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Estimation du temps de parcours aux soins de santé dans le district d'Ifanadiana.


par Randriamihaja Mauricianot
Ecole de management et d'innovation technologique - Master recherche en Informatique 2019
  

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PARTIE III :RESULTAT ET DISCUSSION

Chapitre 6 : Mise en oeuvre

Dans ce chapitre on élaborela mise en oeuvre du projet concernant la manipulation des données avec les outils ettous les traitements pour obtenir les différents résultats. Il est réalisé selon deux étapes : 1) les prétraitements qui utilisent les données brutes et les structures afin d'exporter toutes les variables importantes pour l'étude, et2) les traitements des données qui permettentleurexploration, la création des modèles statistiques, la prédiction du temps de parcours et enfin l'interpolation.

6.1. Prétraitements

Pour les prétraitements, on a utilisé desdivers outils géomatiques pour manipuler les informationset les structurées afin d'avoir une base de données analysable.Plusieurs étapes,ont été utiliséesà commencer par le nettoyage des données jusqu'à l'importation des données.

6.1.1 Utilisation des données avec les outils

a) Données collectées sur le terrain

Les données collectées sur le terrain dans la figure 4.1 sont enregistrées sous format .gpx. Après l'enregistrement, on l'importedans GPS Track Editor pour lesnettoyeret les séparer en cas des plusieurs enregistrements detrace commereprésentédans la figure 6.1.

Figure 9.1 : Utilisation de l'outil GPS Track Editor

Ensuite, on a faituneconversion du fichier GPS sous fichier shapefile à l'aide du plugin GPX Segment Importer qui est disponible dans le dépôt de QGIS. Ce plugin a permisde manipuler les informations géographiques collectés surQGIS et représenté par la figure 6.2.

Figure 9.2 : Conversion du fichier GPS sous shapefile

Après cette conversion, on modifie les données pour ajouter deux champs : le « track » et l'individu. Le « track » permet d'identifier chaque parcours effectué et l'individupermet de reconnaître le type de gens qui l'a collecté. Le processus est représentépar la figure 6.3.

Pour chaque enregistrement, on utilise le même processus et aprèson les rassembleà l'aide d'un outil de gestion de données nommé « Fusion des couches vecteurs » sous QGIS.

Figure 9.3 : Modification des données(ajouter deux champs : track et individu)

Les données fusionnées sontimportées dans la base de données PostgreSQL/PostGIS nommée « pivot » etdansla table « gps_track_pied ».La figure 6.4 montre l'importation des données dans la base de données.

Figure 9.4 : Importation des données des parcours effectuée sur PostGIS

Enfin, La figure 6.5 représente les données après l'importation concernant les parcours effectués. Celui-ci est très important afin qu'on puisseutiliser les fonctions spatiales disponibles sur PostGIS pour les requêtes spatiales.

Figure 9.5 : Table "gps_track_pied" sur PostgreSQL

b) Données de pluviométrie

Pour les donnéesde pluviométrie, on a téléchargé les informations climatiques par Fokontany à partir d'un outil de téléchargement utilisable sur QGIS quiest présenté sur la figure 6.6. On a utiliséles centroïdes des limites administratives, le code de Fokontany pour la clé de jointure etla durée entre deux dates comme paramètres.

Figure 9.6 : Téléchargement des données pluviométrie

Après le téléchargement, les informations sont retournéesavec la valeur de la pluviométrie par Fokontanyreprésenté par la figure 6.7. Pour avoir la date, on a ajouté un champ « datejours » qui est concaténé à partir des champs tels que : l'année, mois et jour.

Figure 9.7 : Les données pluviométrie

Pour terminer, on importe dans la base de données précédentedans la table « précipitation ».La figure 6.8 montre cette importation à partir de la gestion de base de données sur QGIS.

Figure 9.8 : Importation des données pluviométrie sur PostGIS

c) Données occupation du sol

Pour les données d'occupation du sol, on a effectué uneintersectiondes parcours collectés sur le terrain par rapport au paysage. L'objectif est derécupérer les informations d'occupation du sol sur une ligne de parcours.On a utilisé ArcGIS,en utilisant l'outil intersection sur Arctoolbox « intersection ».

Figure 9.9 : Intersection des données collectées et les paysages

Après cette intersection, on revient sur QGis et on yajoute un autre champ « length_km » pour la distance de chaque ligne ($area) commesur la figure 6.10.L'abréviation (abrv) estle type d'occupation du solcodifié et le commentaire représente l'étiquette de l'occupation du sol).

Figure 9.10 : Modification des données (ajouter un champ length_km)

Pour finir, on l'importe dans la base de données dans une table nommée « landcover_arcgis_pied ». La figure 6.11 montre cette importation à partir de la gestion de la base de données sur QGIS.

Figure 9.11 : Importation des données d'occupation du sol sur PostGIS

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"L'ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit"   Aristote