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Paule Bellonie du Chaillu

( Télécharger le fichier original )
par Simplice OKOYE ELINGOU
Université Omar Bongo du Gabon - Maîtrise 2007
  

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Section 2. Issala actuel et son peuplement

Si dans sa forme, Issala n'a plus le même respect que par le passé, il a tout de même gardé sa structure ancienne. En effet, « en forêt, le village a une forme typique à peu près immuable. Il se compose de deux rangées de cases accolées, laissant entre elles une

rue de longueur variable. Au milieu de cette rue, de distance en distance, sont échelonnées des cases ».12 L'implantation d'un village révèle les critères traditionnels pertinents pour le choix d'un site. Ceux-ci sont parfois associés au potentiel du gibier et des récoltes notamment la position du soleil, les points d'eau, la morphologie et le degré de fertilité des terres environnantes, et/ou l'orientation des vents. En effet, Issala est un petit village issu d'un processus de déplacement que la mémoire collective fait remonter à la nuit des temps. Village de forêt construit le long d'une piste devenue route administrative, il connaît son emplacement actuel depuis le début des années 1950 (cf. carte 2). Mais d'où vient ce village et comment est il arrivé à l'emplacement actuel.

Carte n°2 - Une partie de la carte explicative de l'itinéraire suivi par du Chaillu

(1865, Annie Merlet)

Jadis, tous les villages traversés par du Chaillu se situaient à la rive gauche de la Wano, à savoir : Niembou, Mongon, Nembu Olomba, mont Biroughou, Mubana, rivière Mbembo, la région de Mouaou, jusqu'au Mouaou Komb'. Mais près de cent cinquante après notre explorateur, tous les villages se trouvent déplacés et regroupés aussi bien à Issale, Marembo, que à Mayani, c'est-à-dire à la rive droite de la Wano. Ce « cours d'eau est parallèle à une dizaine de kilomètres au nord-nord-est de la route Mbigou-Lébamba)13. C'est donc à partir de cette route empruntée que nous avons pu mener nos recherches. Même si Issala qui étant notre village cible, nous devrions préciser qu'il nous importait de

12 Maiguan 1912, cité par Poutier, 1989..

13 Jean-Pierre Gautier (1) Raymond Mayer (2) « Sur les traces de Du Chaillu », Rapport Général des missions effectuées au Gabon en 2004 :(1) 17 juillet au 9 août au sud (2) 15 au 19 octobre au Nord.

recueillir les informations depuis Makongonio (village nzèbi), avant d'atteindre Issala et Marembo (villages massango).

En fait, à la suite de la politique de regroupement des villages initiés vers les années 1957 par les pouvoirs publics, les populations des anciens villages masango cités ci haut, établies à la rive gauche de la Wano, ont été drainés sur la route nouvellement crée de Lébamba-Mbigou (1950). D'où leur implantation à la rive droite, notamment à Issala actuel. Par ailleurs, la connaissance des clans orientés à plusieurs générations nous permet de vérifier la généalogie du peuple d'une part, et sur les échanges matrimoniaux d'autre part. Il nous importe, à cet effet, de relever les villages d'origine des peuples enquêtés, afin de voir la mobilité et le mode d'emplacement de ces mêmes populations au village actuel. Les différents villages implantés ici seraient assurément des quartiers de ce regroupement. (Voir croquis page XXX)

Photo 1 - Le village Issala (sens Lébamba-Mbingou)

Cliché Ockoy Elingou Simplice, samedi 01/04/2006

Cette photo nous présente l'entré du village lorsque nous sommes en provenance de Lébamba. En dépit de la petite bretelle de gauche qui compte quelques maisons dont nous ne voyons malheureusement pas sur cette vue. Le village est disproportionné. De part et d'autre de l'axe principal, tout le coté droit du village est quasiment inhabitée au 3/4. Cette situation justifie les propos de notre informateur1 notamment dans la séquence 8. Selon notre photo, c'est essentiellement la partie de gauche qui fait le village. C'est à dire le côté droit si l'on revient de Mbigou. La bouteille de vin que nous apercevons sur notre photo est le vin de palme d'en haut : très prisé par les consommateurs en raison de son goût

délicieux « du nectar » récolté sur les géants palmiers que nous apercevons derrière les cases et de part et d'autre de la route. « La grande quantité de palmiers qui se trouvent dans le village et aux alentours fournit en abondance des provisions de leur breuvage favori ».14 La maison en terre battue qui porte la cloche est une ancienne église catholique. Beaucoup plus loin à gauche on y perçoit notre informateur 5 débout devant son habitation.

Au regard des informations collectées, ce village serait le premier village d'une grande famille du clan sima. En effet, comme la plus part des villages regroupés, Issala est dans sa majorité mono-clanique, même si sa constitution pratique et homogène obéit à un structuration en fonction de clan et lignage existant de nos jours. Les informateurs expliquent la manière dont le rapprochement s'est effectué dans le temps : voir récit 5 de Divaku Marcel.

Il se compose de quatre séquences. « Ici il y a plusieurs villages regroupés; ne suis pas le fait qu'il soit petit. Ce sont les maladies et la mort qui le dépeuple. Normalement il y a : Ghiamb', Nyamb', Siamb' (jadis situé le route ancienne), Mughibe, Ipungu, Ibémbu, Ditadi, Massike (originaire de Moughiama), Utavu, Mubana, Nyembu, Idembe, Dighamba, Divungu, Ighiaki, Mbayi, Ndènga. Certains qui se situaient en amont de la Wano sont allés du côté de Mimongo, et d'autre par contre, ont rejoint Mayani. C'est le cas de Dighamba et Mouaou ».

En plus des autochtones, le village connaît actuellement un métissage ethnique, notamment avec l'arrivée des Banzebi. Ce village ne connaît plus de conflits interethniques comme par le passé. Les entretiens réalisés à Libreville et au village Idoumi, près de Mouila, nous ont fournis très peu d'information en rapport avec le village. On peut noter la ressemblance entre les deux populations. Notamment, au niveau des bribes d'information concernant l'explorateur, ainsi que les pratiques sociales qui ont subi l'influence occidentale.

14 Paul du Chaillu, Afrique sauvage, Libreville, LUTO, 2002, 411 p.

Récit 1 - Patrice Ikia, agriculteur, (né vers 1920, village d'origine Mughiba, clan : Sima ; clan du père : Dzobu ;). Notre informateur nous a donné les raisons de leur regroupement dans ce village, leur origine et la position de ce village par rapport au fleuve Wano.

1. ghu koke bilime bibeyi, bibambu bi rughe ghughe, n' tombe yawu ma ndughe ma mimbu ma kale ; ne mikogu birughe n' mubane. Ne mugni ma yambile-yu ke gha ma yambil '-me mupere n' batu bandi. va bilgue va kale, mimbe metu ma bilgue ghu maghietu ma wonu.

2. di kiessi di bavighe, bibambe bi bok'gue n' salis 'gue manetu k' time na rond 'le yawu. batu ba yende ke dimubu. ba babilgue n' megua, ba sale nawu mu papegue yawu mu ipoyu motsu mu gnale bibambe. time balab 'gue k 'di ve !

1. Il y a deux ans que les Blancs sont venus ici pour chercher les noms des villages et du mont Birughu. Je vais te répéter la même chose que j'aie eue à dire au prêtre Luc et ses amis. A cette époque, nos villages étaient situés sur la rive gauche de la Wano.

2. Pendant la Traite négrière, les Noirs étaient toujours maltraités, déportés à jamais. Ceux qui avaient la chance de rester étaient soumis aux travaux forcés. Certains hommes braves et robustes étaient des compagnons des Blancs. Ils portaient les Blancs en ?tipoye?.

3. wussi mossi, n' va bibambe r' ghu sado di bavighe. dine do dimavù, ba sake do papu batu mu bipoyu. bibambu baghu boguegue kok' malotù. di ghu vioghegue mu mibambùo! siss mwan mayambile-yu k' tim ' paghe; badzile bane ba buke ke n 'mioghu.

4. bighe, di labu koke ibambe issuss n rughe ghu dimbu. ba tsitse r' messier cinq heure (5h). yandi n 'va re di tse buss di bipoyu ; kaghu palanu n' mimbu rugunu mimbu mu mimbambe mu ghu ke viogh 'gue lotu tsufu yotsu mu sumbiss bivave.

3. À l'abolition de la Traite des Noirs, les Blancs ne devraient plus être portés, mais transportés en voiture sur les routes creusées par les mains de nos aïeux. On ne peut mesurer l'ampleur de cette souffrance aujourd'hui. Mais c'était dur, mon fils.

4. Quelques années plus tard, nous avons reçu un nouveau Blanc appelé, Monsieur Cinq heures. Comme il devrait toujours faire le tour des villages pour ses activités, et que la route ne passant pas par tous les villages, Monsieur 5 heures ordonna aux populations de venir s'installer aux abords de la route où existaient déjà certains villages.

5. mimbu motso, ibandu ghu mokogugnu, kuangue n' mbighu, yetu n ' pasne. bane bayende ghu mayani, bamussi ba sale ghughe ghu issale. kant 'etu nde ivindzi : ghu fuale nde «remplasse ». nde ndughe mambe. kaghu saghe batu ba pass yetu mimbu ; nde yetu bene, saghe mutuo.

5. De Makongonio à Mbigou, les villages se sont donc divisés. Certains sont allés vers Mayani, et d'autres comme les notre sont restés ici. Notre canton s'appelle Ivindzi, ce qui veut dire Remplacé ; c'est également le nom d'une rivière. Donc la division de nos villages ne s'est pas faite sous l'influence de qui que se soit, mais sur la base de la proximité des villages anciens.

Ce récit comporte cinq séquences ; la toute première n'est qu'un rappel sur l'objet de notre mission afin de nous fixer les idées. Il a tenu à le souligner pour montrer qu'il n'a pas oublié notre visite avec le professeur Mayer en 2004. Le récit proprement dit commence avec la seconde séquence ; dans laquelle notre informateur se plait à nous donner quelques évènements ayant marqué l'histoire des peuples noirs .c'est-à-dire la traite négrière C'est dans la troisième séquence qu'il souligne la fin de la pratique du tipoye et l'arrivée de la voiture. Dans les séquences quatre et cinq, il aborde la façon claire les raisons de leur implantation à Issala

Par ce récit, nous nous rendons finalement compte qu'en dépit des raison avancées dans le premier corpus, il y a également des faits non moins négligeables ayant fortement contribué à la délocalisation des populations : la délocalisation.

Récit 2 - Marcel Divaku, agriculteur, (ignore sa date de naissance ; village d'origine : Mughiba ; clan : Ndzobo ; clan du père : Bukombo). Avec lui, nous avons recueilli les informations sur les différents noms des villages regroupés à Issala, ainsi que de la praticabilité ou non de ses zones et de l'existence du mont Birughu.

1. mwanami mas yabe di bène yémù bibandu. kaghù ma sake yambile yu ma mambili. inde mwanami, itse relme mussingui ghu pungù ke mu diabu dide, kaghu ma sake do ghabus yu nane. issale yiye nde dimbu di massangù n' vi. matass bassuss betsi ba ma yambile yu.

1. Mon petit, je ne sais pas pourquoi vous les blancs vous cherchez toutes ces choses là. De ce fait je ne peux donc pas te dire grand-chose. Mais comme tu es parti depuis Libreville pour ça alors parlons-en. Issala que tu voix là est un village essentiellement des Massango, les autres te l'on peut-être déjà dit.

2 ghughe ghu nde mal mambili ma putghe n'; ya lande na dimbu di kiéki. batu do ma maghude n' mabéliss. ghu ghare mimbu ma itse ghu issale, ghuyi : ghiambe, nyambe, siamba, mughibe, ipungu, ibémbu, ditadi, massike, utavu, mubana, idembe, dighamba n' mwayu ban de tsélu mayani.

2. Ici, il y a plusieurs villages regroupés ; Ne suis pas le fait qu'il soit petit. Ce sont les maladies et la mort qui le dépeuple. Normalement il y a : Ghiambe, Nyambe, Siamba, Mughibe, Ipungu, Ibémbu, Ditadi, Massike, Utavu, Mubana, Idembe, Dighamba et Mwayu sont du côté de Mayani.

3 ghotsu ghuyi mimbe masuss ma sa ghedo yabe va bilgue mo.; ba ndughe mas tsimbù, mumbar' di na yènde ghune mu ba nugui : niémbu ghu na lobe yétu ; divungu, ighiaki, mbayi, ndènga. tombe batu basuss ghotsu ba ghu yambile yu gha matse tsimbu.

3. Il y a d'autres mais je ne sais plus

l'emplacement, je sais seulement que nous les fréquentons pour nos travaux champêtres comme à Niémbu où nous faisons la pêche il y a aussi Divungu, Ighiaki, Mbayi, Ndènga. Demande aussi aux autres peut-être que j 'ai oublié quelques-uns.

4 mikongu mi na tombe yu mi k' vane. mbé yi n' lotù mbè di ma yènde ghu marémbu ghu ba na labile mukongu dichingù n' puèlelè. ghuyi mu moss umù nènè ; nde mukongu birughe ghu mabaghele ma miadzù ve mbar' utavù. matse duke.

4. Les monts que tu demandes existent encore, d'ailleurs si tu avais la voiture, on se serait rendu au village Marémbo où le mont Dichingù est nettement visible. Je connais également un autre grand mont : Birughu qui se situe à la rive droite de Miadzu non loin de ùtavu. C'est tout ce que je peux te dire.

Le récit Divaku comporte quatre séquences. Dans les deux premières, notre informateur fait l'énumération des villages jadis traversés par Paul du Chaillu en 1865 ; aujourd'hui regroupés à Issala. La troisième séquence nous apporte une information capitale selon que les villages sont encore pratiqués, même si c'est sous d'autres formes. Par contre, dans la quatrième séquence c'est l'existence des monts qui nous est précisée

En analysant ce récit, nous nous rendons compte qu'après près d'un siècle et demi, certaines pratiques culturelles non pas changés ; et le temps na pas suffit pour faire oublier à ces peuple leurs origines.

Au regard de ce plan cadastral de notre village d'étude, qui nous oriente également vers les personnes enquêtés, nous pouvons conclure à chaud que la population de Issala est principalement issue de trois grand villages anciens sont par ordre d'importance: Mughiba, Moubana, et Ipoungou. Ces trois anciens villages seraient des principaux quartier de Issala actuel. Quand bien même les originaires des autres anciens villages y résident, mais leur représentativité semble infime.

Par ailleurs, si notre informateur 4 n'a pas précisé son village d'origine, notons aussi que la bretelle de droite (entrée du village sens Lébamba-Mbigou) n'a pas été enquêtée en raison du manque d'informateurs capables de nous fournir des informations adéquates sur l'histoire de ce village. Nous pensons l'avoir souligné en page 23 lorsque nous présentions nos informateurs.

Récit 3 - Sébastien Nzenguet Loundou, menuisier charpentier, (ignore sa date de naissance ; village d'origine : Mughiba ; clan : Mutuka ; clan du père : Bugundu). Avec lui, nous nous sommes entretenus sur les différents clans des habitants de ce village, les raisons de leur regroupement puis la séparation des villages masango dont une partie est dans le regroupement de Mayani.

1. va kale batu ba s' tsaghle masus. dimbu di bunde ke n' mutu (kumu dimbu). nane mimbu ma bass ke n' kinde, miongue n' bibamdu ; saghe batu basuss. mute gha ronde yonga a yongue ghu dimbu di suss ; batu ba putghne ghu ghare mimbu.

1. À l'ancienne époque, l'implantation des

populations ne se faisait pas de façon anarchique. La création d'un village était généralement l'oeuvre d'une personne qui s'installait avec sa famille. Le village se remplissait au moyen des relations matrimoniales.

2. n' mugni n' dipande dienu di na pandne k pandne. di sagho do wabe bibandu n' mimbu menu. di na yongue koke ghiéghu ghiéghu. ilab' mughiétu n' mapape yère do ma madile, n' yanguegue minu; .nési ma ghossu di sa bo rine. ke time tsoni laverté.

2. Avec votre indépendance aujourd'hui, vous ne savez plus rien; continuez à nager aveuglement. Vous êtes sans repères puis que vous ignorez mêmes vos origines, vos clans et lignages. A peine vous
rencontrez une femme, aussitôt vous vous «mangez les bouches » : embrassez, sans même connaître son clan. Ce qui était formellement interdit. Quelle
honte !

3. itse tombe dimbu diame, nde mughame, dimbu di bakaghe bami. ibandu ghiame nde mutuke, betsi ma mayambile-yu dio. mimbe metu ma s' bil'gue gha vave di yendegue ghu mbughe bambetsi; yawu koke barughegue ghu mbughe etu.

3. Revenons à ton affaire, tu m'as posé une question. Mon village est Mughiama, c'est celui de mes ancêtres. Mon clan est mutuka. Je croix te l'avoir déjà dit. Nos villages n'étaient pas vraiment trop distants les uns des autres. Si bien que les gens se fréquentaient.

 

4. va yambile bibanbu r' mimbe motso ma ke putghne koke putghne, vane va rughe yetu ghughe. kaghu, nde mu dio y na labe r' vave v' k bibandu bio n 'bio.

4. Quant les blancs nous ont demandé de venir ici à proximité des routes, nous nous sommes vu obligés de nous regrouper par affinité. Tu vas peut être le constater dans tes papiers, à Issala ce sont presque les mêmes clans.

5. gha ina ronde ma gnighule-yu ghuyi: sime-irugui, sime-madume, sime-mupighe, sime-mbaghu, mutuke, bukombe, bugundu, djobu. ghotsu ma tse tsimbu. i mossi, beyi saghe mbili; ma yatsi r' ma koke inunu.

5. Si tu veux que j'énumère ; il y a ; sime-irugui, sime-madume, sime-mupighe, Sime-Mbaghù, mutuke, bukombe, bugundu, djobù. Si j'ai oublié certains en tout cas pas plus de deux ; bien que la vieillesse aidant.

Ce corpus de cinq séquences nous a permis de comprendre la prédominance de certains clans dans un village. La première séquence retrace la façon dont le village a été crée, son peuplement. Dans la seconde, notre informateur éprouve un regret face à la perdition des valeurs traditionnelles par nos enfants. Tandis que dans les séquences trois et quatre, il donne les raisons de leur jumelage ainsi que les différents clans regroupés dans ce village. C'est dans la dernière séquence qu'il en fait une énumération.

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"Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années"   Corneille