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La communication au sein des ONG humanitaires.

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par Margaux Nivollet
ISCOM Montpellier  - Niveau certifié de niveau II (équivalent master 1) 2015
  

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2 - Mobiliser

La mobilisation est généralement réservée aux adhérents actuels de l'association. Ils sont tenus régulièrement au courant par une newsletter, on les appelle en cas d'urgence (cela m'est encore arrivée récemment avec la catastrophe du Népal, ACF appelle tous les donateurs pour essayer de récolter un don plus important). Certaines associations, plus rares, proposent également de rejoindre les bénévoles lors d'un évènement.

La mobilisation est donc actuellement une seconde phase qui accompagne la troisième qui est la fidélisation.

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Nos études précédentes nous encouragent à octroyer plus d'importance à cette mobilisation et

à l'étendre aux campagnes de collecte de fonds, afin de toucher de nouveaux donateurs. Cela permettra aux sympathisants de se sentir engagés dans une cause dès le premier don.

Il sera également plus simple de toucher les jeunes n'ayant pas les moyens de faire un don financier qui s'engageront peut-être une seule journée aux côtés des bénévoles mais qui seront

marqués à vie par cet évènement et se tournera donc plus facilement vers l'association qui l'a accueilli lorsqu'il aura les moyens de faire des dons.

3 - Sensibiliser / Informer

Beaucoup d'ONG humanitaires mettent en avant leur mission de sensibiliser du grand public.

Depuis l'arrivée des « Frenchs doctors » dans les années 80, les associations ne sont plus liées par le secret et peuvent donc dénoncer des situations alarmantes. Lors de l'apogée de la télévision, cette sensibilisation était très régulière. Les médias s'emparaient de l'affaire, le

monde entier était alors rivé sur la guerre du Biafra ou la famine de la Somalie. Des dérives avaient également souvent lieu. Certaines ethnies mourraient de faim car leur situation n'était

pas médiatisée et par conséquent les associations ne parvenaient pas à obtenir de dons suffisants.

Heureusement, aujourd'hui internet permet de mettre en lumière l'ensemble des missions des ONG.

Cependant, en étudiant leur communication aujourd'hui, on se rend compte que les associations sensibilisent beaucoup plus la population qu'elle ne l'informe. Lors de grandes

catastrophes, nous pouvons voir à la télé le nombre de décès et de blessés, mais nous ne savons pas quels sont les besoins précisément des associations pour aider comme il se doit les sinistrés.

Il est temps de faire évoluer la communication pour être plus transparente et précise en termes de besoin, et en quoi notre aide peut aider. ACF essaye de le faire un peu plus que les autres lorsqu'ils nous arrêtent dans la rue pour nous expliquer leur démarche mais cela manque d'expertise et de témoignage sur le terrain.

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"Il faut répondre au mal par la rectitude, au bien par le bien."   Confucius