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Contribution à  la stratégie de relance de la filière café robusta dans la province de la Tshopo: cas des territoires de Bafwasende et Ubundu


par Jonathan BACHISEZE MAGALA
Institut Facultaire des Sciences Agronomiques de Yangambi - Ingénieur Agronome, Orientation Economie Agricole 2022
  

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ABSTRACT

Coffee « green gold » was a heavyweight in the Congolese economy and represented between 10 to 15% of the national GDP around the 1980s. As a result of both, intrinsic and extrinsic causes, coffee production and exports have slipped into decline up to less than 1% of national GDP in 2022. However, many causes have already been lifted and the promotion of sustainable development is gaining momentum. It is within this framework that this study was conducted with the aim of contributing to the recovery strategy of the coffee sector, in the province of Tshopo through Bafwasende and Ubundu territories.

At the end of an empirical approach including complementary techniques, the functional and financial analyses of the coffee sector were approached. The SWOT matrix was presented and exploited to bring out strategic options. The functional analysis shows the disorganization of the sector at all levels causing very low production and zero competitiveness of the products. The financial analysis shows that the sector is profitable for all the actors with an unequal distribution of the added value. Improving yields, processing processes and marketing channels are the challenges to overcome. Another major challenge is cultural in the way that that the populations of these territories do not make agriculture their priority.

The coffee sector shows good development prospects in the area under examination. Its revival can result in an obvious socio-economic impact and with less damage to the environment. The trilogy: popularising the benefits of coffee starting with opinion leaders, structuring farmers from the bottom up, and human-equipment investment, is the touchstone of the proposed strategy.

These results are a pocket reference for all entrepreneurs wanting to invest in the coffee sector in Tshopo and also for designers, developers and donors of development projects.

Keywords: Coffee, Strategy, Sector, Sustainable recovery and Human investment.

vii

TABLE DES MATIERES

EPIGRAPHE ii

DEDICACE iii

REMERCIEMENTS iv

RESUME vi

ABSTRACT vi

TABLE DES MATIERES vii

SIGLES ET ABREVIATIONS ix

LISTE DES TABLEAUX x

LISTE DES FIGURES x

0. INTRODUCTION 1

0.1. Etat de la question 2

0.2. Problématique 3

0.3. Les hypothèses 4

0.4. Les objectifs 5

0.5. Intérêt de l'étude 5

0.6. Cadre du travail 5

0.7. Subdivision du travail 5

CHAPITRE I. CADRE CONCEPTUEL 6

1.1. COMPRENDRE LE CAFE ET LA CEFEICULTURE 6

1.2. COMMERCE DU CAFE ET SON PARADOXE 9

1.3. LES FILIERES AGRICOLES 10

CHAPITRE II. MILIEU ET METHODE 13

2.1. MILIEU D'ETUDE 13

2.2. MATERIELS 14

2.3. METHODE 15

2.3.1. Techniques de récolte de données 15

2.3.2. Méthode de récolte des données 16

CHAPITRE III. PRESENTATION ET INTERPRETATION DES RESULTATS 23

3.1. Analyse fonctionnelle de la filière café 23

3.1.1. Description des acteurs de la filière 23

3.1.2. Délimitation des contours de la filière. 30

3.1.3. Graphe de la filière café 31

3.1.4. Formation des prix et stratégie des acteurs 32

3.1.5. Coordination des acteurs et cadre réglementaire. 34

3.2. Analyse financière de la filière 35

viii

3.2.1. Analyse de la viabilité financière de la filière sur les acteurs 35

3.2.2. La consolidation des CPE 35

3.3. Présentation de la matrice AFOM 37

3.4. Formulation des actions stratégiques 38

3.4.1. Couplage de la matrice AFOM 38

3.4.2. Formulation des axes stratégiques 39

CHAPITRE IV. DISCUSSION DES RESULTATS 40

4.1. Analyse fonctionnelle de la filière 40

4.2. Analyse financière de la filière 42

4.3. L'analyse par matrice AFOM 44

4.4. Formulation des axes stratégiques 45

CONCLUSION GENERALE ET SUGGESTIONS 46

BIBLIOGRAPHIE 48

ANNEXE

ix

SIGLES ET ABREVIATIONS

AFD AFOM ANAPI CDF CPE FAO GDP ICO INERA INS

JBM OCC ODD OIC ONAPAC PIB PNUD RBE RNE SNCC SWOT ULB VA ERAIFT

Agence Française de Développement

Atouts Forces Opportunités Menaces

Agence National pour la Promotion des Investissements

Congolese Democratic Franc

Compte Production Exploitation

Food and Agriculture Organisation

Gross Domestic Product

International Coffee Organisation

Institut National pour l'Etude et la Recherche Agronomiques

Institut National des Statistiques

Jardin Botanique de Meise

Office Congolais de Contrôle

Objectifs de Développement Durable

Organisation Internationale du Café

Office National des Produits Agricoles du Congo

Produit Intérieur Brut

Programmes des Nations Unies pour le Développement

Résultat Brut d'Exploitation

Résultat Net d'Exploitation

Société Nationale de Chemin de fer du Congo

Strenghts Weaknesses Opportunities Threats

Université Libre de Bruxelles

Valeur Ajoutée

Ecole Régionale postuniversitaire d'Aménagement et de Gestion

Intégrés des Forêts et territoires

x

LISTE DES TABLEAUX

Tableau 1. Principales différences entre les variétés robusta et arabica 7

Tableau 2. Compte de Production 11

Tableau 3. Compte d'Exploitation 12

Tableau 4 : Prototype d'un CPE 18

Tableau 5. Profil sommaire des principaux acteurs de la filière café 23

Tableau 6. Types de commerçants grossistes 26

Tableau 7. Types de commerçants Revendeurs 27

Tableau 8. Types de transformateurs 28

Tableau 9 : Délimitation des contours de la filière 30

Tableau 10. Variation annuelle des prix de café 32

Tableau 11 : Compte Consolidé de la filière café 35

Tableau 12 : Présentation de la matrice AFOM 37

Tableau 13 : Couplage de base de la matrice AFOM 38

Tableau 14 : Les axes stratégiques pour la relance de la filière café 39

Tableau 15 : Comparaison des RNE mensuels des acteurs filières café, Riz et Pêche 43

LISTE DES FIGURES

Figure 1 : Les grands producteurs du café et leurs géo positions 8

Figure 2 : Le déséquilibre du marché mondial du café de 1998/99 à 2002/03 9

Figure 3 : Carte de la Province de la Tshopo et ses territoires 13

Figure 4 : Cadre méthodologique 15

Figure 5 : Analyse par matrice AFOM 19

Figure 6 : Analyse croisée de la matrice AFOM 20

Figure 7. Brainstorming pour la formulation des axes stratégiques (UNIL, 2018) 21

Figure 8 : Eléments liés aux facteurs de production 24

Figure 9 : Répartition des producteurs selon la fréquence annuelle d'entretien 24

Figure 10 : Eléments liés à la Production et Vente 25

Figure 11 : Répartition des commerçants grossistes 26

Figure 12 : Répartition des commerçants revendeurs 27

Figure 13 : Répartition des transformateurs 28

Figure 14 : Etapes de transformation du café : Opération, moyens, produits et perte 29

Figure 15 : Description de la filière café en territoires de Bafwasende et Ubundu. 31

Figure 16 : Répartition de la valeur ajoutée entre les acteurs 36

1

0. INTRODUCTION

La République Démocratique du Congo est l'un des rares pays africains qui ont le potentiel de devenir un véritable grenier à grain (Lebailly et al., 2014). Ce géant au coeur de l'Afrique centrale regorge d'importantes ressources dans tout secteur économique (ANAPI, 2019).

Après plus de six décennies d'indépendance, la RDC figure parmi les pays les plus pauvres du monde et son tissu macroéconomique ne cesse de se détériorer. L'indice de développement humain qui est l'indicateur du niveau de vie est de 0,45 positionnant le pays à la 179e place sur 189 pays considérés (Pourtier, 2018 ; PNUD, 2020).

Cet état résulte de nombreux facteurs parmi lesquels nous notons le sabotage volontaire du secteur agricole par la classe dirigeante. En effet, les représentants gouvernementaux ne sont pas parvenus à mettre en place d'importants changements structurels qui puissent conférer à l'agriculture son pouvoir multiplicateur et accélérateur du processus de développement. A ce stade, la relance du secteur agricole s'impose en leitmotiv pour tous les acteurs qui rêvent d'un Congo fort et émergent. Un intérêt aussi particulier est requis pour les cultures pérennes ou industrielles qui sont des investissements durables aux fonctions économiques, financières, écologiques et sociales non négligeables (Ibandan, 2021).

Le café « Or vert » est la première culture pérenne échangée dans le monde et contribue substantiellement à booster les économies des pays (Wintgens, 2004). En RDC, après le secteur des mines, le café a été le fer de lance de l'économie et contribuait au PIB à hauteur de 15% (Baeumlin, 2013) dans les années 1980-1990. A nos jours, la contribution du café au PIB national est estimée à 1% (INS, 2021). Il est rationnel de déduire que l'effondrement de la caféiculture a précipité nombreux congolais dans la pauvreté. Réversiblement, la relance de la caféiculture se solderait par un impact socio-économique évident.

A l'heure où le pays est en quête d'une bonne stratégie de promotion et d'autonomisation des agriculteurs et de leurs économies, il nous est question dans cette étude de faire un état de lieux de la filière café et de formuler des options stratégiques de sa relance dans la Province de la Tshopo, à travers les territoires de Ubundu et de Bafwasende.

2

0.1.Etat de la question

Dans la province de la Tshopo, rare sont les études de viabilité scientifique qui ont abordé la problématique de la relance de la filière café.

La fondation Konrad Adenauer (2017) avait initié dans le cadre du projet Un seul monde sans faim, des études filières, malheureusement limitées à la pêche et au riz dans la Tshopo. Dans notre discussion, nous avons tenté de balancer la viabilité microéconomique de chacune de ces filières à celle de café.

Dans le Kongo Central, Manfroy (2021) a analysé la chaine de valeur café dans la réserve de Biosphère de Luki par la méthode Value Chain Analysis for Development(VCA4D). A l'issu de ses analyses, elle conclut que la filière café est rentable pour tous les acteurs de la chaine et qu'elle peut avoir d'impacts au niveau provincial. Aussi, elle montra que le développement de cette chaine de valeur pourrait avoir des effets positifs sur l'environnement, notamment sur la réduction de la déforestation.

Dans le Kwango, c'est la conclusion du chapitre 5 de Ibanda (2021) qui nous intéresse. Il a abordé le développement agricole et pastoral en RDC. Pour relancer les cultures pérennes, il estime qu'il est nécessaire que les agriculteurs adoptent la polyculture, mais également que l'Etat soutienne les exploitants agricoles par des incitations fiscales, douanières et en investissant dans les infrastructures routières.

A l'échelle nationale, c'est depuis 2011 que la RDC, au travers son ministère de l'agriculture, a formulé sa stratégie de relance de la filière café autour d'une vision : améliorer les performances de la filière Café sur toute la chaîne de valeur et créer des richesses en milieu rural à travers une caféiculture professionnalisée et compétitive. La grande province orientale était ciblée mais non la province de la Tshopo, district de la Tshopo à l'époque. Estimée à 100 millions de dollars et formulée par diagnostic participatif, cette stratégie, comme beaucoup des projets du gouvernement congolais, est restée sans follow-up.

La présente étude, réalisée dans le cadre du projet Coffeebridge, s'inscrit dans l'idée de relancer la caféiculture dans la Province de la Tshopo par le secteur privé. Une relance efficace, efficiente et durable étant l'objectif, l'étude commence par comprendre l'état actuel de la filière, dresse la matrice AFOM et l'analyse. Finalement, elle formule des actions stratégiques en concert avec les Objectifs de Développement Durable (ODD).

3

0.2.Problématique

L'agriculture est depuis les temps anciens une source de nourriture et des revenus pour plusieurs ménages dans le monde. Elle reste donc le facteur déterminant pour une croissance économique inclusive des nations (ANAPI, 2019).

Dans toutes leurs diversités, les cultures exploitées en agriculture se classent en trois grandes catégories : les cultures vivrières, maraichères et pérennes. Ces dernières se caractérisent par des plantations fixes et stables qui riment avec les objectifs du développement durable (Ibandan,2021). Par ailleurs, ces cultures sont beaucoup échangées sur le marché international et procurent des retours financiers substantiels aux exploitants agricoles et améliorent les réserves de changes des pays (Wintgens, 2004). Parmi les cultures pérennes, la culture du café démontre un potentiel économique et social très pertinent. En effet, le café représente 4% du commerce mondial des produits alimentaires, c'est la première denrée agricole et la deuxième marchandise échangée dans le monde après le pétrole et avant le blé (Chatel et al.,2016).

Les pays africains représentaient 30% des exportations mondiales de café vers les années 1970 et seulement 11% en 2010. En RDC, dans les années 1980, le café était le deuxième produit d'exportation après le cuivre et représentait jusqu'à 15 % de la valeur des exportations totales du pays, soit 75% des exportations du secteur agricole (Baeumlin, 2013). Les grands bassins de productions étaient les régions de Nord et Sud Kivu, Oriental, Equateur, Bandundu et Bas Congo (Ibandan, 2021). En 2021-2022, la production caféière est évaluée à 250000 kg, soit une contribution de moins de 1% dans le PIB du Pays (INS, 2021).

Les causes déterminantes de cette chute « vertigineuse » sont la tracheomychose, les conflits armés, la défectuosité des routes agricoles et la baisse des cours mondiaux. Les principales causes conjoncturelles y afférentes sont la faiblesse des mécanismes de financement agricole (cas pour l'ONAPAC) et le mauvais entretien des plantations (Rubabura et al., 2015). Cet effondrement du secteur café a conduit à coup sûr à la vulnérabilité des communautés locales et au développement de la pauvreté sous ses formes (Kang et al., 2009).

Ces dernières années sont marquées par la mise au point des variétés résistantes à la tracheomycose, le rétablissement du calme dans certains grands bassins de production et la hausse continue de la consommation mondiale à hauteur de 2,5% l'année (Tegera et al.,2014). La RDC, le pôle de certains meilleurs cafés du monde, devrait revitaliser sa caféiculture, un des moteurs de développement rural (Dubé, 2012).

4

Un autre élément très déterminant est le changement climatique. Laderach et al., (2008) estiment que les hausses généralisées des températures vont restreindre les zones favorables à l'arabicaculture.

La Province de la Tshopo, bénie par son climat écologique, ses vastes superficies et sa position géostratégique, offre des conditions favorables pour la relance effective de la filière café robusta. Le territoire de Bafwasende est le plus vaste de la province de la Tshopo. Il fut l'un de bassin de production de café Robusta dans la Tshopo avec une production comprise entre 50 à 200T (Baeumlin,2013). Le territoire de Ubundu, voisin, est le deuxième plus vaste de la province de la Tshopo (Omasombo et al., 2017). En plus de leurs vastes étendues, les bonnes possibilités d'exportations offrent à ces deux territoires des avantages non négligeables. Dans cette étude, nous nous sommes posés la question de savoir s'il y a encore des incitants économiques ou organisationnels pour la filière café dans les territoires de Bafwasende et Ubundu. Telle est la principale question de cette étude.

Il en dérive 4 questions spécifiques :

1. Quel est l'état actuel de la filière café dans les zones d'étude ?

2. Quel est l'impact financier de la filière café sur les parties prenantes ?

3. Y-a-il des bonnes perspectives de développement de cette filière dans ces territoires ?

4. Quelles sont les actions stratégiques pour relancer et assurer la durabilité de la filière café dans la province de la Tshopo

0.3.Les hypothèses

L'hypothèse centrale postule que dans les territoires de Bafwasende et Ubundu, il ya d'incitants économiques et non organisationnels pour la filière café.

Plus spécifiquement :

1. Dans la zone d'étude, la filière café est dans un état d'abandon. Les productions sont faibles, les techniques utilisées sont rudimentaires, les acteurs ne sont pas organisés et ne bénéficient d'aucun soutien public ou privé ;

2. L'impact financier de la filière est positif sur les parties prenantes ;

3. Il y a de bonnes perspectives de développement de la filière café dans ces territoires. La somme atouts -opportunités absorbe celle de faiblesses-menaces ;

4. Les actions stratégiques pour relancer et assurer la durabilité de la filière café sont d'ordres technico-financiers, organisationnels et institutionnels en concert avec les Objectifs de Développement Durables (ODD).

5

0.4.Les objectifs

L'objectif principal de cette recherche est de contribuer à la stratégie de relance de la filière café dans la province de la Tshopo à partir des territoires de Bafwasende et de Ubundu. Plus spécifiquement il sera question de :

1. Procéder à une analyse fonctionnelle de la filière ;

2. Procéder à une analyse financière de la filière ;

3. Présenter une analyse basée sur la matrice AFOM de la filière ;

4. Formuler des actions stratégiques pour relancer et assurer la durabilité de la filière café en concert avec les Objectifs de Développement Durables (ODD).

0.5.Intérêt de l'étude

Sur le plan scientifique, cette recherche est une contribution à l'analyse des filières agricoles et des marchés en général. En cette période où le pays est en crise de politique agricole, les données collectées et les résultats de cette recherche sont une littérature de plus pour éclairer la réalité et inspirer les chercheurs ultérieurs.

Sur le plan socio-économique, les résultats de cette étude constituent un véritable outil de décision. Ils ouvrent des pistes nouvelles aux développeurs et entrepreneurs pour passer à l'action, élaborer et exécuter des projets de revitalisation de la caféiculture.

0.6.Cadre du travail

La présente étude est réalisée dans la Province de la Tshopo, principalement dans le territoire de Bafwasende et Ubundu. L'étude est menée dans le cadre du projet Coffeebridge coordonné par le JBM (Jardin Botanique de Meise) et appuyé par nombreux partenaires : INERA (Institut National pour l'Etude et la Recherche Agronomiques), ERAIFT (Ecole Régionale post universitaire d'Aménagement et de gestion Intégrés des Forêts), ULB (Université Libre de Bruxelles, ...). Le projet est multidisciplinaire et vise à soutenir les agriculteurs du café robusta par des études qui vont alimenter la prise de décision à la fois au niveau des décideurs que des agriculteurs.

0.7.Subdivision du travail

De surcroit l'introduction, le travail est subdivisé en quatre chapitres : le premier aborde le cadre conceptuel, le deuxième décrit le matériel et méthode, le troisième présente et interprète les résultats et le quatrième discute les résultats. Une conclusion et plusieurs suggestions bouclent cette recherche.

6

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