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Etude comparée des stratégies de lutte anti-braconnage dans le parc national et la réserve nationale. Cas du PNKB et de la RNT

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par Muzalami Kakule Dalmon
Université de Kasuo -  2007
  

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I.3.3. Conservation des espèces végétales en RDC

I.3.3.1.Conservation in situ

La conservation in situ des espèces végétales est faite à travers la mise en place d'aires protégées qui se présentent sous différentes formes, à savoir : parcs nationaux, réserves de la biosphère, réserves forestières, domaines de chasse, réserves de faune, réserves intégrales et les réserves naturelles.

Toutes les aires protégées, a quelques exceptions près, n'ont pas faits l'objet des travaux d'inventaire floristique quantitatif et qualitatif. Toutefois, l'on connaît sommairement pour la majorité d'entre elles les principaux types de végétation qu'elles renferment et dont elles sont censés assurer la conservation in situ. Jusqu'à présent, seul les parcs nationaux de Virunga, de la Garamba et de Kahuzi-Biega ont connu des travaux de protection botanique pour caractériser leurs végétations. C'est ainsi que les travaux de ROBYNS (1948) dans le parc national des Virunga ont permis d'inventorier une famille et une espèce d e Gymnospermes ainsi 145 familles et 2212 espèces d'Angiospermes. Comme on peut le constater, ces parcs présentent une grande richesse floristique due incostablement à deux causes principales : la grande diversité des biotopes naturelles et la position géographique, à la limite de deux provinces phytogéographies, à savoir la province guinéenne et la province orientale.

D'après les travaux de TROUPIN (1956), le parc national de la Garamba, située à la limite des domaines biogéographiques soudanais et guinéens, présente un caractère particulier. En effet, il comprend d'immenses savanes Soudanaises qui s'étendent à perte de vue et des galeries forestières guinéennes.

Pour ce qui concerne le parc national de Kahuzi-Biega, sa composition floristique a été connue à partir des travaux de MAHLENBERG SLOWIK et STEUHAUER (1994). Ainsi, on y trouve donc la foret ombrophile équatoriale qui constitue le type de végétation le plus dominant et qui occupe également la plus grande partie du parc. Ensuite, viennent ombrophiles de montagne, les forets marécageuses, les forets de bambous et les forets secondaires de montagne.

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