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Production de domaines recombinants PRODH en vue de l'analyse structurale & Caractérisation de la région 51-160 de la protéine KIN17 humaine par RMN et Modélisation Moléculaire

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par Ludovic Carlier
Université de Rouen - Doctorat de biologie structurale 2006
  

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2) La protéine KIN17

Le Laboratoire de Génétique de la Radiosensibilité (LGR) du CEA de Fontenay-aux- Roses s'intéresse aux effets biologiques produits par les stress génotoxiques sur les cellules, et notamment à la réponse des cellules de mammifères aux radiations ionisantes (RI). En 1991,

les chercheurs du LGR ont découvert une nouvelle protéine nucléaire de 45 kDa appelée KIN17 (Angulo et al., 1991). Les fonctions précises et les partenaires protéiques de cette protéine, uniquement présente chez les organismes eucaryotes et exprimée de manière ubiquitaire, sont à ce jour inconnues. Cependant, un certain nombre d'études génétiques in vitro et in vivo ont permis de caractériser l'implication de cette protéine dans différents mécanismes nucléaires majeurs, et notamment la réplication et la réponse cellulaire aux dommages de l'ADN.

2.1) Les propriétés de la protéine KIN17

La protéine KIN17 a été initialement identifiée sur la base de sa capacité à réagir avec

les mêmes anticorps que ceux dirigés contre RecA, une protéine bactérienne impliquée à la fois dans la réparation et la réplication de l'ADN (Angulo et al., 1991). KIN17 possède effectivement dans sa séquence une région d'environ 40 résidus qui présente 47 % d'identité avec un segment situé en C-terminal de RecA. De manière intéressante, dans RecA, cette région est impliquée dans la régulation de la liaison de la protéine à l'ADN et dans le mécanisme SOS, une des réponses aux lésions de l'ADN chez les organismes procaryotes (Kurumizaka et al., 1996).

2.1.1) Implication de KIN17 dans la réplication et la réponse aux dommages

de l'ADN

Le gène humain encodant KIN17, situé sur le chromosome 10, fait partie de l'ensemble des gènes de l'organisme très faiblement exprimés. Cependant, les cellules en division rapide contiennent 3 fois plus d'ARNm KIN17 que les cellules au repos (Kannouche

et al., 1998). De plus, la protéine KIN17 est distribuée dans les noyaux des cellules de mammifères sous forme de structures discrètes appelées « foyers intra-nucléaires » (Kannouche et al., 1997). Ce type de foyers reflète la compartimentation de l'ADN lors des processus complexes comme la réplication, la réparation, la transcription, ou l'épissage. Toutes ces observations suggèrent fortement que KIN17 appartient à un réseau de protéines intranucléaires requises lors de la prolifération cellulaire.

L'irradiation par des rayons UV ou ã et des radiations ionisantes provoquent une augmentation significative de la concentration d'ARNm KIN17 dans les 13 heures qui suivent l'irradiation de cellules de souris en culture (Kannouche et al., 2000 ; Biard et al., 2002). Cette augmentation s'accompagne d'une accumulation de la protéine dans le noyau des cellules. KIN17 est donc régulée de manière positive suite à une exposition à des sources rayonnantes qui induisent des dommages de l'ADN. De manière intéressante, cette régulation positive après irradiation par des UV-C dépend de la présence des protéines XPA et XPC (Masson et al., 2003). Ces deux protéines sont impliquées dans les mécanismes de réparation

de l'ADN par excision de nucléotide (NER) (Wakasugi & Sancar, 1999). Sur la base de ces observations, il apparaît donc que la protéine KIN17 est impliquée dans la réponse aux dommages cellulaires de l'ADN.

Par ailleurs, des études de gel filtration, réalisées sur un extrait cellulaire humain de protéine totale, ont révélé la présence de KIN17 dans 3 complexes multi-protéiques de très haute masse moléculaire (respectivement : 400 kDa, 600 kDa, et 1800 kDa) contenant la protéine de réplication RPA (Miccoli et al., 2005). De plus, une interaction physique entre KIN17 et l'antigène T du virus SV40 a été démontrée (Miccoli et al., 2002). Ces observations confortent l'hypothèse de l'implication de KIN17 dans la réplication de l'ADN.

2.1.2) Liaison de KIN17 aux acides nucléiques

En 1994, Mazin et al., ont mis en évidence la capacité de KIN17 à lier l'ADN et l'ADN courbe in vivo et in vitro chez l'homme et la souris (Mazin et al., 1994). Ainsi, une fraction de KIN17 est fortement et directement associée avec l'ADN chromosomique dans les cellules humaines (Biard et al., 2002). L'ADN courbe est une forme de l'ADN, riche en bases adénine, retrouvée dans les sites de recombinaison illégitime des cellules de mammifère. Chez

les organismes procaryotes, l'ADN courbe occupe une fonction importante dans la transcription des gènes (Nishikawa et al., 2003). L'affinité de KIN17 pour cette forme de l'ADN a été confirmée in vivo en surexprimant la protéine KIN17 de souris chez la bactérie

E. coli (Timchenko et al., 1996). Dans cette étude, il est montré que KIN17 est capable de complémenter les fonctions du facteur de transcription H-NS, qui lie l'ADN courbe et contrôle l'expression d'au moins 36 gènes.

Par ailleurs, une étude protéomique à grande échelle a mis en évidence la présence de

KIN17 dans le spliceosome humain, un large complexe protéine-ARN (Rappsilber et al.,

2002). L'interaction de KIN17 avec l'ARN a été récemment caractérisée par Pinon-Lataillade

et al., qui ont montré d'une part, que la protéine KIN17 de souris était capable de fixer l'ARN

in vivo, et d'autre part, que les protéines humaines et de souris reconnaissent de manière directe différents types d'homopolymères d'ARN in vitro (Pinon-Lataillade et al., 2004).

2.2) Organisation des domaines structuraux de KIN17

Depuis sa découverte en 1991, parallèlement aux études génétiques, la protéine KIN17

a fait l'objet d'analyses bio-informatiques qui ont permis de caractériser une organisation segmentée en domaines structuraux (Tissier et al., 1995 ; Pinon-Lataillade et al., 2004 ; Ponting, 2002). Sur la base de ces analyses, les chercheurs du LGR ont caractérisé quelques propriétés de ces domaines qui sont présentées dans ce paragraphe.

La protéine KIN17 humaine est un polypeptide de 393 acides aminés. Comme le montre l'alignement de la Figure 1.2, KIN17 est remarquablement conservée de la levure jusqu'à l'homme dans la moitié N-terminale correspondant aux résidus 1-165 de la séquence humaine. Dans cette région, les pourcentages d'identité et de similarité atteignent respectivement 14 % et 22 %. Cependant, les séquences de KIN17 ne s'alignent pas dans la

moitié C-terminale. En effet, la séquence de KIN17 ne compte qu'entre 250 et 300 résidus

chez les eucaryotes inférieurs telle que la levure, alors qu'elle est proche de 400 résidus chez tous les eucaryotes supérieurs. Ceci laisse supposer l'existence d'un domaine structural supplémentaire chez les eucaryotes supérieurs.

Human 1-MGK-SDFLTPKAIANRIKSKGLQKLRWYCQMCQKQCRDENGFKCHCMSESHQRQLLLASENPQQFMDYFSEEFRNDFLEL Mouse MGK-SDFLSPKAIANRIKSKGLQKLRWYCQMCQKQCRDENGFKCHCMSESHQRQLLLASENPQQFMDYFSEEFRNDFLEL CAEEL MGK-HEKGSSKDLANRTKSKGLQKLKFFCQMCQKQCRDANGFKCHLTSEAHQRQLLLFAENSNSYLRQFSNDFEKNFMQL Drosophila MGR-AEVGTPKYLANKMKSKGLQKLRWYCQMCEKQCRDENGFKCHTMSESHQRQLLLFADNPGKFLHSFSKEFSDGYMEL Arabidopsis MGK-NDFLTPKAIANRIKAKGLQKLRWYCQMCQKQCRDENGFKCHCMSESHQRQMQVFGQNPTRVVDGYSEEFEQTFLDL POMBE MGR-AEAGTPKAISNALKSKGLQRLRWYCSACQKQMRDENGFKCHTQSEGHIRQMNVIAMNPGKRIQDFSNQFLRDFISL Cerevisiae ---MADYDSAKYWSKQGARRGLQKTRYYCQICQRQCKDANGFQSHNKSPSHLRKISQVTAEDAR---RYNIQFEKGFLQL

: : :** : :::*. *::. :* **:: * : .* :. * ::

Human 80-LRRRFGTKRVHNNIVYNEYISHREHIHMNATQWETLTDFTKWLGREGLCKVDETP-KGWYIQYIDRDPETIRRQLELEKK Mouse LRRRFGTKRVHNNIVYNEYISHREHIHMNATQWETLTDFTKWLGREGLCKVDETP-KGWYIQYIDRDPETIRRQLELEKK CAEEL LRTSYGTKRVRANEVYNAFIKDKGHVHMNSTVWHSLTGFVQYLGSSGKCKIDEGD-KGWYIAYIDQ--EALIRKEEDQRK Drosophila LRRRFGTKRTSANKIYQEYIAHKEHIHMNATRWLTLSDYVKWLGRTGQVIADETE-KGWFVTYIDRSPEAMERQAKADRK Arabidopsis MRRSHRFSRIAATVVYNEYINDRHHVHMNSTEWATLTEFIKHLGKTGKCKVEETP-KGWFITYIDRDSETLFKERLKNKR POMBE LRTAHGEKKIHFNQFYQEYIRDKNHVHMNATRWHTLSEFCKFLGRQGMCRVEENE-KGFFISYIDKNPANILRNEANKKR Cerevisiae LKQRHGEKWIDANKVYNEYVQDRDHVHMNATMHRSLTQFVRYLGRAGKVDVDMDI---------DDTSENVEGPLLIRIH

: . . .* : : * *:*:* :*: : * :

Human 159-KKQDLDDEEKTAKFIEEQVRRGLEG-KE------------------QEVPTFTELSREN------------DEEKVTFNL Mouse KKQDLDDEEKTAKFIEEQVRRGLEG-KE------------------QETPVFTELSREN------------EEEKVTFNL CAEEL QQQEKDDEERHMQIMDGMVQRGKEL-AGD----------------DEHEYEATELIRDT------------PDQKIQLDL Drosophila EKMEKDDEERMADFIEQQIKNAKAKDGEE----------------DEGQEKFTELKRE-------------ENEPLKLDI Arabidopsis VKSDLAEEEKQEREIQRQIERAAEKLNGG-----------GGEGETSGNDEVVDDGDDERKKDEDLR--LKSGVKVGFAL POMBE ERQEKSDEEQRLRLLDEQIKRA---------------------------------------------------------- Cerevisiae PSSLSSPSE------DGMLRSQ----------------------------------------------------------

: :

Human 208-SKGACSSSGA----TSSKSSTLGPSALKTIGSS--------------------------ASVKRKESSQSSTQSKEKKKK Mouse NKGAGGSAGA----TTSKSSSLGPSALKLLGSA--------------------------ASGKRKESSQSSAQP--AKKK CAEEL NLGILDRKLD----VKSGVASAKISIFDMPKVKKEDPDEPG------------PSQPSRKSGKKRSRSRSPAAK--KFSK Drosophila RLEKKFQPDT----VLGKSALAKRPAPEAEE---------------------------KVFKKPKSVAGDSQTR------ Arabidopsis GGGVKQVATGK---ERGESSKLLFGDEENDKVERGEK-------------------------RKRSGDSGRSEK----ER POMBE ---------------YESAQNNEDNKDGSSREQ--------------------------P--VLHEIDLSKKGN------ Cerevisiae -------------------QEEQE--------------------------------------------------------

Human 258-KSALDEIMEIE-EEKKRTA------------------------RTDYWLQPEIIVKIITKKLGEK-YHKKKAIVKEVIDK Mouse KSALDEIMELE-EEKKRTA------------------------RTDAWLQPGIVVKIITKKLGEK-YHKKKGVVKEVIDR CAEEL KSALDEIKEMEERKKERKN------------------------RKDYWMREGIVVKVITKSLGSE-YYKAKGVVRKVVDD Drosophila -SVLDEIIKQEESKKERAN------------------------RKDYWLHKGIVVKFISKSMGEK-FFKQKAVVLDVIDR Arabidopsis RSALDELMKEEEKKKERMN------------------------RKDYWLFEGIIVKVMSKALAEKGYYKQKGVVKKVIDN POMBE PIQLNLSSSSDSHSAQNEFF----------------------------QTRNTPTFSFSSSSSQTSLKHKPKNVFAELNK Cerevisiae -VIAAELLKRQLNRAKRQT--------------------------------------------EKVYQPEMKSEISGD--

.

Human 312--YTAVVKMIDSG----DKLKLDQTHLETVIPAPGKRILVLNGGYRGNEGTLESINEKTFSATIVIETGPLKGRRVEGIQY Mouse -YTAVVKMTDSG----DRLKLDQTHLETVIPAPGKRVLVLNGGYRGNEGTLESINEKAFSATIVIETGPLKGRRVEGIQY CAEEL -YTAQVKLDD-G----TVVKLDQEHVETVIPSLGRQMMIVNGAYRGQEATLESIDEKRFSLRLKIASGPTRGRQID-VPY Drosophila -YQGKIKFLETG----EKLKVDQAHLETVIPALDKPVMVVNGAYRGSEALLRKLDERRYSVSVEILHGPLKGRIVDNVQY Arabidopsis -YVGEIKMLDSK----HVLRVDQKELETVLPQIGGMVKIVNGAYRGSNARLLGVDTEKFCAKVQIEKGVYDGRVIKSIEY POMBE ---------------SRKKNNKDSLDQGQNVKRPRSAVEDIIAQETMRE-------KRRNIKL----------------- Cerevisiae ----------------STLKRVQVTFHG-NGRVNKKKKKVPPRKDGIKFR------------------------------

:

Human 387-EDISKLA-----------------------------

Mouse EDISKLA----------------------------- CAEEL EDASKLA----------------------------- Drosophila EDISKLHGA--------------------------- Arabidopsis EDICKLA----------------------------- POMBE ------------------------------------ Cerevisiae ------------------------------------

Figure 1.2 : Alignement de 7 séquences de KIN17 réalisé avec l'aide du logiciel clustalw. Les séquences alignées sont relatives aux espèces eucaryotes humaine (Human, 393 résidus), Mus Musculus (Mouse, 391 réidus), Caenorhabditis elegans (CAEEL, 404 résidus), Drosophila Melanogaster (Drosophila, 390 résidus), Arabidopsis thaliana (Arabidopsis, 411 résidus), Schizosaccharomyces pombe (POMBE, 304 résidus), et Saccharomyces cerevisiae (Cerevisiae, 232 résidus). Les résidus sont colorés en rouge lorsqu'ils sont conservés (sigle *), en vert lorsqu'il sont fortement similaires (sigle :), et en bleu lorsqu'ils sont faiblement similaires (sigle .). La numérotation est relative à la séquence humaine.

L'utilisation des programmes SMART (Schultz et al., 1998) et Pfam (Finn et al., 2006)

de reconnaissances de domaines suggère l'existence de 4 motifs dans la séquence primaire de

KIN17 humaine :

- Un motif « doigt de zinc » également appelé C2H2 (résidus 28-50)

- Un domaine de repliement FF (résidus 50-150)

- Une séquence signale de localisation nucléaire (région 239-256)

- Un motif KOW (335-373)

? Les motifs « doigts de zinc » sont des domaines de liaison aux acides nucléiques (ADN et ARN). Ils se caractérisent par la présence d'un ion zinc complexé entre 2 résidus cystéine et 2 résidus histidine (Figure 1.3). Lorsqu'ils ne sont pas retrouvés en plusieurs exemplaires dans une séquence, la liaison à l'ADN n'est en général pas spécifique d'une séquence nucléotidique donnée (Böhm et al., 1997). La présence des 4 résidus ultra conservés C28, C31, H44, et H50 (relatifs à la séquence humaine) suggère fortement que la région

N-terminale de KIN17 comporte un motif C2H2 de la levure jusqu'à l'homme. Cette hypothèse a été confirmée par Mazin et al., qui ont montré que le « doigt de zinc » potentiel

de la protéine KIN17 de souris était capable de lier l'ADN de manière dépendante aux ions

Zn2+ (Mazin et al., 1994).

Figure 1.3 : Représentation schématique d'un motif « doigt de zinc »

? Entre les résidus 50 et 150, toutes les protéines KIN17 possèdent une région, qui, chez la levure Schizosaccharomyces pombe et le ver Caenorhabditis elegans, est prédite comme adoptant un repliement de type FF par le programme SMART. Les domaines de repliement FF sont des modules de liaison à des peptides phosphorylés trouvés dans de nombreuses protéines eucaryotes comme le facteur de transcription CA150 (Allen et al., 2002). Ceci suggère que les protéines KIN17 pourraient posséder un domaine de liaison à un motif phosphorylé. Cependant, ce type de repliement n'est pas prédit chez toutes les espèces qui ne contiennent pas tous les résidus décrits comme importants pour la structure en 3 hélices des domaines FF. D'autre part, la surexpression de plusieurs formes tronquées de KIN17 de souris chez E. coli a montré que la région 71-281 de KIN17 (relative à la séquence humaine) comportait un second domaine de liaison à l'ADN (Mazin et al., 1994). Or, les modules FF ne sont pas des domaines de liaison à l'ADN. Sur la base de ces résultats, l'existence d'un domaine FF chez KIN17 apparaît donc hypothétique.

? Enfin, les logiciels de détections de domaines ont mis en évidence l'existence d'un domaine additionnel d'environ 100 acides aminés contenant un motif appelé KOW (Kyrpides et al.,

1996) dans la région C-terminale de KIN17 humaine absente chez les eucaryotes inférieurs.

Ce module, également prédit dans les séquences KIN17 de ver, de plante, et de mammifère,

est retrouvé dans une sous-famille des domaines TUDOR (Selenko et al., 2001). Les domaines TUDOR sont présents dans des protéines s'associant à l'ARN. Cependant, le rôle biologique des domaines TUDOR à motif KOW demeure obscur. De manière intéressante, les

chercheurs du LGR ont montré que la région C-terminale de KIN17 contenant le module

KOW est impliquée dans la liaison à l'ARN (Pinon-Lataillade et al., 2004). Ceci conforte la prédiction des logiciels SMART et Pfam. Il est également à noter que la région C-terminale de KIN17 n'apparaît pas impliquée dans la liaison à l'ADN (Mazin et al., 1994).

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"Je ne pense pas qu'un écrivain puisse avoir de profondes assises s'il n'a pas ressenti avec amertume les injustices de la société ou il vit"   Thomas Lanier dit Tennessie Williams