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Le Développement Durable : Source de Pérennité de l'Entreprise ?

( Télécharger le fichier original )
par Maïté Dracon
ISTEC - Ecole de Commerce 2004
  

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ü Le développement de l'industrie.

Malgré toute l'attention qui peut être portée à la sécurité dans les usines, les risques industriels se sont développés en parallèle de l'évolution des technologies.

De plus elle participe dans l'explosion de la consommation d'énergie.

L'avènement des technologies du nucléaire a apporté son lot d'accidents, dont le plus connu, car le plus étendu et lourd de conséquences, est celui de Tchernobyl (Le 26 avril 1986, un des quatre réacteurs de la centrale de Tchernobyl, en Ukraine, explosa et brûla). Des doses de radiation très élevées ont atteint la population proche du réacteur et un nuage de retombées radioactives s'est étendu vers l'Ouest).

Des accidents, comme celui, grave et spectaculaire, de l'usine AZF à Toulouse en septembre 2001, viennent rappeler que, dans ce domaine, le risque zéro n'est pas atteint.

Outre l'impact immédiat sur les victimes, ces accidents causent, selon leur nature, de graves dommages à l'environnement (pollution des eaux, des sols, de l'air) par la diffusion dans la nature de produits chimiques dangereux.

ü Les déchets

Le développement de la société de consommation dans les pays industrialisés a généré des masses de déchets dont le recyclage et/ou la destruction par incinération posent un problème écologique crucial.

En France, chaque année, environ 580 millions de tonnes de déchets sont produites: 400 millions de tonnes de déchets verts, 150 millions de tonnes de déchets industriels dont 1 à 4 millions de tonnes de déchets industriels spéciaux, 1 million de tonnes de déchets hospitaliers et 26 millions de tonnes de déchets ménagers.

Ce dernier chiffre signifie que, en moyenne, un Français jette 1 kg par jour d'ordures ménagères. En 1960, ce même Français ne jetait que 600 grammes. Pour comparaison, l'Américain jette près de 2,3 kg par jour. (Source UNESCO)

Bien que le recyclage, grâce au tri des ordures, entre de plus en plus dans les habitudes des collectivités locales, le taux de recyclage reste en général très faible quels que soient les types de déchets. En effet, l'industrie du papier est celle qui a, avec 43%, le taux de valorisation le plus élevé. Les décharges regorgent donc d'écrans d'ordinateurs, de piles, de vieux réfrigérateurs... Ces appareils contiennent des produits toxiques de nature à polluer les sols et les eaux (rivières, nappes phréatiques,...).

ü Pollutions diverses

Ces cinq points ne sont que des exemples des impacts d'activités faisant partie intégrante de notre mode de vie. Il y en a bien d'autres mais ce n'est pas l'objet de ce mémoire que d'en faire une liste exhaustive.

Il nous faut malgré tout noter les impacts d'actes de négligence voire de malveillance qui sont monnaie courante et qui contribuent à la dégradation de l'environnement :

- Les marées noires et dégazages en mer qui polluent les océans et les littoraux, et menacent les espèces marines. Tout le monde se souvient encore de la L'Amoco Cadiz en 1978 et plus récemment de l'Erika en 1999 et du Prestige fin 2002. Le pétrole de ce dernier s'échappe encore doucement mais régulièrement dans l'océan près des côtes espagnoles.

- Le braconnage (chasse d'espèces protégées). Les chimpanzés, par exemple, sont menacés de disparition à l'état sauvage.

- Le rejet frauduleux par des industries de produits polluants (au lieu de payer le traitement de leurs déchets) qui entraînent une pollution des sols, des rivières et de l'air, menaçant les écosystèmes.

- Les sacs plastiques, mégots de cigarettes et autres déchets jetés dans la nature, qui mettent des centaines, voire des milliers d'années à se décomposer et qui présentent des risques pour les animaux. En Corse, les sacs plastiques représentent non seulement une pollution visuelle, une dégradation des sols et des fonds marins, mais ils tuent aussi des animaux marins, comme les dauphins, qui s'étouffent en les ingérant.

- L'accumulation de molécules pathogènes tout au long de la chaîne alimentaire qui entraîne un risque sanitaire (le dossier de la vache folle entraînant chez l'homme la maladie de Creutzfeld-Jacob ou ESB -l'encéphalopathie spongiforme bovine-, la tremblante du mouton,...).

- L'usage de pesticides et de fertilisants à outrance dans l'agriculture, qui polluent les sols, les nappes phréatiques (rendant ces eaux impropres à la consommation) et nos aliments (pour manger des pommes, il est fermement recommandé de les éplucher ou de les laver au préalable)

Annexe 3

Le processus de l'effet de Serre

La plus grande partie du rayonnement solaire traverse directement l'atmosphère pour réchauffer la surface du globe. La terre, à son tour, "renvoie" cette énergie dans l'espace sous forme de rayonnement infrarouge de grande longueur d'onde. La vapeur d'eau, le gaz carbonique, et d'autres gaz absorbent ce rayonnement renvoyé par la terre, empêchent l'énergie de passer directement de la surface du globe vers l'espace, et réchauffent ainsi l'atmosphère. L'augmentation de la teneur atmosphérique en gaz à effet de serre (GES) peut se comparer à la pose d'un double vitrage: si les apports de rayonnements solaires à l'intérieur de la serre restent constants, la température s'élèvera.

Les principaux gaz à effet de serre émis par l'activité humaine sont3 :

- le gaz carbonique (CO2) : durée de vie d'environ 100 ans dans l'atmosphère. Il provient de l'industrie, du transport, de la production d'énergie...

- le méthane (CH4) : durée de vie de 12 ans. Les émissions de méthane proviennent des décharges, de l'exploitation des mines de charbon et du gaz naturel, mais surtout des activités agricoles (en France, l'agriculture contribuerait pour 57% des émissions de CH4).

- le protoxyde d'azote (ou N20) : durée de vie d'environ 120 ans dans l'atmosphère. Il est en partie responsable de la destruction de l'ozone. L'agriculture contribuerait pour 75% des émissions de N2O provenant essentiellement de la transformation des produits azotés (engrais, fumier, lisier, résidus de récolte) dans les sols agricoles.

3 Source Citepa (centre interprofessionnel technique d'études de la pollution atmosphérique) 2000.

Annexe 4

2 types courants de violences aux travail

Ø Le comportement abusif ou tyrannique vis-à-vis d'un subalterne ou d'un pair

C'est l'une des formes de violence sur le lieu de travail de plus en plus fréquemment dénoncée. La personne qui se comporte de cette façon blessante cherche à amoindrir un ou plusieurs employés en utilisant des moyens vindicatifs, cruels, malicieux ou humiliants. Par exemple:

- Elle rend la vie difficile à ceux ou celles qui ont la capacité de réaliser son propre travail mieux qu'elle-même;

- Elle s'adresse au personnel en criant pour lui demander d'exécuter un travail;

- Elle insiste sur le fait que seule sa façon de faire est la bonne;

- Elle refuse de déléguer, parce qu'elle pense qu'on ne peut faire confiance à personne d'autre qu'à elle;

- Elle punit les autres en les critiquant constamment ou en leur ôtant leurs responsabilités sous prétexte qu'ils ou elles ne sont pas assez compétent(e)s.

Par exemple, une étude finlandaise visant à évaluer les effets de ces types de comportement sur les employés municipaux révélait les faits suivants : 40 pour cent des travailleurs tyrannisés ressentaient un degré «important» ou «très important» de stress ; 49 pour cent se sentaient anormalement fatigués pendant leur travail; et 30 pour cent étaient «souvent» ou «constamment» nerveux.

Ø Le harcèlement psychologique exercé par le groupe à l'encontre d'un individu.

Il se produit lorsque plusieurs personnes s'allient pour persécuter un employé ciblé en le soumettant à un harcèlement psychologique qui peut prendre les formes suivantes: faire constamment des remarques négatives sur cette personne ou la critiquer sans arrêt, l'isoler en la laissant sans contact social et médire ou diffuser de fausses informations sur elle. En Suède, on estime que le harcèlement psychologique est à l'origine de 10 à 15 pour cent des suicides.Annexe 5

Mickey 3D, Il faut que tu respires, 2002

Approche-toi petit, écoute-moi gamin
Je vais te raconter l'histoire de l'être humain
Au début y'avait rien au début c'était bien
La nature avançait y'avait pas de chemin
Puis l'homme a débarqué avec ses gros souliers
Des coups de pied dans la gueule pour se faire respecter
Des routes à sens unique il s'est mis à tracer
Des flèches dans la plaine se sont multipliés
Et tous les événements se sont vus maîtriser
En deux temps trois mouvements l'histoire était pliée
C'est pas demain la veille qu'on fera marche arrière
On a même commencé à polluer les déserts

Il faut que tu respires
Et ça c'est rien de le dire
Tu vas pas mourir de rire
Et c'est pas rien de le dire

D'ici quelques années on aura bouffé la feuille
Et tes petits enfants ils n'auront plus qu'un oeil
En plein milieu du front ils te demanderont
Pourquoi toi t'en as deux et tu passeras pour un con
Ils te diront comment t'as pu laisser faire ça
T'auras beau te defendre leur expliquer tout bas
C'est pas ma faute à moi c'est la faute aux anciens
Mais y'auraplus personne pour te laver les mains
Tu leur raconteras l'époque où tu pouvais
Manger des fruits dans l'herbe allongé dans les prés
Y'avait des animaux partout dans la forêt
Au début du printemps les oiseaux revenaient

Refrain

Le pire dans cette histoire c'est qu'on est des esclaves
Quelque part assassin ici bien incapable
De regarder les arbres sans se sentir coupable
A moitié défroqué cent pour cent misérable
Alors voilà petit l'histoire de l'être humain
C'est pas joli joli et j'connais pas la fin
T'es pas né dans un chou mais plutôt dans un trou
Qu'on remplit tous les jours comme une fosse à purin

Refrain
C'est demain que tout empire

refrain

Annexe 6

Origines historiques et institutionnelles du DD

Des années 60 au début des années 80 : l'émergence du concept de développement durable

Jusqu'aux années 60, les questions d'environnement sont reléguées au «second plan ». Les politiques environnementales sont pour l'essentiel sectorielles : elles visent à lutter contre des pollutions localisées et dont les acteurs sont relativement facilement identifiables (déchets, eau, etc.).

C'est au début des années 70 que des changements vont s'opérer, tant dans la prise de conscience que dans les débats relatifs aux questions d'environnement. Cette « prise de conscience » par les populations des problèmes environnementaux est liée à des inquiétudes de plus en plus prononcées dans les sociétés du Nord vis-à-vis des impacts négatifs de l'industrialisation. Les débats sur l'épuisement des ressources naturelles ont commencé à faire prendre conscience que les conditions actuelles de la croissance ne pourront se poursuivre de façon indéfinie.

En 1971, le Club de Rome lance un vrai pavé dans la marre en publiant Halte à la croissance. Face à la surexploitation des ressources naturelles liée à la croissance économique et démographique, cette association privée internationale créée en 1968, prône la croissance zéro. En clair, le développement économique est alors présenté comme incompatible avec la protection de la planète à long terme.

C'est dans ce climat de confrontation et non de conciliation entre l'écologie et l'économie que se tient la Conférence des Nations Unies sur l'Environnement humain, à Stockholm, en 1972 (première conférence mondiale sur l'environnement). Conférence qui sera à l'origine du premier vrai concept de développement durable, baptisé à l'époque éco-développement. Des personnalités (comme Maurice Strong, organisateur de la Conférence) insistent sur la nécessité d'intégrer l'équité sociale et la prudence écologique dans les modèles de développement économique du Nord et du Sud. Il en découlera la création du Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE) ainsi que le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).

Cependant, l'agenda environnemental des pays industrialisés s'est heurté aux perspectives et aux priorités politiques des pays en développement, pour qui il n'était pas question de réduire les taux de croissance.

Notons que les deux chocs pétroliers ainsi que la manifestation d'une crise économique importante ont conduit pendant une dizaine d'années à un déclin de l'attention publique et politique vis-à-vis des questions environnementales.

A partir des années 80 : la « montée en puissance » du développement durable

Mais plus le temps passe, plus la société civile prend conscience de l'urgence de mettre en place une solidarité planétaire pour faire face aux grands bouleversements des équilibres naturels. Ainsi, au cours des années 1980, le grand public découvre les pluies acides, le trou dans la couche d'ozone, l'effet de serre, la déforestation et la catastrophe de Tchernobyl !

L'ensemble de ces éléments, relayé par les médias, a touché le grand public. Il est dorénavant questions de problèmes « globaux » d'environnement pour lesquels de « nouvelles formes de gouvernance » doivent être élaborées. Ces problèmes globaux mettent en jeu l'avenir des générations futures et peuvent avoir des effets irréversibles qui menacent la survie de la planète et de l'espèce humaine.

Dès 1980, l'UICN (alliance mondiale pour la nature - c'est un organisme privé) parle pour la première fois de Sustainable Development (traduit à l'époque par développement soutenable). Présentée comme un « cadre théorique et pratique » à destination des pouvoirs publics, des praticiens du développement, etc., cette stratégie vise à concilier les objectifs du développement des sociétés et de conservation de la nature, lesquels ont trop longtemps été considérés comme antinomiques. C'est au rapport Brundtland que l'on attribue généralement l'origine du terme de développement durable. À l'époque Premier ministre en Norvège et présidente de la Commission Mondiale sur l'Environnement et le Développement, madame Gro Harlem Brundland s'attacha à définir ce concept de développement durable par " un développement qui répond au besoin du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ". Depuis cette date, le concept de développement durable a été adopté dans le monde entier.

Mais le terme n'a vraiment retenu l'attention des médias qu'à partir de la conférence de Rio (Un recensement de l'occurrence du terme « développement durable » dans Le Monde et Les Échos depuis 1987 montre que l'utilisation du terme dans ces deux quotidiens ne décolle réellement qu'à partir de la Conférence de Rio en 1992. Le terme apparaît une fois en 1988, 9 en 1990, 19 en 1991, 46 en 1992, 137 en 1999, 119 en 2000 ; résultats d'une recherche menée par AGGERI (2001) sur la base de données Europresse).

Annexe 7

Parties Prenantes / Stakeholders

Salariés

Les collaborateurs de l'entreprise sont sa première source de richesse. Ils garantissent non seulement la production d'un bien ou d'un service, mais peuvent également, placés dans des conditions favorables (qualité du management et de l'environnement de travail, incitation à l'autonomie, formation et rémunération), améliorer la qualité des produits et des services, imaginer de nouvelles façons de travailler, etc.

Fournisseurs

Il s'agit d'établir un nouveau type de contrat avec ses fournisseurs en établissant des relations à long terme. L'idée n'est plus d'obtenir le meilleur prix, en écrasant les marges de ses fournisseurs et en en changeant régulièrement, mais de bénéficier de produits ou de services de qualité constante, dans un bénéfice mutuel pour les deux parties.

Reste la question des responsabilités en cascade : une entreprise engagée dans une politique socialement responsable sélectionnera ses fournisseurs selon des critères sociaux et environnementaux. Mais qu'en est-il des propres sous-traitants de ces fournisseurs ? Comment aller vérifier leurs méthodes de travail puisqu'ils restent, a priori, inconnus de l'entreprise cliente ? La sous-traitance, et ses multiples niveaux, est au coeur de la RSE.

Clients

Prendre en compte les attentes des clients passe par un éventail de mesures visant à améliorer le service au consommateur via les procédures qualité, les numéros verts et les services d'information client, les enquêtes de satisfaction, etc. C'est aussi répondre à de nouvelles attentes sur les qualités sociales et environnementales des produits.

Les consommateurs deviennent progressivement des consom'acteurs qui utilisent «le pouvoir de leurs caddies» pour, par exemple, choisir des produits labellisés commerce équitable ou se détourner de marques stigmatisées par des ONG pour les conditions de travail chez leurs sous-traitants.

Actionnaires

La voix des actionnaires ne cesse de s'affirmer, celle des investisseurs institutionnels comme des petits porteurs. Détenteurs d'une partie du capital de l'entreprise, ces actionnaires, quel que soit leur poids, exercent de plus en plus leur droit de regard sur la politique menée par l'entreprise y compris dans ses aspects sociaux et environnementaux. Ils utilisent pour cela, entre autres, les assemblées générales.

ONG (Organisations Non Gouvernementales)

Certains organismes non-gouvernementaux publient régulièrement des informations sur les méthodes de gestion des entreprises et en dénoncent, si nécessaire, les errements. Leur mission consiste aussi à élaborer et publier des chartes, voire à mener des audits sollicités par les entreprises elles-mêmes.

Riverains

Il s'agit de tous ceux qui vivent autour des unités de production et peuvent, directement ou indirectement, bénéficier ou subir les impacts de cette activité économique. En anglais, on parle de community. La vie et le développement des collectivités locales dépendent toujours largement des retombées économiques générées par les entreprises, en termes d'emploi, mais aussi de taxes professionnelles, de vie des associations, de maintien des services publics et des commerces. Dans les pays en développement, la contribution de l'entreprise relève parfois de notions de services publics (santé, équipement...).

Les générations futures

Le développement durable doit tenir compte des générations à venir qui n'ont, par définition, pas de porte-parole. De façon plus concrète, il consiste aussi à réintroduire dans une économie et une société occidentale vivant au rythme du court terme, les notions de moyen et long terme.

Annexe 8

Agences de rating social et environnemental remarquables sur le plan international

Council on Economic Priorities

C'est une association qui évalue les entreprises et s'adresse à la communauté financière comme aux consommateurs (par la publication du best-seller "Shopping for a better world"). Le C.E.P. est notamment à l'origine de la norme sociale SA 8000, dont il est une agence de vérification agréée.

SAM (Sustainable Asset Managemement)

Fondée en 1995, SAM est une société indépendante de gestion d'actifs basée en Suisse et spécialisée dans la mise en place effective de stratégies d'investissement durables pour des investisseurs privés et institutionnels. En 1999, elle a lancé, en partenariat avec Dow Jones & Company, le premier indice mondial composé selon des critères de durabilité, le DJSI World, et a lancé en octobre 2001, un indice européen composé selon des critères de durabilité, le DJSI STOXX.

Calvert Group

S'adressant aux investisseurs "que le comment intéresse autant que le combien", Calvert Group est l'un des premiers organismes américains spécialisés dans les placements éthiques. C'est aussi une entreprise pionnière de la responsabilité sociale.

Annexe 9

Extrait des annexes du rapport de la CCIP, Pour que l'entreprise soit le moteur du développement durable.

Annexe 10

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"Des chercheurs qui cherchent on en trouve, des chercheurs qui trouvent, on en cherche !"   Charles de Gaulle