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Le management et le développement durable chez areva « a l'aube d'une réorganisation » une approche institutionnelle et multi-subjective

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par Aurélien VERNET
Université Versaille-Saint-Quentin (UVSQ) - M2 Stratégie du développement durable et responsabilité sociétale des entreprises 2008
  

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Conclusion :

Le DD influence-t-il le management ?

Incontestablement le DD influence les modes de fonctionnement de l'organisation, comme nous l'avons observé, à travers AREVA WAY et les auto-évaluations, dans la transformation de la culture de l'entreprise, la transformation de l'organisation en vue d'optimiser son efficacité managériale et les synergies potentielles, le positionnement et la vision interne et externe du coeur de métier d'AREVA : « producteur d'énergie sans CO2 ».

Tous ces facteurs sont incontestablement issus d'une démarche développement durable forte, réunissant à la fois des compétences, des moyens et un soutien de la part de la direction.

Le groupe AREVA s'est fixé des ambitions à la hauteur de ses moyens, il lui faudra encore du temps avant d'atteindre le niveau d'excellence qu'il s'est fixé, et cela passera certainement encore par de nouvelles réorganisations, par des choix politiques et stratégiques importants. AREVA semble sur une voie vertueuse, il faudra veiller à ce qu'elle n'en dévie pas, et surtout il faut poursuivre les efforts visant à promouvoir la vision stratégique du groupe aussi bien en interne qu'en externe.

La démarche AREVA WAY permet à chaque entité de se concentrer sur les axes de progrès qui lui sont propre après avoir évalué et hiérarchisé ses besoins. On ne peut être excellent partout et tout le temps. Par contre il y a des sujets où l'on ne peut pas se permettre d'être moyen : la réglementation, la sûreté, la sécurité, la santé, les risques environnementaux...

AREVA a bien conscience de cet état de fait et agit en conséquence.

Il serait sans doute intéressant pour l'entreprise de suivre ce portrait du groupe et de son Corporate au fil du temps et notamment de tracer son évolution après la réorganisation. On pourrait imaginer par exemple l'élaboration de questionnaires simplifiés, que l'on pourrait diffuser auprès des managers de manière anonyme. Deux ou trois questionnaires thématiques permettraient de couvrir un périmètre large. Cela serait complémentaire de l'enquête EOS qui est bisannuelle et l'exploitation pourrait en être plus sociologique.

 
 
 
 
 

58

Annexes :

Récapitulatif des annexes :

1) Questionnaire managers

2) Les 4 modes de management

3) Flow Chart du processus BIP

4) la communication interne

5) Greenpeace, transport de MOX

6) Les Valeurs d'AREVA

7) L'innovation participative

8) Les perspectives du marché français de l'électricité

9) Capital AREVA

10) Identité et culture d'entreprise

11) La vision organisationnelle du groupe

12) La politique DD chez AREVA

13) Les ASDA

14) Diagrammes mode de management

15) ALARA et GES

16) FOH : Objectif zero accident

17) Bridge the gap

18) évolution de l'empreinte environnementale d'AREVA :

 
 
 
 
 

59

1) Questionnaire managers :

1) Quel âge avez-vous ?

2) Quel est votre parcours de formation ?

3) Quel poste occupez-vous ? Quelles missions lui sont attachées (décrivez brièvement) ? Depuis quand êtes-vous à ce poste ? (quand êtes-vous arrivé chez AREVA ?)

4) Quelles sont les autres fonctions que vous avez occupées ?

5) Décrivez votre manière de manager ?

6) Décrivez la manière de manager de votre hiérarchie

7) Quel mode de management appliquez-vous le plus souvent ? (Directif, persuasif, participatif, délégatif) :

8) Quel mode de management est appliqué par votre hiérarchie directe ? (décrivez)

9) Pouvez-vous vous positionner sur le graphique, ainsi que votre ou vos supérieurs hiérarchiques :

10) Décrivez brièvement la structure de l'entreprise :

11) La structure matricielle de l'entreprise, avantage et inconvénients ?

12) Décrivez-moi votre dernière mission. Comment avez-vous géré votre équipe ?:

13) Est-ce qu'il vous arrive de devoir Manager en transversal ? Sur quel type de missions ? Quelles difficultés cela vous pose ?

14) Quel(s) est/sont votre(vos) outil(s) de référence ?:

15) Comment évaluez-vous vos équipes ?

16) Quelles sont vos valeurs ? Comment les traduisez-vous concrètement dans votre travail ?

17) Que pensez-vous de la charte des valeurs AREVA ?

18) Vous référez-vous souvent à l'AREVA Way ? Dans quelles situations ?

19) Que pensez-vous des auto-évaluations ?

20) Avez-vous déjà été formé au développement durable, si oui dans quel cadre ?

21) Avez-vous connaissance des formations que propose AREVA autour du DD ?

22) Quelle est votre expérience du développement durable ?

23) Quelle est votre vision du développement durable ?

24) Le développement durable influence-t-il votre travail ? Vos méthodes ?

25) Le développement durable influence-t-il votre mode de management ? Celui de votre hiérarchie ?

26) Le DD influence-t-il votre environnement de travail ? (climat de travail)

27) Pouvez-vous distinguer les influences suivantes des trois piliers du DD sur vos activités : social, environnemental, économique ?

28) Que pensez-vous de la place qu'AREVA donne au DD au sein du groupe ?

29) Pour vous, Le DD est-il plutôt : Une contrainte ?
Une opportunité ? Une nécessité ?

30) Comment qualifieriez-vous le DD chez AREVA en quelques mots ?

31) Que pensez-vous de la réorganisation en BG ?

32) ( Pensez-vous que la réorganisation va clarifier les fonctions de chacun ?)

33) Que pensez-vous de la structure matricielle du management ? (contradictions, flou dans les responsabilité, incompatibilité opérationnelle... ??)

34) la recherche de toujours plus de productivité n'est-elle pas contradictoire avec le développement durable ?

35) Politique, objectifs et plan d'action stratégique. Comment tout cela s'organise ?

36) Que pensez-vous d'AREVA en tant qu'employeur ?

37) Selon-vous, existe-t-il une « marque employeur » AREVA ?

Question pour les responsables BU (LPC BU) :

38) Comment faites-vous pour concilier les politiques AREVA avec les impératifs ou les intérêts de la BU ?

Question pour les responsables filiales :

39) Comment faites-vous pour concilier les politiques AREVA avec les impératifs ou les intérêts de la filiale ?

Question responsable communication :

40) D'où vient l'idée du « Gingko Biloba » comme fil rouge des cadeaux Corporate AREVA ?

41) Que pensez-vous de la polémique autour du transport de MOX vers le Japon en mars 2009 ?

Grille de résultats :

Nb de managers ayant reçu une formation DD :

Nb de manager / mode de management :

Nb de manager utilisant l'AW :

Nb de Manager influencé par le DD dans leur mode de mangement

 

60

Dans leur environnement de travail

 
 
 
 
 

61

Age moyen,

Niveau de formation, Ancienneté

2) Les 4 modes de management :

Extrait de : http://www.inh.fr/enseignements/idp/acteurs/modes management.html

3) Flow Chart du processus BIP :

Responsable du périmètre
concerné

Selectionned
Valider

Identifier

Decrire

Diffuser

Nomination
du
propriétaire
de la BIP

OK pour processus BIP ?

OK

Mise à jour de la
base de suivis BIP
de l'entité

Mise à jour de la
base de suivis BIP
de l'entité

Coordination de
l'identification d'une
BIP potentiele

LPC de l'entité

Diffusion de la BIP au réseau métier

Aide sur la
cohérence du
contenu

Apport de compléments d'informations

Développement
d'une Bonne Pratique

Propriétaire de la
BIP

Envoi du
formulaire à
l'animateur BIP

Rédaction du
formulaire BIP

Évaluation et correction de
la BIP en fonction de la
grile de
référence(Validation de la
structure et contrôle qualité)

Aide sur la
cohérence du
contenu

Numérotation de la
BIP et mise àjour de
la base de suivis BIP
du Groupe

Animateur BIP

Mise à jour de la
base de suivis BIP
du Groupe

Diffusion de la
BIP au réseau
des LPC

Mise en ligne
de la BIP sur
spirit

Transfert : Formulaire BIP + Grile d'évaluation

OK*

Validation
de la BIP ?

Référents (Filiales +
AREVA)

(*) Si la majorité des référents filiales (ou le référents AREVA) donnent leur accord

Travail colaboratif

Vérification de la pertinence de la BIB et de sa transférabilité

 
 
 
 
 

62

 
 
 
 
 

63

4) la communication interne :

La polémique autour du reportage de France 3 :

http://www.lepost.fr/article/2009/01/30/1406465nucleaire-france-3-et-areva-se-fritent.html http://www.lesmotsontunsens.com/quand-france-3-enquete-uranium-areva-fulmine-3255

Extraits de l'Intranet AREVA :

Publié suite au reportage de France 3 sur l' « après-mines » Radioactivité naturelle et radioactivité artificielle

La radioactivité est un phénomène naturel. Elle est due à la faculté qu'ont les noyaux des atomes de certains corps radioactifs de se transformer spontanément en d'autres atomes (radioactifs ou non) en émettant un rayonnement porteur d'énergie.

On la retrouve donc dans le sol et ses matériaux terrestres (rayonnement tellurique), en provenance du soleil (rayonnement cosmique) et même dans le corps humain (potassium 40, carbone 14). Pour les besoins de la médecine ou de l'industrie, l'homme a su produire de la radioactivité de manière artificielle. Naturelle ou artificielle, les caractéristiques et effets de la radioactivité sont identiques.

En France, 70 % de la radioactivité à laquelle est exposé un individu est d'origine naturelle, et 30 % correspond à la radioactivité « ajoutée » principalement du fait de l'exposition médicale. La dose moyenne annuelle d'origine naturelle reçue par un individu est de 2,4 mSv, pour une exposition totale d'environ de 3,3 mSv.

Quelques exemples d'exposition à la radioactivité pour un individu

Exposition annuelle moyenne :

· un cosmonaute en orbite : 420 mSv

· exposition naturelle au village de Ramsar (Iran) : 300 mSv

· exposition naturelle dans une maison non aérée en zone granitique : 20 mSv

· exposition naturelle à 1500 m d'altitude : 3,6 mSv

· exposition naturelle d'un individu en France : 2,4 mSv

· retombées des essais nucléaires atmosphériques : 0,017 mSv

· rejets des centrales nucléaires : 0,002 mSv

Exposition instantanée :

· scanner abdominal : 12 mSv

· radiographie des poumons : 0,1 mSv

· vol Paris-New York : 0,06 mSv

· radiographie dentaire panoramique : 0,03 mSv

Exposition à la radioactivité

· A distance : le rayonnement radioactif est émis par un composé situé à plus ou moins grande distance du corps humain. C'est ce qu'on appelle l'irradiation ou exposition externe.

· Par absorption : le produit radioactif est absorbé par les voies respiratoires, digestives ou par voie transcutanée (lors de blessures ouvertes par exemple) et le rayonnement est émis au contact même des cellules. On désigne ce phénomène sous le nom de contamination ou exposition interne.

· Par contact : des particules radioactives peuvent être disséminées sur les vêtements ou sur le corps (cheveux, ongles, peau) sans pénétrer à l'intérieur de l'organisme. C'est la contamination externe.

Effets biologiques de la radioactivité sur l'homme

· Les effets déterministes : à de fortes doses reçues de manière instantanée, la radioactivité induit des effets observables quasi immédiatement. Ces effets s'expriment à partir d'une dose seuil supérieure ou égale à 500 mSv (brûlures, nausées, morts des organes exposés).

· Les effets aléatoires : au-dessous de 500 mSv, aucun effet n'est observable à court terme. Toutefois, des effets peuvent apparaître tardivement, plusieurs années après l'exposition, mais de manière non systématique (principalement des cancers).

A dose égale, les effets biologiques des rayonnements ionisants sont identiques, que leur origine soit naturelle ou artificielle.

Définition du stérile minier : terres, sables ou roches ne contenant pas de minerai d'uranium exploitable ou ne contenant pas d'uranium du tout, mais qu'il faut extraire pour pouvoir accéder au minerai lui-même. Ces substances ne sont pas ou très faiblement radioactives.

Réaménager les sites après leur exploitation :

Principaux anciens sites miniers français

 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 

En fin d'exploitation, AREVA réaménage les sites miniers, les revégétalise et les garde sous surveillance radiologique et environnementale afin d'en observer et maitriser l'évolution. Le groupe contrôle également les mouvements de terrain et la résistance à l'érosion.

Les objectifs de cette surveillance consistent principalement à :

· protéger la santé et la sécurité des populations à proximité des sites.

· minimiser les impacts et risques environnementaux.

Depuis l'origine des activités minières du groupe, AREVA a investi plus de 300 millions d'euros pour démanteler des installations et réaménager des sites miniers en France, au Gabon, aux EtatsUnis et au Canada à l'issue de leur exploitation.

En France, l'extraction du minerai d'uranium s'est achevée en 2001, à la suite de l'épuisement des gisements économiquement exploitables.

L'uranium extrait en France provenait de 210 sites miniers répartis sur l'ensemble du territoire. Si moins de la moitié de ces sites ont été exploités par AREVA et ses filiales, le groupe fait oeuvre de service public en assurant le réaménagement et la surveillance de l'ensemble des sites, conformément à son engagement auprès de l'Etat français.

5) Greenpeace, transport de MOX :

http://www.greenpeace.org/france/news/transport-de-mox-areva-persi

Communication interne AREVA :

(Suite à l'empressement médiatique autour d'un transport de Mox vers le Japon)

Le transport de MOX de mars 2009 est-il le plus gros transport de matières fissiles jamais transportées ?

Ce transport n'a rien d'exceptionnel :

· en tonnage de matières transportées : 52 transports plus importants que celui de mars 2009 ont déjà eu lieu.

· en nombre d'emballages de transport : 36 transports plus importants que celui de mars 2009 ont déjà été réalisés.

Peut-on fabriquer une arme nucléaire avec du MOX ? Comment peut-on être sûr que le plutonium contenu dans nos combustibles n'a pas la qualité requise pour cela ?

Tout d'abord, il serait très difficile de pouvoir séparer le plutonium de l'uranium. Cela nécessiterait des installations très sophistiquées comme celles d'AREVA à La Hague. C'est un processus lourd.

 
 
 
 
 
 
 

En outre, le MOX est un combustible à usage civil. Le plutonium qu'il contient, qui ne représente qu'une petite partie du mélange (de l'ordre de 7%, le reste étant de l'uranium), est de qualité civile (utilisé uniquement dans le cycle du combustible nucléaire commercial) et non militaire (utilisé uniquement à des fins militaires). La différence entre ces deux types de plutonium réside dans leur composition :

· le plutonium de qualité militaire possède une haute teneur - typiquement 90 % et plus - en isotope 239, reconnu comme étant le plus approprié pour la fabrication des armes nucléaires ;

· le plutonium de qualité réacteur contient une proportion bien plus faible d'isotope 239 et une proportion bien plus élevée d'isotopes 240 et 242 qui sont non-fissiles. Ces isotopes ont des propriétés qui compliquent la conception et la manutention et dégradent les performances des armes nucléaires.

Lors de la réaction nucléaire dans le réacteur, le plutonium subit une dégradation naturelle de sa composition isotopique. Plus le plutonium reste dans le réacteur, plus des isotopes non fissiles du plutonium (plutonium 240 et 242) sont produits. Dans les pays européens, le combustible MOX reste entre trois et quatre ans en réacteur.

Les spécialistes (Bruno Pellaud, ancien Directeur Général Adjoint de l'AIEA, et Thierry Dujardin, directeur adjoint de l'Agence de l'OCDE pour l'énergie nucléaire, AEN), confirment que, depuis 1945, aucun des essais nucléaires réalisés dans le monde n'a utilisé de plutonium issu d'un réacteur à eau légère.

6) Les Valeurs d'AREVA :

Nos savoir-être et savoir-faire

La vision très humaniste du développement durable soulève la question de la responsabilité de l'entreprise vis-à-vis de toutes ses parties prenantes. Elle doit rendre des comptes non seulement sur sa capacité à produire mais aussi sur sa capacité à assumer ses responsabilités et à saisir les opportunités. Ces capacités s'expriment à travers des attitudes qu'AREVA souhaite développer.

Les savoir-être d'AREVA

Les savoir-faire d'AREVA

·

Être à l'écoute des autres, privilégier le dialogue.

· Connaître sa responsabilité, être responsable de ce que l'on fait mais aussi anticiper les conséquences de ce que l'on fait.

· S'interroger, remettre en question les principes établis, accepter les critiques.

· Être ouvert sur le monde, penser ici mais aussi ailleurs.

· Accepter de surprendre, oser être créatif, s'inscrire dans la modernité.

· Développer toujours son expertise.

· Améliorer sans cesse l'existant et maîtriser de nouvelles solutions.

· Expliquer nos choix, faire de la pédagogie de nos métiers.

· Rechercher la performance, l'efficacité optimale, viser l'excellence.

· Travailler avec les autres, partager les savoirs, mettre en commun les expériences.

· Développer un rapport privilégié avec nos partenaires, favoriser les solutions de long terme.

 
 
 
 
 

67

La définition de nos 10 engagements et la charte des valeurs sont inspirées de ces savoir-être et savoir-faire.

La charte des valeurs :

http://www.areva.com/servlet/ContentServer?pagename=arevagroup fr/Page/PageFreeHtmlFullTemplate &c=Page&cid=1066914757712

7)

 
 
 
 
 
 
 

L'innovation participative :

L'innovation participative, les salariés en première ligne. http://www.anact.fr/portal/pls/portal/docs/1/30021.PDF

8) Les perspectives du marché français de l'électricité :

Extrait du JDLE perspectives 2025: http://www.journaldelenvironnement.net/fr/document/detail.asp?id=1536&idThema=6&idSousThema=32&t ype=JDE&ctx=291

« (RTE) présentait mercredi 22 juillet le dernier bilan prévisionnel à l'horizon 2025. A cette date, 560 térawattheures par an (TWh/an) devraient être consommés en France. De 486 TWh en 2008 (2), la consommation électrique nationale devrait passer à 515 TWh en 2015, puis 535 en 2020. L'équilibre entre l'offre et la demande d'électricité devrait être assuré jusqu'en 2013. Il sera alors nécessaire d'avoir 5.000 mégawatts (MW) d'investissements nouveaux tous les 5 ans, notamment en moyens de pointe. »

Le rapport de RTE sur les perspectives 2025 :

http://www.rte-france.com/htm/fr/accueil/viewdepeche.jsp?Id=9284

Enrichissement de l'uranium, production mondiale :

Le marché de l'enrichissement est très concentré : 95 % des capacités de production se répartissent entre quatre acteurs. La capacité nominale des acteurs du marché de l'enrichissement est :

· AREVA (France) : 10,8 MUTS/an

· ROSATOM (Russie) : 23 MUTS /an

· Urenco (Royaume-Uni, Allemagne, Pays-Bas) : 10,2 MUTS/an

· USEC (États-Unis) : 5 MUTS /an

· CNNC (Chine) : 1,3 MUTS/an

· Autres (Japon, Brésil) : 0,15 MUTS/an

Soit au total 50,4 MUTS/an (Source : AREVA)

 
 
 
 
 

69

Reperes 2008 : l'énergie en France :

http://www.industrie.gouv.fr/energie/statisti/pdf/reperes.pdf

http://www.planete-energies.com/contenu/nucleaire/production-consommation.html

Production d'électricité nucléaire et sa part dans la production nationale d'électricité dans les principaux pays producteurs :

Pays Part Production d'électricité nucléaire en 2006 (GKWh)

États-Unis 19% 787

France 79% 428

Japon 28% 288

Allemagne 27% 159

Russie 15% 144

Corée du Sud 37% 141

Canada 16% 93

Ukraine 47% 85

Royaume-Uni 19% 72

Suède 45% 63

Espagne 20% 57

Chine 2% 55

Belgique 55% 44

Taiwan 18% 38

Suisse 43% 26

Rép. tchèque 32% 25
Finlande 28% 22

Bulgarie 42% 18

Slovaquie 54% 17

Inde 2% 16

Brésil 3% 14

Hongrie 38% 13

Afrique du Sud 4% 10

La production d'électricité nucléaire dans le monde par zone géographique :

Zones géographiques

Mexique 4% 10

Production 2006 (GKWh)

891

18%

21

2%

967

27%

232

17%

0

0%

10

2%

540

9%

2 660

15%

Part du nucléaire dans la production électrique

Amérique du Nord Amérique centre et Sud Europe occidentale

CEI

Moyen-Orient

Afrique

Asie

Total Monde

9)

 
 
 
 
 
 
 

Capital AREVA :

Extrait Internet AREVA

10) Identité et culture d'entreprise :

Un exemple concret de l'identité résiduelle inhérente à une filiale :

-Chez AREVA T&D, le client mail utilisés à travers toute la filiale est « Lotus », alors que dans le reste du groupe on utilise « Microsoft Outlook ». Les deux systèmes sont relativement peu compatibles dès qu'il s'agit de transférer par mail autre chose que du texte ou des documents en pièce jointe. Les images et les graphiques, lorsqu'ils sont intégrés dans le corps du message en deviennent inexploitables, voir illisibles.

Changer de système est toujours très lourd à gérer, il y a le poids des habitudes, le coût du changement doublé de la perte temporaire de productivité et tout cela pour des gains potentiels difficilement chiffrables. Ainsi, le basculement vers le système « groupe » est repoussé, en attendant que le bénéfice s'en fasse clairement sentir. Au final, cette transition ne s'opèrera peut-être jamais, soit car le bilan coût-avantage ne sera jamais envisagé positivement, soit plus simplement car la filiale aura été vendu avant qu'un tel changement ne s'opère.

 
 
 
 
 

71

11) La vision organisationnelle du groupe :

La subsidiarité

Le principe de subsidiarité consiste à laisser à chaque échelon d'une organisation toute l'autonomie dont elle est capable.

Il se traduit par un double mode de management, opérationnel et fonctionnel :

- décentralisation opérationnelle : nos dirigeants opérationnels sont responsables de leur

business et de leur budget,

- coordination globale : les directions fonctionnelles d'AREVA ont un rôle d'impulsion des

politiques communes du groupe.

Concrètement :

- la mesure de la performance se fait au niveau où l'action se produit,

- chaque niveau de responsabilité fixe des objectifs déclinables aux niveaux opérationnels inférieurs,

- à chaque échelon existent des données :

· normées et communes accessibles par les niveaux supérieurs,

· spécifiques, qui ne sont pas destinées à être transmises.

12) La politique DD chez AREVA :

Le développement durable... la nature d'AREVA

AREVA se fixe pour mission « d'innover pour contribuer à une production d'énergie sans CO2 et à un acheminement de l'électricité toujours plus propre, plus sûr et plus économique ».

Le développement durable est ainsi par nature au coeur de l'activité d'AREVA, leader de « l'énergie au sens

propre ».

Indispensable, l'énergie permet à l'homme de s'éclairer, de se chauffer, de se déplacer, de communiquer... Mais avec l'augmentation de la population mondiale et la croissance inexorable des besoins, le défi du 21ème siècle est de fournir de l'énergie au plus grand nombre sans aggraver le dérèglement climatique. AREVA entend apporter des solutions aux enjeux de demain : accès du plus grand nombre à l'énergie, sécurité d'approvisionnement, fiabilité et sûreté, réduction des émissions de CO2 et efficacité énergétique.

72

Extrait de l'intranet AREVA

AREVA Way, pour un développement durable au quotidien

AREVA vise une croissance rentable, socialement responsable et respectueuse de l'environnement. AREVA Way permet d'inscrire cette ambition dans les faits en indiquant :

· le cap à atteindre, « a way to go » : défini par les 10 engagements développement durable d'AREVA,

· la manière d'avancer, « a way to act » : une démarche d'amélioration continue pour progresser sur ces 10 engagements,

· le comportement à adopter, « a way to be » : l'état d'esprit et les valeurs qui guident chacun d'entre nous.

Toutes les actions et décisions doivent répondre à une exigence de « performance équilibrée » :

· être économiquement efficaces,

· contribuer à l'équité sociale,

· améliorer la protection de l'environnement.

« A way to go » : se fixer des buts

Le « but » d'AREVA Way est formalisé par les 10 engagements du groupe. Ces 10 engagements construisent sa performance globale en assurant une cohérence entre ses ambitions économiques, sociales et environnementales.

Chacun de ces engagements est porté par une ou plusieurs fonctions corporate qui définit les politiques associées, en assure le relais et le déploiement.

« A way to act » : viser l'amélioration continue

AREVA Way est une démarche d'amélioration continue, intégrée dans le management quotidien. L'auto-évaluation, déclinant les 10 engagements en 32 axes de progrès et 118 critères d'évaluation de la performance, permet à chaque entité du groupe de savoir où elle se situe et de déterminer ses objectifs. La boucle d'amélioration débute par l'élaboration de cartes d'objectifs, déclinées ensuite en plans de progrès, qui permettent de piloter et de rendre compte des réalisations.

Le système de « reporting » mis en place permet de mesurer et suivre les résultats, mais également :

· de rendre compte au management,

· de communiquer aux parties prenantes,

· d'ajuster si besoin les objectifs stratégiques.

« A way to be » : une culture d'entreprise

AREVA Way implique une façon d'être, un état d'esprit et des valeurs communes, partagées par toutes les entités à travers le monde.

Ces valeurs façonnent les « savoir-être » et les « savoir-faire » d'AREVA.

Ces savoirs sont axés sur le sens de l'écoute et du dialogue, et la capacité à remettre en question l'existant en osant innover.

Un esprit d'ouverture

Il n'y a pas de réelle politique développement durable si on n'entretient pas un dialogue avec les parties prenantes reposant sur des faits et des chiffres. AREVA dispose ainsi, en appui de la démarche AREVA Way et conformément à l'un de ses engagements, d'un système de reporting robuste, audité par les commissaires aux comptes, qui permet de suivre l'évolution de ses performances et d'orienter ses politiques. AREVA structure le dialogue avec ses parties prenantes au niveau local, à travers une démarche de cartographie des attentes des parties prenantes (mairies, médias, collectivités, associations...). En France, AREVA organise également des « Stakeholders' Sessions », sessions de discussion avec des représentants de la société civile et experts pour comprendre leurs attentes, écouter leurs critiques et avis en matière de développement durable.

 
 
 
 
 

73

13) Les ASDA :

AREVA organise, tous les deux ans depuis 2005, les AREVA Sustainable Development Awards (ASDA). Il s'agit d'un concours international interne, ouvert à toutes ses entités, visant à renforcer la sensibilisation de ses collaborateurs à la démarche de développement durable du groupe, et à créer de nouvelles initiatives dans ce domaine. Les projets proposés doivent tenir compte, dans leur conception et leur mise en oeuvre, de leurs incidences sur l'environnement, les personnes et la société, tout en étant financièrement viables. Ils sont soumis à un jury international et jugés sur les aspects suivants :

- impact équilibré sur les aspects environnementaux, sociaux et économiques - nature exemplaire (transposable ailleurs)

- créativité (dans l'innovation, la technique, ou les modalités de mise en oeuvre) - faisabilité (budget et planification détaillés)

- esprit d'entreprise (capacité d'initiative des équipes de terrain)

- travail d'équipe

Véritable source de mobilisation des équipes au sein du groupe, les ASDA sont tout à la fois un outil unique de reconnaissance du personnel pour son implication dans la démarche de développement durable du groupe, et une source de bonnes pratiques et d'initiatives de développement durable.

Extrait de la « Fiche Bonne Pratique » envoyée au MEDEF par la DDPC

14) Diagrammes mode de management

75

15) ALARA et GES :

AREVA est l'un des premiers grands groupes industriels à atteindre un objectif de «neutralité» en carbone pour ses émissions directes de gaz à effet de serre (GES). Le groupe souhaite poursuivre cette démarche grâce à une stratégie en trois étapes : identification, réduction, puis compensation des émissions de GES.

Identifier

Depuis 2004, le groupe comptabilise l'ensemble de ses émissions directes (c'est-à-dire les rejets des processus industriels, des chaudières, etc.) et, pour partie, des émissions indirectes (résultant de l'achat d'électricité) générées par ses activités. En 2008, AREVA franchit une nouvelle étape en étendant son inventaire à ses émissions indirectes de GES liées au transport du fret et des personnes. Dans la procédure de reporting annuel, trois indicateurs nouveaux sont introduits à cette fin.

Réduire

Le groupe s'est donné un objectif ambitieux : réduire de moitié ses émissions de GES à la fin 2011 par rapport à 2004. Cela implique une forte mobilisation interne en vue de faire évoluer les processus industriels vers davantage de sobriété énergétique, de privilégier le recours à des énergies de substitution moins carbonées, d'encourager les comportements «écoefficaces». Par exemple à l'usine de La Hague, les émissions directes de GES ont été réduites de 37,5 % en 2008 par rapport à 2007 grâce au remplacement des chaudières au fioul par des chaudières électriques (l'électricité achetée étant faiblement carbonée du fait de l'importance du nucléaire dans le mix électrique français).

Compenser

Au-delà de telles réductions dans ses propres installations industrielles, le groupe a décidé de compenser volontairement ses émissions directes résiduelles. Un système de «compensation volontaire» permet en effet de valoriser, par des crédits «carbone», la réduction des émissions qui résulte de développements locaux, par exemple dans les énergies renouvelables.

Les projets retenus doivent respecter l'environnement et valoriser le développement économique et social des populations locales. AREVA s'est engagé dans différents projets de ce type grâce à un partenariat conclu pour trois ans avec l'entreprise spécialisée Eco-Act. Cette dernière identifie les projets, atteste de leur qualité, et fait valider, selon des standards labellisés, les « crédits carbone » ainsi générés, qui peuvent dès lors être valorisés sur le marché du carbone.

Extrait de la « Fiche Bonne Pratique » envoyée au MEDEF par la DDPC

16) FOH : Objectif zero accident

Depuis 2006, AREVA s'est fixé comme objectif le zéro accident, difficile à atteindre mais le seul qui soit humainement et industriellement acceptable pour l'entreprise.

AREVA s'est doté en 2008 d'un levier supplémentaire pour agir sur les comportements en s'appuyant sur une démarche « Facteur Organisationnel Humain », en cours de déploiement avec les fonctions sûreté, environnement, qualité et progrès continu.

Le groupe AREVA termine l'année 2008 avec un taux de fréquence moyen des accidents du travail avec arrêt qui s'établit à 3,19 (soit un taux divisé presque par 3 en cinq ans). L'objectif de zéro accident est ambitieux et relève pour AREVA d'un challenge en matière de transmission de la culture sécurité, face à une croissance de ses activités à risques (chantiers, services), une croissance de ses effectifs (plus de

10 000 nouveaux employés par an), et l'intégration de nouvelles sociétés souvent moins performantes en

 
 
 
 
 

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matière de sécurité au travail. Malgré ce contexte, les résultats progressent de façon significative dans le bon sens.

Extrait de la « Fiche Bonne Pratique » envoyée au MEDEF par la DDPC

17) Bridge the gap :

Dans un contexte où la consommation mondiale d'énergie sera multipliée par 2 d'ici à 2030, le groupe a lancé le programme « Bridge The Gap » pour répondre :

A la renaissance du nucléaire.

L'objectif :

· adapter notre outil industriel

· doter le groupe des ressources (humaines, technologiques, etc.) lui permettant de répondre aux attentes de nos clients actuels et aux nouvelles perspectives du marché

Le nucléaire apparaît comme une solution de choix pour répondre aux besoins énergétiques des 9 milliards d'individus qui seront présents en 2050 sur terre, et ce pour plusieurs raisons:

· les prix des combustibles fossiles, dont les réserves s'épuisent, sont volatiles,

· l'énergie nucléaire peut être produite de manière continue et compétitive,

· la lutte contre les gaz à effet de serre est devenue une priorité mondiale,

· les ressources d'uranium sont durables et situées dans des zones généralement stables.

Dans ce contexte, de nombreux pays ont décidé de démarrer, de reprendre ou d'intensifier leur programme nucléaire. En 2020, le nombre de réacteurs en construction dans le monde devrait être multiplié par 10 par rapport à 2007.

Selon nos prévisions, il devrait y avoir une puissance installée de l'ordre de 635 GW en 2030 par AREVA dans le monde, dont 344 GWe générés par les nouveaux réacteurs construits (new builds) entre 2007 et 2030.

Stratégie

La stratégie d'AREVA est d'être l'acteur de référence dans les solutions de production d'énergie sans CO2 et d'acheminement de l'électricité.

Cette stratégie s'appuie sur 3 axes :

Capitaliser sur notre modèle intégré pour mener la renaissance du nucléaire

· Construire 1/3 des nouvelles capacités nucléaires*

· Sécuriser le cycle du combustible pour nos clients actuels et futurs

- Développer nos gisements miniers

- Adapter nos installations industrielles

- Le recyclage : une solution qui répond aux impératifs économiques et environnementaux

 
 
 
 
 
 
 

Assurer une croissance forte et rentable du pôle Transmission & Distribution Développer notre offre d'énergies renouvelables

...en demeurant la référence en matière de sûreté et de sécurité

* du marché accessible (Monde hors Russie, Ukraine, Corée du Nord, Pakistan, Iran)

Le programme

Face à la croissance, AREVA a lancé le programme « Bridge The Gap » qui a pour objectif de :

· doter le groupe des ressources lui permettant de répondre aux attentes de nos clients actuels et aux nouvelles perspectives du marché

· adapter notre outil industriel et nos modes de fonctionnement

BTG est le programme de transformation de l'entreprise visant à répondre aux enjeux de la croissance dans le cadre de son plan stratégique.

Bridge The Gap est un projet d'entreprise ambitieux. Sa réussite requiert une évolution de la culture du groupe.

Pour accompagner le projet, AREVA souhaite ainsi valoriser certaines pratiques auprès de ses collaborateurs :

· l'anticipation constante des besoins du groupe,

· la généralisation du travail en mode projet, avec des équipes dotées de responsabilités bien définies et d'objectifs clairs,

· le développement permanent des compétences de chacun,

· le renforcement des coopérations à l'échelle du groupe.

« Bridge The Gap » est déployé à travers le groupe. Le programme BTG n'implique aujourd'hui pas toutes les Bus et les fonctions supports. Néanmoins, toutes les BUs et fonctions supports seront à terme impactées, de près ou de loin, par la mise en oeuvre de ce programme.

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18) évolution de l'empreinte environnementale d'AREVA :

Extrait du rapport croissance DD AREVA 2008, p20-21

BIBLIOGRAPHIE : Ouvrages et articles :

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Responsabilité juridique des filiales :

Hervé CAUSSE, 26 Octobre 2008 : http://www.hervecausse.info/ http://www.hervecausse.info/Societes-autonomie-des-societes-mere-et-filiales,-a-chacune-saresponsabilite-Elf-Aquitaine-a-l-ADEME-elle-c-est-elle-;a209.html

Greenunivers, Environnement : quelle responsabilité pour les sociétés mères ?, 19 mars 2009 : http://www.greenunivers.com/

http://www.greenunivers.com/2009/03/environnement-quelle-responsabilite-pour-les-societes-

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Capital d'AREVA :

Actionnariat : http://www.areva.com/ http://www.areva.com/servlet/finance/stockmarket/shareholding-fr.html

Structures:

Structures, 16 janvier 2008 http://c.muir.free.fr/index.php?n=Entr.Struc

Thèmes AREVA WAY : www.areva.com

Engagements :

http://www.areva.com/servlet/group/commitment/engagements-fr.html

Christian Hohmann, VALUE STREAM MAPPING : Cartographie de la valeur : http://chohmann.free.fr/engineer_fr.htm

http://chohmann.free.fr/lean/vsm.html

Reportage France 3 :

Déchets radioactifs: France 3 et Areva se fritent : http://www.lepost.fr/ http://www.lepost.fr/article/2009/01/30/1406465 nucleaire-france-3-et-areva-se-fritent.html

 
 
 
 
 

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Campagne de sensibilisation SVJ :

Lopez, J., « A nos lecteurs », 2 décembre 2008

http://www.svjlesite.fr/actu/anoslecteurs.php

Piro, P., « Nucléaire: les vraies fausses pubs d'Areva », 7 mai 2009 http://www.michelcollon.info/index.php?view=article&catid=7&id=2047&option=comcontent&Itemid=12

Réseau Sortir du Nuléaire, « "Sciences et Vie Junior" et "Image doc" accusés par le Le Réseau "Sortir du nucléaire" de tromper les jeunes au profit d'Areva »,31 octobre 2008 http://ecolopresse.20minutes-blogs.fr/archive/2008/10/31/sciences-et-vie-junior-et-image-doc-accusespar-le-le-resea.html

slogan AREVA :

Roumégas, J-L., Sonzogni, D., Porte-parole « Les Verts », « Ecoblanchiment : demi-victoire contre AREVA » , Communiqué de presse, 15 janvier 2009 :

http://lesverts.fr/article.php3?id article=4351

Site Internet AREVA : sensibilisation à l'activité :

Au coeur du réacteur nucléaire : aujourd'hui et demain : http://www.areva.com/servlet/understand/ouroperations/animation/dossier4r%C3%A9acteurs-c-

FolderGameQuiz-cid-1086340380951-fr.html

Le point de vue d'un anti-nucléaire :

« AREVA : Le Crash De L'Enfant Chéri du Nucléaire Français », 30 mars 2009 http://www.hns-info.net/spip.php?article18001

Consommation EURODIF :

DGEMP, Ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, « Les avantages du nucléaire en France », avril 2004,

http://www.developpement-durable.gouv.fr/energie/nucleair/epr12.htm#3

 
 
 
 
 

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Evolution de la gestion du DD dans les entreprises :

Cappelli, P., « La deuxième génération des directeurs du développement durable » : http://www.strategies.fr/etudes-tendances/tendances/105492W/la-deuxieme-generationdes-directeurs-du-developpement-durable.html

Loi NRE :

RSE News, « La loi sur les Nouvelles Régulations Economiques » :
http://www.rsenews.com/public/dossiereco/loi-nre.php?rub=1

Loi n°2001-420 du 15 mai 2001 relative aux nouvelle s régulations économiques : http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000223114&dateTex te=

Surveillance et responsabilité d'AREVA pour ses sous-traitants :

Enviro2B, « L'ASN demande à Areva une surveillance plus efficace de ses sous-traitants », 27 octobre 2008 :

http://www.enviro2b.com/2008/10/27/lasn-demande-a-areva-une-surveillance-plus-efficace-de-ses-soustraitants/

 
 
 
 
 

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Table des matières :

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"Il y a des temps ou l'on doit dispenser son mépris qu'avec économie à cause du grand nombre de nécessiteux"   Chateaubriand