4.2.6.4. Évapotranspiration potentielle et
expression de la variable temporelle (mois)
4.2.6.4.1. Évapotranspiration
potentielle
Sur l'ensemble de la période d'étude (1971
à 1997), la plus grande valeur d'évapotranspiration potentielle,
déterminée en mars 1983 et 1990 avec la méthode de
Thornthwaite, est égale à 220 mm et la plus petite valeur est de
80 mm, déterminer en Août 1971. L'étendue est donc
estimée à 140 mm. Cela montre une très grande dispersion
des ETP sur l'ensemble de la période d'étude. La lecture de la
figure 38 montre que l'ETP présente
généralement deux grandes évolutions au cours de
l'année sur l'ensemble de la zone d'étude. En effet, de janvier
à mars, l'ETP et les précipitations évoluent de
façon proportionnelle. Après mars, les deux variables sont
inversement proportionnelles ; car, lorsque l'ETP augmente, la pluie diminue et
vis- versa.
Quantite Beau en mm
350,00
300,00
250,00
200,00
150,00
100,00
50,00
0,00
janvier
fevrier
mars
avril
mai
juin
Mois
juillet
adit
septembre
octobre
novembre
decembre
Précipitation (mm) ETP (mm)
Figure 38 : Évolution des ETP
et des précipitations sur la zone d'étude
4.2.6.4.2. Variable temporelle (le mois)
Les chiffres affectés aux différents mois sont
compris entre 0,08 et 1. La figure 39 donne les
différentes valeurs des mois qui ont été codés en
fonction des températures enrégistrées à la station
de Bada.
Figure 39 : Codage des mois à
partir des températures moyennes mensuelles de la station de Bada
Les mois ainsi codés sont introduits dans les
modèles de réseaux de neurones développés dans ce
mémoire.
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