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La contribution de la coopération décentralisée au processus du développement local au Tchad: le cas du jumelage entre les villes de Moundou (Tchad) et de Poitiers (France)


par Christian ALLANDIGUIM REOUMBAYE
Institut des Relations Internationales du Cameroun (IRIC) - Master 2013
  

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Annexe III : Modalité d'animation du jumelage

121

122

123

Annexe IV: Déclaration de l'accord du jumelage à Poitiers

124

TABLE DES MATIERES

AVERTISSEMENT i

DEDICACE ii

REMERCIEMENTS iii

RESUME iv

ABSTRACT v

LISTE DES TABLEAUX ET FIGURES vi

LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS vii

SOMMAIRE ix

INTRODUCTION GENERALE 1

I. CONTEXTE ET JUSTIFICATION DE L'ETUDE 1

II. CLARIFICATION DES CONCEPTS 2

A.Coopération décentralisée 3

B-Contribution 4

C-Jumelage 4

D-Développement local 4

III. OBJECTIFS DE L'ETUDE 4

IV. INTERET DU SUJET 5

A.Intérêt scientifique 5

B.Intérêt Pratique 5

C. Intérêt social 6

V.DELIMITATION DU SUJET 6

1. Délimitation temporelle 6

2. Délimitation spatiale 7

VI. REVUE DE LA LITTERATURE 7

VII. LA PROBLEMATIQUE 10

VIII. LES HYPOTHESES 10

VIII. CADRE THEORIQUE ET METHODOLOGIQUE 11

A. Cadre théorique 11

1. La théorie du transnationalisme 12

2. La théorie du développement local participatif 13

B. Cadre méthodologique et techniques de recherche 17

1.

125

Méthodologie 17

2. Techniques de recherche 17

IX. PLAN D'ÉTUDE 19

PREMIERE PARTIE : LA LEGITIMATION DE LA COOPERATION

DECENTRALISSE DANS L'ESPACE JURIDIQUE TCHADIEN 20

CHAPITRE 1 : PRESENTATION DE LA ZONE D'ETUDE 21

Section I : Moundou ville aux nombreux atouts 22

Paragraphe I : Un milieu naturel aux nombreuses opportunités 22

A-Position stratégique 22

B- Un milieu naturel riche 24

Paragraphe II : Un bassin au rendement agricole abondant 25

A. un bassin de production agricole 25

B. principales cultures vivrières 26

Section II : Moundou, une ville limitée tant sur le plan humain que physique 32

Paragraphe I : Un milieu naturel contraignant 32

A. Un site contraignant 33

B. Des précipitations très abondantes sur des sols hydromorphes 34

Paragraphe II : Un environnement confronté aux divers risques 35

A. Des inondations multiples aux énormes conséquences 35

B. Une dynamique urbaine difficile à maîtriser 37
CHAPITRE II : CADRE INSTITUTIONNEL ET REGLEMENTAIRE DU

JUMELAGE MOUNDOU-POITIERS 44

Section I : Cadre juridique et réglementaire de la coopération décentralisée au Tchad 45

Paragraphe I : L'évolution historique du processus de décentralisation au Tchad 45

A. Aux origines de la décentralisation au Tchad 45

B. Une décentralisation influencée par les partenaires externes 47

Paragraphe II : Etat de lieu de la décentralisation au Tchad 47

A. Un processus effectif 48

B. Actions concrètes 48
Section II : La décentralisation : un contexte favorable aux pratiques de la coopération

décentralisée et à l'éclosion du développement local 52

Paragraphe I : Décentralisation un concept nouveau 52

A. La décentralisation : nouveau mode de gouvernance 52

126

B. Un processus né de l'inspiration coloniale 53

Paragraphe II : La décentralisation : pilier du développement local et de la coopération

décentralisée 55

A. Territoire : espace de synergie entre la décentralisation, le développement local et la

coopération décentralisée 55

B. Décentralisation : cadre de développement local et de la pratique de la coopération

décentralisée 56
DEUXIEME PARTIE : LE JUMELAGE ENTRE LES VILLES DE MOUNDOU ET

POITIERS ET LE DEVELOPPEMENT DE LA COMMUNE DE MOUNDOU 62
CHAPITRE III : L'APPORT DU JUMELAGE AU DEVELOPPEMENT DE LA

COMMUNE DE MOUNDOU 63
Section I : présentation du jumelage Moundou-Poitiers ; ses actions et réalisations dans

la commune de Moundou 64

Paragraphe I : Aux origines du jumelage Moundou-Poitiers 64

A. Bref aperçu sur le Jumelage Moundou-Poitiers 64

B- Différentes approches du jumelage Moundou-Poitiers 65

Paragraphe II : L'apport de la coopération décentralisée au développement de la commune

de Moundou 68

A. Appui au secteur de la santé 68

B.Fourniture en eau et l'assainissement urbain 80

Section II- L'évaluation de l'impact du jumelage sur le développement 83

Paragraphe I : Evaluation et opinions de la population 83

A. Evaluation du jumelage 83

B. Une faible implication de la population aux projets 83

Paragraphe II : Des actions répondant aux aspirations de la population 85

A. Un jumelage répondant aux besoins de la population 85

B. Un jumelage aux retombées moins visibles 87

CHAPITRE 4 : LES LIMITES DU JUMELAGE MOUNDOU-POITIERS 89

Section I : un jumelage entravé par des nombreuses difficultés 90

Paragraphe I : Absence de co-financement et les entraves politiques 90

A. Le manque des moyens financiers 90

B. Le poids politique 91

Paragraphe II : l'incohérence des programmes et manque de vision stratégique 92

A.

127

Manque de cohérence entre les différents programmes de développement 92

B. Manque de vision stratégique 93

Section II: Les perspectives pour un jumelage plus fructueux 99

Paragraphe I : La création d'une structure spécialisée 100

A. Agence Tchadienne de Coopération Décentralisée 100

B. Intensification de la communication 100
Paragraphe II : Passer d'une coopération décentralisée globale à une coopération

spécialisée 101

A. Mise en place d'un Agenda 21 local 101

B. Passer d'une coopération décentralisée globale à une coopération spécialisée 102

CONCLUSION GENERALE 105

BIBLIOGRAPHIE 109

ANNEXE 114

TABLE DES MATIERES 124

PROJECT WORK 1

INSTITUT DES RELATIONS

INTERNATIONALES DU CAMEROUN

MASTER « COOPERATION INTERNATIONALE,
ACTION HUMANITAIRE ET DEVELOPPEMENT DURABLE »

**Filière : COOPERATION INTERNATIONALE ET COOPERATIONDECENTRALISEE**

Project Works/ Projet d'Assainissement et de Gestion de
l'Environnement dans la Ville de Moundou

ALLANDIGUIM REOUMBAYE Christian

Matricule : 13J016E

Master blended mis en oeuvre en collaboration avec le Centre
International d'Etudes pour la Recherche Didactique /
Département de Philosophie et Biens Culturels de l'Université Cà

Foscari de Venise (Italie)

Année Académique 2013-2014

1

PROJECT WORK

CONTEXTE ET JUSTIFICATION DU PROJET

L'accès à l'assainissement représente un combat quotidien pour des centaines de milliers de citadins qui vivent principalement dans les pays en développement. A ce propos selon un rapport de l'OMS (2006), 1,1milliard de personnes soit 17% de la population mondiale n'ont pas accès à l'eau potable et 2,6 milliards soit 42% de la population mondiale n'ont pas accès à un assainissement adéquat.

Par ailleurs, de nombreux ménages urbains ont recours aux méthodes traditionnelles pour leur approvisionnement en eau et à l'assainissement autonome pour l'évacuation des excrétas. La majorité de ces citadins vivent dans des quartiers précaires dépourvus d'eau courante et de systèmes d'assainissement adéquats, ce qui constitue des menaces pour leur santé (UNESCO, 2003). Des milliers de personnes souffrent chaque jour des maladies diarrhéiques, du paludisme, des infections parasitaires intestinaux débilitantes et d'autres maladies causées par des insectes (SATTERTHWAITE, 1996 ; OMS, 2006).

Depuis la promulgation sur la mise en comptabilité des investissements avec l'environnement, on note un plus grand intérêt des gens pour la préservation de l'environnement « Qu'il s'agisse des dirigeants, des opérateurs et même de la population, les enjeux environnementaux sont désormais au centre des débats quel que soit le projet à entreprendre ». C'est pourquoi, le problème d'assainissement des eaux usées et des eaux pluviales se pose avec acuité aujourd'hui dans toutes les villes surtout celles des pays en développement.

Situation environnementale

La ville de Moundou d'un un réseau d'égout public de moins de 15 km couvrant juste une petite partie de la ville, plus de la moitié des ménages utilisent des systèmes d'assainissement

individuels (fosses septiques et latrines ailleurs) peu viables. Avec l'explosion
démographique des villes du tiers monde, l'insalubrité ne fait que s'agrandir avec la prolifération de l'habitat précaire, l'absence et l'inefficacité des systèmes d'assainissement des eaux usées et des eaux pluviales et la collecte et l'élimination des déchets solides. Cela rend ainsi difficile la vie des citadins en matière d'assainissement bien qu'il s'agisse d'un service nécessaire et vital non seulement pour le bien être des citadins, mais également pour la bonne marche et l'efficacité de l'économie urbaine.

2

3

Le site originel est un plateau surplombant la rive gauche du fleuve Logone. Il s'agit d'un terrain très peu accidenté, aux pentes douces, entouré de plaines inondables, situé en face du village Ngara. C'est en fait un replat de la rive gauche du Logone consolidée par un cuirassement ferrugineux dont la corniche domine le fleuve. Cette forme dominante du relief de la ville, ce plateau est faiblement incliné du sud-est vers le nord-ouest et se trouve drainé par une vallée intérieure. Ce modelé géomorphologique expose la ville de Moundou à des inondations périodiques. La difficulté d'évacuation des eaux du fait de très faibles pentes de terrain et compte tenu du sable à plus grande teneur en argile et de la proximité de la nappe phréatique amène la saturation du sol et du sous-sol. Ces contraintes ont de nombreuses conséquences:

? Les maisons en terre s'écroulent, du fait du manque d'ouvrages de drainage. Les caniveaux existants sont à ciel ouvert et non maçonnés. Ils sont toujours bouchés par les ordures ménagères et autres déchets solides que déposent les femmes et les enfants inconscients. Dans certains quartiers, l'incivisme règne en maitre, ainsi les ordures sont déposées dans les caniveaux obstruant le passage de l'eau.

? Les ordures ménagères s'entassent dans les rues et habitations. Elles posent de sérieux problèmes compte tenu des moyens limités de la Mairie. La ville ne dispose que de quelques «bacs à ordures » mis en place grâce au projet « Moundou ville citoyenne » financé par l'Union Européenne. Cependant ces « bacs à ordures » sont insuffisants pour toute l'étendue de la ville, car quelques rares rues commerciales en ont bénéficié.

? déchets liquides (excréta) posent des problèmes de santé. La plupart des ménages pauvres se servent de trous dans le sol pour leurs déchets liquides Les. Ces trous s'écroulent en saison des pluies compte tenu de la nature du sol et de la remontée de la nappe phréatique. Les ménages ne disposant pas de latrines dans leur concession (près de la moitié dans certains quartiers) défèquent dans la nature pendant le jour ou discrètement la nuit dans les espaces tels que les zones non construites et les constructions en ruine plus ou moins abandonnées par leurs propriétaires. Cette situation présente sans aucun doute des risques sanitaires. L'hygiène n'est pas assurée ce qui a pour conséquence la propagation des maladies infectieuses et parasitaires telles que l'amibiase, l'ankylostomiase, la fièvre typhoïde et le choléra.

? Le problème d'appauvrissement des différents cours d'eau de Moundou se pose aussi très fortement. Les brasseries de Moundou et la Savonnerie déversent dans les eaux de

Moundou leurs déchets sans pouvoir les traiter au préalable, le plus inquiétant est le cas de la soude versée par la COTONTCHAD SN dans le Logone. Comme conséquence ces eaux improductives mettant des dizaines de pêcheurs au chômage.

? Malgré la présence de la délégation régionale de l'environnement, la coupe abusive d'arbre n'est pas jugulée ainsi la foret primaire se trouvant à l'entrée nord de Moundou (Koutou) en a pris un sacre-coup.

Cette insalubrité est devenue si critique à Moundou où elle constitue une réelle menace pour l'environnement et la santé des populations que la mairie s'est engagé, à travers le projet « Moundou ville de citoyenne » à assainir la ville.

Moundou est une commune à vocation agricole et industrielle au sud du Tchad n'est pas en marge de cette situation alarmante d'insalubrité liée aux systèmes d'assainissement et demande qu'on y prête attention. C'est dans ce cadre que nous mettions en place ce projet pour répondre aux préoccupations hygiéniques de la population. Située dans le sud du Tchad, la commune de Moundou compte 24 quartiers et 7 arrondissements. La ville de Moundou est située entre les latitudes, 8°30' et 8°40' Nord et les longitudes, 16° et 16°10' Est. Eloignée de plus de 400 km de la capitale, Moundou est limitée au nord par la sous-préfecture de Déli, à l'ouest par la sous-préfecture de Bah et le lac Wey, à l'est par le lac Taaba et au sud par la sous-préfecture de Mbaïkoro. S'étendant sur plus de 7 km du sud au nord.

Typologie du problème d'assainissement dans la ville de Moundou Les eaux usées domestiques

Les eaux usées domestiques sont de deux types. D'une part, nous avons les eaux usées ménagères (eaux grises) qui renferment une pollution peu concentrée qui dépend des modes de vie et des quantités d'eaux consommées. De manière générale, 80% de l'eau consommée est rejetée. D'autre part, nous pouvons mentionner les déjections humaines (eaux noires ou eaux vannes) ou encore les escreta. Elles présentent des dangers importants pour l'hygiène : la propagation de maladies par la contamination du sol ou des sources d'approvisionnement, la prolifération d'insectes, de rongeurs et de vermines. On peut adopter une valeur moyenne de 1Kg par personne et par jour, soit environ 1littre.

Toutefois, convient-il de le souligner, les escreta peuvent être mélangés à l'eau pour former les eaux noires qui peuvent être dispersées sur place à condition de prendre certaines précautions ou évacuées par réseaux.

4

Les eaux usées industrielles

Elles peuvent contenir des pollutions très diverses :

POLLUTIONS CHIMIQUES, dangereuses pour l'environnement et la santé des populations. Elles sont difficilement traitées par le milieu naturel ;

POLLUTIONS BACTERIOLOGIQUES, provenant d'industries en particulier, qui peuvent être traitées en même temps que les effluents des ondes d'habitats. On peut imposer aux industries de rejeter dans le réseau, des eaux ayant des caractéristiques comparables à celles des eaux domestiques. A l'exemple de la Cotontchad.

Les eaux pluviales

Si l'eau pluviale n'est pas correctement évacuée, l'eau non absorbée reste à la surface et ruisselle si le terrain est en pente, ce qui provoque une érosion nuisible pour les constructions (risques d'affouillement) et la voirie (ravinement).

Si le terrain est plat, ou creux, cette eau stagne et entraîne la pollution (mélange avec les déchets) et prolifération de moustiques ou autres vecteurs de maladies.

Les eaux de ruissellement sont en principe peu polluées. Mais l'eau qui ruisselle en début de précipitation est chargée de poussière, de déchets et produits chimiques découlant de l'activité humaine. Cette eau peut être également charge en déchets solides au moment des premières pluies de la saison humide ou dans certains quartiers. En zone urbaine, les eaux pluviales transportent de nombreux résidus spécifiques hydrocarburés, gomme de pneus, etc.

Objectifs

Les objectifs se déclinent deux catégories, à savoir un Objectif général et des Objectifs spécifiques.

Objectif général : Promouvoir l'hygiène en milieu urbain pour améliorer les conditions de vie de la population

Objectifs spécifiques

Objectif 1 : former des comités de sensibilisation de la population

Objectif 2 : inciter la population à s'organiser en vue de gérer elle-même l'environnement en matière d'assainissement

5

Objectif 3 : tisser des relations avec des organisations privées pour la réalisation d'habitats économiques à moindre coût

Activités réalisées

Phase 1 : Analyse de la situation et diagnostic participatif

Identification des problèmes majeurs avec les cibles ; - Analyse des forces et faiblesses de la zone du projet ; - Identification des acteurs pouvant être parties prenantes au projet; - Elaboration du planning d'activités ; etc.

Phase 2 : Sensibilisation et renforcement des capacités des bénéficiaires

Identification des bénéficiaires finaux ; - Rencontre et sensibilisation des autorités locales, religieuses et traditionnelles ; - Discussion avec des bénéficiaires finaux ; - Formation des bénéficiaires et renforcement des capacités techniques des groupements ; etc.

Phase 3 : Suivis, évaluation et reporting

Participation aux réunions communautaires des bénéficiaires ; - Visites sur les terrains et rencontrent avec la population pour apprécier l'évolution des activités ; - Identification des difficultés rencontrées par les bénéficiaires du projet ; - Elaboration des termes de références pour l'évaluation des actions menées par les bénéficiaires et les acteurs au projet afin de connaître son efficacité et son impact sur la population ; - Elaboration des rapports de suivis et d'évaluation des activités menées par les bénéficiaires et les partenaires au projet ; etc.

Résultats obtenus

24 comités des quartiers formés pour la sensibilisation ;

9 journalistes et animateurs de radio formés ;

Réduction des maladies liées à l'insalubrité ;

100 toilettes publiques construites dans 24 quartiers ;

100 bacs à ordure installés dans 24 quartiers ;

1 entrepreneur

500 ménages soit environ 3000 personnes ;

100 professionnels formés : maçons, vidangeurs, agriculteurs ;

100 000 personnes sensibilisées par les canaux de mass média.

Administration contractante: Commission européenne

6

Développement social et humain:

ASSAINISSEMENT URBAIN, SENSIBILISATION ET FORMATION

L'EMPLOI ET LA COHÉSION SOCIALE

FAVORISER LA CAPACITE DES COLLECTIVITES LOCALES POUR AMÉLIORER LES
CONDITIONS DE VIE DE LA POPULATION EN MILIEU URBAIN PAR L'ASSAINISSEMENT ET LA
GESTION DE L'ENVIRONNEMENT

Formulaire de demande de subvention
Lignes budgétaires 21.05.01.02-21.05.01.03
Référence: Europe Aid/135181/C/ACT/Multi

Date limite de soumission de la note succincte de présentation:
21 avril 2015 à 16:00 heures (date et heure de Bruxelles)

7

Intitulé de l'action

Projet d'Assainissement et de Gestion de
l'Environnement dans la ville de Moundou (PAGEVM)

Lieu(x) de l'action

Moundou - Logone Occidentale - (Tchad)

Nom du demandeur

AK (Association Koulamadjibé)

Nationalité du demandeur74

Tchadienne

Dossier N°

(pour usage interne seulement)

Numéro d'identification EuropeAid75

 

8802112005

Contrat en cours/Numéro de fichier d'entité juridique (s'il est disponible)76

 

S.O

Statut juridique77

 

Association sans but lucratif

Codemandeur78

?

?

?

La Mairie de Moundou ;

Association « Moundou Cité Propre » (AMCP), n°4516738709, Tchad, association sans but lucrative ; Entreprise des Travaux Publics du Tchad (ETPT)

74Les statuts d'une organisation doivent montrer que cette dernière a été crééeconformément à la législation nationale du pays concerné et que son siège social est situé dans un pays éligible. Toute organisation établie dans un pays différent ne peut être considérée comme une organisation locale éligible. Voir les notes de bas de page des lignes directrices de l'appel.

75À insérer si l'organisation est enregistrée dans PADOR (Service d'enregistrement en ligne des demandeurs potentiels). Pour de plus amples informations et s'enregistrer, veuillez consulter le site suivant : http://ec.europa.eu/europeaid/onlineservices/pador.

76 Si un demandeur a déjà signé un contrat avec la Commission européenne et/ou s'il a été informé de son numéro de fichier d'entité juridique. Dans le cas contraire, indiquer «S.O.» (sans objet).

77 Par exemple association sans but lucratif, entité gouvernementale, organisation internationale. 78Veuillez utiliser une ligne pour chaque codemandeur.

Entité affiliée79

Nom, numéro d'identification EuropeAid, nationalité et date de création, statut juridique, liens avec le demandeur ou codemandeur

8

Coordonnées du demandeur à utiliser dans le cadre de la présente action

Adresse postale:

BP : 6918 Tchad

Numéro de téléphone:(fixe et mobile) indicatif pays + indicatif ville + numéro

(235) 60440688

Numéro de fax: indicatif pays + indicatif ville + numéro

(235) 60440605

Personne de contact pour cette action:

ALLANDIGUIM REOUMBAYE Christian

Adresse électronique de la personne de contact:

allandchristian@yahoo.fr

Adresse:

N'Djamena

Site web de l'organisation:

http://www.ak.org/

Tout changement relatif aux adresses, numéros de téléphone, numéros de fax et à l'adresse E-mail doit être notifié par écrit l'administration contractante. L'administration contractante ne sera pas tenue pour responsable s'il n'est pas en mesure de contacter le demandeur.

79 Veuillez utiliser une ligne pour chaque entité affiliée.

9

NOTE succincte de prÉsentation

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"Il faudrait pour le bonheur des états que les philosophes fussent roi ou que les rois fussent philosophes"   Platon