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L'informatisation des bibliothèques universitaires algériennes : état des lieux et perspectives d'avenir

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par Hakim BENOUMELGHAR
Université d'Alger - Magister en bibliothéconomie et sciences documentaires 2002
  

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SCETION 1 : LES CONSTATS FAITS PAR L'ETUDE

SECTION 2 : ELÉMENTS POUR UNE INTÉGRATION RATIONNELLE ET

METHODIQUE DES NTIC DANS LES BU ALGERIENNES 

SCETION 1 : LES CONSTATS FAITS PAR L'ETUDE

III 1.- Synthèse des résultats ressortis de l'étude sur l'informatisation des bibliothèques universitaires algériennes :

II 1.1- La politique d'informatisation des BU :

L'étude de l'intérêt porté à l'informatisation par le ministère de l'Enseignement supérieur, à travers notamment les textes juridiques régissant le fonctionnement des bibliothèques universitaires ainsi que les différents acteurs qui se sont intéressés à l'automatisation des activités documentaires de ces unités fait ressortir les constats suivants :

· l'absence d'une politique nationale ou d'un organe national dédié au suivi de l'informatisation des bibliothèques du secteur de l'enseignement supérieur.

La conception et la mise en oeuvre des projets d'informatisation au niveau des BU n'ont pas été guidées par un programme national ou un schéma directeur en la matière. Le choix des systèmes informatiques, des sources bibliographiques à exploiter et les normes qu'ils doivent respecter est confié aux responsables de ces bibliothèques. Ceux-ci sont néanmoins exhortés d'agir en coordination, notamment pour la constitution de réseaux d'information scientifiques et techniques.

Cependant, la nature des dispositions réglementaires régissant ces bibliothèques mettent des limites à cette liberté d'action des responsables de bibliothèques. Ceux-ci même s'ils sont admis comme membres des instances de direction des établissements universitaires (conseils d'orientation, conseils scientifiques et rectorats), auxquels ils sont affiliés, leur rôle se réduit à la proposition. Les décisions qui déterminent l'aboutissement des réflexions de ces professionnels sont prises à un plus haut niveau à savoir les ministres du Supérieur et celui des Finances.

Cette autonomie dont jouissent les responsables de BU risque de créer, si ce n'est déjà arrivée, une atomisation des projets informatiques, un éparpillement des efforts, une prolifération de choix incompatibles, un gaspillage des ressources humaines, matérielles et financières puisque aucune autorité ne maîtrise l'ensemble (l'enquête menée en a donné un aperçu).

· à propos des structures ayant contribué au lancement des projets d'informatisation, les actions concrètes ont émané principalement du CERIST qui a mis au point des outils professionnels dans le sens que leur conception et leur mise en oeuvre ont suivi une démarche normative et faisant appel à la contribution de toutes les structures pouvant enrichir et faire aboutir les projets du Centre au profit de la mise en phase des structures documentaires nationales avec leurs homologues étrangères.

La conception d'un logiciel de gestion de bibliothèques assurant presque la totalité des fonctions documentaires, admettant le format largement utilisé par les bibliothèques du monde entier à savoir UNIMARC (facilitant la reprise des données bibliographiques), et sa promotion auprès des bibliothèques de diverses institutions académiques, administratives ou des entreprises économiques, vont dans le sens d'assurer à terme une compatibilité des matériels, des configurations et comme une suite logique, permettre une coopération entre elles à travers l'échange d'expériences, de points de vue, et une capitalisation des efforts entrepris par chacun de ces acteurs. Le lancement du projet ARN qui englobe l'ensemble de ces actions va également dans ce sens.

Cependant les initiatives de cet organisme de recherche n'obligent pas ses partenaires à collaborer pour leur aboutissement. Les dispositions réglementaires prévues pour le CERIST ne lui confèrent pas encore le statut d'un organe, officiellement désigné, pour piloter et mettre en oeuvre une politique d'informatisation des bibliothèques des établissements universitaires et dont les décisions sont exécutoires par l'ensemble des entités concernées.

Ce centre, de surcroît, sous tutelle du MESRS souffre d'instruments juridiques lui permettant de réussir la mise en place d'un système national d'information comme le stipule le décret portant ses missions, cité plus haut. Cette situation va à contre courant même des finalités de sa création (la mise en place d'un système national d'information).

Les autres structures étudiées comme la CNBU ou le CPN n'ont pas pu (su ?) mettre en place une démarche cohérente que nécessite l'opération d'informatisation des bibliothèques. Ces organes étaient beaucoup plus des forums de réflexion et encore, que de véritables acteurs du développement technologique de ces unités documentaires.

III 1.2- L'offre documentaire, le personnel bibliothécaire et les utilisateurs des BU :

Ø Les collections : Les ressources documentaires dont disposent certaines bibliothèques ne correspondent pas systématiquement aux filières universitaires dispensées par leurs établissements de rattachement.

Cet état de fait engendre inévitablement une sous-exploitation d'une partie des fonds documentaires des bibliothèques concernées. Le volume des ressources documentaires que détiennent les bibliothèques diffère suivant le type d'établissement (BU, BCU).

Cependant, la BU d'Alger se singularise du reste des établissements par la richesse de son fonds d'ouvrages, périodiques et thèses de post-graduation.

Les autres supports sont signalés mais avec une quantité insignifiante. L'USTHB dispose de 2 000 microformes qui sont généralement des substituts des documents imprimés.

Idem pour les bases de données référentielles et textuelles. Elles sont très peu disponibles. Il faut dire que ce type de documents nécessite un équipement d'utilisation que ces établissements ne peuvent mettre à la disposition des usagers et ceci vu leurs moyens. Les données communiquées par les responsables des bibliothèques sur ce point sont révélatrices du taux de pénétration de ces supports dans ces espaces

Ø Le nombre d'inscrits : Dans les bibliothèques universitaires étudiées, le public utilisateur inscrit est en deçà du nombre de la population potentielle constituée principalement d'étudiants et d'enseignants.

Ce constat se vérifie même dans celles appartenant aux grands établissements universitaires. Les bibliothèques de centres universitaires enregistrent par contre un taux de fréquentation plus important. Elles accueillent presque la totalité des usagers potentiels.

L'offre documentaire en ratio par utilisateur est insuffisante dans les bibliothèques enquêtées. Quelques bibliothèques font exception telle la BU d'Alger et la BCU de Laghouat en matière d'ouvrages.

Ø Le personnel des bibliothèques : Il est réparti sur plusieurs grades et fonctions. Les réponses renvoyées ont montré que les BU sont plus dotées que les BCU.

III 1.3- L'état de l'informatisation des bibliothèques universitaires algériennes :

L'enquête menée a porté sur l'ensemble de la population concernée par la présente étude, soit 33 établissements universitaires.

Les constats faits sont les suivants :

Ø La démarche de l'informatisation : Sur les dix-sept bibliothèques qui ont bien voulu répondre à notre questionnaire, quinze ont déclaré qu'elles sont informatisées.

L'avancement de cette opération varie d'une bibliothèque à une autre. Le lancement des systèmes informatiques au niveau de ces bibliothèques remonte à une date très récente. La BU d'Alger, par contre, a commencé à informatiser la chaîne documentaire depuis 1990.

Les réponses fournies par les responsables des bibliothèques contactées démontrent le manque d'intervention de l'administration centrale du Supérieur dans l'implantation de systèmes informatiques pour la gestion des bibliothèques universitaires. L'intervention de la tutelle apparaît dans l'organisation structurelle prévue pour les établissements universitaires.

Ceux-ci comportent généralement en leur sein un service qui prend en charge l'aspect informatique du fonctionnement des départements administratifs et pédagogiques qui porte l'appellation de centre de calcul.

L'élaboration du schéma directeur informatique est confiée dans plusieurs bibliothèques à ce service. Dans la plupart des cas, la mise au point de ce programme est réalisée au sein même des bibliothèques par le responsable et le personnel. Le CERIST fut également sollicité pour la circonstance.

La planification de l'informatisation des bibliothèques est entreprise généralement par un groupe local sélectionné parmi le personnel de la bibliothèque. Dans d'autres bibliothèques, c'est le fournisseur même du logiciel utilisé qui a été à l'origine de ce processus. Le CERIST et les centres de calcul ont été signalés par nos informateurs.

L'enquête a révélé également l'absence de coordination et de concertation entre les bibliothèques universitaires dans la mise au point des schémas directeurs d'informatisation. Le choix et la mise en place des systèmes informatiques par les BU se font isolément les unes des autres.

Concernant le financement des projets d'informatisation, cet aspect est pris en charge dans la majorité des bibliothèques par l'établissement universitaire de rattachement.

Les logiciels utilisés dans les bibliothèques sont soit développés localement, et dans ce cas c'est le centre de calcul qui était le concepteur du programme (parfois c'est le responsable même de la bibliothèque qui a improvisé une solution informatique), soit acquis auprès du CERIST. Le système SYNGEB développé par ce centre est implémenté soit en entier soit quelques modules correspondant à des fonctions que les responsables des bibliothèques ont ressenti l'urgence d'automatiser, telles le prêt ou le catalogage.

Le questionnaire d'enquête permettait d'obtenir une investigation plus fine en détaillant les spécificités des logiciels utilisés et les fonctions informatisées. Contrairement, à SYNGEB, les logiciels développés sur place ne permettent pas l'import/export des notices bibliographiques et les formats de catalogage admis ne sont pas compatibles à l'Unimarc.

Les fonctions informatisées au niveau des bibliothèques répondantes sont les acquisitions, le catalogage, le prêt et la recherche documentaire. La fonction de bulletinage est rarement prise en charge par ces logiciels.

Hormis celui développé par la BCU de Guelma dénommé HAMISOFT SERVICE, le reste des logiciels n'intègrent pas cette fonction, y compris le logiciel diffusé par le CERIST.

Ø L'opération de conversion des catalogues imprimés en fichiers informatiques est avancée dans certaines bibliothèques, alors qu'elle vient juste de commencer dans d'autres. Les taux d'informatisation des catalogues varient d'un établissement à un autre et suivant le type de document objet de l'opération (thèses, ouvrages, périodiques) et la langue sous laquelle sont rédigés les documents.

Les sources bibliographiques rarement exploitées à cette fin se réduisent à quelques titres de bases de données fournies par les bibliothèques nationales de divers pays. Toutefois, l'université d'Alger nous a signalé le recours aux catalogues collectifs français pour alimenter les bases de données locales.

Ø Connexion des bibliothèques au réseau Internet : Sur les quinze bibliothèques informatisées, seulement huit ont une présence sur le serveur Web de leurs établissements d'appartenance. Les rubriques et pages Web portant sur la bibliothèque centrale présentent des informations pratiques utiles aux usagers, tels que les horaires d'ouverture et les ressources documentaires disponibles et consultables.

Deux bibliothèques uniquement disposent d'un OPAC-Web permettant aux usagers internes et extérieurs de s'informer sur les titres d'ouvrages, périodiques et autres documents existants et ceci à travers une interface d'interrogation à multiples paramètres de recherche.

Ø Les difficultés de l'informatisation : Là où ils sont déjà opérationnels, on souligne volontiers les bénéfices qu'apporte les systèmes informatiques implémentés aussi bien sur le back-office, les services fonctionnels de la bibliothèque (acquisitions, catalogage, ...), que sur les services rendus aux usagers. La recherche bibliographique et les opérations de prêt ont été améliorées d'une manière significative.

Cependant, la mise en service de ces systèmes ne s'est pas faite sans embûches. Les difficultés signalées se rapportent essentiellement à la non préparation du personnel en place à travailler avec l'outil informatique.

Ajouté à cela, nos répondants regrettent l'absence de soutien de la part des pouvoirs publics pour la mise en oeuvre des projets d'informatisation.

Ø Les réseaux coopératifs : La mise en place de systèmes informatisés au niveau des bibliothèques universitaires faciliterait la coopération entre ces unités. Cette coopération s'appuie actuellement sur les télécommunications et la technologie télématique.

L'interconnexion de ces systèmes donnerait naissance à un réseau de bibliothèques. L'aboutissement de cette perspective, selon les responsables des bibliothèques, dépend d'un certain nombre de préalables dont l'engagement des autorités de l'Enseignement supérieur à mettre en place une politique nationale d'informatisation qui intégrerait l'ensemble des projets entrepris ou envisagés au niveau local.

En outre, la désignation d'un logiciel assurant l'ensemble des fonctions documentaires effectuées par les bibliothèques et respectant les normes indispensables, pour qu'il ait une interaction entre les systèmes d'information universitaires, demeure un souhait de plusieurs conservateurs de bibliothèques.

Les résultats de notre étude viennent réaffirmer les constats arrêtés par plusieurs observateurs de l'évolution des BU algériennes, dont Riad Ben Laalam. Celui-ci récapitule la situation critique de ces structures par les éléments suivants :

« - carence du financement,

- manque de personnel qualifié,

- sous-développement des collections

- état embryonnaire de l'automatisation »263(*)

SECTION 2 : ELÉMENTS POUR UNE INTÉGRATION

RATIONNELLE ET MÉTHODIQUE DES

NTIC DANS LES BU ALGÉRIENNES 

III 2.1- La problématique de l'informatisation et de la mise en réseau des bibliothèques universitaires algériennes :

Le présent travail s'est focalisé principalement sur la détection d'une politique nationale d'automatisation des BU à travers les textes officiels en la matière ainsi que de rendre compte des initiatives d'informatisation entreprises par les responsables de ces structures documentaires.

Des recommandations pour une informatisation planifiée, réfléchie et prenant en compte tous les aspects qu'implique une opération d'automatisation de la chaîne documentaire d'une bibliothèque universitaire ont été arrêtées à l'issue de ce travail :

ü Confier à une agence nationale, à l'image des pays développés, tel la Hollande avec son système PICA (voir supra. p.82 et p.103), la mission de coordination des actions d'informatisation en cours ou envisagées au niveau des bibliothèques du secteur de l'Enseignement supérieur. Cette structure aurait la mission de réfléchir aux actions favorisant la coopération entre ces établissements, dont la mise en place d'un schéma directeur informatique comprenant l'ensemble des aspects : logiciels à développer, normes à adopter, listes d'autorité, formats de catalogage...).

Ladite agence devrait pouvoir imposer des formats, standards et normes pour l'ensemble des bibliothèques universitaires. Cette approche rendrait techniquement possible la reprise des données bibliographiques entre les divers systèmes informatiques de gestion des bibliothèques en question, puisque il n'y aurait pas de conversion de formats à exécuter et faciliterait leur intégration dans les bases locales.

Cette agence peut être une structure déjà versée dans l'automatisation des BU, tel le Centre de recherche sur l'information scientifique et technique (CERIST), et particulièrement la division qui porte le nom, combien pertinent pour l'activité des bibliothèques, le Département collecte traitement, et diffusion de l'information (DCTD).

Cet organe foncièrement tourné vers le développement des nouvelles technologies de l'information et de la communication dans les espaces documentaires et de formation, a réalisé un logiciel que plusieurs structures ont adopté. Ce programme (SYNGEB), qui se distingue plus particulièrement par, et c'est à juste titre qu'elle est mise en avant pour sa promotion, l'intégration des normes d'échange bibliographique (ISO 2709 et le format Unimarc) reste tout de même un produit perfectible.

Le développement de nouvelles fonctionnalités (bulletinage, catalogage partagé, télédéchargement de notices bibliographiques à partir des bases de données et des catalogues collectifs constitués (CAP, CAT,...) permettrait d'alléger les tâches lourdes effectuées au niveau des bibliothèques et par delà, diminuer les coûts de gestion documentaire des collections et donner un coup d'accélérateur à l'opération de rétroconversion des catalogues de ces bibliothèques. Cette action constitue à nos yeux un impératif qui pourrait le hisser au statut de système national potentiel de gestion de bibliothèques. Ceci contribuera également à la réalisation du catalogue collectif des ouvrages programmé par le service précité. Ce produit fera office d'un réservoir bibliographique où puiseront toutes les bibliothèques académiques les notices correspondantes à leurs fonds monographiques.

Cette recommandation tient compte de la position, des ressources humaines, matérielles, le capital expérience et notamment la couverture nationale de l'organisme en question. Les différentes implantations régionales du Centre constituent autant de relais pour observer le respect des conditionnalités qu'exige l'interconnexion des systèmes de gestion de bibliothèques adoptés.

Cette promotion du Centre au statut explicité, nécessite par ailleurs la révision des textes le régissant.

ü Créer un cadre de concertation, associant les responsables des bibliothèques de l'enseignement supérieur, et à leurs coté l'ensemble des acteurs intervenant dans les domaines d'informatisation, de normalisation, de formation et de coopération.

ü Une modification des méthodes d'alimentation des bases de données bibliographiques locales. L'agence à instituer évoquée précédemment, aurait à acquérir les sources bibliographiques tels les cédéroms bibliographiques des grandes bibliothèques nationales ou de serveurs privés ayant pignon sur rue, et les diffuser pour l'ensemble des bibliothèques.

Cela permettra d'abord de rationaliser l'achat de notices bibliographiques et diminuer le coût d'achat pour chacun des participants. La souscription aux serveurs-réservoirs bibliographiques (tels OCLC) peut également être centralisée.

Il contribuera également à contenir de façon globale la charge de catalogage puisqu'un même document ne devrait plus être catalogué qu'une seule fois pour l'ensemble des bibliothèques.

Sur un autre plan, la cohérence des données sera assurée dès l'origine du fait qu'un seul réservoir avec les mêmes référentiels normatifs sera utilisé par toutes les bibliothèques.

Les conséquences de cette démarche pour les bibliothèques seront bénéfiques à plus d'un titre : sur le plan organisationnel, la modification des circuits de catalogage devrait entraîner la prise en compte progressive d'un certain nombre de recommandations techniques lors de la réalisation des futurs projets d'informatisation des BU.

ü En matière des réseaux, mettre au point une solution pour rendre communicants les systèmes actuels de gestion des bibliothèques par la mise en place de passerelles informatiques et la mise en oeuvre des normes d'interconnexion et d'échange nécessaires (Z 39.50, ISO 2709, ISO/OSI).

Cette action devrait être précédée, et ceci est impératif pour la réexploitation des bases de données déjà élaborées, par la conversion des formats maison en structures faisant l'unanimité des spécialistes.

III 2.2- Les défis de la bibliothèque électronique universitaire :

- Le développement des services de bibliothèque électronique est également recommandé. En effet, les conditions de leur lancement sont presque réunies.

* 263 BEN LAALAM, Riad.- Développement des bibliothèques dans les milieux universitaires et de recherche : une priorité.- Communication donnée lors des Journées d'études : supports de l'information dans les bibliothèques universitaires, Université d'Annaba, 13-14 Novembre, 2000. [p.1]

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"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe leur portée"   François de la Rochefoucauld