Conclusion
partielle
Ce premier chapitre est la partie lumineuse de ce
travail. Il a permis de poser les cadres de compréhension du sujet qui
occasionne cette étude, cadres qui ont fait objet d'une économie
dans les liminaires. Subdivisée en trois sections, chacune d'elle avait
pour ambition d'éluder la démarche de cette étude.
Dans la première section, consacrée
à la clarification conceptuelle, nous avons défini les termes qui
apparaissent dans notre sujet de manière, mais aussi indirecte. Une
étape importante, car il permet de comprendre l'intitulé du
travail et de le situer dans des champs théoriques. Cette partie a
joué un rôle crucial pour justifier les perspectives
théoriques. En traçant ainsi un chemin logique, entre le discours
politique, journalistique et les pratiques langagières qui ont soutenu
le sens donné au concept clé de cette étude ; la
fabrique sociolinguistique.
Dans la deuxième, nous avons inscrit cette
conceptuelle dans nos perspectives théoriques. En effet chaque niveau
d'appréhension conceptuelle sous-entendait une ou deux approches
théoriques. Les approches exposées convergent, et se situent dans
une interdisciplinarité interne, en ce sens où la science du
langage se décline dans plusieurs domaines à l'instar de la
sémiolinguistique qui met ensemble la science de la langue, la science
de signe et celle de l'information et de la communication.
Dans la troisième section, nous avons
exposé la méthodologie essentiellement qualitative, qui sera
mise en pratique pour étudier notre problème.
DEUXIÈME
CHAPITRE : DE LA SITUATION SOCIOLINGUISTIQUE AU TERRAIN DE RECHERCHE
Le deuxième chapitre de notre travail a deux
points. Le premier point traite de la langue française, principalement
à Kinshasa. Dans celui-ci nous faisons une brève
présentation de la situation du français à Kinshasa, car
celle-ci se retrouve au coeur de notre travail. Le deuxième point
consiste à présenter le terrain d'analyse. Nous
présenterons au premier plan les médias pure players desquels les
journalistes sont nos interviewés et dans le second plan, nous
présenterons le corpus de notre travail qui doit être soumis
à l'analyse textuelle.
II. 1. Situation
sociolinguistique à Kinshasa
Ce point est important, car il traite du
français ; le sujet qui réunit tous les domaines
cités dans ce travail. Il ne s'agit pas de centraliser l'attention
autour de celui-ci, il s'agit plutôt de présenter la situation
linguistique du français, car de lui, nous tirons les 10 mots
présents dans le corpus fini de l'analyse textuel, mais aussi parce
qu'il s'agit de la langue qui retrouvée dans le discours journalistique.
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