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Gestion de Portefeuille Obligataire : Cas de la Banque Nationale d'Algérie (BNA)

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par Mohand.E-B. HAMADACHE
Ecole Supérieure de Banque (E.S.B.) - Diplôme Supérieur des Etudes Bancaires 2007
  

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Titre3 : Algérie Télécom 5ans, Emission 17/10/2006

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On procède en premier lieu à la classification des portefeuilles par rapport au rendement et par la suite classer ces portefeuilles par rapport à la duration.

4.1.1. Classification des portefeuilles selon le rendement

Cette option intéresse fortement et surement les investisseurs ayant un comportement neutre envers le risque. Ceux-ci n'anticipent en aucun cas une évolution des taux d'intérêt sur le marché qui sont supposés donc constants pendant la période d'investissement. Ceci induit donc le choix du critère du rendement en premier lieu. Autrement dit, ce type d'investisseurs s'intéresse beaucoup plus au rendement offert par le portefeuille que sa duration.

Au regard des résultats présentés ci-dessus, la lecture du tableau fait clairement apparaître que les investisseurs choisiront sans la moindre hésitation le portefeuille n°2 constitué d'une grande part du titre d'Air Algérie pour la période s'étalant de 2007 à juin 2009. En effet, comme on peut le lire sur le tableau, le portefeuille n°2 propose des rendements nettement supérieurs à ceux des autres portefeuilles. En deuxième lieu vient le portefeuille n°1 équipondéré (1/3 de proportion pour chaque titre). Ensuite, le portefeuille n°4 et le portefeuille n°3 selon la période.

En effet, ces deux derniers portefeuilles occupent la troisième et quatrième place selon la période. Par exemple, en 2007, l'investisseur concerné optera pour le portefeuille 4 en termes de rendement. Par contre, entre avril et juin 2008, les deux portefeuilles procurent des rendements similaires. L'investisseur fera ainsi recours à la duration qui dans ce cas privilégiera le portefeuille n°3 offrant une duration moindre.

Néanmoins, pour la période qui suit, on aura des situations où un portefeuille (A) offre des rendements avantageux par rapport à un portefeuille (B) mais dont la duration est plus courte que celle de (A). Ce cas entre dans le cadre de la classification par rapport à la duration, deuxième critère de l'évaluation.

4.1.2. Classification des portefeuilles selon la duration

Ce cas de figure convient aux investisseurs ayant de l'aversion envers le risque, ce qui veut dire qu'ils ne préfèrent pas prendre de risque. Ainsi, il est supposé que les investisseurs anticipent une hausse des taux d'intérêt sur le marché. A cet effet, ceux-ci ne peuvent se satisfaire de chercher le rendement le plus élevé, mais cherchent aussi à avoir la duration (et donc la sensibilité) la plus faible.

Ce type de comportement se justifie par le fait que si les taux s'amenaient réellement à augmenter, et que l'investisseur potentiel ne prend pas en compte l'étude de la duration ou sensibilité de son portefeuille par rapport à ce taux, des pertes potentielles peuvent être causées notamment si la sensibilité s'avère importante, ce qui équivaut à une diminution brutale des prix.

Cette approche repose entièrement sur un principe fondamental de la Gestion de Portefeuille : Si l'individu n'aime pas le risque, c'est-à-dire qu'entre deux portefeuilles ayant la même espérance de gain (même rendement), il préfère celui ayant la plus petite duration. C'est le principe de la dominance stochastique d'un portefeuille par rapport à un autre.

> Analyse des résultats

Dans ce cas, nous prenons en compte uniquement les portefeuilles 3 et 4. Ayant une certaine aversion pour le risque, l'investisseur optera pour le portefeuille lui permettant de profiter du rendement le plus élevé et de la duration la plus courte. Cette situation est clairement visible pour le titre Air Algérie pour la période 2007-Mai 2009 en comparant les portefeuilles 2 et 3.

Par ailleurs, si on prenait par exemple le mois de Janvier de l'année 2011, on aura : Pour le portefeuille 3 : un rendement de 7,028% et une duration de 0,382 ;

Pour le portefeuille 4 : un rendement 7,622% et une duration de 0,628.

Clairement, nous voyons que le portefeuille n°3 procurera à l'investisseur un rendement nettement plus élevé que celui du portefeuille n°4 mais avec une duration plus importante. Dans ce cas, on prend en compte le résiduel des rendements et des durations pour choisir le portefeuille le plus fiable.

Constatons que le résiduel des rendements est de : 7,622 - 7,028 = 0,594%. Pour déterminer le choix d'investissement, on prend comme référence les titres sans risque BTC à 13 semaines (3 mois) dont le rendement s'établit actuellement à l'ordre de 0,4%. On supposera également que celui-ci le restera pendant la durée restante.

Deux cas se présentent :

> Si le taux de rendement du titre risqué < taux de rendement BTC : c'est la duration qui est prise en considération. Ce qui veut dire que les portefeuille 3 et 4 seront la duration la plus courte.

Dans l'exemple qu'on a présenté, puisque le résiduel du rendement (0,594%) est supérieur au taux BTC 13 semaines, alors le portefeuille choisi sera le portefeuille n°4.

Cependant, par exemple pour Juillet 2010, le résiduel du rendement (7,198 - 7,012) = 0.186% est inférieur au taux des BTC à 3 mois. Ce qui nous amènera à choisir le portefeuille qui a la duration la plus courte, soit le portefeuille n°3.

Ce que nous pouvons déduire de cette approche est le fait qu'un investisseur souhaitant investir et détenir un portefeuille performant sur le court terme, investira la plus grande part de ses capitaux dans le titre Air Algérie. Par ailleurs, s'il a une vision à moyen ou long terme, il opérera les choix stratégiques selon ses objectifs en matière de rendement et de duration et aussi selon la situation du marché en répartissant la plus grande part dans les titres de Sonelgaz et d'Algérie Télécom.

A noter aussi le critère de négociabilité des titres cotés en bourse présentés et évalués de manière à pouvoir les utiliser pour la conception de stratégies de gestion de portefeuille.

Cette approche nous a permis de construire des portefeuilles composés de titres cotés en bourse et de choisir le portefeuille le plus performant selon certains critères tant objectifs que subjectifs.

L'investisseur pourra donc exercer ses activités d'arbitrage et de profiter des situations du marché lorsque celles-ci sont adéquates à ses objectifs et ses comportements envers le risque. L'intérêt de cette méthode est d'améliorer sa situation financière et acquérir par la suite les investissements les plus attractifs sur les marchés.

L'initiation de ces approches est l'importance d'une vision à long terme assez réaliste pour les titres concernés dont les banques peuvent s'inspirer pour opérer des changements dans leurs portefeuilles suivant les périodes et suivant les objectifs visés. A souligner les résultats assez performants obtenus suite à l'évaluation de ces titres dont les émetteurs sont les plus importants sur le marché obligataire Algérien et qui jouissent d'une qualité de signature assez apparente.

Section 2. Stratégie appliquée au portefeuille BNA

Plusieurs stratégies sont développées par les gérants qui veulent agir principalement sur la sensibilité d'un portefeuille. Comme on l'a vu précédemment, ces stratégies dépendent des comportements des investisseurs et leurs objectifs du point de vue « espérance de gain ».

Analyser le comportement réel des gérants d'actifs est, tel qu'il a été constaté précédemment, difficile. Il faudrait donc plusieurs alternatives regroupant des choix pour certains et des choix différents pour d'autres. Pour cela, il est indispensable de pouvoir relier chaque décision d'allocation prise à une prévision du gérant. Néanmoins, on ne cache pas qu'il est difficile d'expliciter ce genre de prévisions : les choix sont souvent liés à des considérations implicites et associent parfois des motifs très variables : variation des taux d'intérêt, contraintes de gestion, besoins momentanés d'allocations stratégiques.

Toutefois, Il est clair que le gérant a besoin de mettre une stratégie de gestion pour son portefeuille. On suppose dans ce cas que le gérant veut agir sur la sensibilité de son portefeuille.

Ainsi, s'il estime que la sensibilité de son portefeuille est élevée et qu'elle ne répond pas à ses objectifs de placement, il visera une stratégie qui consiste à réduire considérablement la sensibilité (et donc la duration) dans le but de minimiser les pertes suivant l'évolution haussière des taux d'intérêt.

Si le gérant estime, au contraire, que sa sensibilité correspond parfaitement à son objectif, il adoptera une stratégie visant à la maintenir à son niveau. Ce qui lui permet d'optimiser son rendement particulièrement s'il vise une sensibilité quasiment nulle.

Notre étude va se porter principalement sur l'hypothèse que les investisseurs anticipent une évolution des taux d'intérêt sur le marché qui correspond à une stratégie d'anticipations de taux. On cherchera donc à en appliquer la stratégie qui permettra de réduire la sensibilité globale du portefeuille. L'étude est appliquée sur le portefeuille BNA arrêté au 31/12/2006.

1. Présentation du portefeuille de la BNA

A la date du 31/12/2006, la BNA compte dans son portefeuille un stock de 93,969 Milliards de DA dont 80% sont des valeurs de l'Etat. Par ailleurs, nous remarquons que le portefeuille est constitué de 73% de titres dont les échéances dépassent les 5années, en raison de l'avantage fiscal que ces titres procurent. En effet, conformément à l'article 44 de la loi des Finances pour 2006, les titres ayant des maturités de 5 ans et plus sont exonérés de l'impôt (IRG ou IBS). Le portefeuille BNA arrêté au 31/12/2006 est présenté ci-après :

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2. Stratégie d'anticipation des taux appliquée au portefeuille de la BNA

Un gérant de portefeuille cherche toujours à maximiser la valeur de son portefeuille et à avoir le rendement le plus favorable, et ce soit pour maximiser les profits ou bien minimiser les pertes potentielles que peut causer une variation de taux d'intérêt.

S'il prévoit une évolution haussière des taux d'intérêt, le gérant tentera de réduire la sensibilité afin de minimiser ses pertes. Par contre, lors d'une baisse de taux, il cherchera plutôt à augmenter la sensibilité de son portefeuille en vue de mieux profiter de la hausse des prix.

2.1. Analyse du portefeuille de la BNA 2.1.1. Analyse du contenu du portefeuille

A travers le tableau qu'on a présenté précédemment, on constate que le portefeuille des titres de créance de la Banque Nationale d'Algérie est composé principalement de valeurs du Trésor (actifs sans risque). En effet, les titres de l'Etat représentent à eux seuls 79,83% du total des valeurs composant le portefeuille. Cette situation s'explique par la priorité accordée par la BNA ainsi que par les autres banques publiques à l'objectif de sécurisation des ressources.

La partie restante représentant 20,13% du portefeuille, est constituée d'obligations corporatives émises par les entreprises publiques et privées. Il est à signaler dans cette partie la prédominance des titres appartenant au secteur public sur ceux du secteur privé dont la présence dans le portefeuille est très négligeable (0,64% du portefeuille global).

Néanmoins, il faut préciser que la concentration des placements de la BNA sur les actifs sans risque et sur les obligations corporatives du secteur public est la conséquence des banqueroutes recensées dans les rangs des banques et établissements financiers privés algériens survenus durant les années 2003 et 2004 (El Khalifa, BCIA, AIB, Union BANK, CAB, Mouna BANK, ...etc.) ayant causé des pertes et préjudices colossaux au système bancaire, d'où est née cette méfiance vis-à-vis du secteur privé.

A cela s'ajoute l'étroite relation liant la banque à certains émetteurs potentiels sur le marché obligataire Algérien et qui sont : Algérie Télécom, Air Algérie et Sonelgaz ; tous domiciliés au niveau de ses guichets.

2.1.2. Analyse du risque du portefeuille

L'application de la méthode d'évaluation de portefeuille présentée dans la première section de ce chapitre nous fait sortir un rendement de 3,15% et une sensibilité de 4,31. Cette sensibilité traduit que si les taux d'intérêt augmentent de 1%, les prix subiront une baisse de 4,31% et vice-versa.

Cette variable est très importante dans l'analyse de portefeuille car elle traduit le degré d'exposition d'un titre ou d'un portefeuille au risque de taux d'intérêt.

La duration moyenne du portefeuille est de l'ordre 4,45. Ce qui veut dire que la BNA pourra récupérer tous les montants investis dans 4 années et presque 6 mois.

Par ailleurs, l'analyse du risque du portefeuille repose sur le facteur sensibilité. En effet, nous pouvons calculer le risque général du portefeuille en supposant des variations parallèles des taux d'intérêt et en appliquant la formule suivante :

AP/P = S x AY

Où : ?Y représente la variation de la valeur du portefeuille, ?Y = Y* - Y

Y est la valeur du portefeuille actuel (avant évolution des taux d'intérêt) Y* représente la valeur du portefeuille après évolution des taux

?P est la variation des prix suite à l'évolution de taux, ?P = P* - P

S est la sensibilité du portefeuille, elle varie au fur et à mesure de la variation des taux.

2.2. Mise en place de la stratégie d'anticipation de taux 2.2.1. Objectifs

La BNA, qui a souscrit aux emprunts obligataires des émetteurs précédents, essentiellement sur le segment institutionnel, avait subi pendant la période de baisse des taux d'intérêt (en raison du phénomène d'excès de liquidité) la dépréciation du rendement de son portefeuille corporatif. Par la suite, le marché a connu un réajustement des taux de rendement (souscription autour du pair) dû à l'équilibre observé entre l'offre et la demande exprimées sur les ressources à moyenne et longue maturités amenant ainsi les émetteurs à allonger les durées de leurs emprunts (anticipation de hausse des taux par les émetteurs). Cette situation a eu pour effet l'allongement de la duration du portefeuille corporatif de la Banque Nationale d'Algérie et des autres banques publiques ayant souscrit aux obligations institutionnelles durant le deuxième semestre de l'année 2005 et l'année 2006.

Par ailleurs, les trois obligations émises au niveau du grand public et qui sont cotées en bourse offrent à la fois des rendements nettement supérieurs que ceux des titres institutionnels et des duration plus courtes.

Devant cette situation et dans le cas d'une hausse des taux d'intérêt, nous allons effectuer une substitution (vente) de titres ayant des sensibilités élevées par des titres à sensibilité réduite et disponibles sur le marché, étant donné qu'on a supposé que la banque a de l'aversion envers le risque et qu'elle anticipe par la même une évolution haussière des taux sur le marché.

En résumé, la démarche qu'on doit entreprendre vise à atteindre les objectifs suivants :

1. l'amélioration du niveau de rendement du portefeuille ;

2. la réduction de la durée de vie moyenne du portefeuille dans une optique d'anticipation haussière des taux ;

3. le respect des règles prudentielles

4. l'amélioration de la négociabilité, de la liquidité des titres et de la sécurité des transactions.

2.2.2. Application de la méthode de substitution

Pour cela, le réaménagement du portefeuille repose sur le principe de remplacement des obligations institutionnelles par des obligations cotées en bourse émises par le même émetteur, ou encore le remplacement des obligations institutionnelles offrant des rendements faibles (cas de l'ENTP) par des obligations cotées en bourse qui procurent des rendements supérieurs et des niveaux de risque comparables.

La procédure de remplacement suggère deux phases incontournables :

> En premier lieu, la cession des titres présentant des rendements faibles et/ou des durées de vie relativement plus longues. Cette action peut se réaliser si la BNA se retourne vers les compagnies d'assurance présentant des excédants de Trésorerie et cherchant à réaliser des rendements plus performants que ceux des dépôts bancaires. La banque pourra ainsi mobiliser la liquidité qui va lui servir à acquérir les obligations cotées en bourse ;

> En second lieu, la banque interviendra sur la Bourse d'Alger en se portant contrepartie acheteuse des ordres de vente. En effet, le statut d'intermédiaire en opérations de bourse dont est doté la BNA lui permet de réduire les coûts d'acquisition des titres sur le marché secondaire, ce qui n'est pas le cas des autres investisseurs qui devront supporter

le commission de la SGBV qui s'élève à 0,15% et celle de l'IOB qui atteint les 1,00% de la valeur transactionnelle.

Afin de mieux cerner les conséquences de ce remplacement, nous avons réalisé une simulation en procédant à la substitution de certaines obligations institutionnelles par des obligations cotées en bourse. Il s'agit des titres suivants :

L'obligation institutionnelle d'Air Algérie dont l'échéance est prévue 18/05/2011 (durée de vie : 6ans) et payant un taux de coupon fixe de 4% est remplacée par l'obligation du même émetteur émise au grand public et proposant un taux progressif. L'encours des titres substitués est de l'ordre de 5,5 Milliards de DA.

L'obligation institutionnelle de Sonelgaz émise pour une durée de 7ans offrant un taux nominal fixé à 3,5% et ayant pour échéance le 27/12/2011 est remplacée par l'obligation du même émetteur destinée au grand public à un taux progressif et dont la durée de vie est de 6ans. Cette dernière échoira le 22/05/2011. L'encours de ce titre s'élève à 2,35 Milliards de DA.

Les obligations Sonelgaz ayant les caractéristiques : SGZ 9ans, échéance 31/03/2014 à coupon 4% pour un encours de 1 Milliard de DA et SGZ 1 1ans, échéance 31/03/2016 à coupon 4,20% pour un encours similaire de 1 Milliard de DA ; sont remplacées par les obligations Sonelgaz émises auprès du grand public et cotées en bourse à concurrence de 2 Milliards de DA.

Et, Enfin, les obligations institutionnelles de l'ENTP émises pour 6ans (échéance 14/06/20 12) au coupon de 3,50% sont échangées avec des obligations grand public émises par Algérie Télécom pour un encours de 400 Millions de DA.

CHAPITRE II : La gestion obligataire : Etude de cas BNA

143

 
 

La sélection des titres à échanger et les titres à acheter est résumée dans le tableau ci-après :

Titre

Échéance

Échéance
résiduelle

Taux
actuariel

Valeur en
Portefeuille (en
millions de DA)

Quantité
Vente

Quantité
Achat

Titres à échanger (pour la vente)

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Air Algérie 6ans 4% Mai
2011

18/05/2011

4,38

4,21%

5 500

-5 500

0

2

Sonelgaz 7ans 3,5%
Déc 2011

27/12/2011

4,99

2,85%

2 350

-2 350

0

3

Sonelgaz 9ans 4%
Mars 2014

31/03/2014

7,25

4,11%

1 000

-1 000

0

4

Sonelgaz 11ans 4,20%
Mars 2016

31/03/2016

9,25

4,59%

1 000

-1 000

0

5

ENTP 6ans 3,50% Juin
2012

14/06/2012

5,46

3,65%

400

-400

0

Titres pour l'achat

5

Air Algérie 6ans grand
Public Déc 2010

01/12/2010

3,92

5,11%

5 500

0

5 500

6

Sonelgaz 6ans grand
public Mai 2011

22/05/2011

4,39

4,88%

2 350

0

4 350

7

Algérie Télécom 5ans
grand public Oct 2011

17/10/2011

4,80

4,86%

400

0

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Tableau n°7 : Sélection des titres destinés à l'achat et à la vente

Il faudra signaler néanmoins que la quantité que la banque peut acheter ou vendre est limitée suivant les contraintes règlementaires imposées sur le marché financier. Celle-ci ne peut acheter plus de la quantité qui existe sur le marché et ne peut vendre plus qu'elle ne détient dans son portefeuille.

2.2.3. Analyse de la solution

Suite à ces remplacements, nous avons procédé à une analyse comparative entre les portefeuilles avant et après la substitution et ce en matière de rendement ; de durée moyenne ; de respect des règles prudentielles et du niveau de négociabilité et de liquidité des titres qui composent le portefeuille. Les résultats sont très concluants.

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En effet, le portefeuille présenté après remplacement des titres sélectionnés nous fait ressortir les caractéristiques suivantes :

1. En matière de rendement :

On constate une amélioration du rendement moyen du portefeuille cible de la BNA de 15 points de base passant de 3,15% à 3,30% suite au remplacement. Le rendement moyen pondéré, plus significatif, a quant à lui progressé de 11 points de base, 3,40% contre 3,29% avant substitution. Ce qui représente une variation satisfaisante étant donné que l'effet de substitution n'a été réalisé que sur une partie (20%) du portefeuille global de la banque.

Cette augmentation est principalement due au fait que les obligations cotées en bourse intégrées dans le portefeuille offrent des niveaux de taux nominaux (donc de rendements) plus élevés et surtout progressifs sur leurs durées de vie respectives.

Il est aussi important de noter que cette évolution aurait été plus conséquente si la part des obligations corporatives dans le portefeuille étaient > à 20%.

2. En matière de durée de vie :

Le réaménagement du portefeuille BNA a permis de réduire la durée de vie moyenne qui était de 4,48 et qui est passée à 4,18 années. Cette réduction sera d'autant plus avantageuse lorsque la banque anticipe encore une hausse des taux d'intérêt. Cela réduira la sensibilité du portefeuille en diminuant la duration.

Réduire la duration revient à privilégier les titres à court terme offrant des coupons forts aux titres de longue durée proposant des coupons faibles.

3. Respect des règles prudentielles :

Le respect des règles prudentielles, notamment les règles de concentration des actifs et de diversification des risques, est vérifié puisque les titres utilisés pour la substitution sont émis par les mêmes émetteurs des titres remplacés.

Aussi, étant donné que le remplacement considère la même quantité tant pour la vente que pour l'achat des titres, la valeur du portefeuille cible ne peut dépasser celle du portefeuille de départ. Cette optique s'inscrit dans le cadre de la sécurisation des ressources que la BNA vise et qu'on a respectée étant donné qu'on n'a opéré des changements que sur la partie des titres corporatifs du portefeuille de la banque.

4. En matière de négociabilité, liquidité et sécurité :

Le remplacement des titres institutionnels par des titres cotés en Bourse permettra une négociabilité régulière se déroulant dans la transparence et l'équité totales, elle accroîtra la liquidité du portefeuille et assurera une sécurité optimale des transactions effectuées (confirmation des transactions et compensation au niveau de la SGBV ; système de règlement-livraison au niveau du dépositaire central à j+3 de la date de la négociation).

Par ailleurs, la relation entre le rendement et le risque des deux portefeuilles analysés précédemment est représentée dans le graphe suivant :

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Portefeuille

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Rendement

Graphique n°1 : Représentation des deux portefeuilles sur le plan rendement - risque

La stratégie d'anticipation présentée a permis à l'investisseur de tirer profit de la hausse des taux sur le marché, induisant par ce fait l'amélioration du rendement du portefeuille global de la BNA et la réduction de sa sensibilité, objectif principal de départ de l'investisseur dont on a supposé qu'il prévoyait une hausse de taux d'intérêt sur le marché.

Cette stratégie, qui relève du caractère assez réaliste du marché Algérien, peut être appliquée par la Banque Nationale d'Algérie et les autres institutions financières sur leurs portefeuilles en vue d'améliorer leur rendement et d'apporter un peu plus de liquidité et de sécurité à leurs portefeuilles.

C'est sur ce genre de stratégies, qui relèvent certes de l'arbitrage, que le marché Algérien pourra récupérer son dynamisme pour continuer son développement. Ce n'est qu'en jouant sur leurs titres et leurs portefeuilles que les investisseurs pourront profiter des situations favorables du marché pour augmenter leurs profits.

La gestion obligataire pour un gérant de portefeuille ne réside pas à acheter des obligations sur le marché primaire pour ensuite les détenir jusqu'à l'échéance, ce qui est un fait assez remarquable en Algérie. Il s'agit pour lui d'exercer ses talents de gestionnaire et de contribuer à la progression des marchés financiers, et du marché obligataire en particulier.

Nous avons tenté à travers cette partie du présent travail de mettre en pratique les différents principes théoriques de la gestion obligataire. En effet, nous avons appliqué les techniques d'évaluation des titres et de portefeuille en tenant compte des réalités du marché Algérien et appliqué par la suite une stratégie adéquate.

A cet effet, nous avons mis en place la stratégie d'anticipation de taux qui consistait à appliquer le principe de substitution de titres procurant des rendements faibles par des obligations disponibles sur le marché qui offrent des taux de rendement bien plus élevés tout en respectant les règles règlementaires et la structure du portefeuille de la BNA.

Les pratiques usuelles des banques Algériennes, particulièrement la Banque Nationale d'Algérie, qui consistent à la sécurisation des ressources en investissant la plus grande part de leurs portefeuilles dans les valeurs de l'Etat, font des portefeuilles qu'elles détiennent un cercle restreint de titres corporatifs et dépourvu de risques. C'est ce que nous prouvons en remarquant le nombre de titres cotés en bourse et aussi le degré d'intervention des banques sur le marché secondaire.

Nous pouvons conclure qu'une décision d'investissement, c'est-à-dire la mise en pratique d'une stratégie de gestion de portefeuille, sont nécessaires dans le temps actuel où on assiste à l'intégration de plus d'émetteurs sur le marché. Ces stratégies dépendent non seulement des objectifs de la banque mais aussi du caractère subjectif tel que son comportement envers le risque. Des contraintes de gestion mises en place par les instances dirigeantes du marché obligataire doivent, néanmoins, être respectées afin de ne pas en entraver le développement.

Conclusion générale

La décision d'investissement constitue la question principale de la gestion sur le marché des capitaux, elle essaye de reformuler la nécessité de la mise en pratique d'une ou plusieurs stratégie(s) de la gestion de portefeuilles, notamment obligataires.

La récente évolution implique actuellement l'élargissement du marché obligataire, en passant par l'Etat et les entreprises, aux entreprises privées qui recourent désormais à ce marché pour le financement de leurs besoins d'investissement.

Cette évolution a été suivie de plus innovations opérées par certains émetteurs sur ce marché engendrant ainsi l'apparition d'une série de produits de placement obligataires sollicitée de plus en plus par les différents émetteurs.

Par ailleurs, la théorie du portefeuille cherche toujours à apporter des solutions pour optimiser les choix des investisseurs. En effet, la décision d'investissement nécessite au préalable une bonne évaluation qui constitue désormais une étape incontournable de la Gestion de Portefeuille. Cette évaluation permettra l'établissement d'une stratégie fiable qui repose non seulement sur les situations du marché et les objectifs de l'investisseur, mais aussi sur les caractères subjectifs de celui-ci.

En effet, la mise en application d'une stratégie adéquate nécessite une bonne organisation à travers l'évaluation du portefeuille et l'application de la stratégie visée selon les objectifs et les contraintes auxquels est confronté l'investisseur.

Il est à souligner qu'en Algérie, ce type de gestion n'est pas suffisamment mis en pratique par les banques et autres institutions financières. D'où la nécessité et l'importance de mettre en place une stratégie adéquate et surtout qui s'adapte aux réalités du marché Algérien.

C'est pour cela qu'on a proposé, après évaluation de portefeuille, une stratégie basée sur les anticipations de taux sur le marché qui repose sur le principe de réduction de la sensibilité du portefeuille afin de ne pas ressentir la conséquence d'une hausse de taux sur le marché. Dans ce cas, les investisseurs sont supposés averses envers le risque. A travers le portefeuille que nous avons obtenu, on a constaté l'amélioration du rendement global et la réduction de la sensibilité.

Ainsi, nous pouvons constater, à travers le présent travail, la nécessité de la mise en place d'une stratégie de gestion de portefeuilles par nos banques Algériennes en dépit des évolutions encourageantes que nous avons enregistrées dernièrement sur le marché obligataire. Aussi, les stratégies que définiront ces banques seront basées tant sur leurs

comportements envers le risque que sur leurs objectifs en termes de rendement et de respect des contraintes sur le marché.

Par ailleurs, d'autres stratégies peuvent être développées dans d'autres recherches, notamment la stratégie « Butterfly » consistant à maintenir la sensibilité du portefeuille global à son niveau ou encore les stratégies passives, Aussi, des méthodes plus sophistiquées sont en phase d'émergence telles que les outils d'analyse du risque : la Value at. Risk (VaR) qui constitue un outil très performant en matière d'analyse du risque de marché d'un portefeuille.

Bibliographie

I - Liste des ouvrages :

1) COBBAUT.R., Théorie financière, Ed. Economica, Paris, 1997.

2) CHOINEL.A., ROUYER.G., Le marché financier : structures et acteurs, Ed. Banque Editeur, Paris, 1999.

3) DE LA BRUSLERIE.H., Gestion Obligataire, tome 1 : Marchés, Taux d'intérêt et Actifs financiers, Ed. Economica, Paris, 2002.

4) DE LA BRUSLERIE.H., Gestion Obligataire Internationale, tome 1 : Marchés et actifs financiers, Ed. Economica, Paris, 1990.

5) OUDET.B., Le marché obligataire Français, Ed. ESKA, Paris, 1990.

6) BRIERE.M., Formations des taux d'intérêt : anomalies et croyances collectives, Ed. Economica, Paris, 2005.

7) CAUDAMINE.G., MONTIER.J., Banque et Marchés Financiers, Ed. Economica, Paris, 1999.

8) CHEHRIT.K., Techniques et pratiques bancaires, financières et boursières, Ed. Grand Alger Livres, Alger, 2003.

9) HAMON.J., Bourse et gestion de portefeuille, Ed. Economica, Paris, 2005.

10) AUGROS.J-C., QUERUEL.M., Risque de Taux d'Intérêt et Gestion Bancaire, Ed. Economica, Paris, 2000.

11) DE LA BRUSLERIE.H., Gestion Obligataire Internationale, tome2 : Gestion de Portefeuille et contrôle, Ed. Economica, Paris, 1990.

12) JAFFEUX.C., Bourse et financement des entreprises, Ed. DALLOZ, Paris, 1993.

13) JAQUILLAT.B., SOLNIK.B., MARCHES FINANCIERS : Gestion de portefeuille et des risques, Ed. DUNOD, Paris, 1996.

14) MORISSETTE.D., Valeurs Mobilières et gestion de portefeuille, Ed. SMG, Québec, 1993.

15) VIZZANOVA, Gestion financière et Marchés financiers, Ed. ATOL, Paris, 1996.

16) QUITTARD-PINON.F., Marchés des Capitaux et Théorie Financière, Ed. Economica, Paris, 1998.

17) FERRANDIER.R., KOEN.V., Marchés de Capitaux et Techniques Financières, Ed. Economica, Paris, 1997.

18) RONCALLI.T., La Gestion des Risques Financiers, Ed. Economica, Paris, 2004.

19) MATHIS.J., Marchés Internationaux des Capitaux et Gestion d'Actifs, Ed. Economica, Paris, 2001.

20) JUVIN.H., Les marchés financiers, Ed. d'Organisation, France, 2003.

21) MATHIS.J., Gestion d'Actifs, Ed. Economica, Paris, 2002.

22) GIBSON.R., Obligations et clauses optionnelles, Ed. PUF, France, 1990.

23) AFTALION.F., VIALLET.C., Théorie du portefeuille : analyse du risque et de la rentabilité, Ed. Presses Universitaires de France, Paris, 1977.

24) LEUTENEGGER.M-A., Gestion de portefeuille et théorie des marchés financiers, Ed. Economica, Paris, 1999.

25) BITO.C., La gestion obligataire, Ed. DALLOZ, Paris, 1988.

26) BROQUET.C., COBBAUT.R., GILLET.R., VAN DEN BERG.A., Gestion de portefeuille, Ed. DE BOECK Université, Bruxelles, 1997.

27) NAVATTE.P., Instruments et marchés financiers, Ed. LITEC, Toulouse, 1992.

28) BENNANI.K., BERTRAND.J-C., Les obligations à taux variable, Ed. Economica, Paris, 1998.

29) AFTALION.F., La Nouvelle Finance et la Gestion de Portefeuilles, Ed. Economica, Paris, 2004.

30) AMENC.N., LE SOURD.V., Théorie du Portefeuille et analyse de sa performance, Ed ; Economica, Paris, 2003.

31) LEHMANN.P-J., Bourse et marché financiers, Ed. DONUD., Paris, 2002.

32) DEBEAUVAIS.M., MAINA.E., La Gestion Obligataire, Ed. La Revue Banque Editeur, Paris, 1996.

33) BISIERE.C., La structure par terme de taux d'intérêt, Ed. PUF, Paris, 1997.

34) SIMON.Y., BELLALAH.M., Options, contrats à terme et gestion, Ed. Economica, Paris, 2003.

35) TASSIN.H., Connaître les obligations, Ed. Le journal des Finances, Paris, 1995.

36) MARTELLINI.L., PRIAULET.P., Produits de Taux d'Intérêt, Ed. Economica, Paris, 2004.

37) BARREAU.J., DELAHAYE.J., DELAHAYE.F., Gestion Financière : Manuel et Applications, Ed. DUNUOD, Paris, 2004.

II - Liste des travaux universitaires :

2) ALLEL.F., Marchés des valeurs mobilières : Etude comparative, Mémoire de fin d'études, Ecole Supérieure de Banque, 2003.

3) SAHAOUI.N-Z., Le marché obligataire Algérien, Mémoire de fin d'études, Ecole Supérieure de Banque, 2005.

4) OUCHENIR.H., La gestion obligataire au sein des institutions financières cas : BNA et SAA, Mémoire de fin d'études, Ecole Supérieure de Banque, 2006.

5) RAMOUL.H., La gestion obligataire, Mémoire de fin d'études, Ecole Supérieure de Banque, 2006.

6) LAMINI.F., Le marché obligataire, Mémoire de fin d'études, Ecole Supérieure de Banque, 2005.

7) HAMMADI.L., L'emprunt corporatif et le rôle des banques- l'accompagnement de la BNA à Air Algérie, Mémoire de fin d'études, Ecole Supérieure de Banque, 2005.

8) Zidane.Y-S., Le marché des valeurs mobilières, Mémoire de fin d'études, Ecole Supérieure de Banque, 1999.

9) KADRI.O., La gestion de portefeuille, Mémoire de fin d'études, Ecole Supérieure de Banque, 2001.

10) TALAMALI.H., Stratégies de gestion de portefeuille, Mémoire de fin d'études, Ecole Supérieure de Banque, 2000.

11) AIT ALIA.L., Gestion obligataire, Mémoire de fin d'études, Ecole Supérieure de Banque, 2006.

12) ADJOUT.S., Evolution du marché monétaire et ses instruments, Mémoire de fin d'études, Ecole Supérieure de Banque, 1999.

13) BISIERE.C., Théorie de la structure par terme des taux d'intérêt, Thèse de Doctorat ès Sciences Economiques, Université d'AIX-MARSEILLE II, 1994.

III - Liste des revues périodiques :

1) STRATEGICA, N° 03, Décembre 2004.

2) STRATEGICA, N° 07 - 12 - 13 et 15, 2005.

3) STRATEGICA N° 17 18 19 20 21 25 26 et 27, 2006.

4) La Revue du financier, Modèles d'évaluation des obligations, n°159, p. 30 - 47.

IV- Autres documents :

1) COSOB, Guide des valeurs mobilières, 2004.

2) COSOB, Rapport annuel, 2004.

3) COSOB, Guide des organismes de placement collectifs des valeurs mobilières, Novembre 1997.

4) COSOB, Règlement n°04-01 relatif à l'information à publier par les sociétés et organismes faisant appel public à l'épargne lors de l'émission de valeurs mobilières, Juillet 2004.

5) COSOB, Règlement n°96-03 relatif aux conditions d'agrément, aux obligations et au contrôle des intermédiaires en opérations de bourse, Juillet 1996.

6) Ministère des finances Direction Générale du Trésor, Bulletin du marché des valeurs du Trésor, 2ème Trimestre 2002.

7) Ministère des finances Direction Générale du Trésor, Bulletin annuel, 2004.

8) Notice d'information simplifiée, Emprunt obligataire Sonelgaz SPA, Mars 2005.

9) Notice d'information, Emprunt obligataire Algérie Télécom, Septembre 2006.

10) Notice d'information, Emprunt obligataire Air Algérie, Mars 2004.

11) ASSOE.K., Stratégies de gestion de portefeuille obligataire (Notes pédagogiques), Ecole des hautes études commerciales, Université de Montréal.

V- Sites internet:

1) www.cosob.org

2) www.bna.com.dz

3) www.airalgerie.dz

4) www.sonatrach-dz.com

5) www.algerietelecom.dz

6) www.edubourse.com

7) www.zonecours.hec.ca

8) www.lexique-finance.blogspot.com

9) www.google.Fr

10) www.wikipédia.org

11) www.vernimmen.net

12) www.polytech.unic.fr

13) www.cbanque.com

14) www.connaissance-network.com

15) www.bloomberg.com

16) www.marches-financiers.net

17) www.univ-rennes1.fr

18) www.revue-banque.fr

des

Liste abréviations

Abréviation

Signification

TRR

Taux de Rendement Réalisé

OAT

Obligations Assimilables du Trésor

TMM (T4M)

Taux Mensuel du Marché Monétaire

TAM

Taux Annuel Monétaire

TCN

Titre de Créance Négociable

SPA

Société Par Actions

OPCVM

Organisme de Placement Collectif de Valeurs Mobilières

COSOB

Commission d'Organisation et de Surveillance des Opérations de Bourse

SGBV

Société de Gestion de la Bourse des Valeurs

IOB

Intermédiaire en Opérations de Bourse

ISIN

International Securities Identification Number

SVT

Spécialiste en Valeurs du Trésor

DGT

Direction Générale du Trésor

TCC

Teneur de Compte Conservateur de titres

FCP

Fonds Commun de Placement

SICAV

Société d'Investissement à Capital Variable

STTI

Structure par Terme des Taux d'Intérêt

u.m.

Unité monétaire

A.T.

Algérie Télécom

SRH

Société de Refinancement Hypothécaire

SONELGAZ

Société Nationale d'Electricité et de Gaz

ALC

Arab Leasing Corporation

ENTP

Entreprise Nationale de Travaux aux Puits

ENAFOR

Entreprise Nationale de Forage

BNA

Banque Nationale d'Algérie

DFT

Direction des Finances et de la Trésorerie

BDL

Banque du Développement Local

BADR

Banque de l'Agriculture et du Développement Rural

CPA

Crédit Populaire d'Algérie

CNEP

Caisse Nationale d'Epargne et de Prévoyance

BEA

Banque Extérieure d'Algérie

BTC

Bons du Trésor en Compte courant

BTA

Bons du Trésor Assimilables

DAT

Dépôt A Terme

FMI

Fonds Monétaire International

Liste des tableaux

Chapitre introductif

Tableau n°1 : Le remboursement in fine 8

Tableau n°2 : Le remboursement par amortissements constants 9

Tableau n°3 : Le remboursement par annuités constantes ..10

Partie I:

Chapitre 1

Tableau n°1 : Exemple durée de vie moyenne 35

Tableau n°2 : Effet du coupon sur la variation du prix des obligations 49

Tableau n° 3 : Variation du prix selon la maturité 50

Tableau n° 4 : Asymétrie des variations des prix des titres .51

Tableau n° 5 : Convergence vers le pair des prix obligataires 52

Chapitre 2

Tableau n°1 : Processus de gestion active d'un portefeuille 68

Tableau n° 2 : Application de la stratégie naïve 72

Tableau n° 3 : Application de la stratégie de « roll-over » ..73

Tableau n° 4 : Stratégie « Riding The Yield Curve » ...74

Tableau n° 5 : Valeur du portefeuille selon trois scénarii d'évolution de taux. ..81

Partie II:

Chapitre 1

Tableau n° 1 : Les soumissions reçues, exemple d'une technique d'adjudication

96

Tableau n° 2 : Classement des soumissions par prix décroissants ..96

Tableau n° 3 : Exemple de deux souscriptions égales ..97

Tableau n° 4 : Les ordres d'achat et de vente, exemple du fixing .105

Tableau n° 5 : Maximisation du nombre d'échanges possibles .106

Tableau n° 6 : Réduction du déséquilibre entre l'offre et la demande .107

Tableau n° 7 : Minimisation de la volatilité par rapport au cours de référence

..108

Tableau n° 8 : Récapitulatif des émissions sur le marché obligataire Corporate Algérien, 1998 - 2006 .110 Tableau n° 9 : Les taux progressifs des titres Air Algérie Sonelgaz et Algérie Télécom ..111

Chapitre 2

Tableau n° 1 : Résultats de l'évaluation du titre Air Algérie sur un horizon

donné 121

Tableau n° 2 : Résultats de l'évaluation du titre Sonelgaz 123

Tableau n° 3 : Résultats de l'évaluation du titre Algérie Télécom 124

Tableau n° 4 : approche 2 - détermination du rendement exigé par l'acheteur

.127

Tableau n° 5 : Construction de portefeuilles simulés à partir des titres Air Algérie, Sonelgaz et Algérie Télécom 131

Tableau n° 6 : Présentation du portefeuille BNA arrêté au 31/12/2006 ..137

Tableau n° 7 : Sélection des titres destinés à l'achat et à la vente 143 Tableau n° 8 : Présentation du portefeuille après remplacement et de la solution 144

Liste des graphiques

Liste des graphiques

Partie I :

Chapitre 1

Graphique n°1 : Relation entre la duration et la maturité d'un titre .40

Graphique n°2 : Illustration de l'écart entre le prix calculé et le prix exact 43

Graphique n°3 : Relation entre le prix d'une obligation et son taux de rendement actuariel .48 Graphique n° 4 : Illustration de l'effet coupon sur la variation des prix des

obligations .49

Graphique n° 5 : Illustration de l'effet maturité 50

Graphique n° 6 : Convergence vers le pair, obligation TC = 10%, 6ans 52

Graphique n°7 : Les formes de la structure par terme de taux d'intérêt ..54

Chapitre 2

Graphique n°1 : Valeur de portefeuille selon trois scénarios d'évolution de taux
81

Partie II :

Chapitre 2

Graphique n°1 : Représentation des deux portefeuilles sur le plan rendement- risque 147

Liste des annexes


Annexe

Intitulé

1

Décret législatif n° 93-10 du 23 Mai 1993 relatif à la bourse des valeurs mobilières modifié et complété par l'Ordonnance n°96-10 du 10 Janvier 1996 et la Loi n° 03- 04 du 17 Février 2003 (TITRE III LA COMMISSION D'ORGANISATION ET DE SURVEILLANCE DES OPERATIONS DE BOURSE)

2

Les compartiments du marché des Capitaux

3

Les notes attribuées par les agences de notation Moody's et Standard & Poor's pour l'évaluation du risque de défaut

4

Extrait de la Loi de Finances 2006 - Article 44

5

Méthode de calcul du taux de rendement sous Excel

6

Approche 3 : Immunisation des titres Air Algérie, Sonelgaz et Algérie Télécom

ANNEXE 1 :

Décret législatif n° 93-10 du 23 Mai 1993 relatif à la bourse des valeurs mobilières modifié et
complété par l'Ordonnance n° 96-10 du 10 Janvier 1996 et la Loi n° 03-04 du 17 Février 2003

TITRE I : LES INTERMEDIAIRES EN OPERATION DE BOURSE

TITRE II : DE LA SOCIETE DE GESTION DE LA BOURSE DES VALEURS ET DU DEPOSITAIRE CENTRAL DES TITRES (LOI n° 03-04 DU 17 FEVRIER 2003)

TITRE III : LA COMMISSION DE D'ORGANISATION ET DE SURVEILLANCE DES OPERATIONS DE BOURSE

TITRE IV : DISPOSITION PENALES TITRE V : DISPOSITIONS DIVERSES

4NNEXE 2

Marché des Capitaux

Marché Monétaire
« Court terme »

Marché Financier
« Moyen et Long termes »

Marché
obligataire

Marché des Titres
de Créance Nagociables

Marché
Interbancaire

Marché
des actions

Marché Primaire

Marché Secondaire

Les compartiments du Marché des Capitaux

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Extrait de la loi de finances (2006) - Article 44

Art.44. - Les dispositions de l'article 63 de la loi n°02-11 du 20 Chaoual 1423 correspondant au 24 Décembre 2002 portant loi de finances pour 2003, modifiées par les dispositions de l'article 26 de la loi n°03 -22 du 4 Dhou El Kaada 1424 correspondant au 28 Décembre 2003 portant loi de finances pour 2004, sont modifiées, complétées et rédigées comme suit :

"Art. 63. - Sont exonérés de l'impôt sur le revenu global (IRG) ou de l'impôt sur le bénéfice des sociétés (IBS), pour une période de cinq (5) ans à compter du 1er Janvier 2003, les produits et les plus-values de cession des actions et des titres assimilés cotés en bourse ainsi que ceux des actions ou parts d'organismes de placements collectifs en valeurs mobilières.

Sont exonérés de l'impôt sur le revenu global (IRG) ou de l'impôt sur le bénéfice des sociétés (IB S), les produits et les plus-values de cession des obligations et titres assimilés cotés en bourse ou négociés sur un marché organisé, d'une échéance minimale de cinq (5) ans émis au cours d'une période de cinq (5) ans à compter du 1er Janvier 2003. Cette exonération porte sur toute la durée de validité du titre émis au cours de cette période.

Les détenteurs des obligations et titres assimilés qui optent pour l'encaissement anticipé de leurs titres avant l'échéance de cinq (5) ans doivent s'acquitter, lors de l'encaissement, de l'impôt au titre des produits réalisés durant la période écoulée de conservation de leurs créances, majoré d'un intérêt dont le taux est fixé par voie règlementaire.

Les détenteurs des obligations et titres assimilés d'une échéance inférieure à cinq (5) ans qui optent pour le report de l'échéance de leurs titres sur une période minimale de cinq (5) ans bénéficient du remboursement de l'impôt déjà payé.

Sont exemptés des droits d'enregistrement, pour une période de cinq (5) ans, à compter du 1er Janvier 2003, les opérations portant sur des valeurs mobilières cotées en bourse ou négociées sur un marché organisé. "

Annnexe 5

La méthode de calcul des taux de rendement sous EXCEL

Les résultats présentés lors de l'évaluation des titres Air Algérie, Sonelgaz et Algérie Télécom ont été obtenus par simple application du calcul sous EXCEL.

Exemple ~

Nous allons calculer le taux de rendement du titre Air Algérie grand public émis le 01/12/2004 pour une durée de 6 ans aux taux progressifs : 3,75% les deux premières années, 4,50% les deux années qui suivent et 6,00% pour les deux dernières années.

Sachant que ce titre est coté en bourse, les cours pied de coupon s'établissent au pair, nous pouvons calculer le rendement à la date du 31/12/2006 :

Date du dernier coupon 01/12/2006 Date d'évaluation 31/12/2006 Période courue - (date d'évaluation -- date dernier coupon) / 365

Au 01/12/2006, il reste au titre 4 années à courir (la première année restante est diminuée de la période courue entre le 01/12/2006 et le 31/12/2006) :

Période Coupon Flux actualisés

1 1-Période courue 4,50 4,5/(1+tx rend.)^(1-Période courue)

4,5/(1+tx rend.)^(2-Période courue) 6,0/(1+tx rend.)^(3-Période courue) 106/(1+tx rend.)^(4-Période courue) Somme des flux actualisés

2 2-Période courue 4,50

3 3-Période courue 6,00

4 4-Période courue 106

Taux de rendement 0.05

Intérêts courus 4,50*(Période courue) Prix (cours au pair + I.C.) 100+IC

Sous EXCEL, il suffira de changer le rendement pour trouver la valeur de la somme des flux actualisés égale au prix majoré des intérêts courus.

En ce qui concerne la duration D, il suffira d'appliquer la formule générale et d'en déduire la sensibilité S.

D - (?t 1 i * CFi/(1 + tx rend. )^i)/ P et S - (- D)/(1+ tx rend.)

Titre Air
Algérie

Rendement à la souscription 4,68%

Période

Rendement Acheteur

die

Cours pRendement

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Vendeur

 
 

Année 2007

 

juin-07

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102,04

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juil-07

4,68

 

102,06

4,68

août-07

4,68

 

102,09

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sept-07

4,68

 

102,12

4,68

oct-07

4,68

 

102,15

4,68

nov-07

4,68

 

102,18

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déc-07

4,68

 

102,19

4,68

 
 

Année 2008

 

janv-08

4,68

 

102,21

4,68

févr-08

4,68

 

102,23

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mars-08

4,68

 

102,25

4,68

avr-08

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102,27

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mai-08

4,68

 

102,29

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juin-08

4,68

 

102,32

4,68

juil-08

4,68

 

102,34

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août-08

4,68

 

102,37

4,68

sept-08

4,68

 

102,4

4,68

oct-08

4,68

 

102,43

4,68

nov-08

4,68

 

102,46

4,68

déc-08

4,68

 

102,35

4,68

 
 

Année 2009

 

janv-09

4,68

 

102,24

4,68

févr-09

4,68

 

102,15

4,68

mars-09

4,68

 

102,04

4,68

avr-09

4,68

 

101,94

4,68

mai-09

4,68

 

101,81

4,68

juin-09

4,68

 

101,74

4,68

juil-09

4,68

 

101,64

4,68

août-09

4,68

 

101,54

4,68

sept-09

4,68

 

101,45

4,68

oct-09

4,68

 

101,35

4,68

nov-09

4,68

 

101,26

4,68

déc-09

4,68

 

101,14

4,68

 
 

Année 2010

 

janv-10

4,68

 

101,03

4,68

févr-10

4,68

 

100,93

4,68

mars-10

4,68

 

100,82

4,68

avr-10

4,68

 

100,71

4,68

mai-10

4,68

 

100,6

4,68

juin-10

4,68

 

100,5

4,68

juil-10

4,68

 

100,4

4,68

août-10

4,68

100,29

4,68

sept-10

4,68

100,19

4,68

oct-10

4,68

100,1

4,68

nov-10

4,68

100

4,68

Tableau A : Application de la méthode d'immunisation sur le titre Air Algérie

SONELGAZ

Titre Sonelgaz

Rendement à la souscription 4,50%

Période

Rendement Acheteur

Cours pied de
coupon

Rendement
Vendeur

 
 

Année 2007

 

juin-07

4,5

 

101,88

4,5

juil-07

4,5

 

101,92

4,5

août-07

4,5

 

101,97

4,5

sept-07

4,5

 

102

4,5

oct-07

4,5

 

102,06

4,5

nov-07

4,5

 

102,11

4,5

déc-07

4,5

 

102,16

4,5

 
 

Année 2008

 

janv-08

4,50

 

102,21

4,50

févr-08

4,50

 

102,26

4,50

mars-08

4,50

 

102,31

4,50

avr-08

4,50

 

102,37

4,50

mai-08

4,50

 

102,41

4,50

juin-08

4,50

 

102,43

4,50

juil-08

4,50

 

102,46

4,50

août-08

4,50

 

102,48

4,50

sept-08

4,50

 

102,51

4,50

oct-08

4,50

 

102,54

4,50

nov-08

4,50

 

102,57

4,50

déc-08

4,50

 

102,6

4,50

 
 

Année 2009

 

janv-09

4,50

 

102,63

4,50

févr-09

4,50

 

102,66

4,50

mars-09

4,50

 

102,7

4,50

avr-09

4,50

 

102,74

4,50

mai-09

4,50

 

102,75

4,50

juin-09

4,50

 

102,71

4,50

juil-09

4,50

 

102,68

4,50

août-09

4,50

 

102,64

4,50

sept-09

4,50

 

102,61

4,50

oct-09

4,50

 

102,57

4,50

nov-09

4,50

 

102,54

4,50

déc-09

4,50

 

102,51

4,50

 
 

Année 2010

 

janv-10

4,50

102,48

4,50

févr-10

4,50

102,46

4,50

mars-10

4,50

102,43

4,50

avr-10

4,50

102,4

4,50

mai-10

4,50

102,33

4,50

juin-10

4,50

102,12

4,50

juil-10

4,50

101,91

4,50

août-10

4,50

101,71

4,50

sept-10

4,50

101,51

4,50

oct-10

4,50

101,3

4,50

nov-10

4,50

101,1

4,50

déc-10

4,50

100,9

4,50

Tableau A-bis: Immunisation titre Sonelgaz ALGERIE TELECOM

Titre Algérie Télécom

Rendement à la souscription 4,90%

Période

Rendement Acheteur

Cours pied
de coupon

Rendement
Vendeur

 
 

Année 2007

 

juin-07

4,90

 

100,61

4,90

juil-07

4,90

 

100,69

4,90

août-07

4,90

 

100,78

4,90

sept-07

4,90

 

100,86

4,90

oct-07

4,90

 

100,94

4,90

nov-07

4,90

 

101,01

4,90

déc-07

4,90

 

101,08

4,90

 
 

Année 2008

 

janv-08

4,90

 

101,16

4,90

févr-08

4,90

 

101,23

4,90

mars-08

4,90

 

101,3

4,90

avr-08

4,90

 

101,38

4,90

mai-08

4,90

 

101,47

4,90

juin-08

4,90

 

101,55

4,90

juil-08

4,90

 

101,63

4,90

août-08

4,90

 

101,72

4,90

sept-08

4,90

 

101,8

4,90

oct-08

4,90

 

101,86

4,90

nov-08

4,90

 

101,9

4,90

déc-08

4,90

 

101,93

4,90

 
 

Année 2009

 

janv-09

4,90

 

101,97

4,90

févr-09

4,90

 

102

4,90

mars-09

4,90

 

102,05

4,90

avr-09

4,90

 

102,08

4,90

mai-09

4,90

 

102,13

4,90

juin-09

4,90

 

102,17

4,90

juil-09

4,90

 

102,22

4,90

août-09

4,90

 

102,26

4,90

sept-09

4,90

 

102,31

4,90

oct-09

4,90

 

102,36

4,90

nov-09

4,90

 

102,39

4,90

déc-09

4,90

 

102,43

4,90

 
 

Année 2010

 
 

janv-10

4,90

 

102,46

4,90

févr-10

4,90

 

102,5

4,90

mars-10

4,90

 

102,55

4,90

avr-10

4,90

 

102,59

4,90

mai-10

4,90

 

102,63

4,90

juin-10

4,90

 

102,68

4,90

juil-10

4,90

 

102,73

4,90

août-10

4,90

 

102,78

4,90

sept-10

4,90

 

102,83

4,90

oct-10

4,90

 

102,74

4,90

nov-10

4,90

 

102,50

4,90

déc-10

4,90

 

102,25

4,90

Tableau A-tre : Immunisation titre Algérie Télécom

Table des matières
Introduction générale 1

Chapitre Préliminaire : Titres et marché obligataires 3

Section 1. Les obligations et leurs caractéristiques 4

1. Définition 4

2. Caractéristiques des obligations 4

2.1. Les valeurs des obligations 4

2.1.1. Le nominal ou valeur d'émission 4

2.1.2. Le prix de l'obligation 4

2.1.3. Le prix d'émission 4

2.1.4. La prime d'émission 5

2.1.5. Le prix de remboursement 5

2.2. Terminologie caractérisant la vie d'une obligation 5

2.2.1. La durée de vie 5

2.2.2. La date de souscription ou de règlement 5

2.2.3. La date de jouissance 5

2.2.4. La maturité 5

2.3. La rémunération des obligations 5

2.3.1. Le taux d'intérêt nominal ou facial 5

2.3.2. Le taux réel 6

2.3.3. Le taux de rendement réel 6

2.3.4. Le taux de rendement courant 6

2.3.5. Le taux actuariel 6

2.3.6. Le taux de rendement réalisé (trr) 6

2.4. Les modes d'émission des obligations 7

2.4.1. La technique de l'adjudication 7

2.4.2. La technique de la syndication 7

2.5. Les méthodes de remboursement des obligations 8

2.5.1. Le remboursement in fine 8

2.5.2. Le remboursement par amortissements constants 8

2.5.3. Le remboursement par annuités constantes 9

2.5.4. Autres formes d'amortissement de la dette 11

2.6. Les formes de l'obligation 11

2.6.1. Dématérialisée 11

2.6.2. Matérialisée 11

3. Les différentes catégories des obligations 11

3.1. Classement des obligations par taux d'intérêt 12

3.1.1. Les obligations à taux fixe 12

3.1.2. Les obligations à taux variable ou révisable 12

3.2. Classement des obligations par nature 13

3.2.1. Les obligations convertibles 13

3.2.2. Les obligations avec bon de souscription 14

3.2.3. Les obligations à coupon-zéro 14

3.2.4. Les obligations d'Etat 15

4. Le couple Rendement/Risque 16

4.1. Les risques liés à l'obligation 16

4.1.1. Les risques systématiques 16

4.1.2. Les risques spécifiques 17

4.1.3. Autres risques 18

4.2. Analyse de la relation rendement/risque 18

Section2. Le marché obligataire 21

1. Le marché des capitaux 21

1.1. Le marché monétaire 21

1.1.1. Les risques systématiques 21

1.1.2. Le marché des titres de créances négociables 22

1.2. Le marché financier 22

1.2.1. Le marché des actions 22

1.2.2. Le marché obligataire 22

2. Organisation du marché obligataire 23

2.1. Le marché primaire 23

2.2. Le marché secondaire 23

3. Les intervenants sur le marché obligataire 23

3.1. Les émetteurs 24

3.1.1. L'Etat et les collectivités 24

3.1.2. Les établissements de crédit 24

3.1.3. Les entreprises 24

3.2. Les investisseurs 24

3.2.1. Les banques 24

3.2.2. Les institutionnels 24

3.2.3. Les institutions financières et les particuliers 25

3.3. Les acteurs du marché 25

3.3.1. L'autorité du marché 25

3.3.2. La société de gestion 25

3.3.3. Le dépositaire de titres (Algérie Clearing) 26

3.3.4. Les professionnels du marché 26

PARTIE I : LES ASPECTS THOERIQUES DE LA GESTION OBLIGATAIRE 29

Chapitre 1 : Approche actuarielle et évaluation obligataire 31

Section 1. Les outils d'analyse actuariels 32

1. Le taux de rendement actuariel 32

1.1. L'actualisation 32

1.2. Le taux actuariel 32

2. La duration actuarielle 34

2.1. Durée de vie de l`obligation 34

2.1.1. La durée de vie à maturité 34

2.1.2. Durée de vie moyenne 34

2.2. Duration actuarielle 36

2.3. La sensibilité des prix obligataires : Sensitivity 37

2.3.1. Propriétés de la sensibilité 38

2.3.2. Objectifs et limites de la sensibilité 38

2.4. Propriétés de la duration 39

2.5. Duration d'un portefeuille obligataire 40

2.5.1. Calcul de la duration (D) d'un portefeuille 41

2.5.2. La sensibilité (S) d'un portefeuille 41

3. La convexité (Bond convexity) 42

3.1. Définition de la convexité 42

3.2. Convexité d'un portefeuille 44

4. Limites des outils d'analyse actuariels 44

Section 2. L'évaluation des obligations 46

1. Le taux d'intérêt 46

2. L'évaluation des obligations 46

2.1. Valeur d'une obligation 46

2.2. Relation prix/taux de rendement actuariel 47

2.3. Effets sur la variation des prix obligataires 48

2.3.1. L'effet coupon 48

2.3.2. L'effet maturité 49

2.3.3. L'asymétrie : Effet d'une variation de taux de rendement sur les prix 51

2.3.4. La convergence vers le pair 51

3. La structure par terme de taux d'intérêt 53

3.1. Définition 53

3.2. La structure de taux en univers certain 54

3.2.1. Hypothèses 55

3.2.2. Stratégies d'investissement 55

3.2.3. Exemple illustratif 56

3.2.4. Enseignements tirés de cette théorie 56

3.2.5. Contraintes du modèle de structure de taux en univers certain 57

3.3. La structure de taux en univers incertain 58

3.3.1. Rôle des anticipations en univers certain 58

3.3.2. Principe du modèle 58

3.3.3. Anticipation et incertitude : formes de la courbe de taux 59

3.3.4. Contraintes de la théorie : incertitude et arbitrage 59

3.3.5. La théorie de la prime de liquidité 60

3.3.6. La théorie de segmentation des marchés 61

3.3.7. La théorie de l'habitat préféré 62

Chapitre 2 : Stratégies de gestion obligataire 65

Section 1. Stratégies actives de gestion obligataire 66

1. Processus de gestion obligataire 66

1.1. Détermination des objectifs d'investissement 66

1.2. Elaboration de la politique et définition de la stratégie d'investissement 67

1.3. Construction et suivi du portefeuille 67

1.4. Evaluation de la performance des décisions 67

2. Les stratégies actives de gestion obligataire 68

2.1. Les stratégies fondées sur les anticipations de taux d'intérêt 69

2.2. Les stratégies fondées sur les déplacements de la courbe de taux 69

2.2.1. Les variations parallèles des taux 70

2.2.2. Absence de mouvements (Riding The Yield Curve) 73

2.2.3. Pentification et courbure 75

2.3. Les stratégies fondées sur les écarts des taux 77

Section 2. Stratégies passives de gestion obligataire 78

1. La stratégie de gestion indicielle 78

1.1. Le choix de l'indice de référence 78

1.2. La construction du portefeuille 79

1.2.1. La réplication parfaite 79

1.2.2. La réplication par stratification 79

1.2.3. La réplication par échantillonnage rationalisé 79

2. La stratégie d'immunisation 80

2.1. Problématique 80

2.2. Rebalancement d'un portefeuille immunisé 82

2.3. La stratégie d'immunisation multi-périodique 82

2.4. La stratégie de pré-affection des flux 83

2.4.1. Fondements de la stratégie 83

2.4.2. Différences avec l'immunisation multi-périodique 84

2.5. L'immunisation conditionnelle : combinaison de stratégies active et passive 84

Conclusion de la première partie 86

PARTIE II : LA GESTION OBLIGATAIRE : Etude de cas pratique 87

Chapitre 1 : L'activité obligataire en Algérie : cas BNA 89

Section 1. L'activité obligataire au sein de la BNA 90

1. Présentation de la structure d'accueil 90

1.1. La présentation de la BNA 90

1.2. Présentation de la DFT 91

2. L'émission d'emprunts obligataires : Accompagnement de la BNA 92

2.1. Modes de financement sur le marché des capitaux 92

2.2. Avantages du recours à l'emprunt obligataire 93

2.3. L'accompagnement de la BNA aux émissions obligataires 94

2.4. Organisation des séances d'adjudication 95

2.4.1. Les soumissions 96

2.4.2. Classement des soumissions 96

2.4.3. Résultats de l'opération d'adjudication 97

2.4.4. Cas particulier 97

2.5. Négociation des titres sur le marché de gré à gré 98

Section 2. L'activité obligataire au sein de la BNA 99

1. Le marché obligataire des valeurs du Trésor 99

1.1. Ses compartiments 99

1.1.1. Le marché primaire 99

1.1.2. Le marché secondaire 100

1.2. Intervenants sur le marché 100

1.3. Les titres du Trésor 101

1.3.1. Les Bons du Trésor en Compte courant « BTC » 101

1.3.2. Les Bons du Trésor Assimilable «BTA » 101

1.3.3. Les Obligations Assimilables du Trésor « OAT » 101

2. Le marché obligataire Corporate 102

2.1. Historique et évolution du marché Corporate 102

2.2. Compartiments du marché Corporate 104

2.2.1. Le marché des institutionnels 104

2.2.2. Le marché du Grand public 104

2.3. Mode de cotation des titres sur le marché Algérien 104

2.4. Les principaux émetteurs sur le marché obligataire Corporate 109

2.5. Avantages du recours au marché obligataire Algérien 113

2.5.1. Les avantages pour l'émetteur 113

2.5.2. Les avantages pour l'investisseur 113

2.6. Les limites du marché obligataire Algérien 114

Chapitre 2 : La gestion obligataire : Etude de cas BNA 116

Section 1. L'évaluation de portefeuille BNA 117

1. Méthode d'évaluation 118

1.1. Détermination des taux de rendement 118

1.2. Application de la méthode d'évaluation : PREMIERE APPROCHE 119

1.2.1. Résultats de l'évaluation du titre d'Air Algérie 120

1.2.2. Résultats de l'évaluation du titre Sonelgaz 122

1.2.3. Résultats de l'évaluation du titre d'Algérie Télécom 124

2. Détermination du rendement exigé par l'acheteur : DEUXIEME APPROCHE 126

3. L'immunisation contre l'évolution des taux : TROISIEME APPROCHE 128

3.1. Présentation des résultats 128

3.2. Analyse des résultats 129

4. Construction de portefeuille simulés 130

4.1. Les résultats obtenus 130

4.1.1. Classification des portefeuilles selon le rendement 133

4.1.2. Classification des portefeuilles selon la duration 133

> Analyse des résultats 134

Section 2. Stratégie appliquée au portefeuille BNA 136

1. Présentation du portefeuille BNA 136

2. Stratégie d'anticipation appliquée au portefeuille de la BNA 139

2.1. Analyse du portefeuille de la BNA 139

2.1.1. Analyse du portefeuille de la BNA 139

2.1.2. Analyse du risque du portefeuille 140

2.2. Application de la stratégie d'anticipation de taux 140

2.2.1. Objectifs 140

2.2.2. Application de la méthode de substitution 141

2.2.3. Analyse de la solution 143

Conclusion de deuxième partie 149

Conclusion générale 150

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