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Education et croissance économique en Algérie: Une analyse en terme de causalité à l'aide des modèles VAR

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par BEKIOUA Fateh et REFFAF Mehdi
INPS Alger - Ingénieur en statistique appliquée 2006
  

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Section 3 : La contribution de la productivité totale des facteurs de production dans
les estimations des modèles de croissance des pays pétroliers

La littérature empirique existante concernant la modélisation de la croissance, a vu de nombreux modèles élaborés, dans le but de mesurer et d'expliquer la contribution des différents facteurs de production dans le processus de la croissance économique.

La plupart de ces modèles ont pour fonction de départ une version élargie du modèle de Solow, avec quelques différences dans le choix des variables, et dans les techniques d'estimations employées. Toutefois, la majorité des auteurs travaillant sur la question ont exclu de leurs échantillons de pays étudiés, les économies pour lesquelles la production pétrolière était l'industrie dominante. Les auteurs évoquent le fait que la production pétrolière était d'avantage l'extraction d'une richesse existante que la création de valeurs ajoutées. Ainsi, on ne pourrait s'attendre à ce que les modèles canoniques de croissance donnent une image correcte des niveaux de PIB mesurés dans ces pays.

La particularité des économies pétrolières rend la modélisation de la croissance des économies pétrolières par l'intermédiaire des modélisations traditionnelles de la croissance particulièrement hasardeuses : la "rente" pétrolière. Cette rente provient du fait que les revenus tirés de la production pétrolière sont très largement supérieurs à la rémunération des facteurs de production pétrolière. Ainsi, si une fonction de production de type néoclassique semble être une modélisation acceptable du revenu d'une économie non-pétrolière, elle apparaît par contre inadaptée à la modélisation du revenu d'une économie pétrolière.

Dans cette section nous allons présenter 3 régularités empiriques de la croissance économique des pays pétroliers en développement qui les distinguent des autres pays pétroliers. Puis nous présenterons les estimations des modèles de croissance des pays pétroliers. Nous focaliserons notre attention sur la croissance de la PTF (la part de la croissance économique restée non expliquée par les différentes variables ; c'est le résidus de l'estimation dans le modèle de Solow) qui symbolise la mobilisation du savoir acquis par la population à travers l'éducation, pour pouvoir créer et adopter des nouvelles technologies, afin de les utiliser pour augmenter la productivité des facteurs de production d'une économie, à savoir le capital physique et le travail.

Cette section s'appuie essentiellement sur l'article de Mr Guillaume ARBOD1 intitulé « Un modèle de croissance des économies pétrolières » et de celui de Samir Makdisi2, Zeki Fattah3 et Imed Limam4 intitulé « Determinants of growth in the MENA countries ».

3.1. Régularités empiriques de la croissance économique des pays pétroliers en développement :

3.1.a. Présentation :

Nous présentons trois régularités empiriques concernant le niveau et l'évolution du PIB par tête des économies pétrolières en développement au cours de ces dernières décennies à savoir :

1 Guillaume ARBOD est doctorant à l'Université de Bourgogne et à l'Institut Français du Pétrole.

2 Docteur à l'université Américaine de Beirut, Liban.

3 Chercheur à la commission économique et social de l'Asie occidental des Nation unies, Liban.

4 Chercheur à l'institut Arabe de planification au Kuwait.

1. Parmi les économies en développement, le niveau du PIB par tête du groupe des pays pétroliers est supérieur à celui du groupe des pays non-pétroliers,

2. Parmi les économies en développement le taux de variation du PIB par tête du groupe des pays pétroliers est inférieur à celui du groupe des pays non-pétroliers,

3. La plupart des économies pétrolières en développement ont vu leur PIB par tête fortement décroître.

3.1.b. Observations empiriques :

Les données qui mettent en évidence ces régularités empiriques proviennent de la base de données de MADDISON (2003).

Nous pouvons également ajouter, qu'en raison de la plus faible sensibilité aux valeurs extrêmes de la statistique de la médiane par rapport à la statistique de la moyenne, les auteurs préfèrent utiliser la première pour comparer le niveau et la variation du PIB par tête des groupes des économies pétrolières et non-pétrolières.

Tableau 1 : PIB par tête des pays pétroliers et non-pétroliers en développement en 2000.

Pays en développement

Nombre
d'observations

Premier
quartile

Médiane

Troisième
quartile

Pays pétroliers

15

2557

5065

8228

Pays non-pétroliers

92

871

1783

3713

source: MADDISON (2003)
Unité : Dollars internationaux de 1990 de Geary-Khamis

La valeur de la médiane des observations du groupe des économies pétrolières en développement est 2,8 fois supérieure à celle du groupe des économies non-pétrolières en développement. Nous pouvons également observer un tel écart à d'autres parties de la distribution des observations de chaque groupe : La valeur du premier (respectivement du troisième) quartile des observations du groupe des économies pétrolières en développement est 2,9 fois (respectivement 2,2 fois) supérieure à celle du groupe des économies non-pétrolières en développement.

Tableau 2 : Taux de variation annualisé du PIB par tête des pays pétroliers et
non-pétroliers en développement entre 1971 et 2000.

Pays en développement

Nombre
d'observations

Premier
quartile

Médiane

Troisième
quartile

Pays pétroliers

15

-3,15

-0,74

0,48

Pays non-pétroliers

92

-0,26

0,68

1,97

source: MADDISON (2003)

Unité : Dollars internationaux de 1990 de Geary-Khamis

La valeur de la médiane des observations du groupe des économies pétrolières en développement est inférieure de 1,42 points à celle du groupe des économies non-pétrolières en développement. Nous pouvons également observer un tel écart à d'autres parties de la distribution des observations de chaque groupe : la valeur du premier (respectivement du troisième) quartile des observations du groupe des économies pétrolières en développement est inférieure de 2,89 points (respectivement 1,49 points) à celle du groupe des économies non-pétrolières en développement.

Tableau 3 : Taux de variation annualisé du PIB par tête de chaque pays
pétroliers en développement entre 1971 et 2000.

Pays pétroliers

Taux annualisé de variation du PIB par
tête entre 1971 et 2000 (%)

Algérie

1,16

Angola

-2,67

Arabie Saoudite

-0,20

Emirats Arabes Unis

-1,38

Bahreïn

0,83

Gabon

-1,67

Iran

0,13

Irak

-3,63

Koweït

-3,75

Libye

-4,28

Nigeria

-0,39

Oman

2,15

Qatar

-5,23

Trinité et Tobago

1,73

Venezuela

-0,74

Source: MADDISON (2003)

Unité : Dollars internationaux de 1990 de Geary-Khamis2

Les deux tiers des économies pétrolières en développement ont vu leur PIB par tête décroître entre 1971 et 2000 (10 sur 15). Un tiers des économies pétrolières en développement ont même un taux de variation annualisé inférieur à -2,5 %. Cela signifie que la valeur du PIB par tête de ces économies en 2000 représentait moins de la moitié de sa valeur de 1971. L'Algérie par contre semble ne pas partager cette régularité avec les autres pays pétroliers en développement, car elle a vu son PIB/tête croître de 1.16% entre 1971 et 2000.

3.1.c. Discussion :

La première régularité empirique est relativement intuitive. Toutes choses égales par ailleurs, étant donné l'inégale répartition des réserves pétrolières sous la surface de la planète, l'exploitation pétrolière apparaît comme un plus pour l'économie nationale en terme de revenu par tête.

La seconde régularité empirique est quant à elle relativement contre intuitive. C'est le sujet de la littérature dite "de la malédiction pétrolière", ou plus généralement de "la malédiction des ressources naturelles". Cette «malédiction» s'exprime de plusieurs façons : Tout d'abord, un phénomène de capture de rente et de comportement rentier. Sur le plan purement économique, le fait de détenir des ressources pétrolières s'accompagne d'incitations perverses qui freinent la diversification, l'innovation et le développement. Sur le plan social, la rente, objet de convoitises, accroît les inégalités et les tensions. Elle rend aussi plus difficile l'émergence d'une classe moyenne accompagnant le développement d'un tissu productif diversifié. Sur le plan institutionnel, elle nourrit la corruption et affaiblit les institutions. Sur le plan politique, elle alimente les conflits entre groupes ou pays rivaux.

1 Base de donnée réalisé par Angus Madisson, chercheur a l'université de Groningen, Pays Bas, et chargé du projet ICOP (International Comparisons of Output and Productivity), de 1983 à nos jours.

2 Geary-Khamis (G-k) : est une méthode d'agrégation dans laquelle la catégorie " prix internationaux " et les paritées de pouvoir d'achat des pays PPP (dépeignant les niveaux des prix relatifs de pays) sont estimés simultanément à partir d'un système d'équations linéaires pour donner une unité monétaire commune.

Cette théorie de malédiction pétrolière reste très contestée par beaucoup d'économistes. Mr Arbode cite : « De nombreuses pistes explicatives ont été développées sans réel succès (cf. Davis (1998), ROSS (1999) et STEVENS (2003) parmi d'autres). Ces pistes explicatives font généralement la part belle aux notions assez floues et rarement modélisées sous une forme testable d'inefficacité des investissement, de corruption, d'économie dite "rentière", de volatilité des recettes pétrolières. Comment peut-on expliquer alors que le Qatar ait vu son PIB par tête divisé par 4,7 entre 1971 et 2000, et de surcroît, sans crise économique majeure? L'ampleur de la chute du PIB par tête de certaines économies pétrolières défie l'imagination. Les pistes explicatives de la malédiction pétrolière en semblent d'autant moins pertinentes »

3.2.Les estimations de la PTF dans les modèles de croissance des pays pétroliers :

Dans leur article intitulé «Determinants of growth in the MENA1 countries», Samir Makdisi, Zeki Fattah et Imed Limam ont essayer de mesurer la contribution relative des sources principales de croissance économique des pays de la région de MENA. Ils ont trouvé que la performance globale de la croissance dans la région du MENA au cours de la période 1960-1998 a été caractérisée par un degré plus élevé de volatilité comparé à d'autres régions du monde. En comparant le modèle de croissance de la région de MENA dans une perspective international, ils ont trouvé que le capital est moins efficace; la malédiction de ressource naturelle davantage prononcée, la croissance de la productivité totale des facteurs dans la région de MENA n'était pas une source importante de croissance comparée a d'autres régions, les pays non pétroliers et les économies diversifiées se sont bien mieux comportées que les pays pétroliers en termes de croissance de leur PIB/tête, et de celle des PTF.

Dans leur analyse, les auteurs ont utilisé comme mesure de capital humain (pour expliquer à la fois le taux de la croissance du PIB/tête et le taux de croissance des PTF), les taux de scolarisation primaire en 1960 pour chaque pays.

Nous allons maintenant présenter les résultats obtenus dans cette étude en ce qui concerne les taux de croissance des différents facteurs de production, et nous allons essayer d'expliquer celui de la PTF. Notre attention sera focaliser sur le pays objet de notre étude, c'est à dire l'Algérie.

Le tableau suivant montre la décomposition de la croissance du PIB/tête obtenu par l'utilisation de la fonction suivante :

Älog(Y it LIt)=ëi +á i Älog(kit L it ) + å it

Ou K représente le capital physique, L celui du travail, et le reste c'est-à-dire å mesure la technologie qui est expliquée par la productivité totale des facteurs de production TFP

Tableau 4 : la décomposition du taux de croissance du PIB (1960-1997)

Pays

PIB/tête

Capital

Travail

PTF

Algérie

0.03 1

0.034

0.006

-0.009

Égypte

0.057

0.035

0.011

0.011

Irak

0.023

0.020

0.020

-0.018

Maroc

0.049

0.025

0.013

0.011

Tunisie

0.05 1

0.028

0.012

0.010

Kuwait

0.022

-0.015

0.056

-0.018

Sedan

0.030

0.028

0.014

-0.012

Libye

0.058

0.165

-0.011

-0.096

Source : Makdisi, Fattah et Limam Table 7

1 Abréviation de Middle East North African qui signifie les pays du moyen orient et de l'Afrique du nord.

De ces résultats, nous remarquons, qu'à l'exception de la Tunisie (ou la moyenne du taux de la croissance de la productivité totale des facteurs a atteint 1 % annuellement), de l'Egypte (1.1%) et du Maroc (1.1%), la participation de l'évolution technologique définit par la PTF à été négative dans tous les pays Arabes. Le coefficient du taux de croissance de la PTF de l'Algérie été de -0.009, ceci montre que la croissance économique visible dans la plupart des pays arabes est plus le fruit d'une accumulation des facteurs de production que celui du progrès techniques, les auteurs expliquent cela, par le fait que, l'environnement économique dans ces pays a été confronté a beaucoup d'obstacles et de dysfonctionnement, notamment ceux relatifs aux politiques adoptées : Qui restreinnent les échanges commerciales et diminuent la performance des structures productives.

Prenons le cas de l'Algérie et essayons de voir comment la PTF (productivité totale des facteurs) a évolué dans le temps. Pour cela, nous allons utiliser les résultats issus d'une étude menée par le FMI sur la croissance économique de l'Algérie.

Afin de quantifier la croissance négative de la PTF en Algérie, le FMI a utilisé la fonction de production de Cobb Douglas avec capital humain, matériel et travail en tant que facteurs de production, plutôt que de produire une seule évaluation pour la croissance de la PTF, une série de données a été présentée basée sur deux scénarios, afin de conforter la validité des résultats obtenus. Le premier scénario (hypothèse basse) est fondé sur un rapport d'un tiers pour le capital matériel et de deux tiers pour le travail et le capital humain combinés. Ce scénario fournit une PTF particulièrement faible (-2,1 pour cent annuellement en moyenne) qui, pour partie, est la conséquence d'une très rapide croissance du capital humain. Le second scénario (hypothèse haute) est fondé sur des estimations plus conservatrices de la croissance du capital humain (4,5 pour cent en moyenne, identique au capital matériel) et prend en compte une augmentation de la part du capital à une moitié. Même dans un tel scénario optimiste, la croissance moyenne de la PTF reste négative (-0,5 pour cent l'an). Ces résultats sont présentés dans le tableau suivant :

Algérie - Comptabilisation Explicative de la Croissance 1965 - 2000

La PTF (productivité total des facteurs de production) de l'Algérie est devenu négative dans les années 1970 et l'est demeurée jusqu'au milieu des années 1990. La croissance ralentie de l'économie algérienne peut donc être attribuée à l'utilisation inefficace des facteurs de production, plutôt qu'à une éventuelle insuffisance de capital humain ou matériel. Une légère amélioration de la croissance de la PTF est enregistrée depuis 1995, même si elle reste négative, ce qui correspond à la période au cours de laquelle les autorités ont annoncé un programme de réformes. Sans aucun doute, une part non négligeable de cette contre-performance est imputable aux insuffisances d'une économie dirigiste, à l'évidence plutôt mal administrée. Pendant les années 1970 et 1980 les entreprises du secteur public étaient de facto gérées par les ministères « de tutelle », les dirigeants nominaux de ces entreprises n'avaient pas de réelle autorité sur l'administration de leurs entreprises. Hors hydrocarbures, les investissements tout comme les inputs et les outputs étaient définis administrativement, hors référence à toute régulation de marché. A l'heure actuelle, cette culture de gestion économique par l'administration continue sous des formes renouvelées ; le gouvernement transmet des injonctions à la partie du secteur privé opérant sous protection des pouvoirs réels1.

Nous ne pouvons donc rien dire sur la responsabilité qu'à jouer notre système éducatif dans la croissance négative de la PTF en Algérie, car comme il a été cité précédemment, les dirigeants des entreprise n'avait pas l'autonomie nécessaire pour pouvoir investir dans le capital physique ou les travailleurs afin d'amélioré la productivité de leurs entreprises. Ainsi, le savoir inculqué dans nos travailleurs et nos dirigeants par le biais du système éducatif Algérien est resté inutilisable par l'économie Algérienne.

1 « Algérie : Contre-performances économiques et fragilité institutionnelle » : rapport du FMI, revue Confluences Méditerranée - N°45 PRINTEMPS 2003.

Conclusion :

Alors qu'il existe un consensus sur l'importance potentielle de l'éducation dans le processus de croissance, l'apport des travaux tentant de la mesurer paraît très limité. Les estimations les plus soignées, celles qui écartent au mieux les biais éventuels, sont incapables de démontrer que l'éducation est un facteur productif au niveau macroéconomique. Nous avons vu que la différence entre un ensemble de résultats et un autre est dû à la prise en compte des caractéristiques constantes dans le temps et non-observées des pays. Si les pays qui ont des caractéristiques qui les rendent plus productifs accumulent davantage de capital humain, une corrélation artificielle (surestimée) peut être trouvée entre la production et le capital humain. Lorsque ces effets fixes sont pris en compte, la corrélation disparaît, ce qui implique qu'il n'y aurait aucune relation directe, et technique, entre le capital humain et le produit agrégé.

Nous avons vu aussi, que les erreurs de mesure pourraient en théorie, être à l'origine de ce résultat. Cependant cette explication reste très insuffisante. En tout état de cause, on se trouverait dans l'impossibilité de mettre en évidence la relation empirique que l'on attend. Cette conclusion est en outre peu sensible à la modélisation utilisée : Que l'on fasse l'hypothèse, peut-être contestable, que les économies, sont proches de leur équilibre stationnaire et en mouvement vers celui-ci, ou que l'on estime directement une fonction de production sans faire d'hypothèse sur l'état d'équilibre des économies, les estimations convergent.

En posant sa célèbre question « où va l'éducation ? » Pritchett a permis, à une nouvelle tendance de recherche de se détacher de l'argumentation des anciens travaux. Cette dernière mit en cause directement l'existence d'un impact positif de l'éducation sur la croissance, l'explication des résultats négatifs cités dans la littérature trouveront leur réponse dans les trois hypothèses avancées par Pritchett et concernant : l'environnement institutionnel des pays, les transformations structurelles de l'économie, et la mauvaise qualité des écoles dans plusieurs pays en voie de développement.

Les argumentations de Pritchett semblent se concorder avec les explications que nous avons données dans la section 3 afin de comprendre la négativité du coefficient de la productivité total des facteurs FTP pour les pays pétroliers en voie de développement, et plus précisément pour celui de l'Algérie. Ce qui nous pousse à nous interroger nous aussi sur l'existence même d'une relation entre l'éducation et la croissance économique en Algérie, et pour cela nous allons mener une étude de causalité a l'aide des modèles VAR afin de déterminer si il existe bel et bien un éventuel lien entre les sphères éducatives et la croissance économique dans notre pays. Cette analyse fera l'objet du chapitre suivant.

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"Entre deux mots il faut choisir le moindre"   Paul Valery