WOW !! MUCH LOVE ! SO WORLD PEACE !
Fond bitcoin pour l'amélioration du site: 1memzGeKS7CB3ECNkzSn2qHwxU6NZoJ8o
  Dogecoin (tips/pourboires): DCLoo9Dd4qECqpMLurdgGnaoqbftj16Nvp


Home | Publier un mémoire | Une page au hasard

 > 

Contribution des reboisements de mangrove du delta du saloum (sénégal) à la séquestration de carbone atmosphérique: cas des villages djirnda et sanghako

( Télécharger le fichier original )
par Ralph Mercier DEGUE-NAMBONA
Université Cheikh Anta Diop - DEA Sciences de l'Environnement 2007
  

précédent sommaire suivant

Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy

E.1.2 Les régressions allométriques :

L'idée de la recherche de régressions allométriques est de voir s'il existe des équations mathématiques pouvant mettre en relation et de façon significative les paramètres dendrométriques dits variables explicatives ou régresseurs, à la productivité végétale dite variable expliquée afin que dorénavant, au lieu de refaire les mêmes mesures de biomasses pour la détermination de la productivité, qu'elle soit directement calculée à l'aide de ces régressions à partir des mesures de certains paramètres (HT, DmH et DB). Cependant, pour faciliter l'interprétation des résultats tout en se prononçant sur la contribution de chaque régresseur aux différents modèles de régression, les régressions linéaires simple et multiple ont été préférées aux autres types de régressions conseillés par divers auteurs entre autre Rondeux (1999). C'est ainsi que, pour chaque plantation il sera présenté le modèle de régression, l'analyse de la variation des variances et les résidus obtenus par traitement de données initiales à l'aide du logiciel XLSTAT méthode progressive (step by step) afin de juger de la pertinence des régresseurs et de leurs modèles.

Les équations des modèles mettent en relation la productivité végétale et les régresseurs qui contribuent de manière significative à la régression en termes de probabilité de la variable de Student (t) et de Fischer (F) qui sont leurs estimateurs globaux. Donc, tout régresseur dont la probabilité de la variable de Student (Pr>t) ainsi que celle de Fischer (Pr>F) dépasse le seuil de 5% est automatiquement mis à l'écart par le logiciel. Ceci signifie qu'au-delà du seuil de 5%, le régresseur ne contribue pas de manière significative à l'explication du modèle par la régression ainsi définie.

Les équations des modèles mettent aussi en relation la somme des contributions des régresseurs retenus et pondérées chacune d'un coefficient, le tout corrigé d'un autre coefficient constant.

L'importance des régresseurs (ici les paramètres dendrométriques) varie d'une plantation à une autre mais aussi d'un type de régression à un autre. L'analyse des caractéristiques des régressions linéaires simples laisse apercevoir en général et dans l'ordre une meilleure contribution de la HT puis du DmH par rapport à celle du DB.

Au plan des régressions relatives à la HT, les plantations de 2003 écartement 25/25 (40 individus inventoriés) et de 2005 écartement 50/50 (17 individus inventoriés) présentent d'assez bonnes caractéristiques en termes de coefficient de détermination (0,706 en 2003 et 0,668 en 2005), de statistique de Durbin-Watson partout proche de sa valeur normale de deux (1,951 en 2003 et 2,368 en 2005) et de la probabilité de la variable de Fischer très inférieure au seuil de 5%. La statistique de Durbin-Watson (d), si elle est proche de sa valeur normale (02) traduit une indépendance de l'ordre d'observation des individus pendant l'inventaire, ce qui signifie que l'ordre d'observation des individus pendant l'inventaire ne joue pas sur les résultats obtenus. La probabilité de la statistique de Fischer (Pr>F) traduit quant à elle le degré de liaison des régresseurs au modèle de régression considéré, c'est-à-dire que si elle est inférieure ou égale à son seuil de 5% il y a alors une bonne liaison entre les régresseurs et le modèle. Cependant, alors que les caractéristiques de la plantation de 2003 (voir les tableaux N° 6 et 7 et les figures N° 26 à 31) écartement 50/50 (27 individus inventoriés) présentent un coefficient de détermination moyen (0,528) et de bonne probabilité de la statistique Fischer (très inférieure au seuil de 5%) et une bonne statistique de Durbin-Watson (2,049), celles des plantations de 2004 écartement 25/25 et 50/50 et de 2006 écartement 25/25 (respectivement 31, 30 et 36 individus inventoriés) présentent de mauvais coefficients de détermination allant de inférieur à très inférieur à la moyenne (0,453 en 2004 écartement 25/25, 0,193 en 2004 écartement 50/50 et 0,014 en 2006) mais de bonnes probabilités de la statistique de Fischer ainsi que de bonnes statistiques de Durbin-Watson proche de sa valeur normale (02) sauf en 2006 où elles sont sorties de leur valeur normale. En somme, la HT apparaît en général comme un assez bon régresseur malgré la faiblesse des coefficients de détermination observée en 2004 et 2006.

Tableau 3: R écapitulatif des caractéristiques des r égressions relatives a la HT (Djirnda).

Année

Régresseur

Pr Stat de Fischer

Stat de Durbin-Watson

Coef. de dét. (R2)

2003 (25/25)

HT

0,0001

1,951

0,706

2003 (50/50)

HT

0,0001

2,049

0,528

2004 (25/25)

HT

0,0001

2,304

0,453

2004 (50/50)

HT

0,012

2,286

0,193

2005

HT

0,0001

2,368

0,668

2006

HT

0,485

1,411

0,014

Tableau 4 :Récapitulatif des equations des regressions relatives a la HT (Djirnda).

Année

Equations des modèles

2003 (25/25)

Biom sèche(kg) = -0,750 + 0,656*HT (m)

2003 (50/50)

Biom sèche (kg) = -0,356 + 0,640*HT (m)

2004 (25/25)

Biom sèche (kg) = -0,129 + 0,290*HT (m)

2004 (50/50)

Biom sèche (kg) = -7,801E-02 + 0,296*HT (m)

2005

Biom sèche (kg) = -0,162 + 0,386*HT (m)

2006

Biom sèche (kg) = 1,179E-02 + 1,507E-02*HT (m)

0,7

0,6

Observations et droite de régression

-0,1

0,5

0,4

0,3

0,2

0,1

0

0 0,5 1 1,5

-0,2

HT (m)

Figure 24 : Nuage de points et droite de regression de la plantation 2003 écartement 25/25.

Observations et droite de régression

 

1,2
1
0,8

 
 
 

0,6 0,4 0,2 0

0 0,5 1 1,5 2

HT (m)

Figure 25 : Nuage de points et droite de régression de la plantation 2003 écartement 50/50.

Observations et droite de régression

 

0,2 0,18 0,16 0,14

 
 
 
 

0,12 0,1 0,08 0,06 0,04 0,02

0

0 0,2 0,4 0,6 0,8 1

HT (m)

Figure 26 : Nuage de point et droite de r égression de la plantation 2004 écartement 25/25.

Observations et droite de régression

 

0,4 0,35 0,3

 
 

0,25

 

0,2 0,15 0,1 0,05

0

0 0,2 0,4 0,6 0,8 1 1,2

HT (m)

Figure 27 : Nuage de points et droite de régression de la plantation 2004 écartement 50/50.

Observations et droite de régression

 

0,18 0,16 0,14 0,12

 
 
 

0,1 0,08 0,06 0,04 0,02

0

0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8

HT (m)

Figure 28 : Nuage de points et droite de régression de la plantation 2005 écartement 50/50.

Observations et droite de régression

 

0,045 0,04 0,035 0,03

 
 
 

0,025 0,02 0,015 0,01 0,005

0

0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8

HT (m)

Figure 29 : Nuage de points et droite de régression de la plantation 2006 écartement 25/25.

Au plan des régressions relatives au DmH (voir les tableaux N° 8 et 9), les plantations de 2003 écartement 25/25 et 2005 écartement 50/50 présentent des coefficients de détermination moyens (0.64 en 2003 et 0.63) pour de bonnes probabilités de la statistique de Fischer (très inférieure au seuil de 5%) et de bonnes statistiques de Durbin-Watson (1.91 en 2003 et 2.13 en 2005). Cependant, les autres plantations présentent des coefficients de détermination allant de faible à très faible (0.29 en 2003 écartement 50/50, 0.04 et 0.07 en 2004 écartement 25/25 et 50/50 et 0.30 en 2006 écartement 25/25) pour de bonnes probabilités de la statistique de Fischer en 2003 écartement 50/50 et en 2006 écartement 25/25 ainsi que de bonnes statistiques de Durbin-Watson. Le DmH apparaît comme un mauvais régresseur en raison de sa faible contribution en termes de coefficient de détermination ce qui ne favorise pas l'explication des observations par les modèles ainsi définis. En outre, la faiblesse des DmH et le degré de précision des instruments de mesure utilisés ont fait que, les nuages de points présentent des répartitions verticalement superposées en classes de même DmH, ce qui ne favorise pas beaucoup l'interprétation des observations (voir les figures N° 32 à 37).

Tableau 5 : R écapitulatif des caract éristiques des r égressions relatives au DmH (Djirnda).

Année

Régresseur

Pr Stat de Fischer

Stat de Durbin Watson

Coef. de dét. (R2)

2003 (25/25)

DmH

0,0001

1,912

0,637

2003 (50/50)

DmH

0,003

1,716

0,295

2004 (25/25)

DmH

0,237

2,165

0,045

2004 (50/50)

DmH

0,144

1,896

0,070

2005

DmH

0,0001

2,123

0,631

2006

DmH

0,001

1,691

0,298

Tableau 6 : R écapitulatif des équations des r égressions relatives au DmH (Djirnda).

Année

Equations des modèles

2003 (25/25)

Biom. sèche (kg) = -0,190 + 0,673*DmH (cm)

2003 (50/50)

Biom. sèche (kg) = -1,810E-02 + 0,521*DmH (cm)

2004 (25/25)

Biom. sèche (kg) = 6,041E-02 + 3,976E-02*DmH (cm)

2004 (50/50)

Biom. sèche (kg) = 6,819E-02 + 5,545E-02*DB (cm)

2005

Biom. sèche (kg) = -6,684E-02 + 0,163*DmH (cm)

2006

Biom. sèche (kg) = -1,420E-03 + 6,063E-02*DmH (cm)

Observations et droite de régression

 

0,7
0,6
0,5

 
 
 
 

0,4 0,3 0,2 0,1 0

0 0,2 0,4 0,6 0,8 1 1,2

DmH (cm)

Figure 30: Nuage de points et droite de r égression de la plantation 2003 écartement 25/25.

Observations et droite de régression

 

1,2
1
0,8

 
 
 

0,6 0,4 0,2 0

0 0,2 0,4 0,6 0,8 1 1,2 1,4 1,6

DmH (cm)

Figure 31 : Nuage de points et droite de régression de la plantation 2003 écartement 50/50.

Observations et droite de régression

 

0,2 0,18 0,16 0,14

 
 
 
 

0,12 0,1 0,08 0,06 0,04 0,02

0

0 0,2 0,4 0,6 0,8 1 1,2 1,4

DmH (cm)

Figure 32 : Nuage de points et droite de régression de la plantation 2004 écartement 25/25.

Observations et droite de régression

 

0,4 0,35 0,3

 
 

0,25

 

0,2 0,15 0,1 0,05

0

0 0,2 0,4 0,6 0,8 1 1,2 1,4

DmH (cm)

Figure 33 : Nuage de points et droite de régression de la plantation 2004 écartement 50/50.

Observations et droite de régression

 

0,18 0,16 0,14 0,12

 
 
 

0,1 0,08 0,06 0,04 0,02

0

0 0,2 0,4 0,6 0,8 1 1,2 1,4

DmH (cm)

Figure 34 : Nuage de point et droite de régression de la plantation 2005 écartement 50/50.

Observations et droite de régression

 

0,045 0,04 0,035 0,03

 
 
 

0,025 0,02 0,015 0,01 0,005

0

0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6

DmH (cm)

Figure 35 : Nuage de points et droite de régression de la plantation 2006 écartement 25/25.

Enfin, au plan des régressions relatives au DB (voir les tableaux N° 10 et 11), toutes les plantations présentent de faible à très faible coefficients de détermination pour des statistiques de Fischer supérieures à la valeur seuil de 5% sauf au niveau des plantations de 2004 écartement 25/25 et 2005 écartement 50/50 où elles sont au-dessous de la valeur seuil de 5%. Cependant, les statistiques de Durbin-Watson sont partout appréciables et proches de la valeur normale sauf en 2003 écartement 50/50 et 2006 écartement 25/25. Les caractéristiques des régressions laissent constater que le DB ne constitue pas un bon régresseur de par ses coefficients de détermination partout très faible mais aussi par ses probabilités de la statistique de Fischer très supérieures et traduisant sa non liaison aux modèles définis. Aussi, pareille pour le DmH, l'existence des classes de même DB a fait que les nuages de points présentent des observations verticalement superposées comme le montrent les figures N° 38 à 43.

Tableau 7 : R écapitulatif des caract éristiques des r égressions relatives au DB (Djirnda).

Année

Régresseur

Pr Stat de Fischer

Stat de Durbin Watson

Coef. de dét. (R2)

2003 (25/25)

DB

0,575

1,855

0,008

2003 (50/50)

DB

0,071

1,360

0,124

2004 (25/25)

DB

0,004

1,956

0,237

2004 (50/50)

DB

0,313

1,862

0,034

2005

DB

0,035

1,417

0,237

2006

DB

0,570

1,467

0,010

Tableau 8 : R écapitulatif des équations des r égressions relatives au DB (Djirnda).

Année

Equations des modèles

2003

(25/25)

Biom sèche(kg) = 0,220 + 3,553E-02*DB (cm)

2003

(50/50)

Biom sèche (kg) = -6,614E-02 + 0,288*DB (cm)

2004

(25/25)

Biom sèche (kg) = 0,164 -0,051*DB (cm)

2004

(50/50)

Biom sèche (kg) = 6,819E-02 + 5,545E-02*DB (cm)

2005

Biom sèche (kg) = -3,505E-02 + 7,916E-02*DB (cm)

2006

Biom sèche (kg) = 1,451E-02 + 9,119E-03*DB (cm)

Observations et droite de régression

 

0,7
0,6
0,5

 
 
 
 

0,4 0,3 0,2 0,1 0

0 0,5 1 1,5 2 2,5 3

D B (cm)

Figure 36 : Nuage de points et droite de régression de la plantation 2003 écartement 25/25.

Observations et droite de régression

 

1,2
1
0,8

 
 
 

0,6 0,4 0,2 0

1 1,5 2 2,5 3

DB (cm)

Figure 37 : Nuage de points et droite de régression de la plantation 2003 écartement 50/50.

0,08

0,06

0,04

0,02

0,18

0,16

0,14

0,12

0,2

0,1

0

1 1,5 2 2,5 3

DB (cm)

Observations et droite de régression

Figure 38 : Nuage de points et droite de régression13 de la plantation 2004 écartement 25/25.

13 La tendance régressive de la variation de biomasse par rapport aux DB n'est pas normale, elle témoigne d'un certain nombre d'anomalies. Elle pourrait avoir pour cause des erreurs de mesure des DB, de la pesée des échantillons ou bien leur séchage.

Observations et droite de régression

 

0,4 0,35 0,3

 
 

0,25

 

0,2 0,15 0,1 0,05

0

0 0,5 1 1,5 2 2,5

DB (cm)

Figure 39 : Nuage de points et droite de régression de la plantation 2004 écartement 50/50.

Observations et droite de régression

 

0,18 0,16 0,14 0,12

 
 
 

0,1 0,08 0,06 0,04 0,02

0

1 1,5 2 2,5 3

DB (cm)

Figure 40 : Nuage de points et droite de régression de la plantation 2005 écartement 50/50.

Observations et droite de régression

 

0,045 0,04 0,035 0,03

 
 
 

0,025 0,02 0,015 0,01 0,005

0

0 0,2 0,4 0,6 0,8 1

D B (cm)

Figure 41 : Nuage de points et droite de régression de la plantation 2006 écartement 25/25.

L'analyse des régressions multiples (voir les tableaux N° 12 13) laisse apercevoir de bonnes caractéristiques par rapport aux régressions linéaires simples, ce qui s'explique par le fait que les régressions multiples cumulent la contribution de tous les paramètres dendrométriques alors que les régressions simples ne se contentent que de celle de leur paramètre dendrométrique considéré.

Les plantations de 2003 écartement 25/25 et de 2005 écartement 50/50 présentent de très bon coefficient de détermination partout supérieur à 0,70 pour de très bonnes probabilités de la statistique de Fischer très inférieures au seuil de 5% et de bonnes statistiques de Durbin-Watson partout proches de la valeur normale (02), ce qui témoigne d'une bonne contribution des régresseurs aux modèles mais aussi de l'indépendance de leurs observations.

Les plantations de 2003 écartement 50/50 et 2004 écartement 25/25 présentent d'assez bons coefficients de détermination supérieurs à 0,50 pour de bonnes probabilités de la statistique de Fischer inférieures au seuil de 5% ainsi que de bonnes statistiques de Durbin-Watson proches de la valeur normale (02). Cependant, seules les plantations de 2004 écartement 50/50 et 2006 écartement 25/25 présentent de faibles coefficients de détermination inférieurs à 0,50 pour une bonne probabilité de la statistique de Fischer inférieure au seuil de 5% en 2006 alors qu'elle dépasse ce dit seuil en 2004 ce qui traduit la non liaison des régresseurs au modèle

ainsi défini. Cependant leur statistique de Durbin-Watson proche de la valeur normale (02) traduit une indépendance entre les observations des individus lors de l'inventaire. Les régressions linéaires multiples par leur particularité à combiner la contribution de tous les régresseurs utilisés et leurs caractéristiques partout généralement bonnes constituent le meilleur type de régression applicable à notre étude car expliquant de manière significative la productivité végétale au niveau du site de Djirnda.

Tableau 9 : récapitulatif des régressions allom étriques multiples (Djirnda).

Année

Equations des modèles

2003

(25/25)

Biom sèche(kg) = -0,585 + 0,329*DmH (cm) -3,847E-02*DB (cm) + 0,441*HT (m)

2003

(50/50)

Biom sèche (kg) = -0,498 + 5,671E-02*DmH (cm) + 9,377E-02*DB (cm) + 0,572*HT (m)

2004

(25/25)

Biom sèche (kg) = -4,138E-02 + 0,035*DmH (cm) -4,398E-02*DB (cm) + 0,222*HT (m)

2004

(50/50)

Biom sèche (kg) = -8,302E-02 + 0,128*DmH (cm) -6,896E-02*DB (cm) + 0,298*HT (m)

2005

Biom sèche (kg) = -0,170 + 0,100*DmH (cm) -3,289E-03*DB (cm) + 0,259*HT (m)

2006

Biom sèche (kg) = -6,629E-03 + 6,210E-02*DmH (cm) + 1,075E-02*DB (cm) -4,341E-03*HT (m)

Tableau 10 : R écapitulatif des caract éristiques des r égressions multiples (Djirnda).

Année

Régresseurs

Pr Stat de Fischer

Stat de Durbin Watson

Coef. de dét. (R2)

2003 (25/25)

DmH DB et HT

0,0001

1,820

0,778

2003 (50/50)

DmH DB et HT

0,0003

1,973

0,544

2004 (25/25)

DmH DB et HT

0,0001

2,231

0,593

2004 (50/50)

DmH DB et HT

0,057

2,400

0,232

2005

DmH DB et HT

0,0001

3,071

0,825

2006

DmH DB et HT

0,0001

1,703

0,312

En outre, les résidus centrés réduits obtenus en divisant les résidus centrés par l'écart type résiduel et toujours théoriquement de moyenne nulle, permettent de mettre en évidence d'éventuelles anomalies existant dans les données initiales. Dangélie (1992) a attesté que pour une distribution normale ou approximativement normale les résidus centrés réduits inférieurs à -3 ou -2 ou supérieurs à +2 ou +3 traduisent une éventuelle anomalie au niveau des données initiales nécessaire à découvrir. Ainsi, l'observation de divers résidus centrés réduits ci-dessous (voir les figures N° 44 à 49) laisse apercevoir quelques anomalies en 2003 écartement 25/25 (29ème individu), en 2004 écartement 25/25 (21ème individu) et en 2004

écartement 50/50 (2ème 6ème et 22ème individus), pouvant être attribuées aux erreurs de mesures dues à l'inadvertance de l'opérateur qui à la charge des mesures.

Ind40

Ind37

Ind34

Ind28

Ind25

Ind22

Ind31

Ind19

Ind16

Ind13

Ind10

Ind7

Ind4

Ind1

-3 -2 -1 0 1 2 3

Résidus centrés-réduits

Résidus centrés-réduits

Figure 42 : R ésidus centrés r éduits de la plantation 2003 écartement 25/25.

Ind27

Ind25

Ind23

Ind21

Ind19

Ind17

Ind15

Ind13

Ind11

Ind9

Ind7

Ind5

Ind3

Ind1

-2 -1,5 -1 -0,5 0 0,5 1 1,5 2

Résidus centrés-réduits

Résidus centrés-réduits

Figure 43 : R ésidus centrés r éduits de la plantation 2003 écartement 50/50.

Ind28

Ind25

Ind22

Ind31

Ind19

Ind16

Ind13

Ind10

Ind7

Ind4

Ind1

-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4

Résidus centrés-réduits

Résidus centrés-réduits

Figure 44 : R ésidus centrés r éduits de la plantation 2004 écartement 25/25.

Ind28

Ind25

Ind22

Ind31

Ind19

Ind16

Ind13

Ind10

Ind7

Ind4

Ind1

-3 -2 -1 0 1 2 3

Résidus centrés-réduits

Résidus centrés-réduits

Figure 45 : R ésidus centrés r éduits de la plantation 2004 écartement 50/50.

61

Ind19

Ind17

Ind15

Ind13

Ind11

Ind9

Ind7

Ind5

Ind3

Ind1

Résidus centrés-réduits

-2 -1,5 -1 -0,5 0 0,5 1 1,5 2

Résidus centrés-réduits

Figure 46 : R ésidus centrés r éduits de la plantation 2005 écartement 50/50.

Ind34

Ind28

Ind25

Ind22

Ind31

Ind19

Ind16

Ind13

Ind10

Ind7

Ind4

Ind1

-2,5 -1,5 -0,5 0,5 1,5 2,5

Résidus centrés-réduits

Résidus centrés-réduits

Figure 47 : R ésidus centrés r éduits de la plantation 2006 écartement 25/25.

précédent sommaire suivant






Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy








"L'imagination est plus importante que le savoir"   Albert Einstein