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Stratégie de reductionde risque et vulnérabilité de la population comorienne face aux catastrophes naturelles


par Soilihi DJAE Dr Abderemane
Université de Tuléar à Madagascar - DEA 2013
  

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I.4 LES CONCEPTS CLES

GÉNÉRALITÉS SUR LA GRC

Depuis quelques années, la notion de la gestion des risques et des catastrophes fait partie des préoccupations de nombreux pays. À cet effet, beaucoup d'expertsprésentent une définition selon leur vision.

La Gestion des Risques et des Catastrophes sontdéfinies comme une approchede la gestion des catastrophes sous l'angle du développement, qui met l'accent sur lesconditions sous-jacentes des risques qui conduisent à de fréquentes catastrophes. Le butest d'augmenter la capacité à gérer efficacement et à réduire les risques et donc lafréquence et l'ampleur des catastrophes.Cette définition rejoint la vision de tous lesacteurs en matière de la GRC.

Dans ce projet, ce concept est primordial, car il constitue la base même de notre stratégie « bonne gestion de risques de catastrophes ». Pour bien situer notre thème par rapport à ce concept, nous sommes intéressés d'exposer les objectifs de la GRC.

Les objectifs de la GRCsont:

ü De réduire le plus possible les impacts négatifs des catastrophes et de ses effets récurrents, en tenant compte des risques et de la vulnérabilité de la population

ü `d'assurer une rapide assistance et la survie de la population affectée par les urgences

ü De rétablir le plus vite possible les services essentiels

ü De réparer les dégâts des infrastructures

ü D'évaluer et mettre en place des objectifs (programmes) tenant compte d'un développement durable qui doit réduire les vulnérabilités aux catastrophes futures

ü De ramener l'environnement à son état d'avant le désastre et de la rendre meilleure.

Nous sommes convaincus qu'une bonne compréhension et gestion de GRC reste notre cheval de bataille dans ce projet.

Adaptation

« L'ajustement dans les systèmes naturels ou humains en réponse à des changements climatiques actuels ou attendus, ou à leurs effets, qui atténue les dommages ou en valorise les bénéfices »8(*).

Ce concept tient compte des préoccupations sur les changements climatiques et provient du secrétariat de la Convention Cadredes Nations Unies sur les changements climatiques(UNFCCC). Le concept plus large de l'adaptations'applique également aux facteurs non climatiques telsque l'érosion du sol ou de sa surface. Nous pouvons accepter que l'adaptation puissese produire en mode autonome à traversl'évolution du marché, ou par suite d'une adaptationintentionnelle des politiques et des plans. « Denombreuses mesures de prévention des catastrophespeuvent contribuer directement à une meilleureadaptation »9(*).

Aléa

« Un phénomène dangereux, une substance,activité humaine ou condition pouvant causerdes pertes de vies humaines, des blessuresou d'autres effets sur la santé, des dommagesaux biens, des pertes de moyens desubsistance et des services, des perturbationssocioéconomiques, ou des dommages àl'environnement »10(*).

Cette définition nous montre les dangers en ce qui concerne lapréoccupation de réduction des risques de catastropheindiquée dans la note 3 du Cadre de Hyogo.

Ce qui intéresse notrethème c'est que cette définition nous montre l'importance des risques d'origine naturelle, l'environnemental et technologique.

À notre avis, ces risques qui proviennentde diversescaractéristiques sont de naturemétéorologique, géologique,hydrologique, océanique, biologiques, technologiques peuvent être maitrisé en adoptant des comportements appropriés.

Parfoisces risques peuvent être en combinaison et/ ou favorisé par des activités humaines. On peut aussi dire aussi qu'ilexiste plusieurs types d'aléas :

Ø Aléas géologiquesqui proviennent des processus internes d'origine tectonique, de la terre. Ex-les tremblements de terre, les failles géologiques, les tsunamis, volcan, les glissements de terrain, éboulements, chutes de pierres ou avalanches, effondrements de surface, sols gonflants et coulées de boue.

Aléa socio-naturelqui est amplifié par l'activité humaine. Certains risques au-delà de leur probabilité naturelle l'homme accélèrent sa fréquence. (Exemple: déboisement du foret, le feu de brousse et la pollution).

Ces aléas peuvent être évités en adoptant une réduction et gestion rationnelle des ressources environnementales.

Aléas hydrométéorologiques : ils'agit des cyclones tropicaux connussous le nom de typhons et ouragans, les orages, lestempêtes de grêle, les tornades, les blizzards, les forteschutes de neige, les avalanches, les ondes de tempêtescôtières, les inondations, la sècheresse, les vagues de chaleur et defroid.

Ils peuventaussi être un facteur dans d'autres risques, lesglissements de terrain, les incendies, les invasions decriquets pèlerins, les épidémies, la dispersion de substances toxiques et d'une éruptionvolcanique.

Alerte rapide

« Ensemble des capacités nécessaires pour produire et diffuser en temps opportunet utile des bulletins d'alerte permettantà des individus, des communautés et des organisations menacées par un danger, de se préparer et d'agir de façon appropriée en temps utile pour réduire le risque de dommage ou de perte »11(*).

Par rapport à notre thème, elle constitue le troisième élément de notre stratégie. En ce sens, si l'alerte est déclenchée au moment opportun, on pourrait épargner plusieurs vies menacées par les catastrophes naturelles.

À notre égard, le système d'alerte est un facteur nécessaire pour assurer une réponse efficace aux avertissements afin d'inclure toutes les étapes allant de la détection des dangers jusqu'à la réponse mise en place au niveau communautaire.

Capacité

« Combinaison de toutes les forces et de tous les moyens disponibles au sein d'une communauté, d'une société ou d'une organisation qui peuvent être utilisées pour atteindre des objectifs fixés »12(*).

La capacité constitue lesinfrastructures, les moyens matériels, les institutions,les moyens humains (la connaissance humaine, les compétences et lesattributs tels que les relations sociales, le leadeurshipet le management) à faire face. La capacité peut également avoirle sens d'aptitude.13(*)

On peut aussi dire que la capacité d'évaluation est unterme pour le processus par lequel la capacité d'ungroupe ou communauté est passée en revue par rapport à des objectifssouhaités, et dont les lacunes sont identifiées pour desactions futures.

Capacité à réagir

« La capacité des personnes, des organisations et des systèmes, en utilisant les compétences et les ressources disponibles, à faire face et à gérer des conditions difficiles, des situations d'urgence ou de catastrophes »14(*).

Cette capacité aexigé de continuerla sensibilisation, bonne gestion des ressources aussi bien en temps normal que durant les crises. Dans notre travail, elle permet encore de faire face et contribuer à la réduction des risques de catastrophe.

Catastrophe

« Une catastrophe est un évènement malheureux d'origine naturelle ou technologique, soudain ou non, qui peut avoir des effets imprévisibles de grande ampleur sur l'environnement, les établissements humains et la santé.

Elle se définit également comme une rupture grave du fonctionnement d'une communauté ou d'un système impliquant d'importants impacts et pertes en vies humaines, matérielles, économiques ou environnementales que la communauté ou le système affecté ne peut surmonter avec ses seules ressources »15(*).

Les catastrophes sont le résultat d'une combinaison entrel'exposition à un danger,vulnérabilitéet l'insuffisance des capacités visant à diminuer ou à faire face aux éventuels effets négatifs. Les catastrophes peuventengendrer des morts, des blessures et maladies.

On peut constater également d'autres effetsnégatifs sur le plan physique, mental et le bienêtre social.On peut constater en plus, que lors du passage d'une catastrophe, des dommages tragiques liés à la propriété, à la destructiondes biens et des bouleversementssocioéconomiques et une dégradation del'environnement.

Donc, une catastrophe est un mal dont nous devrons le débarrasser coute que coute.

Changement climatique

« Le Groupe d'experts intergouvernementalsur l'évolution du climat (GIEC) définit le changement climatique comme : «un changement dans l'état du climat, qui peut être identifié (par exemple en utilisant des tests statistiques) par des changements dans la moyenne et/ou la variabilité de ses propriétés, et qui persiste pendant une période prolongée, généralement pendant des décennies, voire plus. Le changement climatique peut être dû à des processus internes naturels ou à des forçages externes, ou à des changements anthropiques persistants de la composition de l'atmosphère ou dans l'utilisation des terres ».16(*)

La Convention Cadre des Nations Uniessur les changements climatiques (CCNUCC) définit le changement climatique «comme un changement de climat qui est attribué directement ou indirectement à une activité humaine altérant la composition de l'atmosphère mondiale et qui est, en plus dela variabilité naturelle du climat, observé surdes périodes comparables.»17(*)

En ce qui concerne notre thème cette définition peut êtreadaptée en fonction de notre contexte. Celle dela CCNUCC est la définition la plus restreinte, car elle exclut les changements climatiques imputables à des causes naturelles.

La définition du GIEC peut être commentée pour des renseignementsrépanduscomme « Un changement dans le climat qui persiste pendant des décennies ou plus, résultant soit de causes naturelles, soit de l'activité humaine ». Cette dernière nous faitsavoir que l'homme contribue activement aux changements climatiques et nous devons changer nos comportements.

EDUCATION

Selon Emile DURKHEIM « l'éducation est l'action exercée par les générations adultes sur celles qui ne sont pas encore mûres pour la vie sociale. Elle a pour objet de susciter et de développer chez l'enfant un certain nombre d'états physiques, intellectuels et moraux que réclament de lui et la société politique dans son ensemble et le milieu spécial auquel il est particulièrement destiné »

Selon les théoriciens comme T.W.Schultz et G Becker17(*)« l'éducation est un paramètre qui définit la mesure, le poids et l'importance de la ressource humaine dans le processus de production »

Selon l'Encyclopédie Hachette18(*)l'éducation se définit comme « l'action de développer les facultés morales, physique et intellectuels, et comme une connaissance et pratique d'usages (politesse, bonnes manières) de la société, enfin, comme une action de développer une faculté particulière de l'être humain »

Pour l'Etat malgache, l'éducation est définit par la loi 94-03319(*) du 13 mars 1995 portant sur l'orientation générale du système d'éducation et de la formation à Madagascar qui stipule dans son article premier que l'éducation est un droit reconnu à toute personne : enfants, adolescents et adultes. L'article 22 formule sa définition de la manière suivante: « les besoinsd'apprentissage fondamentaux des enfants, des adolescents, et des adultes sont variés, et ilconvient pour les satisfaire de recourir à des systèmes de formation diversifiés : commel'enseignement ou l'éducation formelle».20(*)

Par rapport à notre thème, l'éducation constitue l'élément principal de notre stratégie. Elle est le fondement de toutes sociétés depuis des générations.

Nous affirmons que la société comorienne est construite sur les traditions et la religion musulmane. Ces dernières se fondent sur «  l'universalité de l'éducation ».

En ce sens, notre stratégie s'avère une réussite par le faite que tous lesenfants et adultes de toutes catégories d'âges accepteront la formation même si on compte un nombre important des comoriens sont analphabètes.

Évaluation des risques

C'est une méthodologie qui a pour but de déterminer l'origine et l'ampleur des risques à travers une étudeappelée « risques potentiels » afin d'évaluation les conditions existantes de la vulnérabilité qui pourrait affecter la population et son environnement..

Cette évaluation inclutun examen des spécificités techniques de localisation desdangers (leur intensité, leurfréquence et leur probabilité).

Cette analyse peut toucher l'exposition, la vulnérabilité sociale, les dimensionsphysiques, économiques et environnementales.

Nous pensons que cette étude d'évaluation est efficace, car avant toutes interventions, il faut évaluer des capacitésles réponses alternatives primordiales et les scénarios de risques probables. Cettesérie d'activités est parfois connue comme un processusd'analyse des risques.

Gestion des mesures d'urgence

C'est la manière de gérer des ressources et desresponsabilités afin de traiter toutes les formesde l'urgence surtout en matière de préparation, d'intervention et les premières réactions vers le redressement.

Une situation de crise ou d'urgencenécessite une action urgente.

L'importance des mesures d'urgence permet d'empêcher la survenance d'unévènement vers la catastrophe. La gestion des mesures d'urgence repose sur les plans, les structures et les dispositions établis pour engager les actions normales de tous les acteurs en GRC d'une manière globale et coordonnée afin de répondre aux besoins d'urgence de la population.

La « gestion des catastrophes » est parfois utilisée à la place de « gestion des urgences » constitue, à notre avis, sont des notions que tout le monde doit maitriser.

Gestion des risques de catastrophe

« Processus de recours systématique aux directives, compétences opérationnelles, capacités et organisation administrative pour mettre en oeuvre les politiques, stratégies et capacités de réponse appropriées en vue d'atténuer l'impact des aléas naturels et risques de catastrophes environnementales et technologiques qui leur sont liées »21(*).

Ce terme traite lesinterrogations particulières des risques de catastrophes qui sont évoqués dans ce projet.

La gestion des risques de catastrophes a pourobjectifd'empêcher, d'atténuer voir même de transférer les conséquences néfastes des risques par le moyende plusieurs actions (prévention, d'atténuation et de préparation).

Réduire le risque de catastrophes

La réduction du risque de catastrophes comprend plusieurs formes :

· Réduction de catastrophe : ensemble desmesures prises pour réduire les effets néfastes des dangers naturels (exemple, la plantation de palétuviers pour réduire le risque que présentent les raz de marée ou la sensibilisation aux dangers naturels par le biais de projets d'éducation qui est notre stratégie).

· Alerte précoce : La communication d'informations dans les temps permettant aux personnes de prendre des mesures pour réduire l'impact des dangers. L'alerte précoce concerne généralement plusieurs dangers et nécessite une véritable appropriation et participation des communautés et autrepartieconcernée, comme l'accès à l'information par les personnes locales concernant l'approche d'un typhon ou d'une tempête tropicale.

· Préparation aux catastrophes : Mesures aidant à assurer une intervention en «première ligne» dans les temps et efficace soutenue par les capacités régionales et nationales, des volontaires et des branches des Sociétés nationales, comme les équipes d'action communautaire aidées par la planification d'urgence de la Société nationale et les équipes d'intervention régionale et/ou internationale.

· Rétablissement : Décisions prises et actions posées après une catastrophe en vue de rétablir ou d'améliorer les conditions de vie de la communauté affectée préalables à la catastrophe, tout en favorisant les ajustements nécessaires à la réduction des risques de catastrophes, comme l'évaluation des niveaux de risque à venir lors de la planification de projets de logement à la suite d'une catastrophe.

· Soutien à la subsistance : Projets renforçant ou diversifiant les moyens de subsistance qui permettent aux individus et aux foyers de développer des stratégies pour réduire les risques, par exemple, le jardinage peut améliorer la nutrition et accroitre les réserves pour les périodes de sècheresse.22(*)

La réponse

« La réponse est la fourniture de services d'urgence et de l'assistance publique pendant ou immédiatement après une catastrophe afin de sauver des vies, de réduire les impacts sur la santé, d'assurer la sécurité du public et de répondre aux besoins essentiels de subsistance des personnes touchées »23(*)

Une bonne réponse est le résultat d'une bonne gestion de risques qui est l'objet de notre travail.

Nous pensons que les Comores n'ont pas encore la capacité de se constituer une bonne réponse. La population et les autorités se réfugient dans le fatalisme de « tout ce qui arrive est la volonté de Dieu ». Donc, une éducation de la population à se préparer à une réponse sera meilleure pour tout le monde.

Tremblement de terre.

« Le tremblement de terre se manifeste en surface par des secousses plus ou moins violentes, soudaines, imprévisibles et localisées. Elles sont dues à la rupture des roches en profondeur. Ces secousses peuvent être détectées par un appareil appelé sismographe qui est un outil de surveillance permettant d'avoir des informations sur les séismes.

Le tremblement de terre provient de la rupture de roches en profondeur dans un endroit appelé «foyer». Ces secousses sont ressenties à la surface de la Terre dans un endroit appelé «épicentre». C'est l'endroit où l'intensité du séisme est la plus importante.

Les secousses qui atteignent la surface de la Terre déplacent tous les objets. Par conséquent, elles peuvent provoquer des :


· Destructions des infrastructures : maisons, ponts, routes, ports, aéroports, etc.... ;


· Pertes humaines, animales et matérielles ;


· Raz de marées (tsunamis) dans le cas d'un séisme sous-marin.

Le séisme se forme à l'intérieur de la Terre en un point appelé foyer. Les secousses se manifestent à la surface de la Terre en un point appelé épicentre. Souvent, ils provoquent des pertes humaines, matérielles et environnementales très importantes »24(*).

Le tsunami ou raz-de-marée

« Le tsunami ou raz-de-marée est une vague ou une série de vagues pouvant atteindre 30 mètres de hauteur et qui se propagent vers les côtes. Ce phénomène engendre des vagues meurtrières et destructrices.

Le tsunami se forme à la surface de l'océan. Il peut être dû à :


·Un séisme sous-marin, une éruption volcanique sous-marine, un glissement de terrain sous-marin, des chutes de météorites dans l'océan.

Les vagues ralentissent dans les zones peu profondes des côtes, et prennent rapidement de la hauteur. L'eau de mer peut pénétrer à plusieurs kilomètres à l'intérieur des terres »25(*).

Il est à noter que, avant l'arrivée de la première vague, le tsunami peut provoquer le retrait de la mer près de la côte découvrant les fonds sous-marins.

« Certains tsunamis peuvent être extrêmement violents et destructeurs.Toutes les infrastructures (maisons, digues, routes), toutes les plantes et cultures peuvent sedétruire. Ce dégât n'épargne pas d'enregistrer des pertes d'animaux et humains.« (Exemple le tsunami de 2004 en Indonésie) ».

Vulnérabilité

« L'ensemble de caractéristiques et circonstances d'une communauté ou d'un système qui le rendentsusceptible de subir les effets d'un danger.

Il existe de nombreux aspects de lavulnérabilité, découlant de divers facteurs physiques,sociaux, économiques et environnementaux ».

Il peut s'agir de la mauvaise conceptionet construction de bâtiments, de l'insuffisance de laprotection de l'actif, du manque d'information dupublic et de sa sensibilisation, de la reconnaissanceofficielle de limiter les risques et des mesures depréparation, ou du mépris de sage gestion del'environnement.

La vulnérabilité varie sensiblementau sein d'une communauté et dans le temps et suivant la position géographique.

Volcan

« Le volcan est le résultat d'une ouverture terrestre ou marine permettant aux matériaux profonds chauds (magma) d'apparaitre en surface. Ce phénomène s'appelle éruption volcanique ». Les éruptions volcaniques engendrent des laves, des gaz, des cendres, des bombes volcaniques, des blocs de pierre...

Le volcan Karthala comme tous autres volcans présentent deux périodes. Une période de repos, lorsqu'on n'observe aucune activité volcanique quelconque et une période éruptive lors qu'on constate de signe de coulée de lave, de la fumée, ou de la cendre....

Le volcan est la principale menace de notre pays surtout en grande-Comores où le Karthala menace la quasi-totalité de la population. Dans notre projet de thèse, cet aléa a Prit une place importante dans toutes les phases de GRC.

Nous pouvons dire avec certitude que la maitrise du volcan Karthala nous réduira considérablement les risques et vulnérabilités qui pèsent sur notre population.

* 8UNFCCC

* 9 https://www.facebook.com/ACHDJIBOUTI/posts/513476605355012, consulté en aout 2014

* 102009, UNISDR, Terminologie pour la Prévention des risques de catastrophe

* 11Décret n°2012-988 du 10 octobre 2012 portant création, attributions, organisation et fonctionnement de la Plateforme nationale de Réduction des Risques et de Gestion des Catastrophes, consulté novembre 2014

* 12 www.preventionweb.net/.../2909_ochadisasterpreparednesseffectivere.pd, consulté en septembre 2014.

* 13 www.unisdr.org/files/20108_mhbfrweb

* 14 issuu.com/cprundprsclac/docs/cgrr_francais

juin 2014

* 15Décret n°2012-988 du 10 octobre 2012 portant création, attributions, organisation et fonctionnement de la Plateforme nationale de Réduction des Risques et de catastrophe, article 02. Consulté en septembre 2014

* 16 www.ipcc.ch/home_languages_main_french.shtm

* 17 Becker G. S «Human Capital», Colombia University press, for the National Bureau of Economic Research, New York, 1964.

* 18Encyclopédique 2001.

* 19Etat malgache, loi 94-033 du 13 mars 1995, M.E.N.R.S.

* 20E, DURKHEIM, « Education et sociologie », Chicoutimi, Québec, 1922, p 8.

* 21 www.irma-grenoble.com, consulté en septembre 2014

* 22Fédération internationale des sociétés de la croix rouge et du croissant rouge

* 23Décret n°2012-988 du 10 octobre 2012 portant création, attributions, organisation et fonctionnement de la Plateforme Nationale de Réduction des Risques et de Gestion des Catastrophes, Madagascar, 7 p. consulté en septembre 2014

* 24CROISSANT ROUGE COMORIEN, « Mieux connaitre les risques de catastrophes naturelles pour se protéger, éducation à la gestion de risques de catastrophes », Moroni, 56 p

* 25

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