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Existence globale de solutions à  symétrie sphérique du système d'Einstein-Klein-Gordon.


par Franck Modeste TEYANG
Université de Yaoundé 1 - Master en mathématiques 2019
  

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Définition 1.4.3 : (Espace-temps)

Un espace-temps est la donnée d'un couple (M,g) où (M,g) est une variété Lorent-zienne.

1.4. Rappels de géométrie lorentzienne

Exemple 1.5 : 1.) L'espace-temps de Minkowski

(1184,g) est l'espace-temps de Minkowski où la métrique g dite de Minkowski est définie

3 3

par : g = -(dt)2 +

 

(dxi)2 ou g = (dt)2 -

 

(dxj)2 avec les matrices de g dans la base

i=1 j=1

canonique de 1184 données respectivement par :

2.) L'espace-temps de Sitter

' -1

0

- - - - - - - - 0

» 0

0 1 0 0

0 0 1 0

0 «

0

-- -- -- -- -- -- -- --

0

1
·

et

' 1

0

- - - - - - - - 0

» 0

0 -1 0 0

0 0 -1 0

0 « 0

-- -- -- -- -- -- -- --

0

-1


·

(118 × S3, h) est l'espace-temps de Sitter. S3 désigne la sphère unité de 1184 et la métrique h s'écrit : h = dt2 - a2ch2(ta)[dw2 + sin2w(d02 + sin20d?2)] avec : t E 118 ,w E 118+ , a E 118* , 0 < 0 < 7r , 0 < cp < 27r. h a pour signature (+,-,-,-) avec h00 = 1, h11 = -a2ch2(ta) , h22 = -a2ch2(ta)sin2w , h33 = -a2ch2(ta)sin2wsin20 et les autres coefficients sont tous nuls. 3. L'espace-temps de Schwarzschid

La métrique de Schwarzschild est définie par :

r )dt2 + (1 - 2m)-1dr2 + r2(d02 + sin2 042) r

2m

avec pour signature (-, +, +, +) ; g00 = -(1

gSchw = -(1

2m

2m

) , g11 = (1- )-1 , g22 = r2 , g33 = r2 sin2 0

r r

et tous les autres coefficients nuls.

Remarque 1.4.2 : Un élément u de TxV4 est encore appelé vecteur contravariant et ses composantes dans une base ()á de TxV4 sont notées uá i.e : u = uáeá. Un élément u* de Tx*V4 est encore appelé vecteur covariant et ses composantes dans la base duale (0á)á de ()á sont notées u*á, i.e u* = u*á0á. On sait que g = gx : TxV4 × TxV4 ? 118 est une forme bilinéaire symétrique dont ?u , v E TxV4, u fixé, l'application v H g(u, v) est une forme linéaire sur TxV4, donc u* = g(u, .) E Tx* V4.

On a : u* = u*á0áu*á = u*(eá). D'où :

u*

á = u*(eá) = g(u, eá) = uâg(eâ,eá) = gáâuâ

Par analogie avec l'inverse gáâ qui est une forme bilinéaire symétrique sur Tx* V4, on associe à tout vecteur covariant u* E Tx* V4 un vecteur contravariant par = gáâu*á. Ainsi g

Mémoire de MASTER 12

Mémoire de MASTER

13

1.4. Rappels de géométrie lorentzienne

permet d'associer canoniquement à tout vecteur contravariant u un vecteur covariant u* et réciproquement. Par la suite,u sera identifié à u* et on parlera de u tout simplement et de ses composantes covariantes uá et contravariantes liées par les relations uá = gáâuâ et uá = gáâuâ.

La généralisation de ce résultat aux tenseurs d'ordre p quelconques est immédiate car un

tenseur est une combinaison de tenseurs élémentaires de la forme x1 ? x2 ? ? xp . On a
donc : Táâ = gáãgâuTãu , Táâ = gáãgâuTãu , Tâá = gáuTuâ , Tâá = gâuT uá

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"Il faudrait pour le bonheur des états que les philosophes fussent roi ou que les rois fussent philosophes"   Platon