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Processus électoral et contestation de résultat en Afrique subsaharienne. Cas de la RDC

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par Beevens Tambwe Mwimba
Université de Kalémie - Graduat 2012
  

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§2 LES VIOLENCES POST-ELECTORALES

C'est à Kinshasa que les attaques à motivations politique menées par les forces de sécurité suite à l'élection ont été plus sévère, là où le candidat leader de l'opposition, TSHISEKEDI a réalisé de très bon scores au scrutin, mais derrière Joseph Kabila qui a été déclaré vainqueur de l'élection présidentielle.

Les forces de sécurité ont tiré sur des petites foules, apparemment pour empêcher la tenue de manifestation contre le résultat de l'élection, depuis que KABILA ait été déclaré vainqueur de l'élection présidentielle. A déclaré Anne Van chercheur sur l'Afrique à Humain Right Watch. Les incidents liés à des exactions commises après les élections par les forces de sécurité ont été documentés par sept membres de humain right Watch dans le cadre d'une collaboration repartie dans tout le pays après avoir reçu une information d'observation pour les élections.

Humain Right Watch a interrogé 86 témoins, dont de victimes et des membres de leurs familles, et a eu à rassembler des informations provenant d'autres sources. Humain Right Watch a recueilli de nombreux témoignages au sujet d'incident au cours les quels de membres de la garde Républicaine attachés à la sécurité présidentielle,

la police et d'autres forces de sécurité ont tiré sur les troupes de personnes dans la rue qui avaient peut être manifesté contre les résultats des élections, se préparaient à manifester ou étaient des simples passant. Humain Right Watch a aussi documenté un incident duquel un groupe de jeunes à Kinshasa a jeté des pierres sur un prêtre qui, par la suite à trouver la mort.

La garde Républicaine, qui n'est pas autorisée à arrêter des civils, a appréhendé des partisans de l'opposition et les a placés dans des lieux détentions illégaux dans le camp TSHATSHI, base de la garde Républicaine de Kinshasa, et au palais de Marbre un des palais présidentiel.

Il est à souligner que, le parti de l'UDPS affiche une tradition d'opposition pacifique, bien que certains partisans de l'UDPS ainsi que d'autres personnes, aient été impliquées dans des actes incivique au sujet de résultats des élections, lors desquels ils ont par exemple brulés de pneus, lancé des pierres sur les policiers, attaqué des postes de police, pillé des magasins et érigé des barricades.

Plusieurs officiers de police, ont été blessés. Les neuf membres, un groupe de personnes soupçonnées de soutien à l'opposition attaque une église Kimbanguiste dans la commune de SELEMBA à Kinshasa. Un pasteur de cette église, MBUNGA TUSEVO, a été passé à tabac et est décédé le lendemain.51(*)

* 51 MANGOBO MEBA, les violences postélectorales en Afrique subsaharienne ( cas de la cote d'ivoire), TFC, G3 SPA UNIKAL, 2011-2012

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"En amour, en art, en politique, il faut nous arranger pour que notre légèreté pèse lourd dans la balance."   Sacha Guitry