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La laà¯cisation de l'espace politique en république démocratique du Congo. une analyse critique des rapports église catholique-état de l'indépendance à  2008

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par Sylvain CIRHUZA BALAGIZI
UOB - Licence 2008
  

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Section IVème : La doctrine socio-politique de l'Eglise romane

L'Eglise catholique n'a pas arrêté son influence dans les affaires de l'Etat, c'est la raison pour laquelle de nos jours, elle continue à insinuer une doctrine sociopolitique considérée comme justifiant sous forme légale, son influence sur les affaires temporelles, c'est-à-dire sa manière de percevoir la cité, ses problèmes sociaux et sa gouvernance.

Jean XXIIIe, dans << mater et magistrat », nous montre que la doctrine sociale de l'Eglise catholique a sans doute une valeur permanente85. Et Rigobert Minani renchérit en disant que son principe essentiel est que l'homme est le fondement, la cause et la fin de toutes les institutions sociales, l'homme en tant qu'être social par nature est un ordre de réalités qui transcendent la nature86.

En parlant de ce principe fondamental qui proclame et garantit la dignité sacrée de la personne humaine, l'Eglise catholique a mis au point un enseignement social destiné aux gouvernants qui indique comment organiser les relations humaines selon de normes universelles, conformes à la nature des choses, adapté aux diverses conditions de la société.

84 S. LABIN, Op.cit., p. 169.

85 Rigobert MINANI, Existe-t-il une doctrine socio-politique de l'Eglise ?, CEPAS, Kinshasa, 2000, p.54.

86 Rigobert MINANI, Op. cit., p. 54.

1. L'Eglise et le monde

Pour Paul VI, les initiatives locales et individuelles ne suffisent plus. La situation présente du monde exige une action d'ensemble à partir de la claire vision de tous les aspects économiques, sociaux, culturels et spirituels. Experte en humanité, l'Eglise, sans prétendre aucunement s'immiscer dans la politique des Etats, « ne vise qu'un seul but : continuer, sous l'impulsion de l'Esprit consolateur, l'oeuvre même du Christ venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité, pour sauver, non pour condamner, pour servir, non pour être servi »87

Le pape s'adresse donc à tous les hommes de l'Eglise, aux chrétiens. Il explique pourquoi il parle aux évêques, aux prêtres, aux religieux et aux laïcs.

Aujourd'hui quand on veut commencer à développer une région, on demande d'abord des conseils à certaines personnes. Ces personnes peuvent donner des conseils parce qu'ils en ont l'expérience. On appelle ces personnes des experts. Il y a des experts en construction, des experts en économie, des experts en agriculture...

Le pape dit que l'Eglise aussi peut donner des conseils à tout le monde parce que l'Eglise est un expert en humanité. C'est-à-dire expert en hommes. Elle connaît bien les hommes parce que Dieu lui-même lui a appris à les connaître88.

La complexité de ces déclarations papales réside dans le fait que cette dernière proclame l'Eglise en tant que experte et de ce fait, conseillère des animateurs politiques en développement socio-humanitaire et par ricochet en politique. Peu importe la véracité de cette affirmation, il sied de noter ici que ce rôle de conseiller relève de la fonction politique que se veut l'Eglise. Or, par ailleurs le pape signale encore que l'Eglise n'avait aucune prétention de s'immiscer dans les affaires de l'Etat. Ces deux déclarations contradictoires nous révèlent la volonté de l'Eglise de ne pas lâcher les affaires du monde dont elle veut occuper le rôle de premier rang. Ceci disons-le est de nature à semer la confusion au niveau des instances politiques où les politiques se trouvent entourés des hommes d'Eglise en tant que conseillers c'est-à-dire qui guident l'action politique des gouvernants assortie par là de l'irrationalité politique, la foi se trouvant au centre de toute préoccupation politique.

2. L'Eglise et développement des peuples

Pour Paul VI, le développement des peuples, tout particulièrement de ceux qui s'efforcent d'échapper à la faim, à la misère, aux maladies endémiques, à l'ignorance ; qui cherchent une participation plus large aux fruits de la civilisation, une mise en valeur plus active de leurs qualités humaines ; qui s'orientent avec décision vers leurs plein épanouissement, est d'abord le devoir de l'Eglise et

87 Lettre du Pape Paul VI in Paul ZOUNGRANA, Le Développement des peuples, Paris, Saint-Paul, 1968, p. 26.

88 Idem, p. 32.

considéré avec attention par lui. Au lendemain du deuxième Concile oecuménique du Vatican, une prise de conscience renouvelée des exigences du message évangélique lui fait un devoir de se mettre au service des hommes pour les aider à se saisir toutes les dimensions de ce grave problème et pour les convaincre de l'urgence d'une action solidaire en ce tournant décisif de l'histoire de l'humanité89.

Ici, il faut avouer l'effort de l'Eglise dans le travail de socialisation morale et de conscientisation des acteurs sociaux en matière de développement des peuples parce que à l'issu de son enseignement, le développement ne se réduit pas à la simple croissance économique. Pour être authentique, il doit être intégral, c'est-àdire la promotion de l'homme.

<< Fidèle à son enseignement et l'exemple de son divin fondateur qui donnait l'annonce de la Bonne Nouvelle aux pauvres comme signe de sa mission >>90, l'Eglise n'a jamais négligé de promouvoir l'élévation humaine des peuples auxquels elle apportait le bien être socio-spirituel. Elle a construit en RDC, des hospices et des hôpitaux, des écoles et des universités. Enseignement aux indigènes le moyen de tirer meilleur parti de leurs ressources naturelles, ils les ont souvent protégés de la cupidité des étrangers.

Précisons que la majorité d'intellectuels congolais aujourd'hui sont passé par les écoles et universités confessionnelles et ces dernières sont toujours considérées comme étant seules capables d'octroyer une formation de qualité au peuple suite à la défaillance du secteur public. Voilà encore un aspect tenant à la problématique de laïciser l'espace politique congolais dès lors que la plupart des gens gardent encore les souvenirs de reconnaissance envers l'Eglise se trouvant ainsi fidèles à la foi chrétienne.

Voila l'analyse qui nous amène à appréhender une autre approche du fait que l'Eglise en s'appropriant le social par des oeuvres diverses, a affaibli l'Etat, ce dernier lui devient préposé. D'où la prééminence de l'Eglise sur l'Etat au cours de l'histoire. Ainsi, les allégeances sont mieux faites à l'Eglise qu'à l'Etat qui a perdu sa crédibilité et sa confiance à l'égard du peuple.

En ce qui concerne la doctrine socio-politique de l'Eglise catholique, un père missionnaire d'Afrique interrogé nous donne l'essence du principe : << Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu >> :

Selon lui, Chacun de nous a besoin de savoir où il va, quel est le sens de sa vie, comment rejoindre celui qui l'a créé et en qui il trouvera la plénitude de la vie et de la joie. Jésus-Christ est venu pour nous apprendre tout cela, et l'Eglise est là pour nous redire ses paroles et nous faire entrer dans << la communion de Dieu >>. il renchérit que, plus humblement, chacun de nous est un vivant. Chaque jour, il lui

89 Paul VI, Le développement des peuples. << Populorum progressio >>, Centurion, Paris, 1967, p. 55.

90 Paul VI, Lettre encyclique, op. cit., p. 65.

faut trouver de quoi manger. Il a besoin de s'habiller, de se soigner, de trouver un abri. Chaque peuple, pour sa part, doit éduquer sa jeunesse, s'organiser, se défendre. L'humanité entière, elle, aspire à vivre en harmonie. Elle rêve la liberté, la justice et la paix. Mais là, inutile de consulter l'Evangile pour y trouver des recettes. Il n'est pas un code civil, ni un manuel de politique. Ce que les affaires de ce monde, Dieu les a laissées entre les mains des hommes. << Le ciel c'est le ciel du Seigneur, mais la terre, il l'a donnée aux fils d'Adam. Quant à Jésus, il refuse de traiter les hommes comme des enfants. Qu'ils soient adultes et prennent leurs responsabilités ! >>91.

Apres cette explication, nous avons posé deux questions au même missionnaire :

- << Chacun son rôle, bien entendu mais dans le cas où la société civile remplit sa fonction et la politique établie par les hommes reste juste et efficace, l'Eglise, selon ses moyens, peut-elle apporter son appui à la société ? Est-ce un devoir pour elle-même lorsque les choses tournent bien ?

- << l'Eglise, à la mesure de ses moyens, peut-elle prendre la place des institutions défaillantes dans une situation où les hommes politiques deviennent inapte à réaliser le bien commun et mettent en péril le présent et l'avenir ? Est-ce un devoir pour elle de le faire ? >>

Voici les réponses du missionnaire à ces deux questions :

- << il faut vous rappeler que l'Eglise catholique dispose d'une doctrine socio-politique qui est son manuel social en vue d'aider les gouvernants politiques à bien accomplir le bien être humanitaire. C'est-à-dire pour répondre à votre question, l'Eglise doit toujours intervenir à titre caritatif pour réduire l'écart qu'il y a entre les riches et les pauvres. Parce que même dans un pays développé, il est toujours les riches et les pauvres. Et l'Eglise doit assurer le développement humanitaire intégral de tout homme et de tout l'homme. Nous vous rappelons pour d'amples précisions à cette question de lire populorum progressio, la lettre de l'encyclique Paul VI >>92.

- << vous tenez que devant la crise institutionnelle vers l'année 1961, l'organisation politique du pays (RDC) tombe en ruine et l'Etat s'est affaibli de manière dramatique, la conscience professionnelle, le courage au travail, le souci du bien commun ont disparu. Les fonctionnaires ont cherché à s'enrichir, les lois n'étaient plus respectées, chacun se débrouille, et quant chacun se débrouille, vous le savez, ce sont toujours les pauvres qui souffrent. Ceux qui n'ont pas d'argent pour acheter les juges et qui n'ont pas d'amis parmi les puissants pour les défendre. Ne sachant plus à qui s'adresser, le Général Mobutu a demandé aux évêques de devenir officiellement les << défenseurs des pauvres >> et à défaut de cette autorisation, l'Eglise fidèle à sa doctrine sociale, ne pouvait pas laisser le peuple de Dieu dans cet état de pauvreté. C'est pourquoi le peuple avait compté et compte encore sur l'Eglise

91 Entretien du 25 juillet avec le Père Bernard AWAZI : Missionnaire d'Afrique et directeur du CERDAF.

92 Idem.

pour réorganiser la société aux plans social et humanitaire. Nous avons donc pris l'exemple historique que, dès le 4e siècle, l'Eglise commence à prendre la place des institutions civiles avec le mouvement barbare en occident et au 5e siècle, le << flot des barbares » se répand sur l'Europe occidentale. L'administration est désorganisée et l'armée elle-même a disparu. Les seuls hommes capables de prendre en main la situation sont les évêques. Car eux, du moins n'ont pas abandonné leur troupeau. Ils organisent la défense des villes. Tout cela relève de la doctrine sociopolitique de l'Eglise catholique. » 93.

3. Les fondements de la doctrine socio-politique de l'Eglise

Pour l'Eglise catholique, sa doctrine socio-politique tire son fondement dans les trois aspects suivants : évangélique, juridique et philosophique.

a) Le fondement évangélique

D'après l'Eglise catholique, même Christ fut lui-même confronté à des questions politiques. Et c'est de lui qu'est venu cette célèbre phrase << Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ». Cette distinction entre le politique et le religieux était très fondamentale, car les princes se prennent comme les dieux, ils exerçaient les fonctions politique et religieuse simultanément.

b) Le fondement juridique : Laïcité de l'Etat et liberté de Religion

Plusieurs pays se déclarent laïcs, les préambules des constitutions et les dispositions constitutionnelles elles-mêmes affirment la séparation de l'Etat et des Eglises et en outre que l'Etat reconnaît et respecte toutes les croyances.

Dans la plupart de textes constitutionnels, nous retrouvons la formule suivante : << la République,... est laïque. Elle assure à tous l'égalité devant la loi sans distinction d'origine, de race, de sexe ou de religion »94.

A titre illustratif, nous retenons la constitution ivoirienne du 03 novembre 1960. L'art. 2 et 6, telle que modifiée par la loi n° 60-356 du << pouvoir 1963, au Sénégal, la constitution du 07 mars 1963 modifiée par la loi du 20 juin 1967 portant révision constitutionnelle, et en RDC, l'art. 10 de la constitution révolutionnaire notée par référendum en juin 1967 préconise un Etat laïc et dès lors les constitutions qui vont suivre jusqu'à celle de la 3ème République vont connaître aux articles premiers ce principe de la laïcité de l'Etat même si sa matérialisation reste encore quelque peu illusoire.

93 Entretien du 25 juillet, Op. cit.

94 M. Ahanhanzo Glélé, op. cit., p. 43.

c) Le fondement phiosophique

L'Eglise fait remarquer que le souci de sauvegarde des droits fondamentaux du citoyen a toujours animé les autorités ecclésiales c'est ce que soutenait le pape PAUL VI dans sa lettre apostolique << octogesina advenien » publiée pour le 80e anniversaire de l'évangélique << Rerum novearum » lorsque il déclare que : << il n'appartient ni à l'Etat, ni aux partis politiques de chercher à imposer une idéologie par des moyens qui aboutiraient à la dictature des Esprits. Le Vatican II renchérit en disant que << la vérité ne s'impose que par la force de la vérité elle-même, qui pénètre l'Esprit avec autant de douleur que de puissance95.

4. Les grands principes directeurs selon les encycliques sur les rapports entre le pouvoir ecclésial et le pouvoir politique

Dans la présente section, nous allons analyser les principes directeurs96 sur lesquels, dans les perspectives de la doctrine catholique, doivent s'établir les rapports du pouvoir ecclésial et du pouvoir politique.

a) Le principe de la distinction fondamentale entre le pouvoir ecclésial et le pouvoir politique

Selon ce principe, il ne doit pas y avoir confusion entre le pouvoir ecclésial et le pouvoir politique. Selon l'Eglise catholique, cette vue est capitale dans le Christianisme car s'enracine dans le mot du Christ : Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu ».

b) Le principe de la solidarité fondamentale du pouvoir ecclésial et du pouvoir politique

Ce principe peut être formulé de la manière suivante : << Quoi que distincts, les deux pouvoirs ne peuvent et ne doivent pas s'ignorer ».

La solidarité de ces deux pouvoirs tient à deux niveaux :

En premier lieu elle tient au caractère spécifique de l'action du pouvoir politique. En effet, toute décision prise par un pouvoir politique en vue d'assurer le bien commun dont il a la charge, postule de la part des gouvernants trois préoccupations : d'abord la préoccupation d'analyser correctement les situations auxquelles il doit faire face, ensuite la préoccupation de faire l'inventaire des moyens juridiques, institutionnels, législatifs, techniques,...dont il dispose. Enfin, la préoccupation de discerner les valeurs, qu'a à travers les moyens employés, il devra poursuivre au sein des situations objectivement repérées. Si l'homme d'Etat a compétence, par l'intermédiaire du travail de ses services techniques, il appartient à l'aider à bien

95 Vatican II cité par R. MINANI, op. cit., p. 57.

96 Alfred de SORAS, op. cit., p. 33.

discerner les valeurs d'existence mises en cause par la conjoncture et aussi par les décisions prises.

En d'autres termes, selon ce principe, si l'on tient compte de l'urgence pour l'homme d'Etat d'avoir la préoccupation des valeurs, il faut dire que son action ne saurait être ce qu'elle doit être si elle n'est pas inspirée par un certain sens des valeurs d'existence à poursuivre. Or, pour l'Eglise romane le pouvoir ecclésial est par vocation dépositaire et dispensateur du sens de valeurs authentiques.

c) Le principe de la souveraineté du pouvoir politique sur son terrain spécifique d'action

Dans l'exercice de ses fonctions propres, le pouvoir politique est souverain. Cela revient à dire que le pouvoir ecclésial ne dispose d'aucune juridiction civile proprement dite sur le pouvoir politique, d'aucun haut domaine temporel et politique sur le pouvoir civil.

d) Le principe de la souveraineté du pouvoir ecclésial sur son terrain spécifique d'action

Dans l'exercice de ses fonctions sacrées, le pouvoir ecclésial est souverain. En d'autres termes, le pouvoir politique, en tant que tel n'a aucune compétence pour donner à l'Eglise des ordres dans les domaines de l'évangélisation des âmes, de la liturgie, de la discipline des sacrements, de l'action catholique.

En parcourant la littérature sur la doctrine socio-politique de l'Eglise catholique, on relève d'emblée que cette doctrine prétend stigmatiser le champ social dont l'Eglise ne doit pas passer outre ses interventions c'est-à-dire l'intention de l'Eglise de ne vouloir laisser à l'Etat, la charge des domaines socio-politiques dont ce dernier a la responsabilité depuis qu'il a largement débordé sa vocation traditionnelle de maintien de l'ordre (police et l'armée) pour étendre son action sur l'école, la santé, l'économie, le social, etc., étant donné que l'Eglise et l'Etat partagent un même d'action à savoir la société.

Cependant, on s'aperçoit que cette doctrine socio-politique de l'Eglise catholique apparaît comme un prétexte laissant croire à l'amour de l'Eglise vis-à-vis des ses adeptes. Ainsi elle se dit « Eglise défenseur des pauvres ». En réalité, au-delà de ce qui est déclaré (l'intention déclarée), cette doctrine est conçue pour justifier l'engagement politique de l'Eglise et la conduite des affaires d'ici bas (du monde). C'est « l'intention non déclarée ». Ce qui fait que, dans la pratique, l'Eglise par les prélats étendent leur intervention en dehors des missions pour lesquelles l'Eglise existe et sur base desquelles, elle aurait dû fonder sa doctrine. Ceci traduit en fait, la volonté des religieux de ne jamais lâcher la politique car animés par les ambitions matérialistes et symboliques.

Il y a donc lieu de dire que l'Eglise est une mécanique à la fois idéologique et politique qui ne dit pas son nom mais dont les actions témoignent de sa duplicitéet du non dit de ses prétentions à surclasser, du moins à contrôler la dynamique

étatique au point de l'annihiler et dans une large mesure de se substituer à lui ; donc de majorer sur la part de Dieu des portions importantes du patrimoine de César. Ce qui constitue en filigrane une violation de principe de séparation.

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"Soit réservé sans ostentation pour éviter de t'attirer l'incompréhension haineuse des ignorants"   Pythagore