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Etude des possibilités d'atténuation et d'adaptation au changement climatique des riverains dans les zones forestières et péri-forestières de Tiddas (plateau central, Maroc).


par Abderrahmane Moatassim
Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan-II - Ingénieur en agronomie & Option : Ecologie et Management des Ecosystèmes Naturels -EMEN 2019
  

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Conclusion

L'environnement physique de la région de Tiddas regorge des signes de dégradation du milieu. La topographie est disséquée ; le substrat géologique de la zone constituée de couches friables à dominance marneuse, et le climat semi-aride caractérisé par des orages violents et des sècheresses récurrentes. Les sols sont battants et pauvres en matière organique et offrent un cadre adéquat pour l'érosion hydrique et éolienne.

En plus, la dégradation de ce milieu s'aggrave sous des conditions socio-économiques caractérisées en particulier par, la gestion inappropriée des terres agricoles, le surpâturage, la pauvreté et des faibles revenus des exploitants.

Pour soutenir la fertilité de ces sols et remédier à la dégradation de leurs terres, les paysans de la zone apportent au fil du temps la confection des stratégies de conservation des eaux et des sols. Ces stratégies appliquées dans la région concernent des techniques agronomiques (rotation culturale, labour isohypse, apport de fumier dans le sol), végétale ou biologique (les haies, correction biologique des ravins, plantation fruitière) et physique (murettes en pierres sèches, terrasses, etc.).

La diversité des techniques de conservation des eaux et du sol menés localement dans la région témoigne d'un côté, d'une prise de conscience vis-à-vis de la rareté des ressources et du risque qu'elles encourent, et de l'autre côté, d'une richesse dans le savoir-faire paysan qui a pu résister aux différentes crises qui ont secoué la région. Certes, les observations de terrain montrent que la réalisation de ces techniques de CES dans la région ne sont pas suffisantes et restent très faibles et dispersées sur quelques parcelles, mais les paysans, ne prêtent pas beaucoup d'attention à leur entretien.

L'adaptation est donc intégrée dans la vie paysanne. Les mesures sont justifiées par l'adaptation qui produisent dans tous les cas, des bénéfices multiples et n'ont pas comme seule finalité l'adaptation climatique.

Par ailleurs, les organismes de recherche et de vulgarisation agricole sont amenés à associer les travaux de mise au point de variétés résistantes au changement climatique aux efforts d'amélioration des

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5.2.4 Recommandations et perspectives d'avenir

L'atténuation des effets des CC, exige la conservation et le développement des ressources naturelles de la forêt de Tiddas. Pour ce faire, il est indispensable de mettre en oeuvre un certain nombre d'actions viables sur le plan écologique et socio- économique et qui respectent les intérêts de la population. Parmi les principales actions, en vue d'assurer un développement harmonieux dans la zone étudiée, doivent être retenues :

? RENFORCEMENT DES CAPACITES ECONOMIQUES DES POPULATIONS LOCALES

Le réchauffement du système climatique est sans équivoque ; et les populations rurales ont pris conscience ses impacts négatifs sur les ressources naturelles, sur les productions en quantité et qualitatif, et sur l'espace rural. Le réchauffement induira sans nul doute, des modifications des cycles de l'eau, une dégradation des qualités des terres agricoles avec baisse de fertilité des sols, une érosion de la biodiversité et l'augmentation des risques parasitaires et sanitaires multiples, ce qui menacera sérieusement leur existence.

Pour renforcer les capacités économiques des populations locales et exercer un contrôle sur leur propre vie, les pouvoirs publics doivent mettre l'accent sur le rôle capital des compétences et des connaissances pour créer de nouvelles possibilités économiques et d'emploi pour le monde rural et particulièrement la frange de la population en situation de précarité.

Pour être en phase avec les orientations stratégiques du pays, qui visent l'amélioration du niveau de vie des populations par la mise en oeuvre des projets de développement agricoles intégrés, la mobilisation des ressources en eau de surface, l'aménagement et l'amélioration des parcours, la lutte contre l'érosion hydrique et éolienne (ensablement), la conduite des actions en mesure de permettre une meilleure conservation de la nature.

Sur le plan agricole, l'adoption des pratiques agroécologiques ouvre la voie à la restructuration d'économies villageoises, basées sur une agriculture familiale, écologique, et génératrice de revenus. L'agroécologie permet ainsi aux paysans de sortir de la situation de dépendance dans laquelle ils sont bien souvent enserrés.

Si l'on veut pratiquer une agriculture intelligente face aux changements climatiques, l'une des principales exigences consiste en le renforcement des capacités des agropasteurs à mettre en pratique le savoir-faire ancestral et maitriser les techniques agricoles modernes d'adaptation au CC.

Ces paysans pourraient en effet produire leurs propres semences, et les réutiliser d'une année sur l'autre. Il en est de même pour les engrais et les pesticides, qui pourraient être élaborés gratuitement et de manière écologique à partir de plantes disponibles localement. La mise en pratique de l'agroécologie permet ainsi de revaloriser le travail paysan, en priorisant la connaissance et la préparation des terres.

Certaines mesures complémentaires visant à limiter dans une large mesure les incidences négatives du climat sur l'agriculture et assurer une meilleure productivité locale. Pour cela, il convient d'adapter les pratiques culturales au changement climatique en cours et de former les agriculteurs aux nouvelles techniques et technologies d'adaptation et d'atténuation.

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rendements ; pour une meilleure sécurité alimentaire. En effet, si les systèmes agricoles sont durables et génèrent des revenus plus élevés améliorant ainsi la conservation des sols et le captage de l'eau. Ainsi, la pression sur les ressources naturelles à des fins de recherche de revenus complémentaires (collecte et vente de bois de feu, etc.) sera atténuée.

Par ailleurs, il est primordial de considérer la participation et l'adhésion de la population locale comme acteur principal de développement local et sa mise en oeuvre. Par cette démarche, on est à même d'assurer la réussite de tout projet in situ, et enclencher une dynamique favorable à un développement durable en harmonie avec l'espace naturel.

Les agriculteurs sont ainsi intéressés à adhérer à des organisations impliquées dans la gestion des ressources naturelles. Cette participation constitue un cadre d'échange pour renforcer d'avantage la cohésion sociale en vue de faire face aux effets drastiques des changements climatiques.

? DEVELOPPEMENT DE LA FILIERE PAM

L'activité de collecte de PAM principalement le thym est très faible. En effet, les personnes qui pratiquent cette activité sont généralement pauvres ce qui leur permet de dégager de maigres revenus qui ne peuvent assurer un minimum de conditions du bien-être.

Vu l'importance de la filière dans la lutte contre l'érosion et la désertification, de maintien de la biodiversité, et de soutien de l'économie sociale, l'état devrait appuyer le développement et la valorisation de la filière de PAM. Ce soutien permettra la création d'emplois et une augmentation des revenus des bénéficiaires, qui se traduiront par une réduction de la pauvreté. Ces retombées profiteront aussi bien aux populations locales, qu'aux acteurs économiques situés en dehors de la zone.

Dans cette optique de développement, la gestion de la filière des PAM peut être inscrite dans le contexte de l'économie sociale et du commerce équitable, et doit être conçue, élaborée et progressivement mise en oeuvre sous forme de coopératives de producteurs, à créer en toute urgence.

Par ailleurs, le développement de la filière PAM peut se faire à travers l'amélioration de la productivité et de la compétitivité de la filière thym et autres PAM telles que la lavande, origan, etc. L'amélioration de l'offre des services d'appuis, l'encadrement et de facilitation (informations agricoles, infrastructures et de communication) ; et l'amélioration des financements et de la gouvernance (HCEFLCD,2018).

? Régénération et reconstitution des faciès à PAM (thym, lavande, etc.)

La régénération et reconstitution des faciès des espèces de PAM (thym, lavande, etc.) doit se faire à travers un programme prospectif de régénération, les travaux de mises en repos végétatif et la mise en oeuvre des bonnes pratiques d'exploitation des faciès. Aussi, la réglementation de l'exploitation doit être instaurée avec un appui considérable en termes de formation des différents acteurs locaux (adhérents de coopératives, gestionnaires forestiers, agents locaux de l'agriculture, etc.)

Pour une meilleure mise en oeuvre de cette politique de développement, la participation de la population à tous les stades de genèse de tout projet de développement local depuis son identification, réalisation, jusqu'à sa gestion permanente permettra de garantir le succès attendu.

? Valorisation du pistachier lentisque (Pistacia lentiscus l.)

Le lentisque est un arbuste aux usages multiples ; il est essentiellement exploité pour la résine qu'il secrète dans ses tiges, on se sert également de ses feuilles, de son bois et de ses fruits pour des usages alimentaires, domestiques ou médicinaux. Parmi les produits, on trouve La résine ou « mastic », (4 à 5

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kg par arbre) les feuilles (large éventail d'utilisation), Le bois (menuiserie et en ébénisterie, bois de chauffage ; charbon, etc.), les fruits et l'huile de lentisque.

La valorisation du pistachier lentisque est potentiellement importante grâce à ses atouts en termes de biomasse, d'abondance sur le terrain, de richesse en métabolites secondaires, essentiellement les polyphénols et les flavonoïdes, d'effets antibactériens et de faible toxicité en rapport avec l'absence d'alcaloïdes et d'hétérosides cyanogénétiques ce qui atténuerait l'effet de l'augmentation de la dose.

? DELOPPEMENT DE L'APICULTURE

L'activité apicole est une pratique exercée depuis longtemps par les populations rurales que ce soit en cueillette ou en élevage. Bien que les quantités de miel produites restent très faibles, l'activité relative à l'apiculture est prometteuse dans la région de Tiddas et les paysans sont conscients de son poids sur l'économie de la région.

Ce secteur d'activité est fortement rémunérateur et se heurte à un certain nombre de contraintes qui limitent son développement. Il s'agit entre autres du faible niveau technique de conduite apicole chez les paysans, l'absence de groupements d'entraide (association, coopérative, etc.) et de soutien de l'état.

Quant à la pratique du traitement des parasites principalement la varoise est presque absente et se fait au moyen de médicaments non adéquats qui endommagent souvent le cheptel apicole et qui risquent de contaminer le miel. Les pouvoirs publics sont appelés à contrôler et soutenir les prix de ces traitements et leur mode d'utilisation par les services vétérinaires.

Par ailleurs, l'apiculture traditionnelle doit être préservée pour mieux conserver le savoir local. Des actions concrètes de préservation de ce savoir-faire traditionnel tout en la structurant pour gagner en productivité, doivent être prises.

Il est souhaitable aussi d'étendre le système gouvernemental d'incitation et d'encouragement actuel de l'apiculture (Ruchette de reines et matériel apicole) à des subventions d'aide à la transhumance. Ce qui impliquerait sans doute un renforcement de la production du miel à Tiddas.

Les actions de développement de l'apiculture doivent offrir d'importantes possibilités d'installation de ruches et de production de miel. Il s'agit en premier lieu de mettre à la disposition d'un groupe d'apiculteurs (80 à 100 individus), des ruches modernes. De ce fait, ces apiculteurs seront regroupés en coopératives avec le matériel et les outils apicoles nécessaires à la conduite des ruches mis à leur disposition moyennant un contrat d'exploitation (DEFLCD, op.cit.).

? FILIERE BOIS DE FEU

Le bois de feu constitue l'une des principales sources énergétiques de la région dont la consommation annuelle moyenne varie de 3 à 4 t/ménage/an. Il provient à plus de 50% du bois prélevé sur les formations arbustives dont le couvert et l'abondance au niveau de la forêt sont très importants. La population de Zaer possède, en raison de la proximité de la forêt avec des distances inférieures à 1 km, la consommation en bois la plus élevée dans la région.

Les espaces forestiers de la zone produisent essentiellement du bois de feu, qui, une fois mort gisant, est « ramassé » par les usagers pour l'utilisation domestique. Tout l'espace est soumis à la même pression sans distinction de la nature des espèces ligneuses présentes (thuya, oléastre, lentisque, etc.).

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La consommation de bois de feu comme source d'énergie domestique est logiquement liée à sa disponibilité et ce, indépendamment du revenu du ménage. Il demeure par sa disponibilité, le combustible le plus utilisé dans l'énergie domestique pour le chauffage, la cuisson, le bain, etc.

Parmi les facteurs influant la consommation de bois de feu, on cite le froid dont, la période varie de 3,5 mois à 4,5 mois par an dans toute la zone de la commune. Par ailleurs, la faiblesse des revenus des ménages incite les ruraux à la consommation énergétique issue des bois qui sont gratuits et à portée de main. Cependant, on assiste actuellement à un changement d'habitude, ou le gaz butane est utilisé comme source alternative au bois, ce qui contribue à réduire la pression sur le milieu naturel.

Des solutions forestières visant l'augmentation des disponibilités de bois pour l'énergie sont proposées. Elles font appel soit à une mobilisation accrue du potentiel des formations naturelles existantes soit à la mise en place de nouvelles ressources énergétiques. Ces deux types de solutions doivent être appliquées simultanément compte tenu des impératifs d'efficacité à terme aussi rapproché que possible qui sont liés aux situations déficitaires de bois de feu

L'amélioration de la productivité de ces écosystèmes ne nécessite que des traitements relativement simples de mises en défens et de sylviculture (plantation d'espèces adaptées à croissance rapide, éclaircie, élagage) qui peuvent aboutir à l'amélioration de la productivité de formations forestières.

Mais, la complexité de ces actions réside dans leur interaction avec les besoins croissants des populations concernant de nouvelles terres de culture ou de parcours et dans l'indispensable adhésion de ces populations.

L'action des forestiers doit s'effectuer en étroite collaboration la population concernée quitte à l'intégrer dans un processus dynamique qui viserait la cogestion ultérieure des écosystèmes.

La diminution de la consommation en bois de feu ne peut être obtenue que par le développement de l'utilisation d'autres sources énergétiques renouvelables permettant d'économiser la quantité de bois consommée. Dans ce sens, une économie d'énergie et de substitution se base sur les options suivantes :

· La distribution des fours améliorés, efficients et économes en bois ;

· La promotion des énergies renouvelables et de l'efficience énergétique ;

· La promotion du gaz pour limiter la consommation du bois-énergie ;

· Effort de protection et plantations nouvelles et l'aménagement des parcours ;

· L'intégration des divers programmes relatifs aux ressources et au développement sur le territoire ;

· Le reboisement avec des espèces endogènes (Laouina, A., 2006).

? FILIERE -ECOTOURISME

La zone se caractérise par un potentiel écotouristique important qui réside essentiellement dans les paysages naturels avec des contrastes importants de point de vue formation végétal, relief, vallées, oueds, et barrage de Tiddas (en cours d'achèvement), etc. La présence des grottes naturelles très peu explorées renforcent ce potentiel qui mérite d'être valorisé à travers l'organisation des produits touristiques à promouvoir.

L'organisation de cette activité et son développement possèdent des avantages multiples qui permettent à la population de profiter des retombées touristiques du site et par conséquent améliorer leur niveau de vie. Ainsi, les emplois générés, permettent de stabiliser les habitants et atténuer le chômage et l'exode

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et d'alléger par conséquent la pression sur les ressources naturelles. La prise de conscience envers l'importance des richesses écologiques du site sera plus que jamais stimulée.

La stratégie de développement du tourisme rural doit identifier des produits attractifs afin de constituer un intérêt suffisant pour motiver les touristes. Une identification d'un ensemble des produits généralement attractifs telles l'identification des sites naturels remarquables (paysage, grotte, faune, flore, etc.) et les activités culturelles traditionnelles et modernes dont souk, moussem, artisanat, manifestation folklorique, etc. Pour accompagner cette stratégie, il y a lieu de mettre en place des équipements et des services touristiques qui concerne l'hébergement, restauration, guide etc.

Le renforcement des capacités des acteurs du tourisme rural qui sont inexpérimentés est nécessaire. Il faut leur assurer une formation professionnelle dans l'accueil et de guide pour une meilleure valorisation du produit touristique rural susceptible d'être mis en marché. Le séjour dans la zone touristique passe obligatoirement par la création de structures d'accueil, d'hébergement et de restauration. Ces structures constituent la base de développement de cette activité pour recevoir et fixer le visiteur sur place.

5.2.5 Conclusion

La mise en place des principales mesures d'accompagnement du PFN, constituent les leviers nécessaires pour permettre aux programmes retenus de donner les résultats espérés. Ces mesures concernent les premières actions mises en oeuvre en vue d'intégrer l'adaptation au changement climatique dans la stratégie de gestion des écosystèmes forestiers. De même l'adoption de la stratégie du PMV notamment l'agriculture solidaire, va également imprimer au secteur agricole une dynamique d'évolution harmonieuse qui tient compte de ses spécificités.

L'environnement physique de la région de Tiddas abonde en signe de dégradation du milieu liées aux éléments physiques de la zone : topographie disséquée, substrats géologiques friables, sols pauvres en matière organique, climat semi-aride aux orages violents et aux sècheresses récurrentes. En plus, La dégradation de ce milieu s'aggrave par, la gestion inappropriée des terres agricoles, le surpâturage et la pauvreté des exploitants.

Malgré les contraintes et limites qui entravent les interventions des acteurs institutionnels, ces derniers ont investi massivement dans des projets divers (agricoles, forestiers et aménagement de bassin versant), et ont pu jouer un rôle remarquable dans l'adaptation des agriculteurs face aux changements climatiques avec des activités génératrices des revenus pour améliorer leur niveau de vie.

Pour remédier à la dégradation de leurs terres, les paysans de la zone ont adopté une panoplie de techniques de conservation des eaux et du sol (agronomiques, biologiques et physiques), ce qui témoigne d'un côté, d'une prise de conscience vis-à-vis de la rareté des ressources et du risque qu'elles encourent, et de l'autre côté, d'une richesse dans le savoir-faire paysan qui a pu résister aux différentes crises qui ont secoué la région.

Enfin, l'atténuation des effets des CC, exige la conservation et le développement des ressources naturelles de la forêt de Tiddas. Pour ce faire, il est indispensable de mettre en oeuvre un certain nombre d'actions pertinentes tant sur le plan écologique et socio- économique. Parmi les principales actions qui doivent être retenues : le renforcement des capacités économiques des populations locales, le développement des filières : Pam, apiculture, bois de feu et écotourisme.

Bien que la zone forestière et péri-forestière de Tiddas jouit de conditions naturelles remarquables (nature, hydrogéologie, géomorphologie, etc.), elle subit, à l'instar d'autres régions des modifications

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"Il existe une chose plus puissante que toutes les armées du monde, c'est une idée dont l'heure est venue"   Victor Hugo