ü Le
développement de l'industrie.
Malgré toute l'attention qui peut être
portée à la sécurité dans les usines, les risques
industriels se sont développés en parallèle de
l'évolution des technologies.
De plus elle participe dans l'explosion de la consommation
d'énergie.
L'avènement des technologies du nucléaire a
apporté son lot d'accidents, dont le plus connu, car le plus
étendu et lourd de conséquences, est celui de Tchernobyl (Le 26
avril 1986, un des quatre réacteurs de la centrale de Tchernobyl, en
Ukraine, explosa et brûla). Des doses de radiation très
élevées ont atteint la population proche du réacteur et un
nuage de retombées radioactives s'est étendu vers l'Ouest).
Des accidents, comme celui, grave et spectaculaire, de l'usine
AZF à Toulouse en septembre 2001, viennent rappeler que, dans ce
domaine, le risque zéro n'est pas atteint.
Outre l'impact immédiat sur les victimes, ces accidents
causent, selon leur nature, de graves dommages à l'environnement
(pollution des eaux, des sols, de l'air) par la diffusion dans la nature de
produits chimiques dangereux.
ü Les
déchets
Le développement de la société de
consommation dans les pays industrialisés a généré
des masses de déchets dont le recyclage et/ou la destruction par
incinération posent un problème écologique crucial.
En France, chaque année, environ 580 millions de tonnes
de déchets sont produites: 400 millions de tonnes de déchets
verts, 150 millions de tonnes de déchets industriels dont 1 à 4
millions de tonnes de déchets industriels spéciaux, 1 million de
tonnes de déchets hospitaliers et 26 millions de tonnes de
déchets ménagers.
Ce dernier chiffre signifie que, en moyenne, un
Français jette 1 kg par jour d'ordures ménagères. En 1960,
ce même Français ne jetait que 600 grammes. Pour comparaison,
l'Américain jette près de 2,3 kg par jour. (Source UNESCO)
Bien que le recyclage, grâce au tri des ordures, entre
de plus en plus dans les habitudes des collectivités locales, le taux de
recyclage reste en général très faible quels que soient
les types de déchets. En effet, l'industrie du papier est celle qui a,
avec 43%, le taux de valorisation le plus élevé. Les
décharges regorgent donc d'écrans d'ordinateurs, de piles, de
vieux réfrigérateurs... Ces appareils contiennent des produits
toxiques de nature à polluer les sols et les eaux (rivières,
nappes phréatiques,...).
ü
Pollutions diverses
Ces cinq points ne sont que des exemples des impacts
d'activités faisant partie intégrante de notre mode de vie. Il y
en a bien d'autres mais ce n'est pas l'objet de ce mémoire que d'en
faire une liste exhaustive.
Il nous faut malgré tout noter les impacts d'actes de
négligence voire de malveillance qui sont monnaie courante et qui
contribuent à la dégradation de l'environnement :
- Les marées noires et dégazages en
mer qui polluent les océans et les littoraux, et menacent les
espèces marines. Tout le monde se souvient encore de la L'Amoco Cadiz en
1978 et plus récemment de l'Erika en 1999 et du Prestige fin 2002. Le
pétrole de ce dernier s'échappe encore doucement mais
régulièrement dans l'océan près des côtes
espagnoles.
- Le braconnage (chasse d'espèces
protégées). Les chimpanzés, par exemple, sont
menacés de disparition à l'état sauvage.
- Le rejet frauduleux par des industries de produits
polluants (au lieu de payer le traitement de leurs déchets) qui
entraînent une pollution des sols, des rivières et de l'air,
menaçant les écosystèmes.
- Les sacs plastiques, mégots de
cigarettes et autres déchets jetés dans la nature, qui mettent
des centaines, voire des milliers d'années à se décomposer
et qui présentent des risques pour les animaux. En Corse, les sacs
plastiques représentent non seulement une pollution visuelle, une
dégradation des sols et des fonds marins, mais ils tuent aussi des
animaux marins, comme les dauphins, qui s'étouffent en les
ingérant.
- L'accumulation de molécules pathogènes
tout au long de la chaîne alimentaire qui entraîne un
risque sanitaire (le dossier de la vache folle entraînant chez l'homme la
maladie de Creutzfeld-Jacob ou ESB -l'encéphalopathie
spongiforme bovine-, la tremblante du mouton,...).
- L'usage de pesticides et de fertilisants à
outrance dans l'agriculture, qui polluent les sols, les nappes
phréatiques (rendant ces eaux impropres à la consommation) et nos
aliments (pour manger des pommes, il est fermement recommandé de les
éplucher ou de les laver au préalable)
Annexe 3
Le processus de l'effet de Serre
La plus grande partie du rayonnement solaire traverse
directement l'atmosphère pour réchauffer la surface du globe. La
terre, à son tour, "renvoie" cette énergie dans l'espace sous
forme de rayonnement infrarouge de grande longueur d'onde. La vapeur d'eau, le
gaz carbonique, et d'autres gaz absorbent ce rayonnement renvoyé par la
terre, empêchent l'énergie de passer directement de la surface du
globe vers l'espace, et réchauffent ainsi l'atmosphère.
L'augmentation de la teneur atmosphérique en gaz à effet de serre
(GES) peut se comparer à la pose d'un double vitrage: si les apports de
rayonnements solaires à l'intérieur de la serre restent
constants, la température s'élèvera.
Les principaux gaz à effet de serre émis par
l'activité humaine sont3 :
- le gaz carbonique (CO2) : durée de vie d'environ
100 ans dans l'atmosphère. Il provient de l'industrie, du transport, de
la production d'énergie...
- le méthane (CH4) : durée de vie de 12
ans. Les émissions de méthane proviennent des décharges,
de l'exploitation des mines de charbon et du gaz naturel, mais surtout des
activités agricoles (en France, l'agriculture contribuerait pour 57% des
émissions de CH4).
- le protoxyde d'azote (ou N20) : durée de vie
d'environ 120 ans dans l'atmosphère. Il est en partie responsable de la
destruction de l'ozone. L'agriculture contribuerait pour 75% des
émissions de N2O provenant essentiellement de la transformation des
produits azotés (engrais, fumier, lisier, résidus de
récolte) dans les sols agricoles.
3 Source Citepa (centre interprofessionnel
technique d'études de la pollution atmosphérique) 2000.
Annexe 4
2 types courants de violences aux travail
Ø Le comportement abusif ou tyrannique
vis-à-vis d'un subalterne ou d'un pair
C'est l'une des formes de violence sur le lieu de travail de
plus en plus fréquemment dénoncée. La personne qui se
comporte de cette façon blessante cherche à amoindrir un ou
plusieurs employés en utilisant des moyens vindicatifs, cruels,
malicieux ou humiliants. Par exemple:
- Elle rend la vie difficile à ceux ou celles qui ont
la capacité de réaliser son propre travail mieux
qu'elle-même;
- Elle s'adresse au personnel en criant pour lui demander
d'exécuter un travail;
- Elle insiste sur le fait que seule sa façon de faire
est la bonne;
- Elle refuse de déléguer, parce qu'elle pense
qu'on ne peut faire confiance à personne d'autre qu'à elle;
- Elle punit les autres en les critiquant constamment ou en
leur ôtant leurs responsabilités sous prétexte qu'ils ou
elles ne sont pas assez compétent(e)s.
Par exemple, une étude finlandaise visant à
évaluer les effets de ces types de comportement sur les employés
municipaux révélait les faits suivants : 40 pour cent des
travailleurs tyrannisés ressentaient un degré
«important» ou «très important» de stress ; 49 pour
cent se sentaient anormalement fatigués pendant leur travail; et 30 pour
cent étaient «souvent» ou «constamment» nerveux.
Ø Le harcèlement psychologique
exercé par le groupe à l'encontre d'un individu.
Il se produit lorsque plusieurs personnes s'allient pour
persécuter un employé ciblé en le soumettant à un
harcèlement psychologique qui peut prendre les formes suivantes: faire
constamment des remarques négatives sur cette personne ou la critiquer
sans arrêt, l'isoler en la laissant sans contact social et médire
ou diffuser de fausses informations sur elle. En Suède, on estime que le
harcèlement psychologique est à l'origine de 10 à 15 pour
cent des suicides.Annexe 5
Mickey 3D, Il faut que tu respires, 2002
Approche-toi petit, écoute-moi gamin Je vais te
raconter l'histoire de l'être humain Au début y'avait rien au
début c'était bien La nature avançait y'avait pas de
chemin Puis l'homme a débarqué avec ses gros souliers Des
coups de pied dans la gueule pour se faire respecter Des routes à
sens unique il s'est mis à tracer Des flèches dans la plaine
se sont multipliés Et tous les événements se sont vus
maîtriser En deux temps trois mouvements l'histoire était
pliée C'est pas demain la veille qu'on fera marche
arrière On a même commencé à polluer les
déserts
Il faut que tu respires Et ça c'est rien de le
dire Tu vas pas mourir de rire Et c'est pas rien de le dire
D'ici
quelques années on aura bouffé la feuille Et tes petits
enfants ils n'auront plus qu'un oeil En plein milieu du front ils te
demanderont Pourquoi toi t'en as deux et tu passeras pour un con Ils te
diront comment t'as pu laisser faire ça T'auras beau te defendre leur
expliquer tout bas C'est pas ma faute à moi c'est la faute aux
anciens Mais y'auraplus personne pour te laver les mains Tu leur
raconteras l'époque où tu pouvais Manger des fruits dans
l'herbe allongé dans les prés Y'avait des animaux partout dans
la forêt Au début du printemps les oiseaux
revenaient
Refrain
Le pire dans cette histoire c'est qu'on est
des esclaves Quelque part assassin ici bien incapable De regarder les
arbres sans se sentir coupable A moitié défroqué cent
pour cent misérable Alors voilà petit l'histoire de
l'être humain C'est pas joli joli et j'connais pas la fin T'es pas
né dans un chou mais plutôt dans un trou Qu'on remplit tous les
jours comme une fosse à purin
Refrain C'est demain que tout empire
refrain
Annexe 6
Origines historiques et institutionnelles du DD
Des années 60 au début des années
80 : l'émergence du concept de développement durable
Jusqu'aux années 60, les questions d'environnement sont
reléguées au «second plan ». Les politiques
environnementales sont pour l'essentiel sectorielles : elles visent à
lutter contre des pollutions localisées et dont les acteurs sont
relativement facilement identifiables (déchets, eau, etc.).
C'est au début des années 70 que des changements
vont s'opérer, tant dans la prise de conscience que dans les
débats relatifs aux questions d'environnement. Cette « prise de
conscience » par les populations des problèmes environnementaux est
liée à des inquiétudes de plus en plus prononcées
dans les sociétés du Nord vis-à-vis des impacts
négatifs de l'industrialisation. Les débats sur
l'épuisement des ressources naturelles ont commencé à
faire prendre conscience que les conditions actuelles de la croissance ne
pourront se poursuivre de façon indéfinie.
En 1971, le Club de Rome lance un vrai
pavé dans la marre en publiant Halte à la croissance.
Face à la surexploitation des ressources naturelles liée à
la croissance économique et démographique, cette association
privée internationale créée en 1968, prône la
croissance zéro. En clair, le développement économique est
alors présenté comme incompatible avec la protection de la
planète à long terme.
C'est dans ce climat de confrontation et non de conciliation
entre l'écologie et l'économie que se tient la
Conférence des Nations Unies sur l'Environnement humain, à
Stockholm, en 1972 (première conférence mondiale sur
l'environnement). Conférence qui sera à l'origine du premier vrai
concept de développement durable, baptisé à
l'époque éco-développement. Des
personnalités (comme Maurice Strong, organisateur de la
Conférence) insistent sur la nécessité d'intégrer
l'équité sociale et la prudence écologique dans les
modèles de développement économique du Nord et du Sud. Il
en découlera la création du Programme des Nations Unies
pour l'Environnement (PNUE) ainsi que le Programme des Nations
Unies pour le Développement (PNUD).
Cependant, l'agenda environnemental des pays
industrialisés s'est heurté aux perspectives et aux
priorités politiques des pays en développement, pour qui il
n'était pas question de réduire les taux de croissance.
Notons que les deux chocs pétroliers ainsi que la
manifestation d'une crise économique importante ont conduit pendant une
dizaine d'années à un déclin de l'attention publique et
politique vis-à-vis des questions environnementales.
A partir des années 80 : la «
montée en puissance » du développement durable
Mais plus le temps passe, plus la société civile
prend conscience de l'urgence de mettre en place une solidarité
planétaire pour faire face aux grands bouleversements des
équilibres naturels. Ainsi, au cours des années 1980, le grand
public découvre les pluies acides, le trou dans la couche d'ozone,
l'effet de serre, la déforestation et la catastrophe de
Tchernobyl !
L'ensemble de ces éléments, relayé par
les médias, a touché le grand public. Il est dorénavant
questions de problèmes « globaux » d'environnement pour
lesquels de « nouvelles formes de gouvernance » doivent être
élaborées. Ces problèmes globaux mettent en jeu l'avenir
des générations futures et peuvent avoir des effets
irréversibles qui menacent la survie de la planète et de
l'espèce humaine.
Dès 1980, l'UICN (alliance mondiale pour la nature -
c'est un organisme privé) parle pour la première fois de
Sustainable Development (traduit à l'époque par
développement soutenable). Présentée comme un « cadre
théorique et pratique » à destination des pouvoirs publics,
des praticiens du développement, etc., cette stratégie vise
à concilier les objectifs du développement des
sociétés et de conservation de la nature, lesquels ont trop
longtemps été considérés comme antinomiques. C'est
au rapport Brundtland que l'on attribue
généralement l'origine du terme de développement
durable. À l'époque Premier ministre en Norvège
et présidente de la Commission Mondiale sur l'Environnement et
le Développement, madame Gro Harlem Brundland
s'attacha à définir ce concept de développement durable
par " un développement qui répond au besoin du
présent sans compromettre la capacité des
générations futures à répondre aux leurs ".
Depuis cette date, le concept de développement durable a
été adopté dans le monde entier.
Mais le terme n'a vraiment retenu l'attention des
médias qu'à partir de la conférence de Rio (Un
recensement de l'occurrence du terme « développement durable »
dans Le Monde et Les Échos depuis 1987 montre que l'utilisation du terme
dans ces deux quotidiens ne décolle réellement qu'à partir
de la Conférence de Rio en 1992. Le terme apparaît une fois en
1988, 9 en 1990, 19 en 1991, 46 en 1992, 137 en 1999, 119 en 2000 ;
résultats d'une recherche menée par AGGERI (2001) sur la base de
données Europresse).
Annexe 7
Parties Prenantes / Stakeholders
Salariés
Les collaborateurs de l'entreprise sont sa première source
de richesse. Ils garantissent non seulement la production d'un bien ou d'un
service, mais peuvent également, placés dans des conditions
favorables (qualité du management et de l'environnement de travail,
incitation à l'autonomie, formation et rémunération),
améliorer la qualité des produits et des services, imaginer de
nouvelles façons de travailler, etc.
Fournisseurs
Il s'agit d'établir un nouveau type de contrat avec ses
fournisseurs en établissant des relations à long terme.
L'idée n'est plus d'obtenir le meilleur prix, en écrasant les
marges de ses fournisseurs et en en changeant régulièrement, mais
de bénéficier de produits ou de services de qualité
constante, dans un bénéfice mutuel pour les deux parties.
Reste la question des responsabilités en cascade : une
entreprise engagée dans une politique socialement responsable
sélectionnera ses fournisseurs selon des critères sociaux et
environnementaux. Mais qu'en est-il des propres sous-traitants de ces
fournisseurs ? Comment aller vérifier leurs méthodes de travail
puisqu'ils restent, a priori, inconnus de l'entreprise cliente ? La
sous-traitance, et ses multiples niveaux, est au coeur de la RSE.
Clients
Prendre en compte les attentes des clients passe par un
éventail de mesures visant à améliorer le service au
consommateur via les procédures qualité, les numéros verts
et les services d'information client, les enquêtes de satisfaction, etc.
C'est aussi répondre à de nouvelles attentes sur les
qualités sociales et environnementales des produits.
Les consommateurs deviennent progressivement des
consom'acteurs qui utilisent «le pouvoir de leurs caddies» pour, par
exemple, choisir des produits labellisés commerce équitable ou se
détourner de marques stigmatisées par des ONG pour les conditions
de travail chez leurs sous-traitants.
Actionnaires
La voix des actionnaires ne cesse de s'affirmer, celle des
investisseurs institutionnels comme des petits porteurs. Détenteurs
d'une partie du capital de l'entreprise, ces actionnaires, quel que soit leur
poids, exercent de plus en plus leur droit de regard sur la politique
menée par l'entreprise y compris dans ses aspects sociaux et
environnementaux. Ils utilisent pour cela, entre autres, les assemblées
générales.
ONG (Organisations Non Gouvernementales)
Certains organismes non-gouvernementaux publient
régulièrement des informations sur les méthodes de gestion
des entreprises et en dénoncent, si nécessaire, les errements.
Leur mission consiste aussi à élaborer et publier des chartes,
voire à mener des audits sollicités par les entreprises
elles-mêmes.
Riverains
Il s'agit de tous ceux qui vivent autour des unités de
production et peuvent, directement ou indirectement, bénéficier
ou subir les impacts de cette activité économique. En anglais, on
parle de community. La vie et le développement des collectivités
locales dépendent toujours largement des retombées
économiques générées par les entreprises, en termes
d'emploi, mais aussi de taxes professionnelles, de vie des associations, de
maintien des services publics et des commerces. Dans les pays en
développement, la contribution de l'entreprise relève parfois de
notions de services publics (santé, équipement...).
Les générations futures
Le développement durable doit tenir compte des
générations à venir qui n'ont, par définition, pas
de porte-parole. De façon plus concrète, il consiste aussi
à réintroduire dans une économie et une
société occidentale vivant au rythme du court terme, les notions
de moyen et long terme.
Annexe 8
Agences de rating social et environnemental remarquables sur
le plan international
Council on Economic Priorities
C'est une association qui évalue les entreprises et
s'adresse à la communauté financière comme aux
consommateurs (par la publication du best-seller "Shopping for a better
world"). Le C.E.P. est notamment à l'origine de la norme sociale SA
8000, dont il est une agence de vérification agréée.
SAM (Sustainable Asset Managemement)
Fondée en 1995, SAM est une société
indépendante de gestion d'actifs basée en Suisse et
spécialisée dans la mise en place effective de stratégies
d'investissement durables pour des investisseurs privés et
institutionnels. En 1999, elle a lancé, en partenariat avec Dow Jones
& Company, le premier indice mondial composé selon des
critères de durabilité, le DJSI World, et a lancé en
octobre 2001, un indice européen composé selon des
critères de durabilité, le DJSI STOXX.
Calvert Group
S'adressant aux investisseurs "que le comment intéresse
autant que le combien", Calvert Group est l'un des premiers organismes
américains spécialisés dans les placements
éthiques. C'est aussi une entreprise pionnière de la
responsabilité sociale.
Annexe 9
Extrait des annexes du rapport de la CCIP, Pour que
l'entreprise soit le moteur du développement durable.
Annexe 10
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