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Evaluation d'impact du projet d'appui à  la sécurisation des systèmes de production agricole de Maradi au Niger (PASSPA / PN7 )

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par Mahaman Sani GARBA
Université Paris 1 Sorbonne / CEFEB ( centre d 'études financières économiques et bancaires ) - Diplôme d'études supérieures spécialisées en gestion des projets et programmes de développement 2005
  

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Section 2.5 : Les principales activités du projet

Pour lever les contraintes liées aux conditions de vie des communautés, le projet avait soutenu dix (10) grandes catégories d'activités. Les neufs premières étaient destinées à réaliser l'objectif intermédiaire N°1. Quant à la dernière, consacrée à la formation, elle était destinée à concrétiser l'objectif intermédiaire N°2.

Sous-section 2.5.1 Les activités d'appui aux aménagements durables

Cette catégorie d'activités devait concourir à l'amélioration de l'environnement biophysique des exploitations agricoles et était constituée de cinq (5) types d'activités suivantes:

- l'aménagement des aires de pâturages ;

- la protection de la régénération naturelle ;

- le traitement des berges de Koris ;

- l'aménagement des couloirs de passage des animaux ;

- la récupération des terres de glacis.

Les activités d'aménagement durable étaient organisées par les villageois en collaboration avec le projet. La recherche d'un développement participatif villageois était au centre du processus, avec l'assemblée villageoise comme acteur principal. Dans ce genre d'action, les autorités coutumières et parfois administratives devaient jouer un grand rôle pour les tracés des couloirs de passage des animaux, le transfert des aires de pâturage et pour la légalisation des actes en tant que responsables directes de la gestion des espaces inter communautaires.

Sous-section 2.5.2 : Les activités de mises en contact pour l'approvisionnement

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Ces activités devaient renforcer le capital d'exploitation. Elles concernaient la mise en contact

et la facilitation pour l'achat d'intrants, d'équipements agricoles et d'équipements

communautaires comme le moulin.

Cette catégorie avait regroupé cinq (5) types d'activités destinées à la mise en contact

pour l'achat:

- des produits phytosanitaires ;

- des produits zoovétérinaires ;

- des semences améliorées ;

- d'équipements ;

- et de moulin.

Sous-section 2.5.3 : Les activités de mises en contact pour l'obtention du crédit

Ces activités étaient destinées à renforcer le capital d'exploitation à travers le renforcement des moyens de financement des travaux d'exploitation. Les crédits pour lesquels ces activités devaient être conduites étaient nombreux et variés. Nous pouvons les classer en cinq (5) catégories: il s'agissait (1) du crédit agricole destiné à l'achat d'équipements agricoles, d'intrants et à la consommation, (2) du crédit pour la commercialisation, (3) du crédit pour l'embouche, (4) du crédit pour le fonds de roulement et (5) du crédit pour l'élevage.

Les ménages avaient principalement accès au crédit par le biais de l'Ong Kokari (CLUSA) avec un taux d'intérêt de 15%. Les conditions d'adhésion et d'obtention du crédit étaient les suivantes :

- Reconnaissance juridique de l'organisation paysanne ;

- Apport individuel de 25% de la somme demandée ;

- 2% à payer à l'Ong Kokari pour le suivi des dossiers.

Sous-section 2.5.4 : Les activités de mise en contact pour l'hydraulique

Ces activités devaient concourir à l'amélioration de la santé humaine par la disponibilité et la suffisance d'eau potable. Elles avaient consisté en la mise en contact et la facilitation pour aménager des mares, curer, foncer ou réhabiliter des puits ou des forages.

Sous-section 2.5.5 : Les activités d'appui à l'émergence d'organisations socioéconomiques paysannes

Il s'agissait essentiellement des appuis à la création et à la légalisation des organisations paysannes. Ces organisations devaient jouer un important rôle dans l'approche du projet.

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Sous-section 2.5.6 Les petites activités génératrices de revenus

Ces activités pratiquées exclusivement par les femmes, étaient destinées à améliorer les revenus des ménages afin d'agir sur tous les facteurs de production dont la terre, le travail et le capital d'exploitation. Elles étaient surtout destinées à la transformation et à la vente des produits agricoles, aux petits commerces et à l'embouche.

Sous-section 2.5.7 Les activités d'appui aux productions végétales

Ces activités devaient agir sur le capital d'exploitation (approvisionnement en intrants) et le

travail en facilitant l'approvisionnement alimentaire pendant les périodes de soudure. Ceci

éviterait aux ménages les plus vulnérables de vendre leur main d'oeuvre afin de se consacrer à

leurs propres travaux agricoles.

Ces activités avaient concerné :

- le champ collectif des femmes ;

- le champ collectif des hommes ;

- le champ collectif des jeunes ;

- le champ collectif mixte ;

- le champ d'essai en milieu paysan portant sur des pratiques et techniques culturales ;

- le champ de multiplication des semences;

- le champ d'essai en milieu paysan portant sur la variété, la résistance, la productivité.

Les champs collectifs étaient également des terrains où le projet pouvait appuyer les

producteurs en matière de transfert de technologie dans les domaines des techniques

culturales et de l'application de la fumure.

Sous-section 2.5.8 : Les services d'appui villageois de type 1

Ils étaient au nombre de neuf (9) et avaient concerné la création et la viabilisation de:

- banques céréalières ;

- banques d'engrais

- banques de semences ;

- banques de souchets ;

- centres d'alphabétisation ;

- dépôts de produits phytosanitaires ;

- dépôts de produits zoovétérinaires ;

- pépinières villageoises ;

- boutiques villageoises.

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Les banques de céréales et de semences avaient pour objet de contribuer de façon significative à stabiliser les prix des productions agricoles dès la récolte selon l'importance de l'approvisionnement. Elles étaient également destinées à protéger les ménages très vulnérables de la vente de leurs main d'oeuvre afin de se consacrer pleinement à la conduite de leur calendrier agricole.

a) Mise en oeuvre et cycle de fonctionnement des banques céréalières

Les magasins servant de banques étaient construits par les membres des communautés qui apportaient tous les éléments nécessaires à l'exception des portes, des fenêtres et des charpentes qui étaient à la charge du projet.

Le cycle de fonctionnement des banques céréalières se présentait généralement comme suit :

- collecte des céréales pendant la récolte et/ou récupération et reconstitution du stock de céréales prêtées ;

- vente des céréales à crédit dont le remboursement se faisait avec un intérêt dont le montant était arrêté par la communauté;

- reconstitution du stock à travers le remboursement des emprunts (en nature ou en espèce avec intérêt), nouvelle collecte des céréales auprès des ménages ou au niveau des champs collectifs.

b) Mise en oeuvre et cycle de fonctionnement des banques de semences d'arachide

La mise en oeuvre et le cycle de fonctionnement des banques de semences étaient identiques à ceux des banques céréalières. Mais compte tenu de l'insuffisance des semences pour couvrir les besoins des communautés, celles-ci avaient recours au crédit avec l'appui du projet.

c) Mise en oeuvre et cycle de fonctionnement des banques d'engrais et de sécurisation des souchets

Elles présentaient le même mode de mise en oeuvre et de fonctionnement que les banques précédentes.

d) Les pépinières villageoises

Elles avaient pour objet de produire des plants pour la satisfaction des besoins de la communauté et de ses membres individuellement. L'organisation de l'activité reposait sur la désignation d'un pépiniériste par les membres d'organisations paysannes auxquelles celui-ci rendait compte de l'évolution des activités. Le cycle de fonctionnement de cette activité etaient le suivant :

- recherche et mise en place des équipements (pelles, semences et pots) ;

- désignation et formation du pépiniériste ;

- processus de production ;

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- distribution des plants collectifs et individuels.

e) Les centres d'alphabétisation

Tout comme les pépinières villageoises, les centres d'alphabétisation étaient initiés par les villageois avec l'appui du projet et des services de l'alphabétisation. Leur cycle de fonctionnement couvrait quatre (4) à cinq (5) semaines dans l'année. Ils touchaient un auditoire exclusivement composé des membres des organisations villageoises.

f) Les dépôts des produits phytosanitaires et zoovétérinaires

Ces services d'appui étaient nés des difficultés rencontrées par les communautés pour disposer des produits de traitement après une attaque des cultures par les animaux (criquets, vers de terre, gerboises etc.). Leur cycle était calé sur celui d'une campagne agricole et comprenait les étapes suivantes :

- constitution de fonds pour l'achat des produits par cotisation des membres de la communauté ; - approvisionnement ;

- gestion du produit selon la procédure arrêtée par les membres de la communauté (vente au comptant, à crédit ou troc) ;

- reconstitution des fonds et approvisionnement.

Sous-section 2.5.9: Les services d'appui villageois de type 2 constitués par des groupements d'épargne et de crédit

Ces services destinés aux femmes, étaient perçus par le projet comme un des moyens qui pouvait lui permettre d'impliquer davantage celles-ci dans le processus de développement. Les groupements d'épargne et de crédit étaient basés sur la mobilisation des ressources financières du village afin de favoriser une autonomie financière des femmes.

Il s'agissait essentiellement d'une forme d'organisation initiée par les femmes dans l'optique de mobiliser des ressources financières locales pour développer des activités économiques (le petit commerce ou l'embouche) ou répondre à certains besoins sociaux tels que les mariages et les baptêmes.

Les groupements d'épargne avaient fonctionné sur le principe de la tontine améliorée qui consistait en des cotisations hebdomadaires (de 50 à 500 Fcfa) en fonction de l'économie du village. L'épargne constituée devait permettre aux participantes de contracter de petits crédits (en cas de besoin) remboursables avec un intérêt de 5 à 10%, selon une périodicité bien définie.

On distinguait quatre (4) types de services d'appui de type 2 qui sont:

- les groupements d'épargne et de crédit pour femmes

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- les groupements d'épargne et de crédit pour hommes - les groupements d'épargne et de crédit pour jeunes - les groupements mixtes d'épargne et de crédit

Sous-section 2.5.10 : Les activités de formation

Ces activités étaient destinées à améliorer les connaissances, aptitudes et comportements des producteurs et à renforcer leur technicité.

C'était la catégorie qui avait regroupé le plus grand nombre d'activités (28).

Au sein du projet PASSPA, les activités de formation étaient coordonnées par la cellule audiovisuelle (CAV) dont le rôle était de réunir les conditions d'atteintes des objectifs suivants : (i) accroître la disponibilité des informations relatives aux activités et aux systèmes de productions et exploitations agricoles ; (ii) disposer et diffuser des informations techniques de qualité.

Ces formations destinées à renforcer les capacités des bénéficiaires étaient les suivantes:

formation des paysans en alimentation du bétail formation des paysans en dosage des engrais

formation d'animatrices et animateurs villageois formation des paysans en « compostage »

formation d'auxiliaires paravétérinaires formation d'enquêtrices et enquêteurs villageois

formation des membres des comités de gestion du initiation à la méthode active de la recherche participative

service d'appui villageois de type 1 et 2 (MARP)

le planning familial l'éducation nutritionnelle

formation de brigadiers phytosanitaires journées d'animation

formation des gérants des dépôts des produits phytosanitaires

formation des instructeurs villageois de centres d'alphabétisation

formation en protection de la régénération naturelle formation en protection des cultures et récoltes

visites de terrain dans la région du projet PASSPA formation en techniques de reboisement

formation des paysans en multiplication de semences voyages d'étude

formation en foyers améliorés formation en défense et restauration des sols

formation des agents de santé formation des auxiliaires de santé

formation de pépiniéristes villageois formation en construction sans bois

Toutes ces formations étaient dispensées, d'une part, par le projet seul quand il en avait la compétence et d'autre part, grâce à l'appui des partenaires extérieurs suivants :

- l'Union Nationale des coopératives (UNC) qui avait assuré la formation des comités de gestion et des gérants des dépôts des produits phytosanitaires et zoovétérinaires;

- l'ONG Karkara qui avait identifié et formé les animateurs villageois ;

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- la SIM6 qui s'était chargée de l'alphabétisation et de la formation des pépiniéristes

- le Service de l'élevage qui avait formé les auxiliaires paravétérinaires et les brigadiers phytosanitaires7.

Ces formations étaient reparties en deux grands groupes : les formations de type stratégique et celles de type programmatique.

Le premier groupe de formations relevait beaucoup plus de la stratégie d'intervention du projet. Il avait regroupé quatre types de formation à savoir (1) la formation d'animatrices et animateurs villageois, (2) la formation d'enquêtrices et enquêteurs villageois, (3) l'organisation des journées d'animation, (4) l'initiation des villageois à la MARP. Ces activités avaient permis au projet de progresser dans la création d'un cadre de développement villageois participatif et de partenariat dynamique.

Quant au second groupe, il était constitué d'activités conduites à la demande des communautés et avait regroupé les vingt-quatre formations restantes.

Dans son souci de pérenniser certaines activités, le projet avait formé des paysans dits de référence. Etait considéré comme paysan de référence, tout producteur ou toute productrice ayant reçu une ou plusieurs formations techniques et spécifiques lui permettant à travers son comportement, ses pratiques et son appui-conseil, d'influencer positivement les autres producteurs ou productrices de son milieu de vie. Cette influence devait surtout s'orienter vers l'amélioration de la performance des exploitations agricoles et celle de la qualité de vie des ménages. C'est ainsi qu'étaient considérées comme paysans de référence toutes les personnes résidant au village et ayant reçu au moins une formation dans un ou plusieurs domaines ci-dessous :

Agent de santé Alimentation du bétail Dosage des engrais

Auxiliaire de santé Animation villageoise Compostage

Membre de comité de gestion Education nutritionnelle Foyers améliorés

Pépiniéristes villageois Protection des cultures et récoltes Multiplication de semences

Brigadier phytosanitaire Planning familial Reboisement

Les méthodes de formation généralement utilisées par le projet ou ses partenaires étaient les suivantes : (1) formation sur place par groupe d'intérêt, (2) voyage d'études, (3) visites commentées, (4) visites inter villages, (5) ateliers, (6) conférences, (7) projection de film vidéo,

6 Soudan Interior Mission

7 Rapport de l'évaluation de la cellule audiovisuelle du projet, Boucar G et Seye, 1997.

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(8) projection de diapositives, (9) écoute collective, (10) diffusion de messages éducatifs dans les brochures, les affiches et les radios locales.

Tableau 2.1 Relations entre les activités du PASSPA et les facteurs de production visés

Catégorie d'activités soutenues par le PASSPA

Principaux facteurs de production visés par les activités

1. Aménagements des parcours pastoraux, récupération des terres de glacis, traitement des berges de koris.

Terres ;

Environnement biophysique des exploitations agricoles ;

2. Production végétales sur champs collectifs ;

Capital d'exploitation (par l'accroissement collectif de la production et des revenus à travers des champs collectifs)

3. Formation, visites, voyages, services villageois d'appui à la formation des adultes.

Travail (meilleure technicité des producteurs par l'amélioration des connaissances, aptitudes et comportements)

4. services villageois d'appui à la production agricole ;

Capital d'exploitation (approvisionnement en intrants et produits zoovétérinaires)

~ Travail (en facilitant l'approvisionnement alimentaire pendant la soudure. Les banques de céréales rendent facultatifs le salariat agricole pour les plus vulnérables qui peuvent ainsi se consacrer à la conduite de leur calendrier agricole)

5. Services villageois d'appui au financement du micro crédit par le biais de l'épargne locale

capital d'exploitation (financement de la trésorerie).

6. Mise en contact et facilitation pour l'approvisionnement en intrants et produits phytosanitaires.

Capital d'exploitation

7. Mise en contact et facilitation pour l'amélioration de l'approvisionnement en eau

Travail (impact sur la santé à travers l'amélioration de la qualité et de la quantité d'eau de boisson) ;

~ Terre (effets des aménagements sur la relation sol-eau)

8. Mise en contact et facilitation pour l'obtention du crédit rural.

Capital d'exploitation (amélioration des moyens de financement des exploitations)

9. Développement des petites activités génératrices de revenus

terre, travail, capital (l'amélioration des revenus offre la possibilité d'agir sur tous les autres facteurs de production)

10. Appui à l'émergence des organisations socioéconomiques paysannes

Environnement socioorganisationnel des ménages

 

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A travers la multitude d'activités soutenues, le projet PASSPA est censé produire des impacts positifs sur l'état nutritionnel, alimentaire, sanitaire, économique, éducationnel, environnemental et social de la communauté cible. (voir tableau suivant)

Tableau 2.2 Catégorie d'activités et changements attendus au niveau des bénéficiaires

Groupe d'activités

Changements attendus au niveau des ménades

Changements attendus au niveau de la femme

Impact sur

- Services d'appui de type 1 (banques de céréalières, d'engrais et de semences, les pépinières villageoises etc.) - Activités de mise en contact pour approvisionnement

Disponibilité des céréales et d'intrants

Diminution des conflits intra ménages (moins de conflits liés à l'utilisation de l'épargne de la femme).

La sécurité alimentaire

- Services d'appui de type 2 Groupements d'épargnes et de crédit et les

- Petites activités

génératrices de revenus

- Augmentation du revenu des ménages,

- Accroissement du cheptel, - Réduction de la durée de la période de soudure.

- Cohésion au sein du ménage, - Réponse à certains besoins sociaux (alimentation, soins de santé, éducation des enfants etc.)

- Autonomie de la femme par rapport à certaines dépenses.

- Amélioration de la position stratégique de la femme au sein du ménage.

- Diversification des activités génératrices de revenus

- Diminution de la vente des petits ruminants qui font partie des principaux biens de la femme. -

La sécurité économique et sociale.

- Activités d'aménagements durables

- Activités de productions végétales

- Disponibilité en bois,

- Augmentation du revenu des ménages

- Augmentation de la

production et de la productivité des ressources naturelles, - Baisse de tension dans l'utilisation des parcours pastoraux.

-Disponibilité d'un moyen de contribution aux actions de développement communautaires sans ponction dans les biens du ménage.

Gain de temps chez les femmes Disponibilité d'un moyen de contribution aux actions de développement communautaires sans ponction dans les biens et l'épargne de la femme.

Accès des femmes aux terres (champ collectif)

La sécurité économique, environnementale et sociale (diminution des conflits intercommunautaires et des conflits entre agriculteurs et éleveurs).

- Activités de formation

- Renforcement du savoir.

- Renforcement de la cohésion sociale

- Amélioration de la santé humaine et animale, -Amélioration des pratiques nutritionnelles,

- Hausse du rendement agricole.

- Augmentation du taux d'alphabétisation

Maîtrise de nouvelles techniques ; Esprit d'organisation et de gestion Changement de comportement Homme/Femme

Changement de mentalité au niveau de la prise de décision, de la prise de la parole, de l'hygiène et de l'alimentation des enfants. Ouverture d'esprit suite aux voyages d'étude et aux fora d'échange.

La sécurité sanitaire, nutritionnelle, économique, sociale et éducationnelle

- Activités de mise en contact pour hydraulique

-Disponibilité en eau potable, - Baisse de la mortalité infantile due à l'absorption d'eau non potable.

Gain de temps

La sécurité sanitaire

- Activités d'appui à l'émergence d'organisations socioéconomiques paysannes

Disponibilité d'un cadre de concertation

Accès des femmes à la responsabilité communautaire,

Participation des femmes à la prise de décision au sein du ménage.

La sécurité sociale et économique

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"Soit réservé sans ostentation pour éviter de t'attirer l'incompréhension haineuse des ignorants"   Pythagore