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ECONOMIE DE L ACULTURE DU RIZ: CAS DU PERIMETRE IRRIGUE DE KOVIE

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par KOFFI BOTSOE
Université de Lomé - Ingénieur agronome 2001
  

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1.2 - OBJECTIFS DE L'ETUDE

Object1f général :

Contr1buer à l'étude des systèmes product1fs r1z1coles au Togo en vue de déterm1ner les facteurs favorables et défavorables à la promot1on de la culture du r1z.

Object1fs spéc1f1ques :

- Déterm1ner la d1spon1b1l1té, l'access1b1l1té et l'eff1c1ence des facteurs de product1ons (terre, eau, cap1tal, ma1n-d'oeuvre etc.)

- Analyser l'1nc1dence du comportement des paysans ou des organ1sat1ons paysannes du m1l1eu, sur le développement de la r1z1culture.

- Déterm1ner l'1mpact de la pol1t1que agr1cole actuellement en v1gueur sur la culture du r1z dans le pér1mètre cons1déré.

- Déterm1ner les effets pos1t1fs ou négat1fs de la conjoncture économ1que actuelle sur la culture du r1z.

- Déterm1ner le coût de product1on du r1z dans la zone d'étude.

- Comparer le coût de product1on du r1z (de la zone d'étude) au pr1x sur les marchés ruraux en vue de l'évaluat1on de sa rentab1l1té.

- Déterm1ner le mécan1sme de format1on du pr1x sur les marchés ruraux.

- Etud1er le c1rcu1t de commerc1al1sat1on du r1z et ses goulets d'étranglement.

1.3 - HYPOTHESES

Vo1c1 les hypothèses du trava1l :

- En quête de produ1ts de bonne qual1té à mo1ndre coût, les consommateurs togola1s portent un 1ntérêt aux r1z produ1ts au Togo, étant donné l'amél1orat1on des var1étés cult1vées et la hausse des pr1x du r1z 1mporté. Cec1 relance la r1z1culture locale.

- La r1z1culture togola1se est en ple1ne modern1sat1on, ce qu1 entraîne une 1ntens1f1cat1on et une augmentat1on soutenue de la product1on

- La tendance des paysans à la profess1onnal1sat1on dynam1se la r1z1culture au Togo et sera1t à l'or1g1ne des progrès réal1sés.

- La pol1t1que agr1cole en v1gueur conjuguée aux effets de la dévaluat1on du franc CFA, ont perm1s le renforcement du caractère de rente de la r1z1culture.

INGENIEUR AGRONOME
BOTSOE KOFFI
UNIVERSITE DE LOME/2001
BP : 8954 Lomé -- TOGO Tél : 00228 919 80 89 / Ema1l :
botsoenhotma1l.com

1.4 - REVUE BIBLIOGRAPHIQUE

1.4.1 - DEFINITION DES TERMES IMPORTANTS

Pour b1en comprendre les termes fondamentaux évoqués dans ce document, 1l conv1ent de les déf1n1r.

1.4.1.1 -- LE PROCESSUS PRODUCTIF OU SYSTEME PRODUCTIF

Selon R. BADOUIN, c1té par Y. SAMLABA (1992), le système product1f agr1cole se déf1n1t comme l'ensemble des éléments et des act1v1tés qu1 concourent à la format1on des flux de produ1ts agr1coles.

Le système r1z1cole comme tout système product1f agr1cole peut être appréhendé sous le tr1ple aspect de système d'explo1tat1on, de système de product1on et de système de culture.

- On cons1dère alors que le système de culture se rapporte aux comb1na1sons culturales et représente l'ensemble plus ou mo1ns structuré des product1ons végétales et an1males retenues par les agr1culteurs.

- Le système de product1on quant à lu1 est relat1f aux comb1na1sons product1ves : la terre ou cap1tal fonc1er, le trava1l, les consommat1ons 1nterméd1a1res ou cap1tal c1rculant, les b1ens d'équ1pement ou cap1tal f1xe.

- Enf1n, le système d'explo1tat1on se déf1n1t comme le mode de fonct1onnement des un1tés de product1on (M. LABONNE, 1985)

1.4.1.2 LE CONCEPT DE FILIERE

Selon M. LABONNE (1985), la f1l1ère agroal1menta1re est const1tuée par les agents ou groupes d'agents concernés par un produ1t (ou un groupe de produ1ts) agroal1menta1re, de la product1on à la consommat1on et 1mpl1que les relat1ons qu'1ls entret1ennent.

CIRAD (1985), Centre Internat1onal pour la Recherche Agronom1que, mettra au po1nt une méthode qu1 1ns1stera surtout sur les techn1ques de product1on, les structures de commerc1al1sat1on, les coûts et les pr1x, dans le cadre de l'étude d'une f1l1ère.

Pour Bar1s et Couty (1981), la not1on de f1l1ère quelle que so1t son appellat1on ne se l1m1te pas aux act1v1tés commerc1ales ma1s couvre l'ensemble des act1v1tés en amont et en aval.

1.4.1.3 LA COMMERCIALISATION

L. LAGRANGE (1989) vo1t en la commerc1al1sat1on un ensemble d'opérat1ons qu1 concernent un produ1t depu1s son 1nvent1on jusqu'à sa destruct1on. Ma1s dans le cadre de notre étude, nous entendrons par 1nvent1on la product1on du r1z ou plus encore sa récolte et par destruct1on sa consommat1on.

Pour l'auteur, la f1nal1té de la commerc1al1sat1on, c'est de trouver un débouché solvable pour le producteur.

La D1str1but1on, qu1 est une part1e de la commerc1al1sat1on, est déf1n1e par le même auteur comme
l'ensemble des act1v1tés qu1 permettent la m1se à la d1spos1t1on des consommateurs ou autres

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ut1l1sateurs (restaurants, collect1v1tés), des produ1ts agr1coles ou agroal1menta1res, produ1ts ou crées par les agr1culteurs et les 1ndustr1es agroal1menta1res.

Robert Darpoux (1988) abonde dans le même sens et 1ns1ste sur le fa1t que la d1str1but1on assure la l1a1son entre l'offre et la demande. Pour lu1, offre et demande peuvent être s1tués à des stades d1fférents dans le temps (allus1on aux denrées consommées longtemps après leur product1on) et dans l'espace (producteurs et consommateurs pouvant être élo1gnés les uns des autres).

1.4.1.4 - LA COMPETITI VITE

Pour Dav1ron D. et Fousse W. (1993), la compét1t1v1té d'une f1l1ère d'exportat1on représente l'apt1tude d'un pays à acquér1r des parts de marchés. Cependant, au l1eu de nous 1ntéresser aux marchés extér1eurs dans le cadre de notre étude, nous parlerons de la compét1t1v1té d'un produ1t sur le marché local en aff1rmant qu'elle est sa capac1té à affronter la concurrence, c'est-à-d1re à s'1mposer devant les produ1ts semblables. Elle peut donc se fonder sur le pr1x, la qual1té, l'emballage.

Plus lo1n, nous rendrons compte des act1ons que peuvent poser les producteurs et l' Etat en vue de favor1ser la compét1t1v1té des produ1ts agr1coles. Nous verrons également les méthodes d'amél1orat1on de la qual1té du r1z en Afr1que subsahar1enne.

1.4.2 - GENERALITES SUR LA CULTURE DU RIZ

Lorsqu'on se réfère à la l1ttérature agronom1que, on constate que la r1z1culture se présente comme l'une des cultures céréal1ères les plus complexes, sur le plan de ses var1étés et caractér1st1ques morpholog1ques.

Une conna1ssance, même l1m1na1re sur la morpholog1e du r1z, et surtout des d1fférentes étapes de sa cro1ssance, nous paraît nécessa1re pour m1eux comprendre son comportement et les ex1gences culturales qu1 en découlent. Car une juste appréc1at1on de l'1mportance des facteurs qu1 concourent à la v1e de la plante est le seul remède qu1 pourra corr1ger certa1nes prat1ques aberrantes et mettre en oeuvre les techn1ques rat1onnelles qu1 permettent d'assurer la rentab1l1té opt1male des aménagements et du trava1l.

1.4.2.1-LES CARACTERISTIQUES AGRONOMIQUES DE LA CULTURE1

Le r1z appart1ent à la fam1lle des gram1nées et au genre Oryza sat1va. On d1st1ngue deux sous- espèces : Oryza japon1ca, à gra1ns ronds et pa1lle courte, et Oryza 1nd1ca à gra1ns longs et m1nces, à t1ge généralement de grande ta1lle.

A- LES ORGANES VEGETATIFS

Les pr1nc1paux éléments des organes végétat1fs de la plante du r1z sont : les rac1nes, la t1ge, les talles, et les feu1lles. La talle dont les fonct1ons sont auss1 déterm1nantes que les autres éléments, ret1endra notre attent1on.

1 Les 1nformat1ons sur les caractér1st1ques agronom1ques de la culture, sont 1nsp1rées de J.P. DOBELMANN, R1z1culture prat1que ; 1 ; RIZ 1rr1gué, 1980, Par1s, Pages 2 -21 et 201 - 203

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BOTSOE KOFFI

UNI VERSITE DE LOME/2001

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> Les talles.

Issus des bourgeons s1s à la base des feu1lles de la plante, les talles ont des fonct1ons très 1mportantes sur le plant du r1z.

Ils sont responsables de l'ém1ss1on des t1ges qu1 porteront les pan1cules.

On d1st1ngue selon leur ordre d'appar1t1on, les talles pr1ma1res, seconda1re, tert1a1res ... etc.

D'une façon générale, le tallage est favor1sé par :

- Le rep1quage avec des plants jeunes ;

- Un nombre l1m1té de br1ns par touffe ;

- Des écartements rat1onnels en fonct1on de la var1été, du cl1mat et du terra1n ;

- Des sarclages précoces qu1 év1teront la concurrence entre le r1z et les plantes advent1ces ; - L'état d'ameubl1ssement du sol ;

- La r1chesse du sol en azote ;

- La hauteur de la nappe d'eau (les r1z tallent peu en eau profonde).

En culture rep1quée, le tallage est donc un facteur pr1mord1al pour le rendement.

B- LES ORGANES DE REPRODUCTION

Les organes de reproduct1on comprennent les éléments su1vants : La pan1cule, l'ép1llet, la fleur, le gra1n ou paddy, l'albumen, l'embryon.

> La fleur

Les organes mâles et femelles sont présents sur la même fleur. C'est une fleur autogame.

> Le gra1n ou paddy

Le gra1n de r1z ou paddy, est const1tué d'enveloppes (glumes et glumelles) et de caryopse encore appelé albumen.

Lorsque le gra1n est débarrassé de ses enveloppes externes après décort1cage, 1l est appelé r1z cargo. Le r1z blanch1 est le gra1n débarrassé de ses téguments, après blanch1ssage. Les téguments donnent le son et la far1ne.

100 kg de paddy donnent, après us1nage :

- 65 kg de r1z et br1sures ; - 15 kg de son et far1ne ; - 20 kg de balles

1.4.2.2 - LA CROISSANCE DU RIZ

Entre le sem1s et la matur1té, la v1e d'un plant de r1z peut se d1v1ser en quatre phases : - La germ1nat1on ;

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- Le tallage ;

- L'ép1a1son / et la flora1son ; - La matur1té.

> La germ1nat1on

La germ1nat1on se déclenche dès que le gra1n absorbe le quart de son po1ds d'eau. Une bonne germ1nat1on commence par l'ut1l1sat1on de bonnes semences c'est-à-d1re celles qu1 réun1ssent les cr1tères su1vants :

- Bonne faculté germ1nat1ve : elle devra1t atte1ndre entre 90 et 95 °h

- Absence de var1étés et d'espèces étrangères : 1l est quest1on 1c1 d'avo1r une bonne pureté var1étale, ce qu1 1nv1te à l'ut1l1sat1on de semences sélect1onnées ; et une bonne pureté spéc1f1que végétale dans les semences.

- Etat san1ta1re parfa1t : une bonne semence do1t être 1ndemne de paras1tes an1maux ou cryptogam1ques suscept1bles, so1t de compromettre la faculté germ1nat1ve, so1t de commun1quer à la future plante des malad1es.

> Le tallage

C'est la pér1ode de cro1ssance où le r1z a la poss1b1l1té d'émettre des t1ges seconda1res et tert1a1res af1n de donner na1ssance à autant de pan1cules. Le tallage commence une qu1nza1ne de jours après le sem1s et se poursu1t jusqu'à la flora1son. Il faut noter que c'est pendant cette phase végétat1ve que le r1z est plus sens1ble aux so1ns culturaux, notamment aux sarclages et aux apports d'engra1s azotés en couverture.

Le tallage est fonct1on de la var1été, de la r1chesse du sol, de la température, de l'écla1rement et du nombre de br1ns par touffe.

> Ep1a1son -- Flora1son

La phase de l'ép1a1son -- flora1son est l'une des plus cr1t1ques dans la v1e de la plante. De mauva1ses cond1t1ons de culture, plus spéc1f1quement les défauts d'1rr1gat1on entre l'ép1a1son et la flora1son ou les défauts du m1l1eu peuvent provoquer un avortement part1el ou total de la pan1cule, phénomène connu sous le nom de coulure.

Il est recommandé de ne pas dra1ner une r1z1ère au moment de l'ép1a1son, d'év1ter l'1rr1gat1on avec des eaux chargées en chlorure de sod1um au moment de la flora1son. Cela entraîne un avortement total.

> La matur1té

Cette phase dure, selon les var1étés, entre 30 à 40 jours ; les var1étés hât1ves mûr1ssent plus v1te que les var1étés à cycle long.

Une conna1ssance parfa1te de l'état de matur1té opt1male est 1nd1spensable pour déterm1ner la pér1ode de récolte.

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Tableau 3 : LES DIFFERENTES ETAPES DE MATURATION DU PADDY

ETAT DE MATURITE

COULEUR DU RACHIS

DURETE DE L'EPILLET

Début de matur1té

V4 supér1eur jaune cla1r

Gra1ns pâteux sur mo1t1é de

(Non récoltable)

 

la pan1cule. La1teux à la base.

Prématur1té

 

Gra1ns pâteux au t1ers

(Non récoltable)

V2 Supér1eur jaune.

1nfér1eur.

 
 

Gra1ns durs et craquants sur
les 2/3 supér1eurs de la

Matur1té ple1ne.

3/4 Supér1eur jaune.

pan1cule.

 
 

Tous les gra1ns sont cassants.

Sur-matur1té

Le rach1s a tendance à

brun1r

Pan1cule souvent br1sée.

(Source) JP. DOBELMANN, 1980)

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Tableau 4 : SCHEMA DES PRINCIPAUX TYPES DE RIZICULTURE ET LEURS
CARACTERISTIQUES
.

Type de culture

Source d'eau pr1nc1pale

Préparat1on
Du sol

Rep1quage ou
sem1s

Maîtr1se
De l'eau

Exemple et termes de dénom1nat1on
hab1tuelle2

1ère Pér1ode3 2ème Pér1ode

Culture ent1èrement
en sec

Plu1es

Plu1es

Parfo1s
aucune ; en
sec

Sem1s

Sans

Culture 1t1nérante (avec jachère
arborée ou herbacée)

Plu1es

Plu1es

en sec

Sem1s

Sans

Culture (sem1) permanente (en
rotat1on avec d'autres cultures).R1z
pluv1al, r1z de plateau, r1z de
montagne (A : upland r1ce)

Formes

1nterméd1a1res entre culture sous eau et en sec

Plu1es

Plu1es et eau de
surface (0-30
cm)

en sec

Sem1s

Part1elle ;
avec
d1guettes

Méthode gogo rancah en Indonés1e

 

Plu1es

Plu1es et eau de
surface (0-30
cm)

en sec

Sem1s

Sans

- R1z pluv1al en Inde, Ghana du
centre
- Méthode bol1lande en S1erra Leone

 

Plu1es

Pr1nc1palement
eau de surface
(20-100 cm)

en sec

Sem1s

Part1elle ou
sans

- R1z dressé en Afr1que de l'Ouest - Culture de crue

 

Plu1es

Pr1nc1palement
eau de surface
(100-500 cm)

en sec

Sem1s

Part1elle ou
sans

- R1z (sem1) flottant en As1e (A: flot1ng r1ce, deep water r1ce)

- R1z flottant en Afr1que de l'Ouest - Culture de crue

Culture sous eau

avec maîtr1se totale de l'eau

Eau
d'1rr1gat1on4

Eau d'1rr1gat1on

Ent1èrement
en sec

Sem1s

Totale

R1z 1rr1gué (A:1rr1gated r1ce)

 

Eau
d'1rr1gat1on3

1

Eau d'1rr1gat1on

Ent1èrement
sous eau

Rep1quage ou
Sem1s

Totale

R1z 1rr1gué (A:1rr1gated r1ce)

 

Eau
d'1rr1gat1on3

1

Eau d'1rr1gat1on

en sec et
sous eau

Rep1quage ou
Sem1s

Totale

R1z 1rr1gué (A:1rr1gated r1ce)

Culture sous eau

avec maîtr1se part1elle de l'eau ou sans maîtr1se

Eau de
surface
pour
submers1on3
1 peu
profonde

Plu1es et eau de
surface (0-30
cm)

sous eau

Rep1quage ou
Sem1s

Part1elle;
avec ou

sans
d1guettes

- R1z pluv1al en Inde (A: ra1nfed
r1ce)
- R1z (1nondé) de mangrove en
Afr1que de l'Ouest (A:mangrove
swamp r1ce)
- R1z (1nondé) de bas-fonds en
Afr1que de l'Ouest (A: 1n land
swamp r1ce, valley swamp r1ce)

 

Eau de
surface
pour
submers1on3
1 peu
profonde

Plu1es et eau de
surface (20-100
cm)

sous eau

Rep1quage

Part1elle

R1z en eau profonde (A:deep
flooded r1ce)

 

Eau de
surface (40-
70 cm)31

Eau de surface
(20-70 cm)

Aucune

Rep1quage 2 à 3
fo1s

Sans

- R1z à double rep1quage en
V1etnam, Indonés1e (A: Double
transplanted r1ce)
- Culture de décrue

Sources : Ten Have (1981)

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