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Contribution a l'introduction du concept de la démarche qualité au ministère de la jeunesse, des sports et des loisirs (Bénin)

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par Roland Tognide KPEHOUNTON
PIGIER Bénin - Master management des ressources humaines 2011
  

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Paragraphe 2 : Résultats de l'analyse des activités de MJSL/DRH

A- Les pratiques de la gestion des ressources humaines et de la démarche qualité au MJSL

Les différentes pratiques de la gestion des ressources humaines et de la démarche qualité du MJSL seront analysées suivant, d'une part les attributions de la DRH prévues par le décret n°2007-637 du 31 décembre 2007 portant AOF du Ministère et plus spécifiquement l'arrêté n°2007 N°058/MJSL/DC/SGM/DRH/SA du 14 juin 2007 portant attributions, organisation et fonctionnement de la DRH du Ministère de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs dont l'organigramme est joint en annexe n°2 et d'autre part les principes de la démarche qualité dans une organisation.

Durant le stage, des observations ou constats ont été fait(es) par rapport

à :

- la notation ;

- le suivi de la carrière ;

- la promotion et reclassement ;

- la formation;

- la coordination de la gestion administrative du personnel en relation avec les autres directions relevant du ministère ;

- l'appui à l'identification des besoins des usagers (populations et autres partenaires) à satisfaire ;

- l'appui à l'implication des DDJSL dans l'exécution des activités du Ministère ;

- l'évaluation de l'impact des actions du Ministère sur les bénéficiaires ; - la motivation.

La notation du personnel

Elle consiste en une évaluation des agents publics qui se traduit par l'attribution d'une appréciation écrite et d'une note chiffrée à l'agent sur la base d'un certain nombre de critères liés :

? aux aptitudes professionnelles ;

? aux qualités de l'agent ;

? et à la manière dont il s'acquitte des fonctions qui lui sont confiées.

Cette évaluation rentre dans le cadre de la mise en oeuvre des dispositions de l'article 52 de la loi 86-013 du 26 février 1986 qui contraint toute l'Administration à soumettre tout agent public, chaque année, à une appréciation exprimant sa valeur professionnelle dans l'emploi occupé et son aptitude à exercer l'emploi de grade supérieur. Cette appréciation s'effectue annuellement sur un imprimé intitulé « bulletin individuel de notes ».

Toutefois, nous avons constaté que les bulletins ne sont pas régulièrement remplis et signés comme le prescrivent les dispositions précitées. La réalité, c'est que c'est à l'occasion d'une promotion ou encore à l'introduction des dossiers de primes ou autres avantages que les bulletins sont remplis et envoyés au Ministère de la Fonction Publique. Mieux, certaines fois, des bulletins des années antérieures viennent à être remplis par des Directeurs ou responsables déjà déchargés de leurs fonctions qui procèdent à la notation en régularisation en antidatant au passage lesdits bulletins. Pire, en l'absence de ceux-ci, ce sont les directeurs qui n'ont pas été les supérieurs hiérarchiques des agents qui procède notation. Les notes attribuées, sont dans ces conditions, négociées ou empreintes de plaisanterie et dénudées de toute objectivité.

On en conclut que la procédure de notation annuelle n'est pas convenablement respectée et inefficace (faiblesse).

Il convient de noter par ailleurs que les critères d'appréciation sur lesquels se fondent les supérieurs hiérarchiques pour apprécier les agents ne paraissent pas objectifs et pertinents. En effet, les critères d'appréciation varient d'une catégorie à une autre et se présentent comme suit :

Catégorie A :

· connaissances professionnelles ;

· culture générale ;

· efficacité et/ou capacité d'encadrement et de direction ;

· disponibilité et sens du service public ; Catégorie B :

· connaissances professionnelles ;

· sens d'organisation et méthodes dans le travail ;

· assiduité et efficacité ;

· sens du service public ;

Catégorie C :

· connaissances professionnelles ;

· ponctualité ;

· efficacité ;

· soins et rapidité dans l'exécution des tâches ;

Catégorie D :

· ponctualité ;

· efficacité ;

· soins et rapidité dans l'exécution des tâches ;

· tenue dans le service.

Nous précisons, par ailleurs, que la catégorie `'E» ne fait plus objet de recrutement dans la Fonction publique et se trouve progressivement en voie d'extinction dans l'Administration.

Comme on peut en convenir, l'appréciation de ces critères de manière objective relève d'une gageure et est laissée à l'initiative des supérieurs hiérarchiques qui sont seuls juges.

Or, à ce jour, à la DRH du MJSL comme la plus part des DRH de nos Ministères, il n'existe pas un tableau de bord élaboré avec des outils efficaces pour une gestion prévisionnelle des emplois et compétences et notamment l'évaluation des performances et résultats et l'appréciation du rendement.

Comment, dans un tel contexte, peut- on parvenir objectivement à apprécier les aptitudes professionnelles et les qualités d'un agent. Il y déduit, comme corollaire, que les notes attribuées ne reflètent pas la réalité et dépendent beaucoup plus de la nature des rapports qui lient l'agent à son supérieur hiérarchique que d'une réelle appréciation rationnelle basée sur des éléments objectifs permettant un jugement de valeur.

En somme, il s'observe que la notation n'est pas basée sur des critères pertinents (faiblesse).

La pratique du suivi de la carrière

Le suivi de la carrière regroupe l'ensemble des activités qui permet au responsable des ressources humaines de veiller à la parution ou à la prise régulière des différents projets d'actes marquant la carrière de l'agent.

Au MJSL, l'essentiel du suivi de la carrière du personnel se résume à :

? l'établissement, en début de chaque année, de la liste des agents

proposables à l'avancement ou à la promotion ;

? l'établissement des projets d'actes d'avancement ;

? la transmission desdits projets au Ministère en charge de la Fonction Publique.

En ce qui concerne les projets d'actes d'avancement, nous avons constaté qu'une fois les projets transmis, le suivi est parfois laissé à la charge des agents qui se rapprochent de la Direction des Ressources Humaines pour prendre les références et poursuivre la recherche au Ministère en charge de la Fonction Publique. En poussant la curiosité, nous nous somme rendus compte que le personnel en charge du suivi des actes du personnel auprès du Ministère en charge de la Fonction Publique n'est pas suffisant. En effet le service en charge de cette activité n'a qu'un effectif de trois agents. Pire, les courses en direction du Ministère en charge de la Fonction Publique s'effectuent par les agents par les motos taxi appelées communément « ZEMIDJAN » ne

bénéficiant donc pas de dotation en motos à deux roues et exposés ainsi à de grand risques aussi bien pour eux-mêmes que pour les documents transportés (faiblesse).

Il en est de même pour les reclassements et les promotions.

Au regard de ce qui précède, on peut conclure qu'au MJSL, on note un mauvais suivi de la carrière des agents (faiblesse).

La pratique de la formation

Tendant à remplacer progressivement les termes d'enseignement ou d'éducation dans le langage courant, la notion de formation renvoie à l'ensemble des connaissances générales, techniques et pratiques liées à l'exercice d'un métier, mais aussi aux comportements, attitudes et dispositions qui permettent l'intégration dans une profession et, plus généralement, dans l'ensemble des activités sociales. La formation est alors un élément décisif dans la mise n oeuvre des stratégies de développement d'une organisation.

Au MJSL, nous avons constaté qu'il n'existe pas une politique de formation (faiblesse) qui devrait tracer les grandes lignes sur lesquelles il doit se baser en la matière pour un développement de ses ressources humaines. Cependant, courant l'année 2009, la DRH a conduit à terme une opération qui a eu pour finalité l'élaboration et la validation du cadre organique du Ministère qui est disponible et consultable à la DRH et au Secrétariat Général du Ministère (force). Ceci constitue une base crédible pour lancer le processus d'élaboration du plan de formation du département ministériel.

En attendant l'effectivité d'un plan de formation, les décisions de mise en stage ou de départ en formation continuent d'être prises sur la simple base d'une demande du postulant ou des souhaits exprimés par les directeurs.

Cette procédure, comme on peut en convenir, ne permet pas une détermination rationnelle des besoins en formation. En effet, ceux-ci devraient résulter, entre autres, des insuffisances révélées au niveau des agents par l'appréciation de leurs performances. Il en est autant de la démarche de planification des Ressources Humaines (RH) qui peut révéler des déséquilibres susceptibles d'être réglés par une action de formation. Le cadre organique

disponible, en tant qu'un référentiel des emplois et des compétences, donne une réponse claire des postes à pouvoir et du profil requis des ressources humaines à recruter ou affecter auxdits postes. Il ne donne par contre pas une réponse claire des besoins de formation qui seront l'expression des écarts quantitatifs et qualitatifs observés entre les compétences disponibles et les profils attendus pour l'atteinte des objectifs assignés au Ministère.

La coordination de la gestion administrative du personnel en relation avec les autres directions relevant du ministère

En raison du caractère transversal des fonctions GRH et de la Gestion des ressources humaines, la DRH devra élaborer des tableaux de bord et faire approprier leur contenu par les différents services administratif au sein des directions et structures du Ministère. Une telle démarche n'est pas observée. Ce qui amène la DRH à exécuter seule l'essentiel des fonctions de gestion des ressources humaines créant ainsi une centralisation de cette activité. En ne partageant pas les fonctions GRH avec les autres directions et structures du Ministère, la DRH embrasse trop et étreint mal (faiblesse) et ne saurait donc être performante.

L'appui à l'identification des besoins des usagers (populations et autres partenaires) à satisfaire

L'approche participative, qui s'oppose au centralisme, recommande l'identification des besoins avec l'implication des bénéficiaires au processus d'identification et de formulation des besoins. Or, à ce jour, la plus part des activités retenues les différents plans de travail annuels sont choisies sur la base de simples demandes adressées au Ministère ou sur décisions d'un des acteurs de la chaîne de décision du Ministère soit par le Ministre lui-même, un directeur ou un coordonnateur de projets.

Cette situation entraine une ignorance des désidératas des cibles bénéficiaires ou de leurs représentants dans le choix de tels ou autres projets ou activités à réaliser. La conséquence, ce sont des infrastructures érigées sans tenir compte des réelles aspirations des populations et partenaires intéressés par les services et prestations du Ministère. Ainsi, certaines réalisations ne cadrent pas aux besoins des bénéficiaires.

Par ailleurs, une telle forme de gestion s'oppose aux orientations de la Conférence des Forces Vives de la Nations qui, au terme de ses assises a décidé d'une gestion décentralisée de l'Administration territoriale.

La DRH, de part sa fonction pédagogique qui est le socle du management des ressources humaines, devra amener toutes les structures du Ministère à intégrer l'approche participative dans sa gestion quotidienne. Cette fonction de la DRH n'est pas assumée à ce jour (faiblesse).

L'appui à l'implication des DDJSL dans l'exécution des activités du Ministère

Le décret n°2007-637 du 31 décembre 2007 qui régit le Ministère a conféré à six (06) directions départementales un certain nombre d'attributions. En son article 50 troisième alinéa, ledit décret reconnaît aux DDJSL la mission d'assurer la mise en oeuvre de la politique du Ministère dans les secteurs de la jeunesse, des sports et des loisirs. A ce titre, elles sont chargées de :

? suivre au niveau départemental, la mise en oeuvre des activités des directions techniques du Ministère ;

? appuyer techniquement au niveau communal l'intégralité des activités initiées par les directions à compétence nationale en collaboration avec le Maire ;

? elle peut délocaliser des services précis au niveau communal pour la mise en oeuvre efficiente des activités relevant de la compétence exclusive du Ministère sans préjudice à celles relevant des Maires.

Au regard de ces attributions, les directions techniques ne devraient pas intervenir directement dans les communes sans s'associer aux DDJSL. Or, à ce jour, des activités et projets d'investissement publics continuent d'être mis en oeuvre sans une implication réelle des DDJSL. Ainsi, des missions se décident depuis l'Administration centrale sans une prise en compte du personnel des structures déconcentrées que constituent les DDJSL.

Il s'agit là d'une violation du décret régissant le Ministère et une gestion peu rationnelle des ressources du Ministère étant donné que pour des actions pouvant même au niveau local être réalisée par les DDJSL avec réduction des

coûts, des missions depuis Cotonou sont envoyées à la base renchérissant ainsi les frais de mission. La DRH devrait là également s'auto saisir pour rappeler aux différentes directions techniques le rôle qui est reconnu à chaque maillon de la chaîne pour éviter les empiètements et violations des dispositions du décret en vigueur. N'ayant pas assumé pleinement ce rôle, la DRH ne contribue pas à un bon fonctionnement des structures du Ministère (faiblesse).

L'évaluation de l'impact des actions du Ministère sur les bénéficiaires

Au cours de notre stage et au terme des vérifications faites auprès des structures du Ministères, il n'a jamais été commandité une étude d'impact des actions du Ministre en direction des populations, partenaires bénéficiaires des interventions du département ministériel.

Une telle situation rend les actions du Ministère peu pertinentes et peu légitimes étant donné qu'elles s'inscrivent dans un cadre sans orientation objective, les points de vue des cibles visées n'étant pas connus pour être prises en compte dans l'élaboration des actions.

Ayant laissé les directions et différentes structures du Ministère agir sans une orientation objective des interventions qui intègrent les réoccupations des bénéficiaires, la DRH n'a pas joué son rôle tacite de promotion de la culture d'un service public de qualité. Vu l'importance de la culture d'un service public de qualité, la DRH, à défaut de pouvoir créer un service en charge de la promotion de la qualité, pour être conforme au décret régissant le Ministère, aurait pu proposer et soumettre à l'Autorité, une subdivision chargée de promouvoir la culture d'un service public de qualité pour une Administration publique de développement (faiblesse). Les démarches et les stratégies à mettre en oeuvre ne peuvent être identifiées et mises en oeuvre de façon isolée et non coordonnée et aboutir à des résultats probants. Or, ce rôle, découlant du management des organisations, relève des prérogatives naturelles d'une DRH.

Absence de liens corrélatifs entre les divers avantages (primes, indemnités, ... etc.) et la qualité du service fournit aux clients Rappelons que le Statut Général des Agents de l'Etat a prévu, en son

article 125 un ensemble de seize (16) accessoires salariaux, prévus dans le Statut

des Agents Permanents de l'Etat, en fonction des charges et des positions administratives que les agents occupent et assument

La réalité, c'est l'inexistence d'un mécanisme efficace garantissant l'accès équitable des agents aux différents avantages ci-dessus mentionnés. L'état des lieux montre que :

? d'un ministère à un autre :

· le nombre de primes et indemnités varient ;

· les montants des mêmes et ou identiques primes et ou

d'indemnités varient.

? des agents de mêmes corps et grade ne perçoivent pas les mêmes primes, indemnités, ni les mêmes montants pour le simple fait qu'ils soient dans des départements ministériels différents.

? sans une réglementation claire, des avantages sont alloués sur les budgets destinés à des investissements publics et ce dans des proportions entamant l'efficacité des projets. Les agents du MJSL font partie des plus lésés. En effet, au MJSL, il n'y a que deux primes alloués aux agents de toutes catégories et de tous corps à savoir la prime spécifique et la prime de rendement.

? en avril 2008, des projets d'arrêtés de primes (sédentarisation et risques) soumis à la signature du Ministre des Finances et de l'Economie ont été rejetés. Alors que quelques mois après, courant 2008, les mêmes avantages ont été accordés au Ministère du Plan.

? des mouvements sociaux ont eu lieu en juillet, août et septembre 2008 au MJSL, comme dans bon nombre de ministères, pour des raisons de primes. Lesdits mouvements presque tous ont été suspendus ou levés suite aux décisions d'un Conseil des Ministres rapporté au public le 28 août 2008 sur les antennes de l'ORTB. Le Gouvernement s'était alors saisi du dossier des primes et a pris l'engagement de procéder à leur harmonisation dans un délai raisonnable. Un comité ad `hoc a même été créé à cet effet. Jusqu'à ce jour le problème demeure entier. Or, l'urgence de la question et son impact sont bien perçus par le Pouvoir exécutif qui a reconnu :

· l'anarchie avec laquelle les questions de primes et avantages sont traitées dans les Ministères et autres institutions de l'Etat ;

· le caractère discriminatoire, empreint d'injustice et source de frustrations que constitue le problème des primes.

Bien que reconnaissant le caractère non équitable du mécanisme de motivation qui est appliqué, il convient de souligner l'absence d'outils d'évaluation des performances pour y déduire les niveaux de rendements desquels doivent être calculés les taux ou régimes de motivation pour une équité et une efficience du dispositif incitatif. Une situation qui amène à conclure que le régime de motivation appliqué au MJSL n'est pas efficace. Alors que ce régime ne tient pas à une décision directe de la DRH du MJSL, il est cependant de sa responsabilité d'y veiller, en collaboration et avec l'appui des structures hiérarchiquement supérieures aussi bien au MJSL qu'ailleurs pour aplanir les difficultés. Ne l'ayant pas fait ou réussi à changer positivement cette pratique, cette situation de contre valeur lui est imputable (faiblesse).

Au regard de ce qui précède, nous pouvons établir un inventaire des atouts et faiblesses (2) du Ministère de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs, se fondant sur les éléments de l'état des lieux.

B- Inventaire des atouts et des faiblesses du MJSL/DRH

L'inventaire des éléments de l'état des lieux de base donne en terme d'atout et de faiblesse ce qui suit:

Des atouts

? existence d'un cadre juridique régissant le MJSL ;

- existence d'un cadre juridique régissant la DRH du Ministère ; - existence d'un cadre organique pour le Ministère ;

- démarrage des préparatifs pour l'élaboration d'un plan de formation.

Des faiblesses

insuffisance quantitative et qualitative du personnel ;

non respect de la procédure de notation

absence de critères pertinents de notation du personnel

mauvais suivi de la carrière des agents ; absence d'un plan de formation ;

mauvaise identification des besoins en formation ;

un centralisme des fonctions de gestion des ressources humaines par la DRH ;

une approche solitaire et unilatéraliste du processus d'identification des besoins des usagers (populations et autres partenaires) à satisfaire ; un centralisme de l'exécution des activités du Ministère mettant en marge les DDJSL au mépris des dispositions du décret régissant le Ministère ;

absence d'évaluation périodique de l'impact des actions du Ministère sur les populations cibles ;

absence de liens corrélatifs entre les divers avantages (primes,

indemnités, ... etc.) et la qualité du service fournit aux clients.

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"Piètre disciple, qui ne surpasse pas son maitre !"   Léonard de Vinci