage à s'acquitter des redevances locatives conformément aux conditions stipulées dans le contrat. Il est, en outre, tenu de veiller à la maintenance du bien.

FISCALITÉ

Le crédit-bail est doté d'un régime fiscal approprié, ce qui en explique aussi la nette croissance depuis quelques années. Les principaux avantages fiscaux se résument comme suit :

- déductibilité des charges : les redevances de leasing sont totalement comptabilisées comme charges déductibles du bénéfice imposable;

- exonération de TVA à l'acquisition du bien, la TVA facturée en amont par le fournisseur est gérée par les sociétés de crédit-bail;

- possibilité d'amortissement accéléré.

La TVA au taux réduit de 7% acquittée sur les loyers est récupérable, suivant le statut fiscal du client.

Le crédit-bail immobilier est doté de quelques avantages supplémentaires, notamment en matière de droits d'enregistrement.

GARANTIE

Les sociétés de crédit-bail se limitent généralement à la propriété du bien loué. Pour des raisons évidentes de sécurité, des garanties (réelles ou caution) peuvent être cependant demandées si l'envergure de l'opération de crédit-bail l'exige.

INTÉRÊTS (AGIOS)

Bien qu'étant assimilé à une opération de crédit par la loi du 6 juillet 1993 relative à l'activité des établissements de crédit, le crédit-bail est avant tout, par nature et par construction, une opération de location. Cette qualification implique pour le client le versement de loyers passés totalement en charges sans distinction entre amortissement et intérêts. Ces loyers représentent la contrepartie du service rendu par la société de crédit-bail au client en mettant à sa disposition le bien.

LEASE-BACK OU CESSION-BAIL

Le lease-back (ou cession-bail) est la formule par laquelle une entreprise cède à la société de
crédit-bail un bien mobilier ou immobilier dont elle est propriétaire pour conclure aussitôt
avec elle un contrat de crédit-bail sur ce bien. Grâce au produit de la vente, l'entreprise

 

(PAGE I

dispose de fonds nouveaux, et continue -- selon le principe même du crédit-bail - à utiliser son bien comme si elle en était toujours propriétaire.

LOYERS OU REDEVANCES LOCATIVES

Dans l'industrie du crédit-bail, on parle volontiers de loyers ou redevances locatives pour désigner les versements découlant de la jouissance d'un bien. Le montant des loyers est généralement constant. La possibilité existe, cependant, de les moduler contractuellement, en fonction du plan d'exploitation de l'entreprise, à sa demande.

PTION D'ACHAT

La société de crédit-bail réserve le droit au client, par une promesse unilatérale de vente, de se porter acquéreur du bien à l'issue de la période contractuelle. Le prix de cession correspond à la valeur résiduelle fixée contractuellement.

PARTENAIRES

Le crédit-bail est une opération qui met en présence trois partenaires :

- l'entreprise qui envisage l'investissement;

- la société de crédit-bail qui achète le bien pour son compte et le met à sa disposition pour un loyer convenu;

- le fournisseur du bien.

PRENEUR

Le preneur ou crédit preneur, dit également utilisateur, est l'entreprise qui reçoit le bien en location, dont elle jouira pour les besoins de son exploitation, moyennant le paiement de redevances contractuelles.

PROCÈS-VERBAL DE RÉCEPTION

C'est le document qui atteste que le client a réceptionné le matériel et qu'il en a vérifié la conformité avec sa commande.

La signature du procès-verbal de réception du matériel, conjointement par l'entreprise et le fournisseur déclenche le paiement du fournisseur et le versement du premier loyer par l'utilisateur.

QUOTITÉ DE FINANCEMENT

Le crédit-bail permet le financement jusqu'à 100% de la valeur de l'équipement à acquérir (mobilier et immobilier) et éventuellement l'ensemble des prestations nécessaires à sa mise en place et à son fonctionnement.

RISQUE

Les sociétés de crédit-bail ne sont pas tenues de donner systématiquement suite à une
demande de financement, notamment quand elles estiment que le projet ne répond pas aux
critères économiques et financiers, voire éthiques. L'APSF est dotée d'un système d'aide à

 

(PAGE I

l'appréciation du risque qui informe ses membres sur les incidents de remboursement constatés.

RÉSILIATION

Le contrat de crédit-bail comporte généralement des clauses de résiliation très rigoureuses notamment pour sanctionner le non paiement des loyers à leur échéance. Dans ce cas, le client peut être contraint de verser une indemnité correspondant à la totalité ou à une forte proportion des loyers restant à courir et restituer le matériel.

SOCIÉTÉS DE FINANCEMENT

Les sociétés de crédit-bail sont des sociétés de financement spécialisées. Une telle spécialisation leur permet d'offrir à leur clientèle, entreprises ou professions libérales, des produits adaptés à leurs besoins. Les compétences dont elles disposent permettent de préserver leurs produits contre toute assimilation ou banalisation. C'est par l'innovation dont ils sont porteurs que les professionnels du crédit-bail réussissent à donner à leurs produits une valeur ajoutée particulière qui fait leur raison d'être.

VALEUR RÉSIDUELLE

C'est le prix de cession préalablement défini dans le contrat, à laquelle le client se porte acquéreur du bien. La valeur résiduelle est généralement faible et varie selon les caractéristiques de chaque opération.

Elle tient compte, au moins pour partie, des versements effectués à titre de loyers.

Bonjour, je suis étudiant(e) en 4éme à l'ISCAE.

Dans le cadre de mon projet de fin d'étude, je mène une étude sur l'impact de la levée de l'exonération de la TVA sur les sociétés de Crédit-bail.

Merci de bien vouloir répondre à ces quelques questions.

1-

La levée de l'exonération de la TVA sur les opérations de crédit-bail a-t-elle eu un impact sur votre activité durant ce premier trimestre ?

{ SHAPE \* MERGEFORMAT} Oui

{ SHAPE \* MERGEFORMAT } Non

2- A combien estimez-vous le niveau de la production durant l'exercice 2007 ?

3- A combien estimez-vous le montant du crédit TVA durant l'exercice 2007 ? ?????????????????????????????????????????????????????

4- Y a-t-il possibilité de provisionner le crédit TVA ? ?????????????????????????????????????????????????????

5- Quel impact aurait cette levée d'exonération sur le cours boursier à partir de 2007 ?

6- Quelle serait la réaction future au cas où vous opterez pour égalisation des taux ?

7- Pensez vous que le marché d'occasion va se développer au détriment du marché des biens neufs ?

8- Le client serait-t-il amené à choisir un crédit classique au lieu d'un crédit-bail vue sa cherté depuis 2007 ?

9- Quelle a été la réaction du marché durant le premier trimestre de l'année 2007 ?

L'évolution du produit d'exploitation bancaire entre 2002 et 2005

 

2002

2003

2004

2005

CDM Leasing

225 092,59

243 100,00

279 565,00

286 668,00

chaabi leasing

330283,33

356 706,00

526 566,00

595 019,58

BMCI Leasing

667 854 971,93

742 050 426,80

839 549 694,37

936 189 639,22

SOGELEASE

2 210 011 000,00

2 495 754 000,00

2 865 653 367,48

3 262 918 316,73

Wafabail

665 385 052,82

768 611 148,53

1 225 980 862,67

1 457 527 262,42

Maghrebail

880 155 000,00

953 441 000,00

1 045 074 000,00

1 166 662 000,00

Maroc Leasing

724 381 355,38

586 442 583,58

551 632 000,00

592 028 000,00

 
 
 
 
 

secteur

5 148 342 756,05

5 546 898 964,91

6 528 696 055,52

7 416 206 905,95

Le volume de la production entre 2002 et 2005

 
 
 

2 002

 

2 003

 
 

2 004

 

2 005

CDM Leasing

 

490433,5072

 

510 050,85

 

601

860,00

 

669 186,00

chaabi leasing

 

1 129 002,86

 

1 185 453,00

 

1 553 135,00

 

1 863 762,00

BMCI leasing

1

765

183

462,75

1

901

856

270,90

2

107

830

853,40

2

409

825

481,37

SOGElease

1

003

540

000,00

1

137

908

000,00

1

257

441

097,13

1

368

979

639,40

Wafabail

1

539

572

723,70

1

759

933

264,58

2

572

135

989,43

3

373

448

404,75

Maghrebail

2

266

956

000,00

2

498

459

000,00

2

725

709

000,00

3

103

567

000,00

maroc leasing

1

422

210

104,17

1

086

255

100,35

1

334

840

000,00

1

889

343

000,00

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Secteur

7

999

081

726,98

8

386

107

139,68

10

000

111

934,96

12

147

696

473,52

Nom du document : Mémoire

Répertoire : C:\Documents and Settings\said\Bureau\Mémoire

Modèle : C:\Documents and Settings\said\Application

Data\Microsoft\Modèles\Normal.dot

Titre :

Sujet :

Auteur :

ELKOURT

 

Mots clés :

 
 

Commentaires :

 
 

Date de création :

25/06/2004

11:30

N° de révision :

106

 

Dernier enregistr. le :

18/02/2002

5:49

Dernier enregistrement par : said

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"L'ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit"   Aristote