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Ports de Djibouti :« un hub régional de transport maritime et porte d'entrée de l'Afrique de l'est » un chemin de longue haleine

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par Ahmed Guessod Abdourahman
Université Paul Cézanne, Aix- Marseille III - Diplome d'études superieurs universitaires 2009
  

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D) les Ethiopiens

Le royaume ethiopie rentre en lice pour prendre sa part et démontrer sa suprématie sur la mer rouge et le commerce florissant qui utilise cette voie maritime.

« Le royaume éthiopien d'Axoum chercha à conserver pendant longtemps sa suprématie sur mer dans la partie centrale de la mer Rouge. Au début du VIIIe siècle, en 702, de puissantes flottilles axoumites ravagèrent même la partie nord de cette mer et saccagèrent Djeddah, port de la Mecque. Les califes ripostèrent vigoureusement et débarquèrent sur la côte ouest de la mer Rouge, oil ils occupèrent l'actuelle Erythrée en bloquant les ports de l'empereur d'Axoum. Ils s'installèrent solidement dans l'archipel de Dahalak, au large de Massawa, et enlevèrent par des opérations habilement menées tous les ports de la côte ouest, de Souakin à Assab » 5

E. les puissances colonies (Français, britanniques etc.)

Vu la stratégie de cette route maritime, les grandes puissances coloniales se précipitèrent l'occupation de rives de la mer rouge. Même si la présence ancienne de l'empire ottoman sur cette région existait et Après la seconde guerre mondiale et l'ouverture du canal de suez, les puissances s'engouffrent, précédés par des expéditions durement au début commerciale.

L'ouverture du canal de suez, 1836, donne un réel intérêt à la route maritime, qui relie la mediteraneen à l'océan indien via la mer rouge, ce qui pousse les européens à contrôler ce nouvel espace stratégique. Puis, les britanniques sont implantés à Aden (yemen), à la sortie de la mer rouge, depuis 1839. Ils ouvrent la voie à d'autres puissances occidentales (Français et italiens). Les français se sont lancés dans cette course, en premier dans un but commercial « Le but de l'expédition était d'établir des relations commerciales avec le Yémen et, particulièrement, d'y acheter du café, que l'on se procurait très difficilement en France. Le café avait été décrit pour la première fois en Europe, par un médecin de Padoue, Prosper Alpin, botaniste de renom, qui en 1580 avait accompagné en Egypte un consul de la République de Venise. Introduit en France en 1657, par un certain Thévenot, il y fit des progrès considérables. Il fallait l'acheter aux Turcs, dans le Levant et quelquefois aux Anglais ou aux Hollandais. Récolté au Yémen, il était transporté par de petits bâtiments » 6

Difficile de prendre position sur le territoire yéménite, jà cause d'une forte opposition de la part de la population indigène, poussé par derrière par les britanniques, les français s'installèrent de l'autre rive du bal el mandeb. « Les français s'installèrent enfin à Obock, pour constituer un point de ravitaillement de leurs navires à destination en Asie. Après quelque temps, l'iman yéménite leur refusa de s'installer et leur furent des obstructions En fait, la France avait depuis 1862, acquis le territoire d'Obock dont les avantages étaient très supérieurs à tous points de vue à ceux de Cheikh Saïd. Dès 1881, plusieurs sociétés commerciales françaises s'y étaient installées et quelques années plus tard, en 1884, le gouvernement français en prenait officiellement possession tandis que divers traités avec les chefs coutumiers de la côte permettaient de fonder Djibouti dont les avantages géographiques et stratégiques n'étaient plus à démontrer. L'essor prodigieux de cette ville, dû à la construction du chemin de fer franco-éthiopien et à celle d'un port moderne, éclipsa complètement Cheikh Saïd qui, n'ayant jamais été occupé officiellement par la France, ne resta qu'une entreprise commerciale sans lendemain. » 7

les récits de la mer rouge

Une fois aménagé vers Djibouti , parmi les premiers action entrepris sont la construction d'un port , le chemin de fer vers l'ethiopie ou les français comptaient avec de relations diplomatique et commerciale , grâce jà l'abondant de ressources nationales dans ces régions de haut plateau .

Même si dans l'antiquité, les ports actuels n'existaient. La concurrence était réelle. Les ports modernes sont constitués selon les intérêts et les stratégies vis-à-vis les normes internationales. Le port de Zeila longtemps considère un port de référence, a disparu après la construction d'un port à Djibouti qui est relié au chemin de fer. L'acheminement est facilité par ce type de transport qui était nouveau dans la région. il a été depuis longtemps de transporter les marchandises vers l'ethiopie aux dos de chameaux .

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