Memoire Online - L'importance de la communication dans une structure humanitaire. Cas de l' ASAPSU.

EN VUE DE L'OBTENTION DU BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR OPTION : RESSOURCES HUMAINES ET COMMUNICATION

L'importance de la communication dans une structure humanitaire : cas de l'ASAPSU

I.2.1.3-L'accueil téléphonique, l'adresse postale et l'adresse électronique 30

L'importance de la communication dans une structure humanitaire : cas de l'ASAPSU

Toute oeuvre humaine étant inspirée par Dieu, c'est d'abord à lui que j'adresse cette ébauche pour le courage, l'abnégation et l'assistance qu'il m'a accordés tout au long de mes études et de mon stage.

Mes pensées se tournent ensuite vers mon très Cher bien Aimé, qui m'a énormément soutenu durant sa préparation, sans oublier Mon père, Ma Mère adorés, mes frères et soeurs pour leur soutien moral et financier.

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J'exprime mon plus profond respect et toute ma gratitude à toutes les personnes qui ont contribué moralement, matériellement et financièrement à l'élaboration de cette oeuvre.

A Monsieur Ouattara Hiéla, chef du bureau ASAPSU de Tabou et à toute son équipe pour mon intégration en leur sein, à Monsieur Inoussa Bambara, directeur du centre de formation professionnel de Tabou, à Monsieur Serges Kouagni, directeur de l'EDEC San Pédro et à tous mes enseignants.

Je n'ose pas oublier mes amis et connaissances de Tabou, San Pédro et Abidjan, qui ne cessent de prier chaque jour pour moi pour que je franchisse les étapes souvent tortueuses de la vie.

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La communication d'entreprise est une filière de la formation professionnelle tertiaire qui permet aux étudiants d'être plus opérationnels dans les domaines de la gestion des ressources humaines, l'élaboration de stratégies marketing et politiques commerciales, l'élaboration de stratégies de communication et l'élaboration de supports médias pour les entreprises.

Après deux ans de formation couronnée du Brevet de Techniciens Supérieurs, option : Ressources Humaines et Communication, nous nous devons de compléter les connaissances théoriques acquises à l'Institut Impérial de Cocody-Angré par un stage pratique.

Dans cette optique, nous avons sollicité un poste en tant que stagiaire en communication au sein de l'ONG ASAPSU et avons été retenue au bureau ASAPSU/HCR de Tabou.

Ainsi, nous avons pris part aux séances de sensibilisation de masse et contribué à l'élaboration de la stratégie de communication en proposant des activités de sensibilisation et de commémoration de journées internationales tant au bureau du comité qu'au centre de formation professionnel.

Par le choix du thème : «l'importance de la communication dans une structure humanitaire : cas de l'ASAPSU», nous entendons contribuer à l'amélioration des prestations de cette ONG et partant, assurer aux bénéficiaires de ses projets, un mieux être et une valeur ajoutée.

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INTRODUCTION

Les populations des pays dits émergents sont l'objet de multiples maux dont le principal reste la pauvreté. Plusieurs institutions nationales et internationales font donc de la lutte contre ce fléau, leur priorité au point de mettre sur pied des programmes d'aide et d'assistance aux personnes nécessiteuses et plus démunies dans des zones ciblées d'avance.

L'Association de Soutien à l'Autopromotion Sanitaire Urbaine (ASAPSU) qui fait partie des structures nationales qui orientent leurs activités dans cette sphère, initie plusieurs actions en vue d'atteindre des objectifs précis dans les domaines de la santé, de l'alphabétisation, de la formation, de l'assistance aux réfugiées et des personnes déplacées ou retournées.

Mais, si notre bref passage nous a permis de nous apercevoir du grand travail qui y est abattu par le personnel, force est de reconnaître que beaucoup reste encore à faire.

C'est d'ailleurs la raison principale qui nous permettra à travers notre thème de présenter l'ASAPSU de façon générale et succincte, avant de faire ressortir ses mécanismes de communication et de proposer quelques solutions pour leur amélioration.

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CHAPITRE I : HISTORIQUE ET GENERALITE

I-HISTORIQUE

La pauvreté qui mine tous les pays du tiers monde dont la Côte d'Ivoire, a conduit une religieuse catholique, la soeur Marie-Catherine de la congrégation des Soeurs de l'Assomption, à l'ouverture d'un centre de santé dans la commune d'Attécoubé à Abidjan, en 1978 et d'un comité pour venir en aide aux femmes.

Elle assurait ainsi la formation des animatrices de ce comité par l'aide des infirmières et des sages-femmes de l'Institut National de la Santé Publique d'Adjamé (INSP).

Après son départ à l'intérieur du pays, elle est remplacée par la soeur Marie-Danièle Rosière, une Xavière qui conduisit le groupe jusqu'en 1984.

Puis vint la soeur Marie Yvonne qui, vue l'extension des comités dans plusieurs communes d'Abidjan, jugera opportun de réunir tous ces comités en une association qu'elle dénommera «Association de Soutien à l'Autopromotion Sanitaire et Urbaine » (ASAPSU) le 20 mai 1989, comme une Organisation Non Gouvernementale (ONG) et apolitique déclarée conformément à la loi N° 60-315 du 21 septembre 1960, avec pour but de contribuer à l'amélioration des conditions socio-sanitaires des populations défavorisées.

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II-GENERALITE

L'ASAPSU avait pour compétence territoriale la zone d'Abidjan. Cependant, au lendemain de la crise du 19 septembre 2002, elle s'est engagée à assurer la prise en charge socio-sanitaire des personnes déplacées et des populations d'accueil dans certaines zones du pays, assurant ainsi une extension de ses activités à l'intérieur du pays.

Aujourd'hui, l'ASAPSU, en dehors d'Abidjan, est présente dans les villes telles que Yamoussoukro, Didiévi, Tiébissou, Duékoué, Bangolo, Guiglo, Toulepleu, Bonoufla, Vavoua, Man, Mankono, Béoumi et Tabou. Elle se présente comme un partenaire opérationnel du Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (UNHCR) ou HCR depuis mars 1997 et travaille en parfaite collaboration avec plusieurs autres institutions notamment le Service d'Aide et d'Assistance aux Réfugiés et Apatrides (SAARA), une institution gouvernementale qui s'occupe de la question des réfugiés.

Le siège social de l'ASAPSU se loge à la Villa NQ 34, de la Riviera Palmeraie dans la commune de Cocody.

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CHAPITRE II : ORGANES CONSTITUTIFS ET

ORIENTATION GENERALE

I-ORGANES CONSTITUTIFS

L'Ossature générale de l'ASAPSU est l'ensemble de sa structure hiérarchique et de ses organes constitutifs. Il est à noter que les organes qui composent l'Association sont de deux ordres :

- Les organes de décision que sont l'Assemblée générale (AG) et le Conseil d'Administration (CA)

- Les organes d'exécution que sont le Commissariat au Compte, la Direction Exécutive, les Centres de Santé à base communautaire et les comités.

I.1- Les Organes de Décision I.1.1- L'Assemblée Générale

Organe suprême de l'ONG, l'Assemblée générale se compose de tous les membres fondateurs, membres coptés, représentant(e)s des comités qui sont les cellules associatives des centres à base communautaire.

Dirigée par un Président, l'AG se réunit en session ordinaire une fois par an et définit la politique générale de l'Association, entend et approuve les rapports du Conseil d'Administration sur la gestion morale, la gestion des activités et de la gestion financière.

En définitive, elle approuve le règlement intérieur élaboré par le Conseil d'Administration. L'AG prend un caractère extraordinaire lorsqu'elle est convoquée pour la modification des statuts ou pour des affaires urgentes.

I.1.2- Le Conseil d'Administration (CA)

Il comprend trois (3) membres élus par l'AG et un représentant des membres fondateurs. Il est dirigé par un Président et se réunit au moins tous les trois (3) mois et toutes fois qu'il est convoqué par le Président ou par les un tiers (1/3) de ses membres.

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Les pouvoirs du CA sont de définir les orientations et les actions visant aux buts et objectifs de l'ASAPSU ; de gérer les fonds et d'établir les prévisions budgétaires et fixer les taux de cotisation ; d'établir les rapports d'activités et financiers et d'établir le règlement intérieur.

En outre, le CA est habilité dans les limites des dispositions des statuts, de créer des services qu'il jugera utile à la poursuite des buts de l'association, ou de les supprimer ; de confier des missions permanentes ou provisoires à des mandataires ou collaborateurs ; rendre compte de la gestion financière et morale à chaque AG et de déléguer ses pouvoirs au Président. Il est renouvelé tous les deux (2) ans.

I.2- Les Organes d'Exécution

I.2.1- Le Commissariat au compte

Deux (2) commissaires au compte sont élus au cours des AG. Ils sont chargés du contrôle des ressources financières et matérielles par rapport à l'exécution des activités planifiées.

Ils doivent soumettre un rapport d'audit interne à l'AG. Toute entrave à l'exécution de leur travail doit être exposée au CA qui prendra des décisions.

I.2.2- La Direction exécutive

Elle est composée d'un Directeur Technique, d'un service central de gestion et de services décentralisés. Son rôle est la gestion administrative et financière ainsi que la coordination des activités.

I.2.3- La cellule technique

La Cellule Technique est un organe mandaté par le Conseil d'Administration pour l'exécution de toutes les activités de l'organisation. Ses membres sont recrutés au sein de l'Association ou à l'extérieur, selon les qualifications convenables à la réalisation des activités.

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I.2.4- Les comités de base

L'ASAPSU crée et soutient des comités locaux dans les communes et dans d'autres villes du pays afin d'assurer l'exécution de son mandat et de ses objectifs sur le terrain.

II-ORIENTATION GENERALE

Il est question pour nous ici de déterminer les enjeux, les objectifs et les moyens de l'ASAPSU.

Le développement se présente comme une priorité pour les pays émergents. Pour y parvenir, les entités nationales se dotent des moyens adéquats. L'ASAPSU ne demeure pas en reste de cette donne et s'est fixé comme but d'améliorer les conditions sociales et sanitaires des populations urbaines et périurbaines car la santé est maitresse du développement harmonieux.

II.1.2- Objectifs

- L'objectif général de l'ASAPSU est de participer au développement par la promotion de la santé en privilégiant l'Autopromotion sanitaire des populations urbaines et périurbaines.

- Les objectifs spécifiques sont entre autres : le soutien à toute activité entreprise par les communautés urbaines et périurbaines en vue de leur propre développement dans le domaine du social et de la santé ; la sensibilisation de tous les milieux socio-économiques sur les réalités et les facteurs de carence sanitaire, sur leurs causes et conséquences pour les populations les moins privilégiées en milieux urbains ; la participation à la lutte contre la pauvreté par la mobilisation des ressources nécessaires au soutien des activités de l'association et des populations à encadrer ;

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l'apport d'un appui technique, méthodologique et pédagogique au programme élaboré au plan national visant à renforcer le système de santé au profit du plus grand nombre.

II.2- Ressources et Moyens d'action

II.2.1- Ressources

L'ASAPSU dispose de nombreuses ressources tant matérielles, financières, qu'humaines. Elle intervient dans le cadre de ses activités sur la base d'un statut et règlement intérieur comme le demande le gouvernement ivoirien suite aux dispositions de la loi n? 60-315 du 21 septembre1960.

En tant qu'ONG, les principales ressources financières de l'ASAPSU proviennent des bailleurs de fonds et surtout des organisations mondiales telles que l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR), l'Union Européenne (UE) et d'autres bailleurs spontanés. Elle est aussi soutenue par le Ministère de la santé et par les cotisations de ses membres.

II.2.2- Moyens d'action

Les moyens d'action sont une politique que l'ASAPSU élabore afin d'atteindre ses objectifs qui sont la création de réseaux d'animation pour la santé issus des communautés à animer ; l'Utilisation des moyens de formation et d'information adéquats ; la Formation des responsables aux méthodes d'animation pour la santé ; l'Initiation des activités génératrices de revenus en vue de l'autonomie ; la Collaboration avec les organismes ayant les mêmes objectifs que ceux définis ; la Création de services utiles à la poursuite des buts de l'association.

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L'ASAPSU fonctionne comme les ONG mais à la différence de celles-ci, elle gère un projet avec le HCR. A ce titre, elle emprunte des règles de fonctionnement à la pratique internationale selon le bailleurs. Ses règles de fonctionnement sont donc un ensemble de normes nationales et internationales.

CHAPITRE III : PRESTATIONS DE L'ASAPSU

Plusieurs prestations relèvent de cette ONG qui étend ses activités dans la métropole abidjanaise et à l'intérieur de la Côte d'Ivoire. Notre actuelle ébauche s'articulera autour de ces prestations.

I- PROGRAMME SANTE

Il est composé d'un certain nombre d'activités qui concernent aussi bien la prévention des maladies que leur traitement, le volet des personnes vivant avec le VIH(PVVIH) et le volet des orphelins et enfants vulnérables(OEV) du fait du VIH. Ces activités sont réalisées dans les centres de santé et les comités.

En effet, l'ASAPSU dispose de quatre (4) coordinatrices qui encadrent vingt-cinq (25) animatrices chacune dans les comités d'Abobo, Marcory, Koumassi et Attécoubé et une coordinatrice qui encadre dix (10) personnes dans le comité de Yopougon.

En outre, l'ASAPSU dispose de cinq (5) centres socio-sanitaires à caractère préventif et curatif dont les centres d'Abobo, Marcory, Attécoubé, Gesco et Yao-Sehi de Yopougon et un centre préventif dans la commune de Koumassi, une pharmacie avec un code PSP (Pharmacie de Santé Publique) ; un matériel logistique et didactique.

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I.1.- Les centres de santé à base communautaire

Au nombre de cinq (5) pour la seule ville d'Abidjan, les centres de santé sont repartis selon les nécessités dans les communes et quartiers que sont Attécoubé, Abobo-Andokoi, Marcory, Yopougon-Yaoséhi, Yopougon-Gesco-manutention. Ils existent également dans chaque bureau de l'intérieur du pays.

I.1.1- Les activités préventives

Nous avons dans cette sphère les conseils et les démonstrations nutritionnelles et diététiques ; l'imprégnation et la vente des moustiquaires ; la pesée des enfants, la mensuration et la vérification des carnets de santé ; la vaccination des femmes parturientes, des mères et des enfants ; l'animation socio-sanitaire.

I.1.2- Les activités curatives

Elles prennent en compte un certain nombre de mesures et se résument en des consultations médicales et gynécologiques ; les soins infirmiers ; les examens de laboratoire ; la vente des produits pharmaceutiques (pharmacies internes) ; le suivi des enfants malnutris.

I.1.3- Les activités communautaires

Par le biais de ces centres de santé dans certains quartiers précaires d'Abidjan et son orientation principale qui est l'amélioration des conditions de vie des plus défavorisés, l'ASAPSU anime des communautés dites communautés-cibles.

Ces activités dans ces endroits tournent autour de sessions de formation, de traitement et du suivi des patients et des personnes vivant avec le VIH/SIDA.

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I.2- Les sessions de formation

Elles ont été entreprises pour permettre l'autopromotion des populations en matière de santé et concernent les gestionnaires et superviseurs des caisses à pharmacie communautaire ; les mères sur la diététique selon les besoins des enfants souffrant de malnutrition ; les animatrices communautaires.

Des séances de sensibilisation dans les concessions ainsi que les animations socio-sanitaires sur ces places publiques s'ajoutent à ces activités.

I.3-Traitement et suivi des patients

Ces actions se passent dans les communautés et s'énoncent comme le contrôle à domicile des carnets de santé, de vaccination et l'orientation nécessaire à différents soins médicaux ; les visites aux malades avec l'explication des posologies des ordonnances médicales prescrites ; le suivi à domicile des parturientes, des mères et des enfants de retour des services de soin ; des séances de vaccination en partenariat avec les structures existantes.

II- LES PROJETS

Les projets sont des activités exécutées par l'ASAPSU en vue d'aider les populations démunies et défavorisées à adopter un mode de vie sain. Les différents projets de l'ASAPSU sont le projet d'alphabétisation, le projet HCR, le projet IST /VIH/SIDA/Santé de reproduction et planning familial et le projet du centre de formation professionnel de Tabou.

II.1- Le Projet d'alphabétisation

Ce projet consiste d'abord en l'alphabétisation des jeunes filles non scolarisées de 09 ans à 15 ans. Cependant, ce projet souffre aujourd'hui d'un manque de financement et paraît inexistant.

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II.2- Le Projet HCR

Il est conçu pour un encadrement en zone urbaine et pour l'intégration dans le tissu social ivoirien des réfugiés. Par ce projet, ce sont plusieurs milliers de personnes de tous âges confondus qui sont pris en charge par l'ASAPSU de façon totale. Ce projet bénéficiant de l'appui du HCR, regroupe 3 sous projets : Réfugiés, Déplacés et Retournés.

II.2.1- Le Projet réfugiés

A travers ce projet, l'ASAPSU/HCR apporte une assistance aux réfugiés dans quatre (4) domaines précis ; Appui à l'éducation ; Appui médical ; Appui Social et Appui économique.

II.2.2- Le Projet déplacés et retournés

Suite à la crise postélectorale qu'a connue la Côte d'Ivoire, l'ASAPSU s'est engagée depuis Mai 2010, avec le HCR, à assurer la prise en charge des personnes déplacées internes.

De même, les retournés ivoiriens venus des pays limitrophes de la Côte d'Ivoire se voient assistés par l'ONG ASAPSU. La mission de l'ASAPSU est de protéger et d'aider les rapatriés, pendant le voyage et après leur retour dans leur pays d'origine, ainsi que de faciliter la recherche de solutions durables à leurs difficultés par la pleine jouissance de leurs droits politiques, civils, économiques, sociaux et culturels.

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Le sous-projet Déplacés ayant pris fin, il ne reste plus que celui des Retournés.

II.2.3- le Projet du Centre de Formation Professionnel de Tabou (CFPT)

Le Centre de Formation Professionnelle de Tabou (CFPT), anciennement appelé TI-TECH a été construit dans le courant de l'année 1990, sur une superficie de 3 hectares grâce au HCR dans le contexte d'un programme en faveur des personnes réfugiées en particulier de nationalité libérienne.

La guerre du Libéria avait occasionné en effet le déplacement massif de ses ressortissants vers la Côte d'Ivoire et surtout dans le département de Tabou. Désoeuvrés, ils dépendaient entièrement de l'assistance humanitaire.

Dans le but donc d'apporter une réponse au problème de l'oisiveté des réfugiés et résoudre la problématique de leur insertion socio professionnelle dans leur pays d'asile la Côte d'Ivoire, le centre a vu le jour.

En 2010, le Service Civique National a occupé le CFPT pour le projet de formation en faveur de la jeunesse de Tabou et depuis le mois de Novembre 2013, grâce à l'ASAPSU et l'UNHCR avec l'appui technique de la direction régionale de la formation professionnelle de San Pédro, plusieurs modules de formation y sont enseignés en fonction des besoins de formation identifiés par

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les deux cents cinquante huit (258) bénéficiaires eux-mêmes (Couture, coiffure, informatique, gestion coopérative, menuiserie, maçonnerie, anglais, comptabilité simplifiée). La formation s'est soldée par la remise de diplômes et de kits d'accompagnement aux apprenants.

II.3- Les Projets IST /VIH/SIDA/Santé de reproduction et planning familial

L'idée du danger que représentent les maladies sexuellement transmissibles et les infections du même genre se repend de plus en plus au sein de la population. Pour palier ce fait, le projet IST /VIH/SIDA a été conçu. Il consiste à sensibiliser au mieux avec tous les moyens nécessaires les populations afin de diminuer le taux de prévalence et les infections.

Ce projet est élargi à la santé de reproduction et au planning familial afin de contribuer à la baisse de la croissance démographique, facteur de nombreux problèmes socio-économiques. Il est procédé à des campagnes de sensibilisation pour l'explication des dangers que représentent chaque fléau et les moyens adéquats pour y faire face.

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La communication se définit généralement comme l'action ou le fait d'établir une liaison, une relation avec autrui. C'est aussi l'action d'informer et de promouvoir son activité avec le public.

A ce titre, c'est une nécessité humaine car nul ne peut vivre sans l'autre. L'ASAPSU l'a si bien compris qu'elle s'attellera à se doter d'éléments nécessaires et modernes pour son autopromotion. Mais alors, quels sont ces éléments et méthodes qu'utilise l'ASAPSU pour réussir sa mission qu'elle s'est assignée ? Quel est le rôle d'un communicateur au sein de la structure ?

CHAPITRE I : APERCU GENERAL

I-LA MOBILISATION SOCIALE

La mobilisation sociale est l'éducation de masse des individus, des familles et des communautés à participer à une campagne et à une action. Mais elle requiert une certaine planification, des canaux et une dissémination des messages.

I.1-Le plan de mobilisation sociale

Ce plan est standard mais son contenu varie selon les personnes à atteindre (la cible). Le contenu se résume aux questions du genre : Qui doit être impliqué ; Qui est disponible ; Quelles informations et quels messages doit-on donner aux différents groupes ; Quels sont les canaux de communication efficaces ; Quelles activités planifiées ; Quels sont les rôles des différents acteurs ; Qui sont les groupes les plus difficiles à atteindre ; Quel est le coût global de la mobilisation sociale ?

I.2-Les Canaux de mobilisation

Les canaux de mobilisation sont nombreux et se justifient selon la cible et selon les messages à véhiculer. Nous citerons entre autres les centres de santé et les agents de santé ; les lieux de prière (églises,

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mosquées, temples...), les groupes religieux et les leaders religieux ; les groupes de femmes et de jeunes ; les leaders de communautés (chefs de villages, de quartiers, de groupes ethniques...) ; les structures traditionnelles (accoucheuses traditionnelles, guérisseurs...) ; les ONG et le secteur privé ; les établissements scolaires et universitaires ; les élèves et les enseignants.

II-LA COMMUNICATION POUR LE CHANGEMENT DE COMPORTEMENT (CCC)

L'un des problèmes majeurs auxquels sont confrontés les acteurs du développement est l'émergence des bidonvilles en zone urbaine, ces endroits où la pauvreté extrême favorise les maladies. L'urgence demande donc que l'on amène les résidents de ces quartiers à changer de comportement.

Ainsi, le seul moyen pour réussir ce défi est la communication en tant qu'outil indispensable à toute relation interhumaine. Dans un tel contexte, quelle communication faudra t-il initier pour amener les concernés à un changement de comportement ?

III- LA MOBILISATION

Toute communication implique un changement intersubjectif. Ainsi, puisqu'il s'agit de conseiller à des personnes les meilleures attitudes à adopter, la mobilisation devient ici la démarche première d'autant plus qu'il faille réunir ou approcher la personne ou le groupe à sensibiliser.

Ainsi, elle consistera à rassembler toutes les mesures nécessaires pour créer un climat de confiance et d'échanges.

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IV. LES CAMPAGNES DE PROXIMITE

La proximité est un élément primordial pour influencer le comportement de tout individu, 'écouter et chercher à le comprendre.

Aussi, les campagnes de proximité seront indispensables dans notre communication pour le changement de comportements. Mais, elles devront être faites par des personnes bien formées dans le domaine de la communication afin de pouvoir, à partir du comportement de l'individu à sensibiliser, trouver un langage adéquat à son changement qualitatif, car le changement ou mieux l'inculcation d'un nouveau comportement passe forcement par la formation des personnes sensées conduire cette politique.

V. LE COMMUNICATEUR A ASAPSU

5.1-Les tâches du communicateur au bureau du comité de base

Plusieurs tâches sont dévolues au communicateur, membre du staff du comité de base tant à Abidjan, qu'à l'intérieur du pays. Nous revenons de façon succincte sur quelques unes d'entre elles pour le comité de base de Tabou :

- Prise de vue et traitement des images lors des activités et des rencontres - Prise de notes et rédactions des rapports et autres comptes rendus de réunions

- Confection, programmation et distribution de kits aux retournés d'exil sur une période de trois mois après leur date d'arrivée en Côte d'Ivoire

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5.2-Le communicateur au centre de formation professionnel

Tout bon communicateur détient les capacités de s'adapter aux différents travaux qui émanent de sa formation académique et professionnelle. Fort de cela, le communicateur à l'ASAPSU, est souvent orienté vers les services qui composent l'ONG.

Nous reviendrons ici sur quelques travaux au Centre de Formation Professionnel de Tabou :

- Comptabiliser les heures de travail des professeurs pour le règlement de leur solde par la comptabilité

- Veiller sur l'ensemble du matériel de formation, les sorties et entrées du matériel pour éviter les pertes

- Recueillir et satisfaire les besoins en matériel consommable pour chaque filière de formation, dans un délai cours, pour une évolution normale des programmes de formation

- Faire l'inventaire périodique du matériel de formation pour avoir une idée précise de l'ensemble du matériel

- Faire la permanence pour recevoir les parents et les futurs apprenants pour les phases de préinscription et d'inscription et pour expliquer le contenu du projet CFPT

- Organiser les cérémonies de remise de diplômes aux apprenants ayant la capacité réelle d'exécuter leur métier

Comme nous l'indiquions tantôt, le communicateur doit être à même de prendre part aux multiples enquêtes organisées selon divers objectifs et orientées vers des cibles précises.

Dans cette optique, nous avons pris part du 25 août au 23 septembre 2014 à l'Opération de Profilage dans la zone du Bas Sassandra mise en place par le HCR, qui concernait les personnes déplacées internes, retournées ou rapatriées depuis la crise ivoirienne de 2002.

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Il s'est agi du dénombrement des personnes concernées à travers la numérotation de leur ménage et la détermination des statuts puis, de renseigner un questionnaire à l'aide d'un Smartphone auprès d'un échantillonnage. La collecte des données permettra de trouver des solutions durables aux problèmes rencontrées par ces personnes.

CHAPITRE II : ANALYSE

Pour mieux comprendre le fonctionnement du système de communication de l'ASAPSU, il incombe de faire une analyse, mieux un diagnostic afin d'en déceler les insuffisances.

I- DIAGNOSTIC

I.1-Diagnostic interne

Notre diagnostic portera sur les supports existants et les occasions de communiquer.

I.1.1-Analyse de supports existants

Les supports de communication à ASAPSU sont le tableau d'affichage, le réseau téléphonique, les notes de service et les comptes rendus des réunions.

Au nombre de trois (3) à son siège et d'un (1) dans chaque structure représentative, les tableaux d'affichage sont utilisés pour faire passer toute sorte d'information relative à ses membres. L'on se sert des portes, à défaut, comme support d'affichage des informations. Il est aussi à noter que la majorité des informations affichées ne portent pas de sceau de la direction, au risque de voir véhiculer des informations non authentiques et au pire des cas, des tracts révolutionnaires.

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Chacune des structures représentatives est reliée au siège par une ligne de téléphone au bout de laquelle se trouvent des secrétaires qui déterminent les informations nécessaires à tout renseignement. Les agents mobiles ont des téléphones portables qui leur permettent de joindre ou d'être joints à tout moment que cela est nécessaire.

Elles sont adressées aux salariés par les responsables pour donner les ordres de mission, la convocation des réunions ou même pour véhiculer d'autres types d'informations.

Ils sont généralement faits par le Secrétaire Général de l'Association sous forme de procès verbaux (P.V) après chaque réunion.

I.1.2-Recensement des occasions de communication.

Au sein de l'Association, les occasions de communication de communiquer sont de deux ordres : les unes formelles et les autres informelles.

- Les réunions du conseil d'Administration : elles se tiennent tous les trois (3) mois au moins et toutes les fois qu'elles sont convoquées par le tiers (1/3) de ses membres.

- L'Assemblée Générale ordinaire : Elle se réunit une fois par an en session ordinaire et en session extraordinaire pour les affaires urgentes.

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- Les réunions de service : elles sont tenues par rapport au programme de chaque service. Les jeudis sont les jours de réunions du directeur avec les différents chefs de service.

Non réglementées elles concernent les échanges et rencontres qui ont lieu par occasion. Ainsi, nous avons :

- Le dialogue social : vécu au quotidien, il est établi entre tout le personnel. - Les cérémonies de bienvenue : elles sont organisées pour permettre une bonne intégration sociale des nouveaux membres de l'association.

-Les fêtes de fin d'année : elles sont rarement organisées. I.2-Diagnostic externe

Le diagnostic externe portera sur les relations de l'ASAPSU avec l'extérieur et son identité visuelle à travers certains éléments qui permettent sa communication avec l'extérieur. On peut entre autres citer le logo, les voitures de services, l'accueil téléphonique, l'adresse postale, l'adresse électronique, l'architecture et les autres types de supports.

I.2.1- Identification des supports existants

Symbole de la vie quotidienne d'une femme, le logo de l'ASAPSU est la représentation d'une mère nourrissant un bébé qu'elle tient sur ses genoux, avec non loin d'elle un balai qui lui permettra de rendre les lieux propres après le repas. Cette image ne peut qu'être interprétée par l'adoption d'un mode de vie sain en zone urbaine.

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Elle reflète le rapport entre la propriété, symbolisé par le balai et la bonne santé symbolisée par la mère allaitant son bébé. Le logo définit plus ou moins le champ d'action de l'ASAPSU à savoir les domaines de la santé et de l'hygiène environnementale.

Au nombre d'une vingtaine, les voitures portent le logo de l'ASAPSU afin que soit transportées partout où circuleront ces véhicules, l'image et la présence du groupe.

Ce sont les moyens de communication très utiles de nos jours pour des associations qui se veulent modernes. Le numéro de téléphone : 2247-50-54, le fax : 22-47-50-75 ; les emails : cos.ci@africaonline.co.ci ou le asapsu@fnet.net ou encore le asapsu@hotmail.com; l'adresse postale : B.P 585 cidex 3 Abidjan.

Les structures représentatives de l'ASAPSU ont une capacité d'accueil d'au moins une cinquantaine de personnes, avec des bureaux pour les responsables et des espaces aménagés pour recevoir des patients.

A côté des supports cités plus haut, il existe au sein des bureaux de l'ASAPSU, d'autres supports pour la promotion de l'ONG et ses prestations sur le terrain.

Nous avons ainsi, les tee-shirts estampillés des logos de l'ASAPSU et de ses partenaires qui diffusent des messages bien précis à l'endroit de certaines cibles, des kakemonos avec des images et des messages et enfin des banderoles.

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I.2.2- Les relations extérieures

L'ASAPSU entretient de nombreux rapports avec un public diversifié. Dans ce public, nous pouvons compter par exemple les communautés des quartiers précaires et les autres communautés vivant en zones urbaines et sémi-urbaines.

Avec les premières communautés citées, elle a un contact permanent et donc a de bonnes relations. Par contre, elle se préoccupe très peu des communautés autres que celles des quartiers précaires. Cela revient simplement à dire que l'ASAPSU ne valorise pas les relations avec les personnes qui la connaissent moins. Ceux qu'elle considère comme hors de son champ d'action.

Pourtant, il existe des zones différentes de celles précaires qui profiteraient aussi bien de ses activités ; l'exemple des cités universitaires est bien probant de ce cas d'espèce.

II-SCHEMA DIRECTEUR OU CIRCULATION DES INFORMATIONS

Le schéma directeur est le mode de fonctionnement des informations. Il est formel ou informel et se définit par l'information verticale, l'information latérale ou horizontale et l'information en période de crise.

II.1-L'information verticale

C'est le mode d'information qui circule du sommet de la hiérarchie à la base. Elle est ascendante quand elle concerne les comptes rendus et les rapports des subordonnés aux supérieurs hiérarchiques ; lorsqu'elle est descendante, elle a trait aux ordres de missions, d'instruction de travail, de directives des supérieurs aux subordonnés.

L'importance de la communication dans une structure humanitaire : cas de l'ASAPSU

II.2- L'information latérale ou horizontale

Ici, l'information circule entre les salariés des différents services. Ce mode de communication est très prisé à l'ASAPSU, mais il y est plus informel que formel, c'est-à-dire n'obéit à aucun règlement intérieur ou à une quelconque déontologie. Et cela favorise d'ailleurs les rapports entre employés.

II.3-L'information en période de crise

Cette information est peu maitrisable et nécessite d'avoir une réaction rapide et juste avant toute situation de crise afin d'éviter qu'elle ne dégénère. A l'ASAPSU, une crise est résolue par l'application stricte des textes après une assemblée générale extraordinaire et une analyse des faits.

CHAPITRE III : CRITIQUES ET SUGGESTIONS

La communication aux mains de tout agent de communication ou de tout manager ne saurait être l'objet d'une application mécanique et systématique pure et simple car elle connaîtrait un dysfonctionnement.

Ainsi, après une nette étude de la situation de la communication, le communicateur averti devra à son tour faire des recommandations à ses supérieurs pour remédier aux engagements.

I- CRITIQUES

I.1- Critiques internes

- Les informations trop descendantes caractéristiques d'une administration très peu démocratiques.

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- Le mode de recrutement ne correspond pas à celui d'une organisation, mieux, d'une association moderne. L'exemple de l'absence d'un entretien avant tout embauche reste patent.

- Les style du directeur qui se trouve être une personnalité trop ouverte ; ce qui cause quelques manquements de certains salariés à son encontre.

- Les conflits de compétence remarqués dans certains centre et comités. I.2- Critiques externes

Elles se résument en l'insuffisance des actions menées envers les usagers et autres communautés vivant en zone urbaine et péri-urbaines ; la lenteur des méthodes utilisées pour la mobilisation sociale ; l'insuffisance de l'utilisation des supports médias pour informer et se faire connaitre.

II-SUGGESTIONS

Plusieurs années d'existence dénotent de la maturité d'une association quelle qu'elle soit. L'ASAPSU se doit de se démarquer des associations naissantes, elle qui a plus d'une vingtaine d'années d'existence.

Ainsi, pour pouvoir réussir cette démarcation, voici quelques suggestions et recommandations que nous proposons. Si pour des raisons quelconques, il est impossible de créer un service de ressources humaines, alors la cellule de communication doit reprendre service et redéfinir ses tâches avec des objectifs bien déterminés.

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Elle pourrait par exemple avoir pour fonction, la planification adéquate de la main d'oeuvre à travers la prévision des effectifs, le recrutement et l'accueil.

De même, on pourrait se pencher sur la gestion de l'environnement matériel et social par une communication interne et un dialogue social ; la prévention et la résolution des conflits de personnes ; la résolution des crises ; l'organisation de l'information ; l'innovation par des nouvelles méthodes et expériences dans le but d'accroitre la qualité des prestations de l'association tout en procurant un haut degré de satisfaction au travail, la qualité de vie au travail (Q.V.T).

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CONCLUSION

Le poids et la taille d'une association impliquent la qualité de son service de communication qui se doit d'être performant et bien équipé en personnel et en matériel.

En tant qu'Association de Soutien à l'Autopromotion Urbaine comme l'indique sa dénomination, l'ONG ASAPSU devrait faire sienne cette maxime afin d'atteindre au mieux les objectifs qu'elle s'est elle-même fixée.

Cela ne lui vaudrait que notoriété et sérieux aux yeux de ses partenaires qui lui témoignent déjà une confiance sans faille.

Nous pensons avoir par ce travail, souligné quelques préoccupations qui pourraient l'y aider dans le cours et le long terme, afin que ses prestations parviennent à améliorer de façon efficiente la vie des bénéficiaires.

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ANNEXE : ORGANIGRAMME DE L'ASAPSU/HCR

Coordonnateur des projets santé et VIH/SIDA			- Coordonnateur des projets humanitaires et décentralisation - Coordonnateur du projet ASAPSU /HCR


Coordonnateur	Responsable de	Cellule		Responsable AGR	Comptabilité
technique et Responsable de la cellule éducation	l'assistance multiple (Cellule sociale)	médicale

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