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Education et croissance économique en Algérie: Une analyse en terme de causalité à l'aide des modèles VAR

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par BEKIOUA Fateh et REFFAF Mehdi
INPS Alger - Ingénieur en statistique appliquée 2006
  

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Chapitre II

SURVOL DE LA LITTÉRATURE

EMPIRIQUE TRAITANT DE LA

RELATION ÉDUCATION/CROISSANCE

ECONOMIQUE

«Dès mon plusjeune âge, j'ai interrompu mes études pour aller à l'école. »

Bernard Shaw

Introduction

Il semblait acquis depuis les années 1960, sur la base d'exercices essentiellement comptables, que la croissance du capital humain était une composante importante de la croissance économique, et que celui-ci avait par conséquent une place légitime dans la fonction de production agrégée. Ce résultat, pourtant conforme à l'intuition, semble remis en cause par un ensemble de contributions empiriques récentes. L'examen du rôle du capital humain dans la croissance est revenu à l'ordre du jour, à l'occasion du débat sur la convergence des économies.

En effet, il existe un débat empirique sur l'effet du capital humain sur la croissance. Alors que quelques études isolées montrent qu'il y a un effet positif du capital humain (Mankiw, Romer et Weil, 1992), la plupart des autres études n'arrivent pas à retrouver ce résultat dans leur travaux (Benhabib et Spiegel, 1994 et Pritchett, 1996).

On cherchera ici à démêler cette littérature et à clarifier autant que possible le débat en distinguant les classes des modèles et les types de méthodes économétriques utilisées par les uns et par les autres et en expliquant les raisons pour les quelles l'impact du capital humain sur la croissance est si difficile à mesurer. Nous allons nous limiter à la présentation des recherches les plus significatives : Il ne s'agit pas de proposer une bibliographie complète, mais de mettre en lumière une synthèse des principaux arguments. Enfin, il est entendu que le terme de capital humain recouvre en général d'autres notions que la scolarisation (l'expérience, la formation continue ou encore la santé). Dans la littérature macroéconomique, cependant, il désigne principalement l'éducation (plus rarement la santé), aussi retiendrons-nous ce terme de manière conventionnelle.

D'abord, nous donnerons un rappel bref sur la structure des modèles théoriques de croissance (section1), avant de présenter les estimations du modèle de croissance néoclassique, et de discuter les problèmes strictement économétriques soulevés par ces estimations (section 2), puis nous parlerons de la contribution du capital humain dans les estimations des modèles de croissance des pays pétroliers (section 3), avant de conclure.

Section 1 : Le capital humain dans les modèles théoriques de croissance :

Les principales contributions récentes à la littérature empirique sur le rôle du capital humain dans la croissance économique ont pour point de départ une version élargie du modèle de croissance néoclassique de Solow (1956) et Swan (1956) proposée par Mankiw, Romer & Weil(1 992).

1.1. Les modèles néoclassiques :

Les principes des modèles de croissance néoclassique sont de décrire l'équilibre stationnaire des économies concurrentielles fermées.

Un équilibre est un état du système qui, s'il est atteint, ne sera plus quitté en l'absence d'un choc exogène (c'est-à-dire d'un choc dont l'origine est externe au système). Un équilibre est qualifié de stationnaire si, à la suite d'un choc exogène, le système revient spontanément, au bout d'un certain temps, dans la situation initiale. Un modèle comme celui de Solow, a un équilibre unique et stable. Plus précisément, il a une succession d'équilibres qualifiés de sentier d'équilibre. Cela signifie que si le système s'éloigne de cette trajectoire à la suite d'un choc exogène, alors il y revient spontanément. Cette propriété provient de la concavité des fonctions de production utilisée (rendement d'échelles décroissant) qu'en expliquera ci-dessous.

Les caractéristiques des modèles néoclassiques sont les suivantes :

1.1.a. La fonction de production :

Dans le modèle de Solow, sans progrès technique, la fonction de production est : Y F ( K , L ) K L

= = , où Y est la production, K le capital, et L l'emploi, et 0 < á < 1 .

á -á

1

Elle vérifie les propriétés suivantes :

1) Dérivées partielles premières continues, positives et décroissantes. La décroissance traduit l'hypothèse que les rendements marginaux de chacun des inputs, pris séparément, sont décroissants.

2) Homogénéité de degré 1. Les rendements d'échelle sont constants, c'est-à-dire que si tous les facteurs de production sont multipliés par une quantité donnée, il en sera
de même pour la production.

On utilisant les grandeurs par têtes suivantes : y = Y / L et k = K / L, on peut réécrire la fonction de

production par tête comme suit y f ( k )

= = avec [f(x) = F(x, 1)]. Il suffit alors que f vérifie les

propriétés suivantes :

3) f(0) = 0 ; sans capital, pas de production.

4) f(8) =8 ; la production n'est pas bornée.

5) f'(0) = +8 ; le rendement marginal du capital est infini quand le niveau du capital est nul

6) f'(8) = 0 ; l'efficacité marginale du capital est nulle quand son niveau est infini, il y a saturation.

Les propriétés 3 à 6, dites conditions d'Inada, vont permettre à l'équilibre d'exister, d'être unique et d'être stable dans le modèle de Solow.

La fonction de production représente de manière très simplifiée et évidemment schématique la technologie de production. Cette simplification est le prix à payer pour l'obtention de résultats généraux.

1.1.b. Le modèle :

Dans une économie fermée, l'investissement est nécessairement égal à l'épargne (équilibre du marché des biens).

L'équilibre épargne-investissement s'écrit, en notant s le taux d'épargne et ä le taux de déclassement (dépréciation) supposé constant ;

1. K ? = s t Y t - äKt. (l'accumulation du capital)

Soit en utilisant les variables par tête, en notant n le taux de croissance, constant au cours du temps, de la population ;

2. k ? =s t f(k t )-(ä+n)k t .

L'hypothèse économique est la constance du taux d'épargne (st = s). Si ä+ n est strictement positif, il existe alors, pour chaque valeur de s, une valeur unique *

k , constante au cours du temps, qui

vérifie:

3. * *
sf ( k ) = ( ä + n ) k .

Une fois que l'économie a un niveau de capital par tête égal à *

k , le rythme de croissance (de K et de Y) est égal à n, le taux de croissance de la population. L'économie est sur son sentier de croissance d'équilibre.

1.1.c. Règle d'or :

Le taux de croissance d'une telle économie ne dépend donc pas du comportement d'épargne des ménages. Cependant, le taux d'épargne influence directement le niveau de consommation. On peut donc chercher quel est le meilleur sentier, en un sens particulier: celui où la consommation est maximale.

Il convient de résoudre le programme;

Max f ( k ) - s f ( k ) sous (3).

* *

La solution est obtenue quand f '- ä = n. Dans une économie décentralisée, cela signifie que la

rémunération marginale du capital, après prise en compte du déclassement, donc le taux d'intérêt, est égal au taux de croissance de la population. En effet, dans une telle économie, la rémunération du capital est égale à sa productivité marginale.

On peut aussi calculer la rémunération du capital, à l'optimum. On a :

f'.K=(ä+n).K=sY

Ainsi, la solution optimale est obtenue quand la rémunération totale du capital est égale à l'épargne totale de l'économie.

Ces deux règles équivalentes sont connues sous le nom de règle d'or.

1.1.d. Introduction du progrès technique :

Il est aisé d'introduire du progrès technique dans le modèle de Solow, à condition qu'il soit neutre au sens de Harrod1, ceci implique que le travail et le progrès technique ont des rôles similaires. Ce qui importe c'est l'efficacité du travail qui peut être accrue en augmentant le nombre d'unités de travail. Tous les résultats établis précédemment restent. Il suffit d'ajouter à n (le taux de croissance de la population) le taux de l'efficacité de la population.

1 il existe différents types de progrès techniques :

Y=F(AK,L) neutralité au sens de Solow et Y=AF(K,H,L) neutralité au sens de Hicks

Le modèle de Solow essaye donc de modéliser la croissance économique, lorsque la fonction de production agrégée est à rendement d'échelle constant, lorsque la productivité marginale de chacun des facteurs accumulables est décroissante, et lorsque les taux d'épargne sont constants et exogènes. On montre alors que, à long terme et en l'absence de progrès technique, l'accumulation du capital s'estompe. Le stock de capital par tête est tellement élevé qu'un investissement supplémentaire coûte plus cher que ce qu'il rapporte. A ce moment du processus, la croissance du capital s'annule. La croissance observée du revenu par tête doit alors s'expliquer par le progrès technique (résidus) : Il est la seule source de croissance de l'économie. Ce dernier est utilisé pour augmenter la productivité totale des facteurs, d'où l'appellation de « Productivité totale des facteurs » attribuée au pourcentage de la croissance qui reste non expliqué par les variables utilisés dans les modèles de croissance.

En effet, Solow avait remarqué que les variables utilisées dans son modèle (travail, capital) n'expliquaient qu'une partie seulement de la croissance du PIB/tête. Il interprété cela par les gains de productivités acquis par les facteurs de production à l'aide du progrès technique, c'est-à-dire qu'entre deux dates successive, les facteurs de production (travail, capital) sont devenus plus productives du fait de l'utilisation massive du progrès technique.

Solow a considéré le progrès technique comme exogène pour deux types de raisons :

· La pertinence empirique d'une telle hypothèse : le progrès technique consiste en une plus grande maîtrise des lois de la nature. Dans tous les cas, celles-ci commandent, et l'homme ne peut leur imposer son rythme. La technologie est du ressort des ingénieurs, non des économistes.

· L'incompatibilité supposée des rendements d'échelle croissant (qu'entraînerait l'incorporation du progrès technique) et de l'équilibre concurrentiel.

La croissance n'existe donc pas dans le modèle de base, si l'on considère les variables par unité de travail c'est-à-dire y = Y L, k = K L , le modèle avec progrès technique s'écrit alors

Y F ( K , AL ) K ( AL )

= =

á -á

1

où A représente l'évolution de la technologie sous la forme d'un progrès technique renforçant le travail («labor augmenting») ou «neutre au sens de Harrod». Le progrès technique correspond à la croissance de A dans le temps : Une unité de travail devient alors plus productive.

1.2. Les modèles de croissances endogènes :

Les théories de la croissance endogène ont placé le capital humain au coeur même du processus de production, ce dernier désigne le stock de connaissances économiquement valorisables et incorporées aux individus. C'est un facteur de croissance. Il n'y a là rien de nouveau et les théories antérieures le soulignaient déjà. Ainsi, dans le modèle de Solow, la croissance provient, d'une part, de l'augmentation de la population active (or la quantité de capital humain est liée au nombre de personnes actives) et d'autre part, de l'accroissement de l'efficacité de la combinaison productive (ce qui peut s'interpréter aussi bien par le progrès technique que par l'accroissement de la « qualité », au sens d'efficacité productive du capital humain). Cependant, contrairement aux anciennes, les nouvelles théories analysent les fondements économiques de la formation du capital humain, ce dernier s'est vu attribué un rôle fondamental dans l'explication de la croissance économique.

Le capital humain est donc appropriable par l'individu qui en est porteur, contrairement au capital technologique qui est pour partie un bien public.

1.2.a. Un modèle général de croissance endogène :

L'économie considérée a deux secteurs. Dans le premier, chaque individu produit le bien de consommation à partir de son capital physique (homogène au bien) et d'une fraction de son capital humain. Dans le 2nd , le capital humain est formé à partir de lui-même. L'hypothèse est que la compétence d'un individu et le temps qu'il consacre à l'étude détermine son rythme d'apprentissage. De plus, tous les individus sont semblables et on peut écrire directement les fonctions de production macroéconomiques :

1. 1 Y t A t K t ( u t H t )

=

á -á

2. H t B (1 u t ) H t

? = - (accumulation du capital humain)

â

Où, A, B, á et â sont des paramètres positifs, Y est la production, K le stock de capital physique, H le

stock de capital humain et u la proportion du capital humain affecté à la production , 1 - u est donc la proportion de capital humain affecté à la formation du capital humain, soit encore une sorte de taux d'investissement de chaque individu puisque le temps consacré à la formation n'est pas consacré à produire aujourd'hui, mais permet d'accroître la production demain ; t représente le temps. Le bien est produit à partir d'une fonction de production de Cobb Douglas, à rendements constants. Quant à l'activité de formation, elle est telle que le rendement marginal du capital humain y est constant. Cette hypothèse est essentielle : c'est elle qui assure le caractère auto entretenu de la croissance.

Pour qu'un tel modèle puisse engendrer une croissance autoentretenue, il suffit que le rendement marginal du capital humain dans la formation du capital humain soit constant. S'il

est décroissant, il n'y aura pas de croissance à long terme. S'il est croissant, il y aura une croissance explosive.

Dans les situations où u, est constant, il vient immédiatement que:

3. H / H B (1 u ) â

? = -

(la notation H ? / H = ( ) /

d H dt

log( ) / d H dt

= = taux de croissance du capital humain)

H

et que dans les sentiers de croissance équilibrée (où Y et K augmentent au même rythme) :

4. Y ? /Y=H ? /H+(A?/A)/(1-á).

Ainsi, une économie aura une croissance du capital humain d'autant plus forte qu'elle consacre une part importante de ses effectifs à la formation (et donc une faible part à la production). Quant au taux de croissance de la production, il est lui aussi fonction de l'effort de formation.

Pour boucler le modèle, il suffit d'endogèniser « 1'investissement » (u) des consommateurs. Pour retrouver à partir de ce modèle celui de Lucas [1988], il suffit d'ajouter une externalité du capital humain dans l'activité de production: la productivité de chaque individu est d'autant plus élevée que le niveau du capital humain de l'économie est fort (chacun est d'autant plus efficace que l'économie est composée de personnes plus compétentes).

Une remarque finale permet d'éclairer les liens entre ce modèle et celui de Solow. En posant u = 1 et â = 0 dans les équations (1) et (2), on obtient le modèle de Solow qui apparaît ainsi comme un cas très particulier: tout le capital humain est consacré à l'activité de production (H = L).

1.2.b. Modèle de Solow avec capital humain :

Ce modèle a été présenté par Mankiw, G., D. Romer, D. Weil, 1992, dans leur article intitulé «A Contribution to the Empirics of Economic Growth», dans la revue « Quarterly Journal of Economics, 107, 407-438 »

Soit Y le revenu agrégé, K le stock de capital physique, L la quantité de travail (assimilée ou supposée proportionnelle à la population) et H le stock de capital humain. On suppose que ces quantités sont reliées par une fonction de production à rendements constants qui décrit la technique

de production, Y = F(K,H,AL)

Où A est une mesure de progrès technique neutre au sens de Harrod renforçant le travail. A croît au taux exogène g. Une version de ce modèle exprimée en terme de valeur par tête avec

y =Y AL, k=K AL , h = H AL

k
h

permet d'écrire

y f ( k , h ) k h

= =

á â

avec á + â ? 1 par ce que la technique de production est à rendements décroissants dans les seuls facteurs K et H. Si une proportion sk du produit est investie dans le capital physique, et si ä mesure le taux de dépréciation du capital, on peut écrire l'équation dynamique de l'accumulation du capital

.

k = s k y - n + g + ä k (1.1)

( )

k ? = dk dt décrit la variation de k au cours du temps, n est le taux de croissance de la population, et
g = (1 A) dA dt est le taux de croissance du progrès technique. Le capital par unité de travail efficace

croît donc avec le taux d'investissement et le niveau du produit mais sa croissance est réduite par la croissance de la population, par le progrès technique et par sa propre dépréciation. Mankiw, Romer & weill (1992) proposent d'étendre cette relation au capital humain, en le traitant de façon parfaitement homogène au capital physique, soit

.

h = s h y - n + g + ä h (1.2)

( )

sh est la part du produit investi dans le capital humain et ä est le taux de dépréciation du capital

humain, identique à celui du capital physique. La dynamique décrite par le système d'équations différentielles (1.1) et (1.2) fait converger l'économie vers un équilibre stationnaire décrit par les niveaux d'équilibre

-

â â

* s k s h

1

1 ( 1 )

- - á â

n g

+ +

1

-

* s k s h

á á

ä

1 ( 1 )

- - á â

n g

+ +

ä

En replaçant ces valeurs d'équilibre dans la fonction de production, et en prenant les logarithmes, il vient la relation d'équilibre de long terme

* (1.3)

log log log log

Y A k h

= + +

á â

*

L

dont la forme réduite s'écrit (en exprimant *

ket *

hen fonction de leur déterminant exogène)

log log log k log h log ( )

L á â ã ä

Y A s s n g

= + ' + ' - + +(1.4)

á', â' et ã sont des paramètres positifs, fonction de á et â dont la structure particulière n'a pas d'importance pour ce qui suit.

Les économètres n'utilisent Cette relation pour tester empiriquement le modèle que s'ils considèrent que les économies ont atteint leur équilibre stationnaire. Dans le cas contraire, ils utilisent une approximation du taux de croissance de l'économie à proximité de l'équilibre stationnaire comme

.

y y y

= ë -

( )

l o g l o g

*

y

Où *

y est la valeur d'équilibre de y et ë= (n + g +ä) (1 - á - â). De cette équation différentielle, ils peuvent déduire la relation dynamique

log 1 log log log 0

yt e k h e y

= - + +

( )( )

- ë t * * - ë t

á â

t mesure le temps et y0 est le revenu par unité de travail efficace (renforcé par le progrès technique) à la date t = 0. cette relation peut s'écrire en forme structurelle et en forme réduite comme
loglo g 1 lo g lo g lo g 0

Y A e k h e y

t t

= + - + +

( )( )

- ë t á â

* * - ë

t

L t

log ( 1 ) log log log ( ) log 0

- t t

= + - ' + ' - + + +

A e s k s h n g e y

-

ë ë

á â ã ä

t

Ainsi, il suffit de conditionner sur un niveau de revenu initial y0 pour avoir, à proximité de

l'équilibre stationnaire, la même relation (à un changement d'échelle des coefficients prés) qu'à l'équilibre stationnaire lui-même. L'enjeu de cette dernière spécification est à rechercher dans le débat sur la convergence et la vitesse de convergence des économies : Il est en effet essentiel, pour analyser empiriquement le processus de convergence, de décrire les économies hors de leur équilibre de long terme. Pour ce qui nous préoccupe, cependant, c'est à dire la mesure du rôle du capital humain dans la croissance, cette spécification a principalement l'intérêt d'être plus réaliste que les équations (1.3) ou (1.4) qui imposent des hypothèses forte concernant l'état des économies qui doivent toutes être sur leur sentier de croissance d'équilibre.

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"Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots"   Martin Luther King