CONCLUSION GENERALE
Nous voici à la fin de notre travail, celui - ci
à porté sur « le gouvernement d'ajustement structurel
et gestion de la dette publique en RDC »
Nous sommes partis de la synthèse selon laquelle le PAS
peut favorisé la gestion de dette publique en RDC en adoptant nos
structures aux rythmes de l'économie internationales, ne nous a pas
permis d'obtenir une stabilité de la balance de paiement et dans sa
nouvelle conception le PAS ne trouvait pas une capacité de paiement
public de notre pays.
Pour la démontrer, nous avons subdivisé notre
travail en 2 chapitres.
- dans le premier chapitre qu'à traité des
considérations générales, nous avons essayé de
définir les mots clés de notre sujet, nous avons dit que le PAS
est un ensemble de mesures macro - économique, de retrouver des grand
équilibres libéralisation de commerce extérieur, la hausse
des prix, la baisse des salaires, la baisse des taux d'intérêt, la
libérations des importations, la libération des taux de change,
le bon climat pour attirer les investissements étrangers et la dette
publique a été xxx comme étant l'ensemble des engagements
financier contactés par l'Etat, c'est le montant total, mesurée
ç un moment donnée : de engagement d l'Etat, cependant, cet
allègement de la dette publique au miroir de la bonne gouvernance, nous
donne de garantie d'orthodoxie d'allocations de nos flux financiers qu par le
principe de continuité de l'Eta ne cesse de faire augmenter notre dette
publique traduisant la complexité de notre culpabilité
d'irrationnelle gestionnaire.
Nous avons aussi trouvé que les résultats de la
PAS ne sont pas satisfaisant dans la mesure ou malgré la présence
de ces programme sua congo. Le peuple congolais vit toujours dans la
misère, tandis que sons économie déséquilibre
outrance est la manifestation la plus éloquente de la crise très
accentuée de l'Etat congolais.
Le fond issus de la dette publique intérieure
qu'extérieure n'ont rationnellement affecté à des
investissements productifs susceptibles de soutenir le PAS en RDC par contre
cette dette publique qui pèse lourdement sur le remboursement par des
générations futures, asphyxié davantage notre destin si
toute chose restant égale par ailleurs, ou l'urgence du PAS en RDC,
celle - ci semble bloqué.
Au chapitre II qui est le dernier, nous avons les
méfaits de recourir au PAS pour la gestion d'une dette publique de
notre pays, car vu les expériences il n y a pas d'augmentation durable
et significative de la dette publique moine encore l'afflux de capitaux
privé même la nouvelle formule du PAS n'apportera pas de solution
aux problèmes de la dette et de la pauvreté.
Eu égard à ce qui précède et
à nos investigations, nous sommes amènes à admettre qu'il
faut rompre avec l'ancienne et attrayante logique de l'ajustement et mettre en
oeuvre de politique alternative appliquée à notre pays qui
pousserait le peuple congolais au travail assidu pour payer la dette publique
et de la placée sur les voie du développement, car le PAS ne nous
met que dans un cercle vicieux où les intérêts des pays
nantis au donateurs, pourvoyeuse des crédits, soit énormes par
rapport aux nôtres
De ce fait, l'on peut dire que depuis 1976, tous les
programmes mis en oeuvre avec les concours du FMI viseraient à
résoudre essentiellement le problème du surendettement de l RDC,
cette politique se répéta de programmer en programme, mais rien
en revanche ne fut correctement envisagé en profondeur dont
l'augmentation était plus qu'indispensable pour retrouver la
capacité de paiement public de notre pays.
Il était donc nécessaire pour le gouvernent
successif de faire en sorte que les différentes programmes d'ajustement
économiques et financier puissent réellement contribuer à
la relance générale de l'économie et du sec en
particulier.
Pendant toute la période 1976-1990 et à travers
tous le programme d'ajustement exécutés, aucune année
n'aura d'ailleurs réunis autant de chances d'un véritable
redéploiement de l'économie que l'année 1984, celle-ci
constituer en effet, la seule année où le
déséquilibre internes et externes, furent sinon complément
résorbes, mais sensiblement atténué, c'est donc au terme
du programme 1983 - 1984 qui `il aura faille en visage sérieusement la
dette publique de la RDC.
En définitive, cette absence de coordination effectuer,
alors que de personnes exporté étaient disponible dans toutes les
structures techniques et politique concerné par les négociations
multilatérale, entrera une regrettable, positive dans la critique
objective des projets des différents programmes d'ajustement.
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