CONCLUSION GENERALE
Nous sommes au terme de notre travail qui a porté sur
« l'analyse financière d'une institution sanitaire, cas de
l'hôpital Heal Africa de 2008 à 2010 ».
L'objectif que nous nous sommes assigné était
celui de découvrir l'état de la santé de
« l'hôpital Heal Africa ». La préoccupation
à travers cette recherche s'est donc traduite par la question principale
qui se formule de la manière
suivante : « l'hôpital Heal Africa était-il en
bonne santé financière de 2008 à
2010 ? ».
De cette question découlent les sous questions
suivantes :
1. L'hôpital Heal Africa parvient-il à maintenir
l'équilibre financier ?
2. Quel est le niveau de rentabilité de
l'hôpital Heal Africa ?
Au vu de ces questions, nous avons émis les
hypothèses suivantes :
1. Etant donné que Heal Africa continue à se
maintenir, nous croyons qu'il respecterait l'équilibre financier;
2. L'hôpital Heal Africa dégagerait une
rentabilité satisfaisante au cours de la période
d'étude.
Dans la démarche de la vérification des
hypothèses du travail, nous avons utilisé techniques
documentaires qui nous a conduits à consulter, les états de
synthèses de l'hôpital Heal Africa de comprendre qui
nécessiteraient des informations supplémentaires.
Nous avons aussi fait recours à la méthode
analytique qui nous a permis de dégager certains indicateurs de la
structure et de la performance financière.
Après étude et analyse des données
recueillies, nous avons abouti aux résultats suivants :
Les fonds de roulement a été positif pour toute
la période étudié. Ainsi, l'hôpital Heal Africa a
maintenu son équilibre financier. Ce qui confirme notre première
hypothèse.
Le besoin en fonds de financement a été positif
pour toute la période. Cela montre que l'hôpital a
éprouvé le besoin en financement pour toutes les
années.
La trésorerie nette a été positive pour
trois années. Ce qui signifie que la mesure de la solvabilité a
été très supérieure à 1. Le coefficient
prouve que l'hôpital peut faire face à toutes ces dettes à
court terme.
Toutes ces considérations, nous poussent à
confirmer nos hypothèses. Nous terminons notre conclusion en sollicitant
l'indulgence des lecteurs pour les fautes de quelques natures que se soit
qu'ils pourront décoller dans ce travail. Nous n'avons pas la
prétention d'avoir épuisé le sujet ni de l'avoir
traité de la meilleure façon.
Nous croyons néanmoins avoir atteint notre objectif.
Pour le reste d'autres chercheurs pourront se servir de cette étude qui
pour eux une source d'investigation et on espère qu'ils pourront nous
compléter.
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