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La mise en scène de la sexualité dans les spots publicitaires alimentaires. Du côté de la réception.

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par Perrine Villien
Université Jean Monnet de Saint-Etienne - Licence 2014
  

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Chapitre 4 : La perception de la sexualité : une fracture intergénérationnelle et genrée

La mise en scène de la sexualité, comme nous avons pu le voir dès la première partie, influence les prospects à différents degrés. Tout dépend de leur sensibilité, du recul qu'ils prennent vis-à-vis de la publicité, mais aussi de leur culture, leur âge... Evitons les redites et allons à l'essentiel : les spots publicitaires alimentaires à connotations sexuelles sont perçus différemment suivant l'âge du téléspectateur. Le comportement qu'il adoptera face à ce genre de spot en dépendra aussi.

Mon enquête et les entretiens semi-directifs que j'ai menés viendront nourrir ce chapitre. Les résultats se basent sur un très mince échantillon de personnes ; s'ils ne sont pas nécessairement concluants et sont à relativiser, ils ne sont tout de même pas à négliger. En choisissant de m'intéresser à la réception, à la cible, j'ai opté pour une étude comparée entre deux générations. Les hypothèses émises au départ, avant même de me lancer dans une analyse des multiples réponses, se sont vérifiées au fur et à mesure. Si les individus âgés de 18/25 ans présentent de nombreux points communs avec leurs ainés (35/45 ans), en matière de perception des représentations de la sexualité dans les publicités alimentaires, les divergences entre ces deux générations n'ont pas tardé à se profiler, mais restent faibles. C'est ce que je commencerai par traiter dans une première partie.

Au fil des analyses et des entretiens, je me suis vite rendue compte que la fracture intergénérationnelle n'était pas le seul facteur de variations. Effectivement, c'est assez rapidement et avec évidence que la question du genre s'est révélée être une composante des résultats trouvés. Ces deux composantes sociales seraient donc indissociables.

C'est en creusant du côté de l'intersectionnalité que j'ai pu lisser mes résultats concernant les générations, les genres et parfois même les professions. Nous pouvons d'une part, parler de « consubstantialité » dans la mesure où les rapports sociaux sont semblables et inséparables les uns des autres, d'autre part, de coextensivité du fait de la reproduction et de la co-production des rapports sociaux. Le genre construit la classe et la génération, la génération construit la classe et le genre et la classe construit le genre et la génération.

La mise en scène de la sexualité dans les spots publicitaires alimentaires : du côté de la réception - Villien Perrine

Il n'y a pas d'unification d'un des rapports sociaux, mais il est nécessaire de prendre en compte tous les facteurs d'analyse. La pluralité des mouvements a-t-elle un effet sur le contenu des résultats ? Il semblerait que oui.35

3

4

1

2

1 = variable genre

2 = variable génération

3 = variable profession

4 = coextensivité

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Toutefois, si j'ai choisi de consacrer ma première partie aux divergences à propos de la génération, c'est parce qu'il me semble bon de vérifier, dans un premier temps, les hypothèses de départ avant de traiter les questions supplémentaires auxquelles je n'ai pas pensé spontanément, qui pourtant s'avèrent évidentes. Je consacrerai donc une seconde partie à des résultats plus performants des nombreuses attentes de la cible.

A) Atomes crochus et convergences : une fracture intergénérationnelle.

La mise en scène de la sexualité est perçue différemment suivant la génération à laquelle appartiennent les individus interrogés. Si les deux catégories s'accordent sur de nombreux points, les points de divergences ne sont pas en reste.

Que révèle l'étude de l'impact des spots publicitaires à connotations sexuelles sur la consommation de la population française, sur son comportement en société, sur sa vie intime ? Quelle influence garde ce genre de publicité sur les consommateurs, sont-ils plus

35 Entretien de KERGOAT Danièle. Articuler les luttes contre les différents rapports sociaux inégalitaires. Août 2011. En ligne sur IRESMO, consulté le 23 mars.

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attirés par celles-ci que par des publicités dénuées de toute connotation, ont-ils conscience de la double influence de la publicité sur la société ?

Si on vous parle de sexe ?

La mise en scène de la sexualité n'a pas les mêmes impacts sur les jeunes adultes que sur leurs ainés. Effectivement, si l'on s'en tient aux résultats de mon enquête, la génération des 35/45 ans est moins sensible à la mise en valeur des corps dans les spots publicitaires alimentaires que la génération des 18/25 ans : le quart contre la moitié des jeunes. Lorsque l'on s'intéresse à présent à leur perception des connotations sexuelles dans ces pubs, les deux générations se mettent au diapason et affirment, toutes les deux, majoritairement, avoir conscience de ces représentations, symboles de l'érotisation de la publicité, même si cette dernière n'est pas forcément explicite, mais sous-entendue. Si les 35/45 ans sont moins sensibles que les jeunes à la mise en scène de la sexualité, tous ou presque, perçoivent très clairement les connotations sexuelles des publicités. Qu'en est-il de leur attention vis-à-vis de ces spots ?

Si les deux catégories d'âge perçoivent fortement la mise en scène de la sexualité, elles ne sont pas pour autant plus attentives à ces connotations. En termes de proportion, plus de la moitié des 18/25 ans et trois quarts des 35/45 ans considèrent ne pas être plus attentifs à une publicité de ce registre. Pourtant, lorsqu'ils parlent de la population en général, quant à savoir si la mise en scène de la sexualité a plus de chance d'influencer la consommation des individus, ils sont presque catégoriques, en affirmant que oui.

Aussi paradoxal que cela puisse paraître, les réponses dévoilent-elles la volonté de se démarquer des idées reçues ? La volonté de ne pas faire partie de cette société de consommation ? En affirmant majoritairement que les prospects ont plus de chances de consommer un produit alimentaire s'il est vendu dans un contexte érotique, les interrogés seraient contradictoires avec la question précédente concernant l'attention portée sur un scénario à tendance sexuelle. Ironie du sort ? Contexte de l'enquête ? Réponses spontanées et authenticités de celles-ci ?

Une chose est sûre, hormis le fait que la génération « estudiantine » est plus sensible à la mise en valeur des corps dans les spots publicitaires que la génération des 35/45 ans, les deux tranches d'âge s'accordent, à quelques personnes près, sur la perception des connotations sexuelles, l'attention accordée à celles-ci et l'effet à posteriori, en matière de consommation. Qu'en est-il à présent du reflet sur la société ?

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Un miroir réflexible de la société ?

Les spots publicitaires alimentaires mettent donc en scène la sexualité pour susciter des émotions fortes chez les potentiels consommateurs. Mais, les nombreux scénarios que nous offre le petit écran ne reflètent-ils pas notre société ? Ne s'en inspirent-ils pas ? J'ai posé la question à mon échantillon et à mes interviewés. Leurs réponses se rejoignent. Les 18/25 ans trouvent effectivement que la publicité reflète la société. Même si la question ne fait pas l'unanimité chez eux, globalement, c'est par l'affirmation qu'ils répondent.

« La publicité reflète la société dans la mesure où tout a une valeur marchande aujourd'hui, comme nous l'expose le début du livre 99 Francs de Beigbeder ou encore son adaptation cinématographique. La publicité reflète l'incitation à la consommation pour être heureux. Si l'on revient 10 ans en arrière, la consommation n'était pas aussi importante et paradoxalement, nous sommes le premier pays consommateur d'antidépresseurs en Europe... » X (étudiant de 18/25 ans)

« La publicité représente notre société de consommation, du toujours plus, toujours mieux que son voisin, toujours mieux présenté, plus efficace, meilleur... Elle représente aussi l'âge que l'on peut donner à la beauté (la femme grande, maigre, bronzée, maquillée, soignée...) à laquelle nous tentons de nous identifier aujourd'hui. Idem pour l'homme : puissant, musclé, typé... même si cela reste assez stéréotypé, dans la société, ces stéréotypes sont toujours d'actualité. La publicité reflète également un mode de consommation, c'est le cas pour l'alimentation, McDonalds qui fait un tabac, Ferrero Rocher devenu principalement un met de fête, plus cher, plus précieux comme nous le montre la publicité avec les Dieux de l'Olympe. » X (étudiante de 18/25 ans)

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Si l'on s'intéresse à leurs ainés, on constate le même genre de réponses. Les convergences, entre les deux générations, sont donc très maigres et se jouent à quelques personnes près, si

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l'on raisonne sur le plan de la proportionnalité. Les 35/45 ans trouvent, eux aussi, que la publicité reflète plus ou moins la société, reflète des manières de se comporter, des situations... La publicité, reprendrait en effet les grandes thématiques de la société, thématiques susceptibles de parler au plus grand nombre, au plus large public comme, par exemple, la mise en scène de la sexualité, mais pas seulement.

« La publicité est le reflet du mode de vie, de l'évolution des pratiques sociales et des modes de pensée. Pour exemple : la place de l'enfant dans des publicités des produits prioritairement dédiés aux adultes. Mais aussi le développement de la place de l'homme comme acheteur potentiel de produits alimentaires en tant que membre d'une famille, mais aussi en tant que célibataire. » X (femme de 35/45 ans Cadres et Professions intellectuelles supérieures)

Toutefois, comme pour la génération des 18/25 ans, l'unanimité n'est pas au rendez-vous et certaines personnes considèrent que la publicité n'est pas le reflet de la société.

« Tout le monde est beau, avec de belles voitures, de jolies dents, de jolis habits, de très belles cuisines, etc... tout est parfait, propre et lisse, sans trop d'inattendus ce qui est tout à fait l'inverse de la vie qui n'est faite que de mouvements, de doutes et d'imperfections. C'est d'ailleurs sûrement pour cela que la publicité fonctionne, car elle nous offre un monde rassurant. La publicité, à mon sens, reflète la société qu'elle souhaiterait voir s'ériger sous ses yeux : une société de la consommation, de dépenses, de plaisirs futiles et superficiels, immédiats. C'est peut-être déjà le cas en fait ! » X (femme de 35/45 ans Professions intermédiaires)

Concrètement, en lissant les réponses, on s'aperçoit qu'il n'y a pas vraiment de fracture intergénérationnelle sur le fait que la publicité serait le reflet de la société.

Mais l'influence s'avère être double dans la mesure où la publicité représente des situations de notre quotidien. Elle reflète notre société de consommation et nous incite toujours plus à consommer. Nous pourrions donc représenter la publicité comme un cercle vicieux de double influence. Un miroir réflexible des comportements humains, des situations

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dans lesquelles nous pourrions nous retrouver. La publicité nous vend du rêve et illustre notre recherche constante du bonheur. La publicité idéalise toujours plus notre société, nous faisant croire que l'on peut tomber amoureux avec un Yop, que notre journée sera plus rayonnante avec un bol de Ricoré le matin, etc... Cette idéalisation tient le consommateur en haleine et le pousse vers le Nirvana en quelque sorte. Etre heureux, il faut être heureux à tout prix, et dans les spots et dans la vie quotidienne.

Un pouvoir sur la consommation ?

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« Les publicitaires arrivent à donner une représentation vidéographique d'une marque ou d'un produit qui peut marquer les téléspectateurs et donc potentiellement les pousser à l'achat. » (X homme de 18/25 ans étudiant)

« Bien sûr que les publicitaires ont un pouvoir sur le consommateur, c'est justement tout l'enjeu des publicités : provoquer, susciter l'envie des consommateurs, créer des besoins alors que le consommateur n'a pas forcément l'utilité du produit au final. » X (femme de 18/25 ans, étudiante)

« Sur une publicité, on retient les images ou les slogans ou même la musique. Quand les pubs sont bonnes, elles reviennent dans les conversations, même si on ne se souvient pas du nom dès la première fois. » X (femme 35/45 ans Employée)

La mise en scène de la sexualité dans les spots publicitaires alimentaires est davantage censée attirer l'oeil du consommateur pour susciter en lui des émotions fortes, qu'il puisse facilement s'identifier, se projeter dans le scénario qui défile devant lui. Mais la publicité à connotations sexuelles a-t-elle réellement un pouvoir de séduction sur le consommateur, favorisant l'achat du produit vendu par la publicité ? Il semblerait que oui. Encore une fois, il n'y a pas de fracture intergénérationnelle sur la question, à proprement parler. Trente personnes sur trente-quatre pour la génération 18/25 ans et vingt-cinq sur vingt-huit pour la génération 35/45 ans affirment que les publicitaires ont un pouvoir certain sur les consommateurs et savent comment faire pour les amadouer, les séduire et peut-être les convaincre d'acheter la marque ou le produit des publicités qu'ils voient, entendent et mémorisent pour certaines.

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« Les publicités fabriquent des modes de consommation et si vous ne voulez pas suivre tel ou tel mode parce qu'il vous déplait par exemple et bien, il me semble qu'il faut carrément résister ! Les consommateurs sont plus nombreux que les publicitaires donc les consommateurs pourraient garder le pouvoir et la raison sur leur porte-monnaie, mais ils ne sont pas aussi bien organisés ! » X (femme 35/45 ans Professions intermédiaires)

« Oui bien sûr, le rabâchage des marques amène une reconnaissance de celles-ci comme si c'était réconfortant et rassurant de leur faire confiance. Les marques rentrent dans l'inconscient collectif. » X (homme 35/45 ans Artisans, commerçants et chefs)

Les spots publicitaires, dans leur globalité, influencent les téléspectateurs et les poussent parfois à consommer, mais la mise en scène de la sexualité n'accentue pas forcément la capacité de la publicité à pousser le consommateur à acheter le produit, d'après les réponses exploitées précédemment. La publicité a pour but de faire consommer, qu'elles soient minées de références sexuelles ou non. Elle influence donc forcément la consommation, sinon elle n'aurait aucun intérêt et l'on n'investirait pas autant dans la publicité.36 La publicité s'inscrit dans nos mémoires et possède un plus fort pouvoir de mémorisation surtout sur les enfants.37 De même, certains peuvent être plus perméables à des publicités érotiques que d'autres, le recul pris n'est pas le même et jouera justement sur la consommation a posteriori.38 Si la publicité met en valeur le produit et nous permet de mieux le mémoriser, elle va plus influencer notre comportement en société dans la mesure où, par exemple, la petite phrase entêtante « on se fait un petit caprice » pourra être ressortie avec toutes les allusions qu'elle comporte. Mais de là à influencer la consommation, cela reste assez délicat : on ne va acheter un produit uniquement pour le caractère sexuel qu'il dégage dans la publicité.39 L'humeur des individus peut également faire varier le degré de réceptivité et par jeu de dominos, de consommation.40 Enfin, tout ce qui relève de la stratégie de communication n'est pas à négliger : les heures et le média choisis pour diffuser tel ou tel produit ne sont pas anodins et

36 Entretien Eric Barriol

37 Entretien Christophe Delord

38 Entretien Thibaut Ferraro

39 Entretien Alice Hubert

40 Entretien Isabelle Torre

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participent à cette volonté de toucher une cible précise et susceptible de consommer les produits...

Et au niveau de l'intimité ?

Les spots publicitaires alimentaires mettant en scène la sexualité sont amenés à influencer l'intimité des prospects. Mais encore une fois, on ne distingue pas de grande fracture intergénérationnelle ; tous, semblent être de l'avis que les publicités sont susceptibles d'impacter notre conception de la vie de couple, de la vie sexuelle, à plus ou moins faible degré. Ce qui permettrait éventuellement de distinguer les deux générations serait aux différents niveaux de l'influence que peut avoir la publicité.

Les 18/25 ans que j'ai interviewés ont plus tendance à voir une influence de la publicité à caractère sexuel sur le comportement intime quant au fantasme, par jeu, par fantaisie. L'influence serait plus de l'ordre des émotions que procurent le plaisir, et sexuel, et alimentaire.41 A travers les publicités érotisées, l'impact sur le consommateur se matérialiserait par un affaiblissement de la pudeur. Les médias ne montraient peut-être pas autant la sexualité auparavant. Ce registre de publicité ce serait démocratisé et la monstration des corps, dans la vie privée d'une famille ou en société ce serait développée au fil du temps. La libération sexuelle s'est progressivement affichée dans le quotidien des gens.42

Du côté des 35/45 ans en revanche, les avis sont plus ou moins partagés. Certains se projettent éventuellement dans des situations plus sensuelles que sexuelles,43 tandis que d'autres considèrent effectivement que des jeunes notamment puissent s'inspirer de ce que la pub leur présente et éventuellement reproduire certains actes, certaines situations dans leurs premières relations. La mise en scène de la sexualité aurait donc un rôle d'éducation sexuelle pour leurs enfants.44 Du fait que les jeunes en connaissent bien plus qu'eux à leur âge dans le domaine de la sexualité, les 35/45 ans auraient effectivement tendance à percevoir dans la publicité une source d'inspiration pour les plus jeunes. Ce qui se confirme avec les réponses des 18/25 ans qui, s'ils ne reproduisent pas des situations concrètes, fantasment sur ces mises en scène.

41 Entretien Cédric Ravel

42 Entretien Alice Hubert

43 Entretien Chantal Grange

44 Entretiens Isabelle Torre et Eric Barriol

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La mise en scène de la sexualité dans les spots publicitaires alimentaires ne crée pas réellement de fracture intergénérationnelle précise. Les 18/25 ans et les 35/45 s'accordent en général sur la perception de ces connotations sexuelles. En revanche, les jeunes seraient spontanément plus sensibles que leurs ainés à la mise en valeur des corps et sont légèrement plus attentifs à ces expositions que leurs prédécesseurs. Mais, peut-on faire de cet échantillon une généralité ?

C'est à travers ces résultats que l'on se rend compte que les divergences genrées vont jouer un rôle beaucoup plus sectaire que l'étude comparée de la réception de cette mise en scène de la sexualité par la génération. Comme nous l'avons précédemment abordé, les résultats ne peuvent être concluants si l'on ne s'intéresse qu'à la génération qui, finalement, présente plus d'atomes crochus que de convergences.

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