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Les enjeux d'une évaluation préalable d'un projet culturel. Cas de l'appel à  propositions du programme ACP cultures+ (Afrique, CaraàŻbes, Pacifique).

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par Eric LOEMBET
Université Lille 3 - Charles de Gaule - Master 2 - Recherche 2015
  

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INTRODUCTION

L'évaluation est devenue omniprésente (Damon, 2009) dans tous les domaines de la société, avec pour fondement de mesurer l'écart entre les résultats obtenus et les résultats espérés, d'analyser les performances d'une action dans sa mise en oeuvre et d'évaluer les objectifs fixés en amont de la conception ; c'est le cas pour un projet culturel. Mesurer une activité culturelle en se basant sur les résultats fixés en amont constitue un effort d'application de procédés managériaux de définition et de mise en place des indicateurs de réussite élaborés dans des champs autres que celui de la culture. L'évaluation peut également servir à établir des classements, des hiérarchies dans le but d'avoir des repères pour la distribution et l'attribution des ressources. En valorisant l'action à réaliser dans le cadre d'un projet culturel, le porteur de projet détermine les mécanismes et les méthodes susceptibles de l'aider à se repérer, hiérarchiquement dans la mesure des résultats et des attentes de l'action. D'où, l'omniprésence de l'évaluation dans la conception d'un projet culturel avec pour finalité la valorisation de l'action à réaliser.

Un projet analysé ou évalué en amont de se réalisation se construit dans une vision de réussite tout en évitant les erreurs. Concevoir un projet culturel, c'est définir et déterminer l'environnement dans lequel sera menée l'action à développer. Évaluer un projet culturel, c'est mesurer de quelle manière les actions vont être réalisées et mises en place, juger l'intensité de la faisabilité pragmatique du projet dans un environnement de développement socioéconomique stable. À cet effet, le porteur de projet ou le concepteur d'une action construit un cadre théorique suivant son projet, en mettant en place préalablement des indicateurs et en délimitant le champ de l'exercice de l'action afin de mener à bien son travail d'évaluation.

Dans une démarche de libre concurrence et de laisser-faire de l'Etat, tout comme l'évaluation d'actions économiques, l'évaluation des projets culturels se fonde sur une batterie d'indicateurs de réussite et de faisabilité. La liberté des porteurs de projet de concevoir, créer et organiser doit répondre à des critères d'évaluation préalable, sachant que l'évaluation est un examen ciblé et limité dans le temps, servant à juger un projet en cours ou achevé, y compris sa conception, sa mise en oeuvre et ses résultats. Elle juge selon les méthodes systématiques et des critères objectifs et recherche des explications si un processus ne s'est pas déroulé comme

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prévu (De Perrot, Wodiunig, 2008, p.15). Dans un monde économiquement libéral, la liberté de créer et de concevoir des projets culturels doit se plier à des logiques d'évaluation préalable. Des logiques dont les normes et les règles soumettent les porteurs de projets dans le respect des critères et des conditions d'attributions de ressources, tout en sachant que la liberté de concevoir et de créer reste à la portée du porteur de projet. Évaluer, c'est tirer les leçons d'une expérience (De Perrot, Wodiunig, 2008) dont les résultats ou la finalité n'ont été à la hauteur des attentes du concepteur de l'action. Ainsi, évaluer préalablement un projet culturel, c'est mesurer en amont les chances de sa mise en oeuvre, de sa réussite et de sa pérennité.

Come les manuels pratiques de gestion de projets culturels le conseillent, concevoir un projet, c'est d'abord vous informer afin de prendre en compte les réalités locales, définir les objectifs qui motivent votre action, prendre les premiers contacts pour mettre en place le partenariat (De Bosset, 2008) pour enfin se lancer dans la conquête du terrain. Dans cette perspective, le sens de l'étape de la conception serait d'avoir un regard global de ce que l'on entreprend, de clarifier et hiérarchiser les objectifs (Kabore, 1999) et de donner une colonne vertébrale. Plus précisément, dans le cas pris en examen dans le cadre de notre mémoire, afin de répondre à un appel à projets proposé par l'Union européenne via le programme ACP Cultures+ (Afrique, Caraïbes, Pacifique) il faut tenir compte d'une démarche normative qui demande le respect des critères d'éligibilité établis par les institutions en charge de l'appel. Cette démarche soumet le porteur de projet à un certain nombre d'exigences parmi lesquelles un diagnostic préalable de la proposition à soumettre, la planification du processus, la détermination de la cohérence entre les résultats et les attentes de la proposition et la vérification des ressources disponibles sur le terrain à exploiter. Le soumissionnaire doit tenir compte des mécanismes de soumission tout en respectant les procédures contractuelles du dispositif dans le cadre des actions à mener. Se pose ainsi la question de l'évaluation préalable de la proposition ou du projet à soumettre pour éligibilité.

Dans toute démarche de développement ou de mise en place d'un projet, voire d'un programme, la nécessité d'une évaluation préalable s'impose. D'après Joëlle Le Marec (1996) qui a examiné les enjeux de l'évaluation en muséologie, il s'agit d'apporter des informations sur le déjà-là du public pour prévenir les obstacles à la transmission des connaissances et à la communication, ou bien pour optimiser l'impact de l'opération projetée. En effet, l'évaluation préalable oblige le porteur de projet à s'interroger sur les critères d'évaluation de son projet, sur ses objectifs, sur les indicateurs de réussite ou de faisabilité. La démarche évaluative

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conçue et mise en place en amont de la conception d'une action ou d'un projet permet de recueillir des données et des informations susceptibles de mesurer la portée de l'action et les finalités du projet, une manière d'acquisition de connaissances et de savoir. Pour Griggs (1984), l'objectif de l'évaluation préalable est d'éviter les erreurs avant qu'elles ne soient commises. C'est une enquête que le porteur de projet doit mener sur son terrain de collecte de données afin de définir les périmètres d'exercice et d'identifier l'environnement dans lequel il doit mener l'action ou le projet. Un projet ou une action a une particularité, la définition des stratégies objectives à la conception, la mise en place des méthodes pratiques servant à mesurer les résultats visés, la manière de poser les indicateurs de contrôle ou de vérification : vérifier, optimiser et assurer la qualité (De Perrot et Wodiunig, 2008, p. 16).

Évaluer n'a jamais été facile. En effet, des moyens sont nécessaires pour accomplir une telle tâche. Une évaluation répond à une démarche précise sur le sujet à évaluer1 afin d'adapter une structure de raisonnement et de bâtir une rhétorique normée, respectant les règles de conception solide d'un projet. La construction d'un projet quel qu'il soit répond à des enjeux normés et à des exigences réglementées. Le projet est considéré aujourd'hui comme le mode de fonctionnement privilégié des organisations les plus performantes, en tant que moyen mobilisateur des acteurs pour la réussite de leurs objectifs (Vilatte, 2006) qui visent une réussite à la conception. Ainsi, évaluer son projet en amont précise la compréhension des objectifs et la définition des indicateurs à mettre sur pied pour la conduite de la conception. Le porteur de projet devient évaluateur de son projet avec une détermination de mésuser les mécanismes de faisabilité de son projet ou de son action. Evaluer son projet en amont permet à la fois d'établir une description quantitative et qualitative de son action, en jugeant la valeur à accorder à celui-ci, en mesurant les réalisations à concrétiser, en définissant les indicateurs susceptibles d'aider le porteur de projet à s'approprier l'outil de travail. Car évaluer c'est mesurer le chemin parcouru pour progresser, réajuster, mettre en cohérence. L'évaluation est un outil au service de la démarche de progrès qui s'inscrit dans le souci de l'amélioration continue des actions. Chatel (2001) souligne qu'en sciences de l'information et de la communication, l'évaluation est un outil de contrôle et de mesure des résultats. Des résultats qui doivent tenir comptent des objectifs établis en amont ainsi que des attentes du porteur de projet. Un projet dans son ensemble mobilise toujours des moyens, des énergies et de la compétence pour se réaliser tout en respectant une démarche évaluative

1 « Méthodologies d'évaluation en EAD », Antipodes, n°156, avril 2002, p.16-19.

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justifiée et mesurée en amont. Le porteur du projet devient à la fois concepteur et évaluateur d'une action dont les objectifs ciblés à la conception de son travail déterminent la finalité. Il n'est pas aisé d'évaluer son propre travail quand on n'est pas évaluateur, mais l'on devient pour vérifier la réalisation ou la faisabilité de son projet en tenant compte des indicateurs mis en place à la conception. Il est important de souligner qu'un indicateur d'évaluation est un descripteur qui permet de répondre à une question évaluative. Le porteur de projet dans en mesurant la faisabilité de son projet doit tenir compte des indicateurs suivant : l'efficacité, l'efficience, la cohérence ou la pertinence de l'action à mener.

Notre étude porte sur les enjeux d'une évaluation préalable d'un projet culturel avant soumission. Le choix de ce sujet est lié à la place de plus en plus importante accordée par les acteurs culturels à cette étape préalable du processus d'évaluation, dans la conception des projets culturels qui visent à contribuer à la réduction de la pauvreté et au développement humain. À cet effet, plusieurs travaux en sciences de l'information et de la communication plus largement en sciences humaines et sociales seront cités, tels que ceux de Jacques Ardoino, Guy Berger, Élisabeth Chatel, Michel Lecointe, Marie-Anne Dujarier, Jérôme Denis, Valérie Boussard, Joëlle Le Marec, Françoise Campanale, Michel Vial, Valérie Bouchard, Robert Boure.

Ce travail de recherche se focalise en particulier sur le cas des appels à propositions du programme ACP Cultures+ en partenariat avec l'Union européenne. Ce cas nous paraît significatif parce qu'il permet d'observer dans quelle mesure l'évaluation préalable nécessite un esprit critique dans l'élaboration et la réalisation d'un projet concret, voire réaliste. À cet effet, il est nécessaire de circonscrire préalablement l'évaluation dans la conception d'un projet afin d'élaborer une action qui réponde aux exigences d'une communauté dont la finalité s'oriente à la fois vers le soutien de la créativité et vers l'amélioration des conditions de vie des citoyens. Il sera question d'analyser ce que l'évaluation produit comme normes dans la gestion d'un projet culturel par l'analyse du dispositif du programme ACP Cultures+ ainsi que d'un projet subventionné dans le cadre de ce programme. Le programme ACP Cultures+ est le seul dispositif existant qui accompagne le développement culturel et soutien les porteurs de projets des pays ACP (Afrique, Caraïbes, Pacifique). Le choix d'un tel dispositif, se justifie dans la manière elle se présente (techniquement) et de la manière elle se constitue (spécificité). Comprendre le fonctionnement du dispositif ainsi que la manière dont les porteurs de projets évaluent leurs projets, est le point de départ de ce travail de recherche.

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Tout est parti d'un constat, le rejet des propositions soumissionnées par les porteurs de projets (le plus souvent) dans le cadre de l'obtention du financement. Certains voient leurs propositions rejetés suscitant le découragement et la déception, d'autres par ailleurs se voient octroyés le financement. La finalité de la démarche artistique des porteurs de projets, est de pouvoir décrocher le sésame (financement du dispositif ACP CULTURES+) afin de réaliser leurs projets ou leurs actions. Contribuer à la réduction de la pauvreté sur le continent en menant des actions de développement et de croissance économique à travers les projets proposés par les porteurs de projets africains. Ainsi, je me suis posé des questions : comment fonctionne ce programme ACP CULTURES+ ? Quelles-sont les conditions à remplir pour avoir accès au financement ? Qui évalue les propositions des porteurs de projets ? Comment est-ce que le programme octroi le financement (critères, conditions) ? Autant de questionnements de ma part. Il était nécessaire de comprendre le fonctionnement du dispositif ACP CULTURES+, déterminer les termes d'évaluation du programme et de validation des propositions. De l'autre côté, comprendre comment est-ce que les porteurs de projets conçoivent leurs propositions et déterminer la manière dont ils évaluent leurs projets à soumissionner.

Dans la cadre de mon projet professionnel, cette étude ouvre la voie d'une recherche universitaire qui doit se poursuivre en thèse avec pour objectif de travailler dans l'évaluation des projets et politiques culturels. L'intérêt de se lancer dans cette démarche de recherche universitaire, s'explique par ma volonté de vouloir comprendre comment sont évalué les projets culturels, en particulier les projets culturels internationaux. Acquérir de la compétence, du savoir et de la maîtrise de conduite d'évaluation des projets sollicitant des financements internationaux. Evaluer les projets, évaluer les programmes dans le domaine de la culture, m'as toujours passionné. La maîtrise des mécanismes liés à la réalisation d'une évaluation (en amont ou en aval) d'un projet dans le domaine du développement culturel, serait un atout dans l'accompagnement professionnel à apporter aux porteurs de projets africains, en quête d'expertise et de consultations de leurs initiatives culturelles.

Cette recherche amorcée durant ma formation en Master serait l'une des premières étapes d'un parcours universitaire qui devrait se poursuivre les années à venir vers la préparation d'un doctorat.

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La réalisation d'un projet ou d'une action dans le domaine de la culture appelle des compétences, des qualités et des moyens pour mener à bien un travail de créativité dans un objectif de réussite qui, lui-même, nécessite des mesures, de valeurs indicatives, une évaluation préalable. Répondre à l'appel à projets proposé par l'Union européenne via le programme ACP Cultures+ signifie pour le porteur de projet comprendre des mécanismes et des règles de jeu du dispositif afin de bâtir des stratégies d'évaluation préalables et de mesurer les objectifs finaux.

Evaluer un projet culturel en amont de sa conception est une démarche quantifiable et qualifiable pour déterminer la faisabilité et la fiabilité de l'action à mener. A cet effet, dans ce mémoire recherche, l'objectif est de savoir, pourquoi les porteurs de projets doutent-ils du système d'évaluation des projets soumissionnés dans le cadre du programme ACP Cultures+, craignant que leur projet soit rejeté ? Il sera question d'analyser le dispositif qui accompagne le programme ACP Cultures+, et de comprendre les mécanismes de conception des projets par les porteurs de projets en vue d'obtention de financement. Mon travail de mémoire s'intéresse à l'évaluation préalable d'un projet culturel avant soumission pour subvention. Il sera question d'étudier les acquis, les expériences, les connaissances et les compétences des porteurs de projets dans la conception et la soumission d'une proposition d'action ou d'un projet ; d'examiner la manière dont ils appréhendent de la notion d'évaluation préalable ainsi que les règles concernant l'octroi de la subvention et de comprendre comment l'évaluation est menée au sein de l'organisme d'octroi de subvention.

Dans cette étude, il sera question dans un premier temps de signifier comment la notion d'évaluation a été questionnée par dans les sciences de l'information et de la communication (SIC). Est-ce que les SIC ont un regard spécifique sur l'évaluation ? Quelle est la particularité des études sur l'évaluation en SIC ?

Dans un deuxième temps, il s'agira de répondre aux interrogations suivantes : quel est en général le bagage culturel des évaluateurs ? Quels sont leurs savoirs et savoir-faire dans le domaine culturel ? Quelles fonctions assument-ils au sein de l'organisme financeur des appels à projets ? Quels sont leurs objectifs finaux au regard de ces règles et normes ? Sur quel fondement et sur quelle expérience sont basés les grilles d'évaluation et les critères d'éligibilité inscrits dans les appels à projets ?

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Dans un troisième temps, il s'agira d'interroger les règles qui constituent le fondement préalable d'une évaluation dans l'écriture d'un projet culturel, en se référant au dispositif mis en place par l'Union européenne en partenariat avec le groupe des États ACP. L'analyse de ce dispositif s'avère nécessaire pour saisir le poids de l'évaluation préalable dans la conception d'un projet culturel.

Puis, dans un quatrième temps, nous allons tenter de comprendre comment les porteurs de projet définissent leurs actions : Dans quel cadre cognitif inscrivent-ils leurs démarches de conception préalable ? Concevoir un projet, c'est s'informer des réalités du terrain et bien définir les objectifs qui motivent l'évaluation préalable.

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1. Objet de l'étude

Dans le cadre de cette étude, nous allons étudier les enjeux d'une évaluation préalable d'un projet culturel en amont de sa conception en nous appuyant sur l'analyse du cas de l'appel à propositions de l'Union européenne via le programme ACP Cultures+ (Afrique, Caraïbes, Pacifique). Nous allons notamment analyser les mécanismes de l'évaluation préalable des projets soumis dans le cadre de cet appel.

Mettre en place un projet culturel, c'est obéir aux normes et aux règles qui définissent les objectifs préétablis et les résultats attendus en passant par l'évaluation préalable. À cet effet, pour évaluer un projet culturel, il est nécessaire de mettre en place des mécanismes d'accompagnement et des indicateurs de réussite qui couronneront le succès et la faisabilité du projet.

L'objectif de cette étude se focalise autour de la question de l'évaluation préalable qui est au coeur de l'élaboration des projets culturels en amont de leur conception. Il s'agit d'analyser les processus d'élaboration et de mise en route des critères d'évaluation préalable par les évaluateurs ainsi que les processus de compréhension des enjeux de l'évaluation préalable par les porteurs de projets et la manière dont ils en tiennent compte dans la conception d'un projet. Il s'agit d'étudier ce que l'évaluation produit comme normes dans la réussite de la conception d'un projet. Construire un projet c'est déterminer les formes de matériaux qui permettront de mettre sur pied les indicateurs susceptibles de mesurer les résultats, comme le signifie Joëlle Le Marec (1996), d'apporter des informations sur le déjà-là des consommateurs, des usagers pour prévenir les obstacles et d'éviter les erreurs dans l'optimisation des impacts dans l'évaluation préalable d'une action.

Nous faisons l'hypothèse que, en mettant en place un tel dispositif de subvention, l'organisme contractant construit également son objet d'évaluation et ses principes de contrôle afin de mieux structurer hiérarchiquement les démarches d'octroi de financement qui respecteraient les valeurs représentatives de la structure pour répondre aux attentes des porteurs de projet.

Figure 1 - Un dispositif, des obligations, des outils d'évaluation, des résultats et une finalité.

Dispositif

(Programme ACP Cultures+)

Evaluation finale

Evaluation des résultats

Finalité

Outils d'évaluations

Critères d'éligibilités
et d'évaluations

Evaluateurs face aux
porteurs de projets

Projets à soumissionner
ou soumissionnés

Obligations

Respect des termes
de référence

Le PRAG

Résultats

Respect et réalisation
des objectifs définis

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Le schéma ci-dessus est la lecture à faire dans la compréhension du dispositif (Programme ACP Cultures+). Cette description m'a permis de résumer tout le dispositif en suivant étape après étape le chemin que le porteur de projet devrait suivre dans la soumission d'une proposition de projet ou d'une action. L'appropriation du langage et du discours contenu dans le dispositif (Programme ACP Cultures+) par le porteur de projet, devrait l'aider dans la conception d'une proposition en amont de la soumission, en respectant les consignes, les conditions, les critères et les obligations décrient dans le document.

Ce schéma résume la démarche que devrait emprunter le soumissionnaire dans la conception et la soumission d'une proposition. A partir des obligations, le porteur de projet est soumis au respect des termes de référence contenu dans le PRAG (Pratical guide). La définition des outils d'évaluations suivant les critères d'éligibilités et d'évaluations déterminées dans le dispositif (évaluateurs face aux porteurs de projets). Les résultats et la finalité dont le porteur de projet devrait dans la conception de sa proposition définir clairement les objectifs à réaliser ainsi que l'évaluation finale de son action.

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"Il existe une chose plus puissante que toutes les armées du monde, c'est une idée dont l'heure est venue"   Victor Hugo