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Pragmatique, narrativité, illocutoire et délocutivité généralisées.

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par Jean Robert RAKOTOMALALA
Université de Toliara - Doctorat 2004
  

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9.5. CENSURE ET POSTULATION DU SEXE FÉMININ

Parler du sexe féminin est une tâche ardue et même risquée. Le sexe en général est frappé d'un tabou qui nous contraint à des procédures d'évitement comme l'euphémisme.

Benveniste a forgé les néologismes « Blasphémie et euphémie » pour intituler un article qui joue sur la censure et la postulation. Nous extrayons de cet article le passage suivant pour introduire notre propos : « (...) pour mieux voir les ressorts de la blasphémie, on doit se référer à l'analyse que FREUD a donnée du tabou.

« Le tabou, dit-il, est une prohibition très ancienne, imposée du dehors (par une autorité) et dirigée contre les désirs les plus intenses de l'homme. La tendance à la transgresser persiste dans son inconscient ; les hommes qui obéissent au tabou sont ambivalents à l'égard du tabou ». Pareillement, l'interdit du nom de Dieu refrène un des désirs les plus intenses de l'homme : celui de profaner le sacré. » (BENVENISTE E. , [1974] 1981, p. 255)

Autrement dit, blasphémer c'est profaner le sacré. Dans la mesure où nous avons dit que le sexe d'une manière général est frappé d'un tabou, il acquiert une sacralité par un interdit de prononcer que Benveniste appelle « tabou linguistique ». Mais comme l'interdit du tabou ne supprime pas le désir profond de profanation du sacré, le langage humain contourne l'obstacle du châtiment par des procédures d'évitement parmi lesquelles l'euphémisme.

La définition classique de l'euphémisme consiste à dire qu'il s'agit d'un moyen détourné pour éviter de choquer dans la parole. Pour une mise à jour de cette définition, nous dirons que l'euphémisme a pour force illocutoire la transgression d'un interdit tout en permettant de refuser la paternité de cette transgression.

Prenons un exemple très banal : dire à un thésard que son travail fera un très bon mémoire de maîtrise14, c'est lui faire perdre la face, c'est-à-dire transgresser la règle de préservation de la face initiée par Erwin GOFFMAN et mise à jour par BROWN et LEVINSKY tout en évitant toute réplique du genre « Qu'est-ce que vous insinuer ? ». Question à laquelle on ne peut répondre que par une dénégation. De la même manière dire à quelqu'un que ce qu'il a fait n'est pas très bien, lui laisse croire que c'est au moins bien alors qu'en réalité c'est franchement mauvais.

Ainsi, comme nous avons interprété l'évanouissement de l'homme par la vue de la nudité féminine, c'est-à-dire par une confrontation au sacré, l'idée de profanation, de blasphème ne doit pas être bien loin. L'homme s'évanouit par la terreur d'avoir accéder au sacré mais la femme le rassure que ce sacré ne va pas le tuer mais le faire vivre.

14 Je dois cet exemple à François FLAHAULT: La parole intermédiaire, 1978, Seuil, Paris.

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Justement « ce faire vivre » est un euphémisme littéral et dans tous les sens. Ce qui apparait à l'homme dans la nudité de la femme, ce n'est pas seulement son corps mais son sexe dans toute son étrangeté puisque différent. De la même manière que le poisson fait vivre l'homme, la consommation du sexe féminin introduit aussi la continuité de la vie dans la discontinuité de l'existence individuelle. C'est pour cela qu'une fois cette mission sacrée accomplie le récit insiste sur l'appel de la sirène à donner de l'algue et de l'os de poisson aux progénitures afin qu'elles se maintiennent en vie lorsque la mère ne sera plus là.

La vulve est aussi ce qui fait vivre parce que s'il est admis que la détumescence du pénis est assimilée à sa mort comme le confirme l'idée de l'orgasme comme petite mort, c'est l'horizon de la vulve qui le réveille dans la nudité féminine - et comme l'ambivalence du sacré oblige - et le tue aussi.

Mais tout cela n'est pas dit de manière blasphématoire comme ici et pour laquelle nous faisons des excuses, mais par euphémisme : l'homme qui s'évanouit est une forme signifiante dans le récit et qui projette du sens. Enfin, pour honorer l'épistémologie du pari, parlons maintenant de la clé de lecture.

S'il est accepté que le titre est une mise en abyme de tout le récit en se présentant comme un résumé intratextuel, ce qui saute aux yeux est qu'elle est une exhibition de la forme seulement, car une femme qui a des écailles ou des ouïes dépassent l'entendement et ne peut donc avoir de sens que d'être insensé.

Pourtant la pérennité du récit qui traverse le temps dit tout le contraire. En effet, l'exhibition de la forme est dans la nudité de la femme si la thèse de la mise en abyme est acceptée. Mais ce qui s'exhibe surtout dans la nudité du corps de la femme est sa vulve qui s'appelle « isy » dans le dialecte de production du récit, et justement le dire c'est blasphémer. C'est elle que l'on peut appeler « étrangeté inquiétante » chez FREUD qui nous affirme que ce n'est pas seulement la sortie de l'ordinaire qui est angoissant mais aussi parce que « Unheimlich » serait tout ce qui aurait dû rester caché, secret, mais se manifeste. (FREUD, 1919)

Dès lors, pour contourner l'interdit, on exhibe une autre forme comme déformation de la forme interdite.

La voyelle finale [i] est déplacée de son point d'articulation, reculée en arrière par pudeur et devient un [a]. C'est cela l'euphémisme ici : une censure et une postulation du mot tabou qui désigne le sexe féminin. L'attribut du féminin est bel et bien sa vulve et non des écailles, consommable au même titre que le poisson. La même procédure d'évitement a servi à de beaucoup de poètes, pour ne parler que de RIMBAUD nous pouvons citer ce vers extrait du poème « Les voyelles » :

"A noir, E blanc, I rouge, U vert, O, bleu : voyelles Je dirai quelque chose de vos naissances latentes : A, noir corset velu des mouches éclatantes Qui bombinent autour des puanteurs cruelles

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Golfes d'ombre : E, candeurs des vapeurs et des tentes, Lances des glaciers fiers, roi blancs, frissons d'ombelles ; I pourpres, sang craché, rire des lèvres belles

Dans la colère ou les ivresses pénitentes ;

U, cycles vibrements divins des mers virides. Paix des pâtis semés d'animaux, paix des rides, Que l'alchimie imprime au grand front studieux ;

O, suprême Clairon plein des strideurs étranges,

Silences traversés des Mondes et des Anges :

O, l'Omega, rayon violet de Ses Yeux" (RIMBAUD, 1984, p. 91)

Il n'est pas question ici de faire l'étude intégrale de ce poème, car l'essentiel est de démontrer que face à l'inquiétante étrangeté, il n'est que de l'exprimer par des moyens détournés de telle manière que l'on bénéficie de ce que DUCROT appelle " efficacité de la parole et innocence du silence " (1972, p. 12) dans la perspective de l'implicite en pragmatique.

On peut renforcer notre grille de lecture par d'élément nouveau qui va nous servir à honorer l'épistémologie du pari dans son imbrication avec l'illocutoire. Cet élément nouveau c'est l'intertextualité.

Ce poème pour bénéficier à la fois de l'innocence du silence et de l'efficacité de la parole se sert de deux sémiotiques dont le point d'intersection est la forme. La première sémiotique qui bénéficie de l'efficacité de la parole est un corpus de voyelles (A, E, I, U, O), et la deuxième sémiotique qui bénéficie de l'innocence de la parole est la partie intime de la femme.

Ainsi, si le A (majuscule) est noir c'est parce que la forme de cette voyelle dans sa version majuscule représente la toison féminine dans le geste de dévoilement effectué par Baubo (d'autres analystes pensent qu'il faut renverser la voyelle). Rappelons que Baubo qui est une servante, pour faire sortir Déméter de son chagrin d'avoir perdu Perséphone ravie par Hadès s'est retroussée et s'est penchée en avant pour dévoiler son intimité. Un dévoilement qui fut capable de faire sortir Déméter de son chagrin morbide. Cf. (PICARD, 1995).

La voyelle E, dans cette perspective est une vision de profil du sexe féminin, la barre centrale de la voyelle représente l'excroissance qui barre dans la nature féminine que représente à son tour la voyelle I.

La voyelle "I" est décrite par la couleur pourpre. Pour signifier que cela n'est pas le fait d'un hasard, il est évoqué une particularité de cette voyelle dans "sang craché" qui ne peut que renvoyer au sang des menstrues en tenant compte de l'isotopie métaphorique. L'objectif de cette mention n'est pas d'introduire un intrus dans le système euphorique de l'érotisme

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mais d'orienter la lecture isotopique en vertu de cette remarque suivante de BATAILLE que nous rapporte Alain ROGER : « La beauté de la femme désirable annonce ses parties honteuses: justement ses parties pileuses, ses parties animales E...] La beauté négatrice de l'animalité, qui éveille le désir, aboutit dans l'exaspération du désir à l'exaltation des parties animales! E...] La beauté humaine, dans l'union des corps, introduit l'opposition de l'humanité la plus pure et de l'animalité des organes, E...] Rien de plus déprimant, pour un homme, que la laideur d'une femme, sur la laideur des organes ou de l'acte ne ressort pas. La beauté importe au premier chef en ce que la laideur ne peut pas être souillée et que l'essence de l'érotisme est la souillure ». (ROGER, 1987)

En définitive, ce mythe de l'Ampelamanisa obéit à un trait universel: l'impossibilité de nommer le sacré - soit pour éviter le blasphème, soit pour éviter la contamination - qui est ici un retour à l'animalité, donc une négation de l'humanité. Le travail énergique de refus de ce retour à l'animalité se manifeste au même titre que le cadavre est enterré pour éviter toute contamination de la mort. Dans le cadre de la censure du sexe féminin, ce qui risque de contaminer est la souillure. Mais paradoxalement, c'est de la fermentation de la pourriture que la vie peut prendre naissance, et c'est à cet effet que la féminité est symbolisée par l'eau.

Rappelons pour mémoire que le sacré qui appelle le blasphème est le sacré divin, et la religion n'a voulu retenir que cela, mais il existe aussi le sacré maudit dont la transgression provoque la contamination de la souillure. En tout cas comme le souligne FREUD:

« L'homme qui enfreint un tabou devient tabou lui-même, car il possède la faculté dangereuse d'inciter les autres à suivre son exemple. Il éveille la jalousie et l'envie: pourquoi ce qui est défendu aux autres serait-il permis à lui. Il est donc réellement contagieux, pour autant que son exemple pousse à l'imitation, et c'est pourquoi il doit lui-même être évité. » (FREUD, [1912]1993, p. 30)

Nous pouvons maintenant mieux comprendre la censure qui d'opère à l'endroit du sexe féminin: c'est le retour à l'animalité à partir de laquelle l'humanité s'est levée. Pourtant la beauté de la femme, tout en censurant cette animalité la postule. La beauté de la femme est ce qui est représentable contrairement à son sexe comme l'explique le texte d'Alain ROGER:

« L'objet d'abord. Il n'est pas insignifiant que le terme "nature" désigne "les parties qui servent à la génération, surtout dans les femelles des animaux. La nature d'une jument"; mais aussi d'une femme, réduite à sa femellité, c'est-à-dire sa bestialité: vulve et pilosité. On aurait là un îlot de nature irrémédiable, un réduit irréductible, que la culture ne peut que circonscrire comme son Autre, la Chose, l'innommable, sinon dans la langue anatomique (neutralisation scientifique) ou les métaphores animales, qui soulignent brutalement la naturalité de la "bête". CHOÏROS, en grec, signifie à la fois la vulve et le petit cochon; il en va de même du PORCUS latin. Le Français, plus sensible au pelage, semble-t-il - les Grecques et les Romaines s'épilaient -, dit la "chatte" ou la "motte", plus basse encore dans la hiérarchie naturelle, et l'on aimerait posséder la liste universelle, le catalogue argotique, le bestiaire obscène des noms et surnoms dont la vulve fait l'objet. » (ROGER, 1987, p. 182)

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Cette observation que ROGER définit dans l'aire culturelle de l'Occident ne contredit pas la présente analyse qui, par contre, appartient à l'aire orientale; nous permet de dire qu'il s'agit là d'un universel de représentation que nous tentons d'expliquer par le paradoxe de la censure et de la postulation. La question qui va nous guider maintenant est de savoir pourquoi il y a censure.

Il y a censure parce qu'il y a dans l'humanité une volonté de refréner le déferlement de violence dans la possession des femmes comme cela est théorisé par FREUD dans Totem et Tabou et que nous pouvons constater dans l'universalité du tabou de l'inceste. Il y a également censure parce que :

« En tant que terme référentiel de la relation la plus importante de la famille, la femme (la soeur) est l'objet d'une conceptualisation complexe. Cette femme référentielle se trouve partagée entre deux identités, celle de femme (sexuelle) et celle de soeur ("femme de famille"), qui cohabitent dans le même corps mais qui ne se manifestent jamais en même temps. » (MORAL-LEDESMA, 2000, p. 52)

Il y a surtout censure parce que l'innommable est désigné par l'interdit même à la convoitise, une convoitise qui n'est pas pour l'objet lui-même mais dans le sentiment de transgression qui permet à l'homme de réduire la femme à l'animalité à laquelle la femme ne peut pas se défendre dans son inscription dans le social, soit parce qu'elle n'a pas la force nécessaire, soit parce que biologiquement c'est une quête inscrite dans sa nature. En outre, la transgression a ceci de voluptueux, elle permet de déjouer - peut être de manière médiatisée - la violence de la mort dans la régénération de la vie à travers la femme qui justifie les premières sculptures de l'humanité sous forme de femme stéatopyge (30.000 ans av. J.C.), ou peut-être non médiatisée en tant qu'affirmation de la vie dans l'érotisme qui suspend la violence de la mort sans la supprimer au même titre que la transgression, d'une manière générale, lève l'interdit sans le supprimer. La balance entre censure et postulation peut être résumée par cette remarque quelque peu énervée de QUINE à propos de l'être:

« C'est pourquoi que j'ai dit et redit et au fil des années qu'ÊTRE C'EST ÊTRE LA VALEUR D'UNE VARIABLE. Plus précisément, ce que l'on reconnaît comme être est ce que l'on admet comme valeurs des variables liées. » (QUINE, 1993, p. 51)

Ce qui nous permet de dire que le corps de la femme - et c'est là la raison de son enfermement dans du tchador dans certaines civilisations et de leur interdiction du stade olympique dans la Grèce antique - comme celui de l'homme est articulé pour le travail, mais en même temps, ce corps féminin transgresse le monde du travail qui se définit par sa transitivité pour verser dans le monde de l'art, de l'artifice ou de la parure pour devenir intransitif ou réflexif. Autrement dit, les variables liés de l'être de la femme sont la censure et la postulation du sexe.

L'idée d'hyperbolisation et d'abolition dont parle ROGER ne sont donc pas des moments inconciliables ou des choix de l'artiste dans la représentation, ni même une question de goût du jour. Ils sont les deux aspects de la sacralité, respectivement le sacré à vénérer et le sacré de l'horreur. Autrement dit, le corps de la femme est métonymique de son sexe et sa

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séduction provient de ce qu'il détourne le monde du travail vers le monde du jeu qui met en jeu la vie elle-même. Pour renforcer cette idée, il n'est que de rappeler la différence entre l'or et le fer. Du fer proviennent des outils permettant le travail, mais de l'or on ne peut tirer que de la parure qui met en jeu le paraître au détriment de l'être de travail. Du même coup, la vie est mise en jeu puisque le travail c'est le pain selon un aphorisme qui a pris naissance dans les émeutes de la faim du Paris du XIXème siècle. En définitive la femme comme sémiotique est toujours un signe autonymique.

Travaux cités

ALMEIDA, I. (1997, Mai). Le style épistémologique de Louis Hjlemslev. Consulté le Juin 20, 2012, sur Texto: http://www.revue-texto.net/Inedits/Almeida_Style.html

BANGE, P. (1992). Analyse conversationnelle et Théorie de l'action. Paris: Les éditions Didier.

BENVENISTE, E. ([1974] 1981). Problèmes de linguistique générale, II. Paris: Gallimard.

CASSIRER, E. (1969). "Le langage et la construction du monde des objets". Dans C. e. Alii, Essais sur le langage (pp. 37-68). Paris: Les Editions du Minuit.

DUCROT, O. (1972). Dire et ne pas dire, Principes de sémantique linguistique. Paris: Hermann.

FREUD, S. ([1912]1993). Totem et tabou, Quelques concordances enter la vie psychique dessauvages et celle des névrosés. (W. Marièlene, Trad.) Paris: Gallimard.

FREUD, S. (1919). L'inquiétante étrangeté - Les classiques des sciences sociales. Récupéré

sur classiques.uqac.ca/classiques/freud_sigmund/.../inquietante_etrangete.html:
http://dx.doi.org/doi:10.1522/030149457

GREIMAS, A. J. (1970). Du sens, Essais de sémiotique,1. Paris: Seuil.

HJLEMSLEV, L. (1968-1971). Prolégomènes à une théorie du langage. Paris: éditions de Minuit.

JAKOBSON, R. O. (1981). Essais de Linguistique générale,1. Paris: Editions de minuit. LAFONT, R. (1978). Le travail et la langue. Paris: Flammarion.

MORAL-LEDESMA, B. (2000). "sexe des femmes, sexe de soeurs : les organes génitaux féminins à Chuuk (Micronésie). Journal de la société des océanistes, 110, 49-63.

PARIENTE, J.-C. (1982). "LEs noms propres et la prédicationdans les langues naturelles" in Langages, 66. Dans J. Molino, Le nom propre, (pp. 37-65). Paris: Larousse.

PICARD, C. (1995). "L'épisode de Baubo dans les mystères d'Eulesis". Histoire des Religions (Revue), pp. 220-255.

QUINE, W. V. (1993). La poursuite de la vérité. Paris: Seuil.

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RIMBAUD, A. (1984). Poésies. Paris: Librairie Générale Française.

ROGER, A. (1987). "Vulva, Vultus, Phallus". Communications, 46, pp. 181-198. SAUSSURE, d. F. (1982). Cours de Linguistique Générale. Paris: Payot. SCHAEFFER, J.-M. (1999). Pourquoi la fiction? Paris: Seuil.

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"Je voudrais vivre pour étudier, non pas étudier pour vivre"   Francis Bacon