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La rdc et le dilemme de securité : etude comparative entre la deuxième et la troisième république


par Didier CHIGANGU MUNGUAKONKWA
Université Officielle de Bukavu  - Licence en Relations Internationales  2018
  

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Paragraphe 2 : Le Dilemme de sécurité

Le concept de dilemme de sécurité est un concept utilisé en théorie des relations internationales. Un État accroît sa puissance militaire pour garantir sa sécurité, ce qui est perçu comme une menace par un autre État, qui va à son tour renforcer sa puissance militaire. Le niveau de conflictualité global et d'insécurité globale augmente donc, alors que chaque État renforce sa propre sécurité. Tout État qui augmente sa propre sécurité contribue dans le même temps à augmenter l'insécurité globale et donc à diminuer sa propre sécurité. Ce dilemme peut conduire à une course à l'armement, l'exemple typique étant la course à l'armement nucléaire pendant la Guerre Froide.

L'expression a été inventée par John H. Hertz dans son livre Political Realism and Political Idealism (1951). À la même période l'historien britannique Herbert Butterfield a décrit la même situation dans History and Human, Conditions sous les termes « situation extrêmement difficile et dilemme inextricable »25(*).

Un exemple fréquemment cité est celui du déclenchement de la Première Guerre mondiale. Selon ce point de vue, les grandes puissances européennes se sont retrouvées forcées d'entrer en guerre du fait de leur sentiment d'insécurité face aux alliances de leurs voisins, bien qu'elles ne souhaitent pas la guerre26(*). De plus, la mobilisation accélérée de troupes de la part de grandes puissances comme la Russie, a en retour mis la pression sur les autres États pour qu'ils se mobilisent rapidement à leur tour. Cependant, certains chercheurs contestent cette interprétation sur les origines de la guerre, avançant que certains des États impliqués souhaitaient réellement le conflit.

Le dilemme de sécurité est un corpus théorique des relations internationales, qui voit la guerre comme résultat d'un échec de la communication entre les acteurs. Les théories fonctionnalistes affirment que pour éviter la guerre, il faut éviter les erreurs de communication en fournissant l'information appropriée.

Paragraphe 3 : Notion sur la Sécurité

L'étymologie latine de « sécurité » révèle une contradiction intrinsèque, un choc entre la particule sine (sans) et l'idée de cura (soin). Les deux éléments mis ensemble (sine + cura) donnent à la sécurité un sens de déconcentrant : l'absence de soin, c'est-à-dire le sens de ce qu'elle veut dire aujourd'hui, un État dans lequel on a rien à craindre.

La sécurité pour dédire Cicéron, ne désignait donc pas « l'absence d'anxiété dont dépend une vie heureuse »27(*) un État de quiétude intérieure, de sérénité et d'équilibre. Ce sens ne s'imposera que bien plus tard.

Le traité sur « les Passions de l'âme » de René Descartes abonde dans le sens que : « lorsque l'espérance est si forte qu'elle chasse entièrement la crainte, elle change de nature et se nomme sécurité ou assurance »28(*).

Avec Jean-Jacques Rousseau, la sécurité deviendra « le problème fondamental auquel l'institution Étatique doit apporter solution »29(*)

La sécurité est définie de façon simple comme absence de menace et de façon approfondie comme absence des menaces sur les valeurs centrales au sens objectif. Au sens subjectif, comme « absence de la peur que les valeurs centrales ne fassent l'objet d'une attaque »30(*) (A. Wolfers). La notion de sécurité est l'un des concepts fondamentaux des Relations Internationales.

Mais à l'image d'autres notions telles que intérêt national, puissance, équilibre des puissances, la sécurité est aussi une notion contestée quant à sa signification et à sa portée : les conceptions relatives au sujet de la sécurité, à ses enjeux, et à sa nature, varient selon que l'on est sécuritaire traditionnel, élargi ou critique.

S'inscrivant dans le paradigme réaliste, les sécuritaires traditionnels établissent une équivalence entre la stratégie et la sécurité : de même que les études stratégiques sont concernées par l'analyse des effets des instruments des forces dans les Relations Internationales, de même les études de sécurité portent sur la menace, l'usage et le contrôle de la force militaire.

3.1. Sources de politique de Sécurité nationale

En faisant abstraction des États totalitaires, en même de vivre une autarcie politique, et des politiques conjoncturelles durant lesquelles le processus décisionnel se fait sous la pression du temps qui entraîne une exacerbation du stress susceptible d'altérer significativement les capacités de jugement des politiques, on peut, à titre résolutoire, poser que la conduite des affaires liées à la sécurité nationale est tributaire d'au moins deux catégories de facteurs, externes et internes, dont l'équilibre négocié ici, forme le coeur des politiques de sécurité en RDC.

Le cadre externe est à la fois une force de conditionnement des politiques et de sécurité et une source d'alliés potentiels. Quant au contexte interne, il permet de comprendre pourquoi des acteurs placés dans des circonstances similaires agiront différemment, mais aussi de déceler les constantes qui guident l'action d'un État donné.

3.1.1.Les sources externes

a. La structure du système international

D'abord bipolaire puis unipolaire, elle affecte les politiques de sécurité ici de trois façons distinctes :

Tout d'abord, elle permet aux États de déceler les éventuels problèmes sécuritaires qui pourraient être causés par la prépondérance de la stratégie offensive au sein du système international, soit tout simplement par le syndrome dit de la « contiguïté géographique », conséquence de l'instabilité inhérente à un État voisin31(*).

Par ailleurs, la structure du système international détermine l'ampleur et la proximité temporelle de la matérialisation d'une menace en inspectant les capacités militaires des États ennemis (deuxième république).

Enfin, elle conditionne les réponses à apporter aux dangers qui se posent, en gouvernant par exemple les types de ripostes possibles, le choix final étant basé sur une évolution des gains relatifs à la nature de la stratégie adéquate, qui échappent difficilement au dilemme suivant : recourir à une alliance ou entreprendre une action isolée dont les coûts seront supportés par un budget propre (troisième république).

b. Les institutions internationales :

Nous entendons par « institution » une structure intégrée d'identités et d'intérêts qui tend asymptotiquement vers la stabilité. Dans ce sens, des textes tels que les Strategic Arm Limitation Talks (SALT) I et II ou encore les Organisations internationales sont tous des institutions, à des niveaux de sophistication distincts.

En matière de sécurité, les régimes et les communautés de sécurité (Organisation du Traité de l'Atlantique Nord, OTAN, Communauté de Développement de l'Afrique Australe, SADC) ont pour rôle principal de réguler les interactions entre membres, d'une part, et entre l'institution comme un tout et l'extérieur, d'autre part.

De plus, les institutions sont, en général, des structures contraignantes, car le membership constitue une sorte d'insertion structurelle, consciente ou non, qui favorise de facto, un contrôle mutuelle entre membres.

Enfin, contrairement aux apparences, contrevenir à l'une des règles régulatrices cardinales d `une institution n'est jamais sans risque : cela nourrit notamment une rancoeur de la part des autres parties de l `institution, une perte des bénéfices qui étaient associés au membership, une baisse de la réputation ou, pire, la soumission à des actions coercitives lorsque cela est politiquement et économiquement possible32(*).

3.1.2. Les sources internes

a. La puissance nationale : 

La puissance différencie les États en fonction de leurs aptitudes à mener une ou plusieurs politiques sécuritaires. La puissance nationale dépend surtout de trois facteurs : ce sont tout d'abord, les ressources matérielles disponibles au sein du territoire national ; elles-mêmes soumises aux conditions économiques, démographiques et technologiques; la capacité de l'État à prévaloir ces ressources pour conduire des politiques adaptées aux besoins nationaux ; et enfin la capacité de l'entité Étatique à gérer des exigences opposées posant sur l'allocation des ressources nationales disponibles33(*). Par ailleurs dans un sens quelque peu différent, la puissance nationale ou son expression dépendent fortement de la cohésion sociale du pays. Un État engoncé dans une fracture sociétale constitue une double menace, interne et externe.

Sur le plan interne, lorsqu'un État rencontre des demandes de reconnaissance politique identitaire assorties des revendications territoriales, il est souvent enclin à user la force militaire au nom de la survie nationale (exemple des banyamulenge en RDC). La redéfinition de l'espace et des composantes nationales est toujours vécue comme un pas vers l'émiettement menaçant la survie ontologique de l'entité Étatique.

Sur le plan externe, deux cas méritent d'être précisés. D'une part, si l'État fait usage de la force, le flot de réfugiés qui s'en suit peut, dans le court ou long terme, poser des problèmes de sécurité aux niveaux nationaux et/ou régionaux (le Rwanda en 1994). D'autre part, un État contesté à l'intérieur pour des raisons de déficit de légitimité ou d'échec de politique sociale, par exemple, peut provoquer une crise ou une longue division externe afin de mobiliser les ressources matérielles et non matérielles pour un objectif défini comme étant supérieur aux querelles internes du moment (le cas du Zaïre de Mobutu).

b. Les prédispositions nationales :

Sont des variables qui permettent de déterminer quelles politiques de sécurité un État sera disposé à adopter nonobstant sa puissance et quel que soit le problème de sécurité qui se pose. Ces prédispositions nationales peuvent être idéelles ou institutionnelles.

3.1.3. La source idéelle 

La plus marquante est la culture stratégique d'un État. Paraphrasant Clifford Geertz, Alastair Ian Johnston dépeint la culture stratégique comme un « système intégré de symboles, qui agissent afin d'établir des préférences stratégiques étendues et durables, en formulant des conceptions sur le rôle et l'efficacité de la force militaire dans les affaires politiques interétatiques, et en revêtant ces conceptions d'une autre objectivité telle que ces préférences stratégiques qui semblent exceptionnellement réalistes et efficaces »34(*). La stratégie, en tant que système de symboles revêt deux dimensions. La première idéelle ou théorique, consiste en des hypothèses concernant, d'une part , le rôle de la guerre dans les affaires humaines, et d'autre part, l'efficacité de l'usage de la force, ce qui englobe la capacité d'en contrôler les résultats, d'éliminer les menaces et d'évaluer les conditions qui rendent l'usage de la force tout à fait légitime.

Ces deux éléments, rôle de la guerre dans les affaires humaines et efficacité de l'usage de la force constituent le paradigme central, c'est-à-dire d'une collection des méthodes de recherche utilisées pour « guider la sélection des stratégies afin de résoudre les problèmes durant une période de temps spécifiable »

Le second versant de la culture stratégique, opérationnel, recouvre les opérations stratégiques les plus efficaces, qui ne sont pas nécessairement les plus efficientes, pour faire face à l'environnement menaçant, tel que défini par le paradigme central. C'est également à ce niveau opérationnel que la culture stratégique commence à avoir un effet substantiel sur le comportement des acteurs. Les composantes essentielles de la culture stratégique apparaissent sous la forme d'un ensemble hiérarchisé de préférences de grandes stratégies, qui sont consistantes à travers les objets d'analyse et persistent à travers le temps.

Ces composantes, ajoute A.I. Johnston35(*), ne sont pas nécessairement sensibles à des variables « non culturelles », telles que la technologie, la menace, l'organisation, etc. Un État ou un groupe d'États qui opte pour une confiance absolue en l'usage de la force pour une stratégie de type offensif : c'est la stratégie de type « réaliste dur » ou encore celle dite du « si tu veux la paix, prépare la guerre ». A l'opposé, se situe une stratégie de type idéaliste, favorisant l'accommodation et les négociations diplomatiques.

La hiérarchisation des préférences stratégiques permet de tester la consistance de la culture stratégique à l'intérieur des systèmes et, par ricochet, entre différents systèmes se référant aux différentes sociétés.

La classification des préférences permet alors de juger de la consistance des choix politiques à travers le temps et les objets analysés. L'inconsistance de ces préférences stratégiques doit permettre de conclure à l'inexistence d'une culture stratégique. De plus cette méthode permet de prévoir le comportement d'un acteur en fonction de la culture stratégique que l'on a identifiée. En d'autres termes, cette façon de concevoir la culture stratégique lui confère un caractère falsifiable que les traditions antérieures avaient largement négligé.

a. Les sources institutionnelles des prédispositions nationales : 

Sont souvent codifiées dans la constitution ou alors consignées dans d'autres documents officiels tels que les décrets, les lois et les accords gouvernementaux. Ces textes ont pour but d'assurer la légalité des décisions prises, mais ils constituent une variable négligeable lorsqu'il s'agit véritablement de spécifier l'influence des sources institutionnelles des prédispositions nationales sur une décision relative à la sécurité.

Cela est dû au fait que ces textes sont interprétés différemment selon la mouvance politique au pouvoir au moment de la prise de décision. A cet égard, les organes de décision, surtout administratifs, pourrait jouer un rôle plus crucial en la matière.

Par ailleurs, les missions, les fonctions et le statut de ces organes peuvent favoriser, telle politique plutôt qu'une autre, dans un contexte traversé par des luttes entre divers services impliqués dans la prise de la décision. Les médias, les complexes industriels liés à la sécurité et à la société civile peuvent également intervenir dans ce « champ » d'intérêts très contestés.36(*)

b. Les processus politiques : 

Leur poids sur la définition des politiques de sécurité nationale dépend de trois facteurs majeurs. Tout d'abord, il dépend de la structure formelle des institutions décisionnelles, à savoir si ces dernières sont centralisées ou décentralisées. Et s'il en existe plusieurs, quel est le rapport entre les organes de prise de décision ?

Ensuite, en ce qui concerne la distribution des élites influentes sur l'échiquier politique, cette variable est plus lourde dans les pays ayant une culture stratégique quasi inexistante. Dans ce cas, la décision est le résultat de négociations intergouvernementales et, dans le contexte des gouvernements de coalition, la politique de sécurité se joue à l'interface des marchandages entre partis politiques et membres du gouvernement. Des pays tels que la Belgique et l'Italie illustre bien cet État de fait.

Enfin, les normes et les règles procédurales qui gouvernent les mécanismes décisionnels jouent un rôle de boussole lorsque le pouvoir est décentralisé et que, simultanément, les différents organes chargés de construire les politiques de sécurité nourrissent les objectifs contradictoires. Les règles procédurales viennent alors hiérarchiser les organes de décision et réguler, de ce fait, les rapports entre ceux-ci.

La représentation manichéenne de cette analyse peut se décliner en quatre points : les niveaux d'analyse (individu, État, nation, globe) ; les secteurs (économique, sociétal, politico-militaire, environnemental)37(*) ; les sources pertinentes susceptibles d'influer sur les politiques de sécuritaire (externe et interne) et la méthode d'analyse orientée vers le positivisme.

Au total et en reformulant les points ci-dessus quatre questions interconnectées devraient guider l'étude des problèmes de sécurité :

La sécurité de qui ou de quoi ? Il s'agit de déterminer le référent adéquat ou le sujet de la sécurité. Il s'agit ici de définir quelle en est la source principale, quel est l'objet de la menace et quels sont les éléments pouvant affecter la perception de la menace.

Tout cela n'a de sens et de valeur heuristique que si l'on a préalablement répondu à la question suivante, à savoir s'il s'agit d'un processus de sécurisation ou d'une démarche de sécurisation. Ensuite, la sécurité par quels moyens (et à quel prix) ? Doit-on favoriser l'usage de la force, de la sanction ou leur préférer la négociation ? Enfin, quelles sont les sources internes et externes qui affectent les politiques de la RDC?

Le bien-être est ici abordé au sens large. Il peut être économique, social ou culturel. Cependant, la priorité lexicale et analytique accordée au niveau national de la sécurité doit tenir compte du fait que la sécurité endogène à un secteur n'égalera jamais celle accomplie dans un autre en vertu du coût marginal que cela entraîne. Il y a donc un déséquilibre intrinsèque au sein de la sécurité nationale étant donné que le degré de sécurité atteint à l'intérieur d'un secteur se fait au détriment des investissements dans un autre.

En définitive, le degré de sécurité national d'un acteur sera souvent fonction de l'équilibre entre la « somme totale » de sécurité à travers les secteurs et la pression exercée par le système international sur chacun de ceux-ci.

Toutefois, le caractère équivoque de la position de l'État dans le système international contemporain, entre référent et instrument de sécurité, obscurcit et rend incertaine la réponse aux questions conceptuelles que nous avons évoquées : la sécurité de qui ou de quoi (individu, État, Collectivité, global) ; et la sécurité pour quelles « valeurs » (bien-être, souveraineté, identité, écosystème). Dès lors il est probable que la technique qui permet de détourner ces deux principaux volets de travail et leur contenu avec le moins des risques est logée dans une conceptualisation et dans une prise en compte des niveaux analytiques qui structurent en retour ce contexte.

Nous souhaitons ici présenter un regard complet et critique sur les théories, les explications et les notions avancées par de nombreux auteurs aux analyses diverses et aux avis parfois contradictoires.

Au lecteur incombe le choix des interprétations qui lui conviendront. Les différences d'approche entre la littérature francophone (européenne) et celle anglophone (américaine et britannique), sur les questions de stratégie et de sécurité, sont marquées.

L'approche française est surtout dominée par deux types de contributions : celle des juristes, qui décrivent et analysent l'organisation des systèmes de sécurité et celle des géopolitologues qui expliquent les conflits par l'influence de l'Histoire et par les rivalités de pouvoir et de territoire. À ces deux courants s'ajoute une nouvelle école, plus critique et de nature sociologique : elle procède d'une relecture des phénomènes internationaux, notamment en raison de la mondialisation et de l'interdépendance qui mettent en cause la souveraineté Étatique.

L'approche anglo-saxonne, pour sa part, aborde ces questions de façon résolument plus théorique et empirique, s'inspirant du foisonnement toujours constant des théories de relations internationales. Quoi que plus anciennes, les écoles réaliste, idéaliste et libérale y sont persistantes et importantes. D'autres, comme le constructivisme et le postmodernisme, innovent et amènent une appréciation différente des enjeux de sécurité. C'est cette littérature anglophone qui mérite aujourd'hui d'être mieux connue de noslecteurs potentiels.

De semblables contributions existent amplement dans la discipline des relations internationales, mais n'ont curieusement pas leur place dans les ouvrages qui traitent de géopolitique, de stratégie, de guerre ou de paix. Alors que plusieurs sont spécialisés sur l'une ou l'autre de ces dimensions, très peu d'entre eux apportent à l'étudiant, au chercheur et au professeur une vue d'ensemble.

* 25 P. Roe, «the Intrastate Security Dilemma: Ethnic Conflict as a `Tragedy?», InJournal of Peace Research, Vol. 36, N°2, S-V, 1999, p. 183-202.

* 26 C.P. David, Théories de la sécurité. Définitions, approches et concepts de la sécurité internationale, Paris, Montchrestien, 2002, (avec Jean-Jacques Roche). pp 45-90

* 27Ciceron, « Tusculan Disputations », V.42, cité par Rothschild, « what is Security? », Daedalus, vol. 124, n°3, Été 1995, p.61

* 28R.Descartes, « Les passions de l'âme » (art.166), In OEuvres et Lettres, Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la pléiade », 1952, pp 775-776

* 29J.J.Rousseau, « Du contrat social », In OEuvres complètes, Paris, Gallimard, Coll. « Bibliothèque de la pléiade », 1964, p486

* 30T.Balzac, « Qu'est-ce que la sécurité Nationale ? » In La revue internationale et stratégique, n°52, hiver 2003-2004, p.22.

* 31 C.P. David, Op.cit, p40.

* 32 C.P. David, Op.cit, p57.

* 33 C.P. David, Op.cit.,p68.

* 34A.I.Johnston, «Cultural Realism in Maoist China», In Peter J. Katzenstein, The culture of national security: norms and identity in world politics, New York, Columbia University Presse, 1996, p222

* 35A.I.Johnston, Op.cit., p222.

* 36A.B. Wildavsky, « Choosing preferences by constructing institutions : A cultural theory of preference Formation», InAmerican political science review, Vol.81,N°1,1987,pp.3-20

* 37 C.P. David, Op.cit, p82.

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"Le doute est le commencement de la sagesse"   Aristote