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Certification de gestion durable des forêts et efficacité socioéconomique des entreprises du secteur dans le bassin du Congo. Cas du Cameroun

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par Jonas NGOUHOUO POUFOUN
Université de Yaoundé 2  - Diplôme d'études approfondies/ Master II en sciences économiques 2008
  

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Les plaintes des populations sont nourries par la mauvaise utilisation de la RFA. Elle profite peu aux populations qui manquent d'initiatives de projet de développement et par conséquent, reste amnésiques aux efforts du gestionnaire. Elle profite plus aux intérêts égoïstes des mairies qui préfèrent quelques fois effectuer des dépenses grossières à l'instar de la construction d'un monument en bronze à hauteur de 10 000 000 de FCA dans une enclave où il n'ya ni eau, ni électricité, ni réseau téléphonique. Les populations de la localité restent xénophobes et hostiles aux changements59(*).

La dernière observation faite est celle de l'enclavement qui demeure tant dans les sociétés certifiées que dans les non certifiées. Il n'existe presque pas de route sauf un espace défriché qui peut servir de passage pour l'extraction de cet « Or vert ».

Beaucoup de choses restent à faire sur cet aspect de l'étude. Cependant, on peut tout de même remarquer que la certification constitue la voix des riverains en leur garantissant un minimum d'intérêt tout en créant des mesures favorables pour l'internalisation des préjudices qu'elles peuvent subir.

b) Responsabilité interne des entreprises

Les information collectées au sujet de la responsabilité interne des entreprises certifiées exhibent une changement de comportement au profit des employés (i). Cependant , elles laissent voir quelques écarts dans le respect strict des PCI de GDF (ii)

i) Changements liés à la certification forestière

Les employés des entités forestières certifiées ont connu une appréciation de leurs conditions sociales, que ce soit en matière de santé, de besoins de première necessité, de sécurité individuelle, de sécurité de l'emploi et de liberté d'organisation et de négociation collective. Dans les paragraphes qui suivent, nous illustrerons ces propos liminaires par quelques graphes et chiffres commentés tout en gardant un effort minimum de comparaison suivant qu'on part de la période avant certification à la période après certification; ou alors d'une zone certifiée vers une non certifiée.

v sécurité sociale des employés (en reference au 4.2 du FSC)

Les investissements opérés par les entreprises qui sollicitent la certification constituent en une partie considérable des prestations de santé et des dépenses de sécurité des employés. Le graphique ci desous illustre une amélioration de la sécurité sociale des employés dans les entreprises certifiées enquêtées.

En effet, nous observons l'accès à l'infirmerie facilité à 90% (et à 97%) des familles des employés de la firme E1 (et E2 ); l'assurance des meilleurs conditions d'hygiène et salubrité , la sensibilisation et prévention des MST/SIDA et paludisme à 100% des employers de l'entreprise E1 et E2 ainsi qu'une amélioration de l'accès à la cautisation sociale de 60% (et 93%) pour E1 (et E2) à 87% (et 97%).

Fig. 3.2 : Evolution de la sécurité sociale des employés

 
 

Clé de lecture : la lecture des pourcentages suit l'ordre des couleurs de la legende et des modalités correspondantes.

Source : construit par l'auteur à partir de Excel

Ces graphiques (Figure 3.2) montrent aussi un accès à l'electricité et au logement à 90% (73% et 67% respectivement)des employés de E2 (et E1). Dix-sept pourcent (et47%) des employés de E2 (et E1) acquièrent une ou plusieurs formations professionnelles. Il est indispensable de préciser qu'en guise de logement gratuit dans l'entreprise E1, le gestionnaire a opté pour la construction d'un campement pour employés en pleine zone d'exploitation. Cette construction est encore en cours et fait l'objet d'achoppement entre les employés et le gestionnaire.

La figure 3.3 fait une présentation comparative et évolutive de la disponibilité des équipements de protection individuelle. Aujourd'hui dans les sociétés certifiées visitées, les bottes et les chaussures de sécurité sont accessibles à près de 93% (et 73%) aux employés de E1 (et E2). La tenue et le casque sont respevtivement accessibles à 93% et 100% (et 93% et 77%) aux employés de la société E1 (et E2). Le faible niveau de masque respiratoire, lunettes, et de casque anti-bruit est du au fait qu'ils desservent une couche particulière d'employés dont abatteurs et débardeurs (pour les chiffres, voir annexe IX).

Fig. 3.3 : Usage des équipements de protection individuelle : Evolution et comparaison 60(*)

 

Source : constrtruit par l'auteur à partir de Excel

Il est utile de noter que la presque totalité des dotations observées ci-dessus est due à la certification des entreprises E1 et E2. Les deux graphiques ci-dessus exhibent un changement d'état dans les sociétés certifiées, d'une situation de déséquilibre sanitaire et d'insécurité vers une situation meilleure (Voir annexe X et XI). Les entreprises E1 et E2 ont assuré entre autre un accès à la formation au premier secours et à la sécurité incendie respectivement à 60% et 43% de ses employés.

Les obligations de la certification ont aussi conduit les gestionnaires à mettre sur pied un économat au sein de l'entreprise pour les biens necessaires de consommation, d'une infirmerie au service des employés et leurs familles. Durant le processus de certification, les gestionnaires de E1 et E2 ont doté leur entreprises d'une ambulance pour l'evacuation rapide en cas de besoin, ainsi q'un moyen de deplacement adéquat pour la forêt (Voir annexe XII). Avant la certification, l'usage des équipements de protection et l'accès aux service vitaux ci-dessus étaient éffectifs à un niveau rampant. la société non certifiée quant-à elle, n'a connu aucun changement de nos jours. La condition sociale reste hautement précaire. Elle n'assure presque pas de service sanitaire minimum aux employés et ne se soucie guère de leur sécurité au travail.

v Sécurité de l'emploi, liberté d'organismtion et de negociation collective (4.3 du FSC )

Les employés des sociétés certifiées jouissent d'une sécurité de l'emploi. Aujourd'hui, 80% (et 97%) des employés de la société E1 (et E2) ont un contrat de travail contre 27% seulement dans la société non certifiée. Pour ce qui est de la nature des contrats, 60% des employés environ de E1 et E2 ont librement négocié leur salaire. Et le minimum de leur salaire est fixé en référence à la convention collective (Voir Figure 3.4)

Fig. 3.4 : Mode de négociation salariale et existence d'un contrat de travail

 
 

Clé de lecture : la lecture des pourcentages suit l'ordre des couleurs de la legende et des modalités correspondantes.

Source : construit par l'auteur

Les employés de l'unité E2 s'organisent autour d'un syndicat pour mieux défendre leurs intérêts. Il n'existe pas de syndicat chez E1, cependant, les employés s'organisent autour de leurs délégués qui portent leurs intérêts et les défendent. Grâce à la certification, le temps de travail a baissé dans les sociétés certifiées pour atteindre 8 heures, ils travaillent désormais 6jours/7 et non plus 7 jours/7. Les heures supplémentaires observées chez E1 sont entièrement rémunérées. E2 ne pratique plus d'heures supplémentaires ; même si ses employés se plaignent de la perte des avantages y afférant. Les sociétés certifiées observent une bonne distribution des catégories socioprofessionnelles en fonction des différentes fonctions rencontrées (Voir annexe VX)

La crise économique dont les démembrements arrivent au secteur forestier aujourd'hui n'est pas parvenue à déstabiliser les employés dans toutes les sociétés certifiées. Toutes ces 4 entreprises détiennent les taux de conservation du facteur travail les plus élevés. Il est égale à 100% pour 2 entreprises, 86% et 84% pour les deux autres, pourtant dans les entreprises non certifiées, il décroît jusqu'à 28% (Voir annexe XVI)

La structure non certifiée enquêtée a octroyé un contrat de travail à seulement 27% de ses employés, 80 % de ces derniers recoivent comme salaire un montant fixé au gré de l'employeur. Ce montant est souvent payé sans support de payement (bulletin de paye).

ii) Observations critiques

A la marge de tous les changements cités dus à la certification, il convient d'évoquer un certain nombre de manquements observés dans les sociétés certifiées qui pourraient conduire vers des demandes d'actions correctives mineures, voire majeures. Deux aspects majeures retiennent notre attention : Le manque de rigueur dans le port des équipements et la coissance des accidents de travail d'une part, et quelques cas de classement des catégories socioprofessionnelles non adaptées.

v Quelques images collectées (voir annexe XIII et XIV) illustrent le manque de rigeur dans la conservation et le port des équipements de protection individuelle. L'employé de gauche ne dispose plus de casque et de chaussures de sécurité. Et l'employé de droite quant-à lui a du laissé volontairement sa tenue verte de travail au départ de la maison. Certains employés déclarant aussi avoir laissé leurs équipements, on peut déduire un manque de rigueur chez l'entreprise E2 qui devrait mettre sur pied un mécanisme de contrôle strict car, la conservation du certificat et le bien être de l'entreprise en dépendent.

Tout comme les employés de la firme E2, ceux de la firme e1 connaissent les zones et substances à risque qui ont été belles et bien identifiées par l'entreprise. Cependant, on observe une croissance de la proportion d'employés accidentés qui passe de 13à près de 30% pour E1. Même si le dommage majeur n'est que de simples blessures.

v Le deuxième manquement à évoquer concerne quelques cas de reclassement inadéquats. Une lecture simple du tableau de distribution des fonctions des employés par rapport aux catégories (Voir annexe XV) illustre ces irrégularités. La convention collective dispose que les chefs de groupes d'ouvriers, et chef d'ateliers dans les filières techniques devraient être regroupés dans la catégorie des agents de maîtrise VII et VIII respectivement. En effet, nous observons 20% de cette qualité d'employés dans la classe des ouvriers chez E161(*). Ce problème de reclassement est fortement plaint par tous les employés interrogés. Et par conséquent, il est important de mener une étude plus profonde pour en savoir assez. Il conviendra aussi de revoir le mode de détermination du salaire. Car actuellement, 37% des employés disent avoir adopté le salaire fixé par l'employeur.

II.2.2 : Certification forestière et efficacité économique des entreprises

Les entreprises qui s'engagent dans un commerce équitable et durable opèrent par là même un management qui attise plus d'un critère financier et non financier de performance économique. Dans la deuxième sous-section du chapitre II, nous présentions la certification comme un instrument de management stratégique qui nourrit la performance tant par le biais de la composante structure du marché que par la composante « comportement » du modèle S-C-P. Il a été très difficile voire impossible d'accéder aux données recherchées pour la validation empirique de cette relation théorique. Il s'avère que cette difficulté réputée dans le domaine (BARBOSA DE LIMA, 2009). Cependant, nous n'avons accédé qu'à une poignée de données qui nous permet de considérer le rapprochement théorique opéré.

a) Performance économique: conséquence directe du comportement responsable.

Sur le plan de la responsabilité économique, les entreprises forestières, en garantissant un bien être aux employés et une durabilité environnementale garantissent par là même leur performance économique. Durant notre enquête menée auprès de 60 employés de deux sociétés certifiées, ces derniers témoignent presque tous un regain de nouveau souffle du fait des changements liés à la certification. Alors que 40% (et 23%) des employés de E1 (et E2) justifient ce second souffle par une plus grande sécurité au travail, 30% (et 43%) évoque l'assurance de la santé et 30% (33%) évoquent la valorisation du métier. Ce « Up-grading » exprimé par les employés, témoignent une augmentation de la productivité du facteur travail.

Sur le plan de la durabilité environnementale, « en absence de la certification, les AAC étaient gérées de façon anarchique. Il suffisait d'épuiser les ressources exploitables de l'AAC pour passer à une autre assiette durant la même année » (Inconnu, 2009)62(*). La certification a crée des mesures à travers une surveillance accrue et permanente pour juguler ces comportements et garantir une pérennité de la ressource pour ses fonctions de régulation de l'effet de serre et de biodiversité. Elle garantit par là même une viabilité et une pérennité dans l'exploitation de la ressource.

Sur le plan de la viabilité économique, la certification forestière, en exigeant une conformité aux valeurs sociales et environnementales n'exclue pas la conformité à la pointe des technologies de production. Les entreprises certifiées sont supposées retirer du circuit de production les équipements désuets pour de nouveaux. En effet, l'entreprise E2 s'est dotée de nouveaux engins de débardage (Voir annexe XX) ce changement, garantit une amélioration des capacités productives de l'entreprise, suppose par conséquent un accroissement des rendements marginaux du facteur capital. Les entreprises certifiées (E1, et E2) ont considérablement investi dans la recherche et développement à travers le nombre croissant d'ingénieur qu'ils embauchent. Ces deux aspects évoqués sont à même de pousser la frontière de production de ces entreprises vers le haut.

La certification a profusément amélioré l'organisation et la gestion interne des entreprises E1 et E2. Alors que E1 a revu à la hausse le nombre d'employés de la cellule d'aménagement (de 1 à 11 employés), E2 a créé et a restructuré la sienne en cellule sociale, cellule environnementale. Cette organisation est synonyme de division du travail.

b) Action de la certification forestière via les paramètres de marché.

Plusieurs paramètres de marché ont été touchés par la certification forestière. Nous nous attarderons sur la demande des produits certifiés et l'existence d'une « prime verte ». Il conviendra de revenir brièvement sur la vulnérabilité des entreprises face à la crise.

- Demande des produits certifiés

Les clients sont l'élément décisif dans l'orientation vers la certification des sociétés forestières. L'entreprise E1 déclare recevoir une forte demande de bois certifiés. D'après sa cellule d'aménagement, « ...dans un environnement de crise, nous ne vendons que des produits certifiés ». Sous l'action des ONGE, on assiste à la promotion des réseaux de clients « verts » à l'instar du CAFTN, du GFTN, qui oriente les choix vers les producteurs responsables63(*). Ces organismes, pour certains, supportent de fois les audits en partie pour encourager les entreprises engagées et organisent pour d'autres de multiples séminaires et formations pouvant reformer les PCI et relancer la certification. Ils créent des conditions de marché compatibles avec la conservation des forêts, garantissant un gain économique plus élevé. Cette promotion agit sur la demande des produits certifiés. Plusieurs entreprises engagées dans la commercialisation des produits certifiés témoignent qu'elles y tirent d'importants gains (Voir annexes XVII, XVIII et XIX). Dans une enquête menée par le FSC (2009), 67% des producteurs néerlandais, 56% des producteurs Swazi et 33% des producteurs danois reconnaissent que leurs clients exigent du bois certifié (FSC)64(*). Au Japon, les gains économiques de la certification sont perçus autrement. Les « clients verts », en évitant d'acheter très cher les produits certifiés, adressent directement aux entreprises certifiées qui, elles seules, captent la « prime verte » et non pas aux détaillants (IKUO OTA, 2007).

- Existence de premium

Le premium sur les produits forestiers était anticipé dès l'origine de la certification (RR, 2008)65(*). Le payement de la « prime verte » est un des mécanismes puissants de promotion du bois certifié (KARMANN et al, 2009). « Pour les bois de l'Afrique centrale, la prime de prix était d'environ 15% (en moyenne) avant la crise, d'après ce que disent les forestiers. Elle est nulle aujourd'hui, du fait de la crise, mais les bois certifiés trouvent néanmoins plus facilement des débouchées et les entreprises certifiées cotées en bourse observent un accroissement de leurs cours boursiers.  Ainsi, SUMALINDO PT avait vu le cours de son action s'apprécier de 300% après sa certification FSC en 2005 » (KARSENTY, 2009)66(*). Une étude menée par Rainforest alliance (2008) sur 6 ans entre 2001 et 2006 en Pennsylvanie résulte à un accroissement des recettes de vente d'une valeur de 7.7 million de dollars, ce qui débouche sur une augmentation du revenu à l'ordre de 10%.

Dans une étude menée en 2007, CONROY M. s'est intéressé à la question suivante: « Does FSC certification bring extra economic benefits to certified forest owners and to producers of products from lumber and paper from those forests? And are these benefits available to small-scale forest land owners, community forests, or indigenous forests? ». Il arrive à des conclusions parmi lesquelles «in 2006, the demand for certified lumber and paper products was still considerable greater than the supply», « significant price premiums were being paid, especially to those suppliers who could provide large quantities to major buyers. It is extremely difficult, however, to gather systematic data on price premium for the simple reason that it is not in the interest of either the supplier or the purchaser to admit that price premiums are being paid», « Sellers of certified timber prefer not to publicize the availability of a premium because they don't want to see the premium disappear as more sellers enter the market ». PURBAWIYATNA et SIMULA (2008) estiment dans certains cas « a 5% to 8% premium. (...) a premium of 11%-14% has been paid by some buyers for FSC-certified Brazilian products ». Dans une étude faite sur Europe, GROSS (2003), arrive à un résultat selon lequel, les matériels à base de bois certifié ont un prix plus élevé par rapport aux produits non certifiés de l'ordre de 10% à 50% en Autriche, de 5% à 20% en Swaziland.

Pour ce qui concerne la crise économique, les entreprises non certifiées semblent plus vulnérables que celles certifiées. Actuellement au Cameroun, la figure 3.5 montre globalement une baisse de commande et de la capacité de production de plus élevée chez les non certifiées.

Fig. 3.5 : Variation des flux réels et de la capacité de production des entreprises

 
 

Source : auteur à partir des données GFBC, 2009 ; MINFOF, 2009

Seule l'entreprise F7 dans ce graphique réalise des chiffres inattendus. Ceci est du à la fermeture habituelle liée à la saison pluvieuse. Les entreprises certifiées refusent de répondre à certaines commandes à cause de la crise qui déstabilise les prix. C'est ce qui explique les baisses de commande observées chez elles.

* 59 Les commentaires de ce paragraphe ont été nourris par notre entretien avec les responsables du poste forestier et quelques membres du CPF

* 60 L'annexe VIII montre l'acquisition des équipements de protection individuelle pour les deux entreprises certifiées séparément

* 61 Voir Tableau n°.... qui reclassent catégories suivant les différentes fonctions, annexe n°...

* 62 Un chef de site Interviewé lors de l'enquête menée par l'auteur auprès de 3 sociétés

* 63 A l'exemple du WWF, de l'UICN, de L'ATIBT, de L'IFIA, du GFBC et du TFT.

* 64 Source: FSC IC, FSC US, FSC UK, FSC Denmark, FSC Switzerland, FSC Netherlands

* 65 Rights and Resources Initiative (2008): Seeing People Through The Trees: Scaling Up Efforts to Advance Rights and Address Poverty, Conflict and Climate Change. Washington DC: RR in KARMANN et SMITH (2009)

* 66 Entretien par mailing avec KASRSENTY (début juin 2009) CIRAD, Département "Environnements et Sociétés", UPR 36 ; TA C-36/D, Campus de BAILLARGUET ; 34398 Montpellier Cedex 5, alain.karsenty@cirad.fr http://fr.mc262.mail.yahoo.com/mc/showFolder?&&abnumadded=1&abnames=+chistopher++STEWART+&abids=16777370&abgrpup=1&abnuminlist=1&abgrpname=FORESTERIE&abgid=16777342#_pg=compose&&clean&clean&clean&hash=397c0481da68b01e470c2e11eb0a776d&.jsrand=8710604

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"La première panacée d'une nation mal gouvernée est l'inflation monétaire, la seconde, c'est la guerre. Tous deux apportent une prospérité temporaire, tous deux apportent une ruine permanente. Mais tous deux sont le refuge des opportunistes politiques et économiques"   Hemingway