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Comment intégrer les questions de développement durable dans l'ensemble des méthodologies de la gestion de projet : une démarche conceptuelle orientée vers un modèle de planification de projet basé sur l'Approche cadre Logique

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par Jean Gynse Bolivar
Université du Québec à Rimouski - Maîtrise en gestion de projet 2008
  

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UNIVERSITÉ DU QUÉBEC

COMMENT INTÉGRER LES QUESTIONS D'ENVIRONNEMENT ET DE DÉVELOPPEMENT DURABLE DANS L'ENSEMBLE DES MÉTHODOLOGIES DE LA GESTION DE PROJET :

UNE DÉMARCHE CONCEPTUELLE ORIENTÉE VERS UN MODÈLE DE PLANIFICATION DE PROJET BASÉ SUR L'APPROCHE CADRE LOGIQUE

MÉMOIRE

PRÉSENTÉ À

L'UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À RIMOUSKI

(U.Q.A.R)

Comme exigence partielle

du programme de maîtrise en gestion de projet 

PAR:

Jean Gynse BOLIVAR

Novembre 2008

Ce mémoire de maîtrise s'adresse à toute personne, à tout organisme s'intéressant au domaine de la gestion de projet. Il s'adresse particulièrement aux développeurs de projets sensibles à l'environnement. Toute personne qui désire utiliser la méthode d'analyse de projet décrite dans ce document de recherche peut le faire à la condition d'indiquer la source suivante :

BOLIVAR, Jean-Gynse (Nov. 2008) « Comment intégrer les questions d'environnement et de développement durable dans l'ensemble des méthodologies de la gestion de projet : une démarche conceptuelle orientée vers un modèle de planification de projet basé sur l'Approche Cadre Logique ». Mémoire de maîtrise en gestion de projet, 231 pages, Université du Québec à Rimouski, Québec, Canada.

Afin d'éviter de recourir à la règle courante du masculin générique, le genre masculin est employé, tout au long de ce document pour désigner les noms communs. Cette règle s'applique seulement dans le but d'alléger le texte.

La reproduction partielle ou complète de ce document de recherche est interdite sans une autorisation formelle de l'auteur.

REMERCIEMENTS

L'élaboration de ce mémoire de maîtrise n'aurait pas été possible sans le soutien de plusieurs institutions ni le concours de plusieurs personnes. Je tiens à exprimer ici à Monsieur Pierre Cadieux, principalement directeur de cette recherche et directeur du programme de maîtrise en gestion de projet à l'Université du Québec à Rimouski (UQAR), mes plus vifs remerciements pour son appui à la réalisation de ce travail, celui qui a mobilisé du temps et des compétences distinctives.

À la ville de Lévis, mes remerciements particuliers s'adressent à Monsieur Michel Caseault qui a assuré avec beaucoup de patience, mais aussi de dévouement, mon contact avec certains professionnels de projet sur le terrain pour répondre au questionnaire d'enquête. Je tiens à associer à ces remerciements quelques cadres de la division régionale de l'Hydro-Québec et du Ministère québécois de Développement Durable, de l'Environnement et des Parcs (MDDEP) qui ont accepté de me rencontrer dans leurs lieux de travail afin de réaliser une étude de terrain. Dans le même sens, je tiens à remercier Madame Hélène Sicotte de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) et Madame Véronique Tousignant de l'entreprise montréalaise QualiProjet DL inc pour le temps qu'elles ont consacré pour faire progresser cette étude. J'envoie également mes plus grands remerciements aux citoyens de la zone d'implantation du projet de la centrale hydroélectrique de l'Eastmain-A-1 et dérivation Rupert situant au Nord du Québec, en particulier le Grand chef des communautés Cries, qui ont répondu à certaines questions par téléphone ainsi que par Internet sur l'évolution du projet dans les collectivités locales (en accompagnement des parties prenantes, considérations des priorités locales, questions transversales, etc.)

À la section régionale de Project Management Institute (PMI) de Lévis - Québec, mes remerciements s'adressent également à Monsieur François Lajoie, président, pour son support, surtout les efforts qu'il a fournis pour sensibiliser la plupart de ses collègues à l'importance de cette étude.

J'exprime aussi ma reconnaissance à des professeurs de l'Université du Québec à Rimouski, particulièrement Pierre Cadieux, Bruno Urli, Jean-Yves Lajoie et Farid Ben Hassel, ...qui m'ont enseigné des cours de base et ce qui m'a permis d'élaborer ce travail de recherche. Au campus universitaire de Lévis, j'adresse un grand merci à Madame Maryse Labé et à Madame Carole Côté, et à tous mes collègues de cours dans le programme de Maîtrise en Gestion de Projet, notamment ceux qui ont eu de jugement positif à mon égard dans le programme. Particulièrement à tous ceux qui ont critiqué de façon constructive mes opinions dans la majorité des cours suivis. Mes remerciements s'adressent aussi à toute l'équipe de la bibliothèque de l'UQAR, notamment Madame Marie-Ève Émond Beaulieu, pour son appui à la consultation de documents et d'ouvrages scientifiques et pour tous les renseignements utiles qu'elle m'a communiqués.

J'adresse de très particuliers remerciements à mon amour Catherine Pelletier pour son aide appréciée quant aux idées nouvelles émises durant la période de collectes des données de terrain, surtout à la lecture attentive de plusieurs paragraphes du mémoire, et bien sûr pour le soutien affectif et moral qu'elle m'a donné inlassablement durant toute la période académique jusqu'à la production de ce document de recherche.

Enfin, j'exprime toute ma gratitude à mes proches en Haïti et au Québec, particulièrement à mes deux belles familles québécoises du Bas Saint-Laurent (dont la famille Pelletier et la famille Lévesque) et à tous mes amis au Québec parce que, sans leur support, il me serait difficile, voire impossible de découvrir avec autant de joie la beauté de cette grande province canadienne qui est le Québec.

AVANT-PROPOS

Rendre simple n'est pas toujours aisé. Pourtant, c'est l'objectif que poursuivent plusieurs professionnels dans l'exercice de leurs fonctions. D'ailleurs, c'est ce même objectif que j'ai poursuivi tout au long de mon cheminement universitaire, notamment au programme d'études aux sciences avancées en gestion de projet à l'Université du Québec.

Les idées nouvelles ne germent pas spontanément, elles naissent toujours à partir d'un fait vécu ou d'une expérience. L'élaboration de ce mémoire de maîtrise en gestion de projet est le témoignage d'un homme originaire d'un tout petit pays, situé dans les Antilles, appelé « Haïti ». À la base, il y a eu en effet une « bisbille » entre un dirigeant d'entreprise et un économiste, autour de l'usage des ressources naturelles, oeuvrant tous deux dans la même industrie.

Pendant de nombreuses années, on continuait de croire que seules les firmes d'ingénierie, de construction et d'informatique pouvaient gérer avec efficience des projets, voire même efficacement. Une opinion qui semble être bien accueillie par de nombreuses firmes d'ingénieurs-conseils au Québec et ailleurs dans le reste du Canada. L'économiste est un diplômé dans une grande école d'économie et de gestion des ressources naturelles. Celui-ci est titulaire d'un diplôme de deuxième cycle universitaire en économie des ressources naturelles et travaille au Québec depuis environ cinq (5) ans dans la consultation de plusieurs dossiers de projet. Il intervient notamment dans l'accompagnement de la population locale, dans les études de faisabilité, suivi & contrôle opérationnels et l'évaluation des projets de développement. Quant à ce dirigeant, il est un ingénieur senior qui travaille dans la conception de projets pour une entreprise minière en Abitibi et exerce la fonction de directeur de projets au sein de cette entreprise après une quinzaine d'années d'expérience.

Mon ambition n'a aucune intention d'alimenter davantage le désaccord entre ces deux professionnels, mais c'est de dépasser le coté intuitif de cette querelle, de la partager à d'autres, afin de la faire évoluer et de la transformer en un projet académique finalisé. Cette querelle, à la croisée des chemins entre le savoir-faire et le savoir-être, aurait permis d'échanger des expériences de recherche et de développement et de mesurer la complémentarité des approches sur le terrain. Ce qui est d'ailleurs important pour le développement de la gestion de projet, selon plusieurs chercheurs.

À l'aube du virage vert des entreprises, il importe néanmoins d'intégrer les questions d'environnement et du développement durable dans nos activités et dans nos interactions avec les communautés locales, les parties prenantes suivant une base volontaire. Nonobstant, les mouvements sociaux ont modifié de façon drastique le contexte dans lequel évoluent des entreprises privées, publiques, parapubliques et d'organismes internationaux depuis ces dernières années. L'environnement sociopolitique des projets a beaucoup évolué. Aucune entreprise n'est aujourd'hui à l'abri de représailles. Le contexte des projets a considérablement changé et devient plus exigeant, comparativement il y a deux décennies. Le développement de nouvelles techniques et d'outils de gestion adaptés est donc primordial pour assurer la réussite des projets dans les collectivités locales. Dans ce contexte de développement durable, l'outil « cadre logique » devrait se situer au coeur de la démarche d'identification des projets de développement, compte tenu la base méthodologique de celui-ci. En même temps, il constitue la cible centrale à viser par les efforts d'intégration des questions d'environnement et de développement durable dans la démarche de conception et d'évaluation de projets, si l'on souhaite que l'intégration de cette question transversale ne reste pas hypothétique.

Par ailleurs, le cadre logique est un outil efficace de gestion de projet qui permet aux parties prenantes internes et externes d'un projet d'identifier et d'analyser les problèmes, puis de définir les objectifs à atteindre et les activités à entreprendre à cet effet. Il permet également aux planificateurs de tester la conception d'une ébauche de projet pour s'assurer de sa pertinence, sa faisabilité et de sa viabilité. Celui-ci ne semble pourtant connu que de manière superficielle par une minorité de professionnels en gestion de projets.

C'est donc à la fois pour rappeler à des professionnels de projet, tels que les économistes, les ingénieurs, les agronomes, les environnementalistes, les administrateurs, les banquiers, ... l'importance de l'approche cadre logique (ACL) dans le développement de leurs projets, et montrer surtout comment celle-ci peut leur permettre d'opérationnaliser les questions d'environnement et de développement durable tout au long du cycle de vie d'un projet. L'objectif est de développer une nouvelle réflexion en gestion de projet via une approche intégrée pour parvenir à la solution globale des projets sensibles à l'environnement. Principalement, cette réflexion portera sur la gestion de l'environnement sociopolitique d'un projet, c'est-à-dire sur la gestion des parties prenantes interactionnelles. Il s'agit donc de mettre en évidence un modèle de planification de projet plus participatif et responsabilisant que les modèles exploités par les entreprises sur le terrain. La base méthodologique de celui-ci repose sur l'analyse cadre logique (analyse des parties prenantes, analyse des problèmes, analyse des objectifs et analyse des stratégies, ...) afin que les dirigeants d'entreprise et chefs de projet puissent pratiquer efficacement la profession de gestion de projet.

Une telle démarche facilitera sans doute la tâche de gestion des dirigeants d'entreprise et des chefs de projet dans leurs activités quotidiennes, dans leurs interactions avec leurs parties prenantes.

RÉSUMÉ

Cette étude porte sur l'intégration des objectifs du développement durable dans la gestion de projet. Les questions à l'origine de celle-ci ont été suscitées en grande partie par les discours souvent contradictoires et issus de différents acteurs qui sont impliqués dans le développement des projets, c'est le cas de plusieurs ONG, d'organismes publics, des regroupements politiques, d'entreprises et certains textes de protestation ou de critique qui sont produits par les groupes d'écologistes et d'autres entités. Ce travail de recherche est une approche de gestion qui conduirait à l'élaboration d'un modèle de planification de projet plus participatif et responsabilisant. Pour cette étude, nous avons donc formulé l'hypothèse de recherche suivante: « l'intégration des questions d'environnement et du développement durable tout au long du cycle d'un projet pourrait être un vecteur de changement positif dans les chances de succès du projet, sous réserve qu'elles s'insèrent dans un processus global de gestion qui intègre à la fois les objectifs économiques, écologiques, sociaux et sociétaux ».

Comparativement il y a environ deux décennies, le contexte de la gestion des projets a considérablement changé et devient plus exigeant. Aujourd'hui, le développement de nouvelles techniques et d'outils modernes de gestion est donc primordial pour assurer la réussite des projets. Dans la province de Québec, les discours en faveur d'une politique plus responsable au sein des entreprises sont de plus en plus fréquents, mais le concept reste encore mal compris. Nul n'est contre la vertu, mais il n'est pas toujours évident d'intégrer complètement les objectifs du développement durable dans les processus décisionnels.

Ce que propose cette étude est un cadre d'analyse de développement durable, c'est-à-dire une démarche méthodologique pour l'intégration des parties prenantes écologiques et sociales dans l'ensemble des méthodologies de projet. Pour mettre en évidence cette démarche, nous avons donc repris le formalisme de l'Approche Cadre Logique. Cette réflexion couvre non seulement les pratiques traditionnelles de gestion de projet, mais également tous les projets auxquels doivent s'appliquer les principes de développement durable. Sur le plan opérationnel, c'est donc une réflexion qui vise à apporter des améliorations au sein des études d'impact et de conception. Il en est même pour le suivi et l'évaluation ainsi que la planification par le biais d'une prise de décision éclairée, quant aux étapes clés dans la mise en oeuvre des projets.

Pour conduire l'étude, nous avons choisi la méthode de recherche dite « qualitative ». Dans un premier temps, nous avons analysé les sources d'information secondaires. Ces dernières nous ont permis de dresser le cadre référence du travail. Tout au long de cette étape théorique, notre analyse est portée sur les quatres outils d'analyse de l'approche cadre logique : l'analyse des parties prenantes, des problèmes, des objectifs et des stratégies. Dans le second temps, nous avons opté pour des méthodes de collectes dites de «convenance». Les informations recueillies à cette étape de terrain auprès des chefs de projets et des communautés locales ont été traitées au moyen de logiciels d'analyse. Un facteur correctif a été utilisé afin de reduire le risque des biais personnels. Les données collectées ont été analysées, comparées à des résultats obtenus suivant la réflexion de l'outil cadre logique.

À l'issue des résultats obtenus, nous avons fait les constats suivants. Le promoteur du projet de la centrale hydroélectrique de l'Eastmain-1-A et dérivation Rupert s'est donc engagé à atteindre les trois objectifs du développement durable, soit de respecter l'environnement, améliorer l'équité sociale et de viser l'efficacité économique. Plusieurs facteurs de qualité importants caractérisent les bénéfices de ce projet sur une période de long terme. Nous pouvons citer à titre d'exemples :

? L'utilisation des technologies appopriées, soit celles ayant recours à des ressources locales renouvelables ;

? Le respect des valeurs socioculturelles des personnes et des populations locales ;

? Les capacités de gestion des institutions, publiques et privées, sollicitées pour les étapes de réalisation du projet ;

? La prise en considération des questions transversales liées à la protection de l'environnement, au renforcement de l'économie locale et aux valeurs sociales ;

? L'intention d'évaluation préalable, de mesures de compensation et de suivi des impacts environnementaux liés au projet ;

? L'intention de respecter le milieu humain et son contexte social par le souci d'intégration en amont les communautés locales dans les activités planifiées ;

? Le fort potentiel d'innovation et diversité des options envisagées pour rencontrer les objectifs du développement durable (économiques, écologiques, sociaux, etc.).

Mais il importe de souligner l'absence d'autres éléments fondamentaux. Parmi les documents du projet consultés, ces éléments n'ont pas été abordés ou tout simplement peu explicités par le promoteur. Telle que la reconnaissance des minorités ethniques, des différences de genre et la réduction des inégalités liées au genre et aux races, qui font partie intégrante des objectifs politiques cadres plus larges dans une perspective de développement durable. Il y a aussi le souci d'intégration et de valorisation des cultures autochtones qui continue de soulever de nombreuses controverses au sein des parties prenantes du projet.

Toutefois, la division régionale d'Hydro-Québec qui est promoteur du projet a adopté une approche participative. En intégrant certaines préoccupations écologiques, sociales et économiques, l'entreprise a assuré sans difficultés la gestion des processus décisionnels. Par l'entremise des Tables d'Informations et d'Échanges (T.I.E), le Comité indépendant d'Examen sur le projet dont le COMEX a pu jouer un rôle important dans la communication entre les acteurs concernés par le projet. Celui-ci constitue en effet un pont entre le promoteur et les différentes parties prenantes sociales et écologiques. Plusieurs informations relatives à l'évolution du projet se sont échangées entre les parties concernées sur une base régulière via l'organisme COMEX.

La Société d'Énergie de la Baie-James, en l'occurrence la division régionale de l'Hydro-Québec, a cependant utilisé d'outils d'analyse différents, à la comparaison avec le cadre d'analyse de développement durable proposé. Elle exploite peu d'outils d'aide à la décision intégrés à un portail qui sert d'interface avec les parties prenantes, comme le démontrent nos résultats de recherche. Intruitivement, nous savons que chaque entreprise a sa propre manière de présenter les processus, les procédures, d'exploiter les outils de gestion développés, etc. Il existe plusieurs similitudes entre le modèle d'intervention du promoteur et celui illustré dans ce travail de recherche. Les différences ne se trouvent en raison de désaccords majeurs, mais plutôt d'écarts dans l'accent qui sont mis sur les différents points de vue et des outils d'analyse. Une comparaison des approches entre elles nous semble fournir de résultats presque semblables ou des conclusions identiques.

De toute évidence, l'intégration des questions d'environnement et du développement durable dans l'ensemble des méthodologies de gestion de projet devient ou deviennent essentielle (s) pour la survie d'une entreprise. Cette réflexion va donc pouvoir dégager de résultats escomptés lorsque chaque dirigeant ou chef de projet et chaque citoyen en percevront ensemble les conséquences financières, économiques et sociales, et en tireront plus d'avantages que d'inconvénients sur le long terme. Ce travail de recherche est avant tout le résultat d'une démarche conceptuelle dont nous avons comparé avec un nombre restreint de cas de terrain, en l'occurrence la Société d'Énergie de la Baie-James (SEBJ) dans le cas du projet de la centrale hydroélectrique de l'Eastmain-1-A et dérivation Rupert. Les résultats obtenus pour ce travail de recherche sont satisfaisants, mais ils ne sont pas absolus. Il est donc souhaitable de confronter cette démarche à l'épreuve d'autres cas de terrain ou à d'autres entreprises s'engageant dans une logique de développement durable. La taille réduite de l'échantillon utilisé ne nous permet pas de valider notre hypothèse de recherche. Par conséquent, il est difficile de parvenir à une conclusion plausible.

TABLE DES MATIÈRES

REMERCIEMENTS......................................................................................PAGE iii

AVANT-PROPOS..........................................................................................PAGE v

RÉSUMÉ...................................................................................................PAGE viii

TABLE DES MATIÈRES................................................................................PAGE xi

LISTE DES TABLEAUX................................................................................PAGE xvii

LISTE DES FIGURES..................................................................................PAGE xviii

LISTE DES SIGLES ET DES ACRONYMES.....................................................PAGE xix

INTRODUCTION............................................................................................PAGE 1

CHAPITRE PREMIER

LA PROBLÉMATIQUE ..................................................................................PAGE 5

1.1.- Le problème spécifique..............................................................................Page 8

1.2.- L'(es) objectif(s) et proposition de recherche................................................Page 13

1.3.- Les limites des recherches antérieures..................... ....................................Page 14

CHAPITRE 2

MÉTHODOLOGIE..................................................................................................PAGE 17

2.1.- Typologie de la recherche.......................................................................Page 17

2.2.- Stratégies de réalisation..................................................................... ...Page 18

2.3.- Échantillonnage, population et étude(s) de cas............................................Page 19

2.4.- La méthode de collecte des données.........................................................Page 20

2.5.- L'instrument de mesure...........................................................................Page 21

2.6.- Procédés de traitement et d'analyse des données...............................................Page 22

2.7.- Les limites de la méthodologie..................................................................Page 23

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