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Modélisation et implémentation d’une base de données répartie pour la gestion de l’enrôlement dans un processus électoral


par Jules MUSONGIELA MULEMBUE
Ecole Supérieure des Métiers d'Informatique et de Commerce - Licence 2015
  

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CONCLUSION PARTIELLE

Nous avons abordé et finalisé en toute célérité les notions sur les bases de données en générale et celles réparties en particulier. Dans la suite nous allons exposer la question sur l'évaluation de notre projet.

Chapitre deuxième :

ETUDE PREALABLE

INTRODUCTION

L'étude préalable consiste à faire une analyse minutieuse du système existant pour en dégager les failles et les forces afin d'arriver à une conclusion qui permettra une proposition de solutions de la part de l'analyste.

Ce chapitre va nous permettre d'étaler les activités de la CENI en commençant par : l'historique, l'organisation, l'analyse de besoins, etc.

SECTION I. PRÉSENTATION ET ANALYSE DE LA STRUCTURE DU SYSTÈME EXISTANT (CENI)

Dans cette partie nous aurons à analyser les informations concernant juste l'organisation structurelle de la CENI telles que : l'historique, la situation géographique, l'objectif, l'organisation.

I.1. HISTORIQUE

Depuis son indépendance, le 30 juin 1960, la RDC est confrontée à des crises politiques récurrentes dont l'une des causes fondamentales est la contestation de la légitimité des institutions et de leurs animateurs. Cette contestation a pris un relief particulier avec les guerres qui ont déchiré le pays de 1996 à 2003.

En vue de mettre fin à cette crise chronique de légitimité et de donner au pays toutes les chances de se reconstruire, les délégués de la classe politique et de la société civile, forces vives de la Nation, réunies en Dialogue inter congolais, ont convenu, dans l'Accord Global et inclusif signé à Pretoria en Afrique du Sud le 17 décembre 2002, de mettre en place un nouvel ordre politique, fondé sur une nouvelle Constitution démocratique sur base de laquelle le peuple congolais puisse choisir souverainement ses dirigeants, au terme des élections libres, pluralistes, démocratiques, transparentes et crédibles.

A l'effet de matérialiser la volonté politique ainsi exprimée par les participants au Dialogue inter congolais, le sénat, issu de l'Accord Global et inclusif précité, a déposé, conformément à l'article 104 de la Constitution de la transition, un avant-projet de la nouvelle Constitution à l'Assemblée nationale qui l'a adopté sous forme de projet de Constitution soumis au référendum populaire.

La Constitution ainsi approuvée s'articule pour l'essentiel autour des idées forces ci-après :

1. DE L'ETAT ET DE LA SOUVERAINETE

Dans le but d'une part, de consolider l'unité nationale mise à mal par des guerres successives et, d'autre part, de créer des centres d'impulsion et de développement à la base, le constituant a structuré administrativement l'Etat congolais en 25 provinces plus la ville de Kinshasa dotées de la personnalité juridique et exerçant des compétences de proximité énumérées dans la présente Constitution.

En sus de ces compétences, les provinces en exercent d'autres concurremment avec le pouvoir central et se partagent les recettes nationales avec ce dernier respectivement à raison de 40 et de 60%.

En cas de conflit de compétence entre le pouvoir central et les provinces, la cour constitutionnelle est la seule autorité habilitée à les départager. Au demeurant, les provinces sont administrées par un Gouvernement provincial et une Assemblée provinciale. Elles comprennent, chacune, des entités territoriales décentralisées qui sont la ville, la commune, le secteur et la chefferie.

Par ailleurs, la présente Constitution réaffirme le principe démocratique selon lequel tout pouvoir émane du peuple en tant que souverain primaire.

Ce peuple s'exprime dans le pluralisme politique garanti par la Constitution qui érige, en infraction de haute trahison, l'institution d'un parti unique.

En ce qui concerne la nationalité, le constituant maintient le principe de l'unicité et de l'exclusivité de la nationalité congolaise.

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"Qui vit sans folie n'est pas si sage qu'il croit."   La Rochefoucault