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Les activités réalisées à  la salle d'opération de gynécologie-obstétrique des cliniques universitaires de lubumbashi du 1 janvier 2017 au 31 decembre 2018 : fréquence des interventions, profil des patientes, profil des opérateurs et complications


par Trésor Kanonge Malenge
Université de Lubumbashi - Docteur en medecine  2019
  

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PARTIE THEORIQUE

CHAPITRE I : LE BLOC OPERATOIRE

I.1. DEFINITION

Le bloc opératoire est une enceinte dédiée à des actes invasifs réalisés quelles que soient la modalité et la finalité, en ayant recours aux équipements adéquats et en regroupant toutes les compétences médicales et paramédicales requises pour assurer la sécurité des patients.[5] C'est un ensemble de plusieurs salles d'opérations réunies dans une même unité immobilière. Cet ensemble fonctionne de manière autonome.

I.2. HISTORIQUE

Dans un premier temps, dans les hôpitaux, les actes chirurgicaux se faisaient dans les salles d'hospitalisation : les chirurgiens opérant les malades dans leur lit. Ce n'est qu'au 18ème siècle, dans les années 1780 avec les hôpitaux militaires qu'apparaîtra une salle annexe à l'hospitalisation, salle réservée aux interventions chirurgicales[6,7]. Ces salles d'opération se sont multipliées en même temps que s'étendait le champ des indications opératoires...

Depuis ce temps où l'on opérait dans les salles de malades et après une grande avancée due au Dr Pasteur et au Dr Lister, qui ont travaillé sur la notion d'asepsie opératoire et la prise deconscience du risque de contamination aéroportée, c'est seulement au 19ème siècle, avec les avancées sur la notion d'asepsie opératoire et la prise de conscience du risque de contamination aéroportée, que les locaux opératoires ont été isolés du reste de l'hôpital.[7]

L'invention du scialytique un nouvel outil, transformation de la chirurgie moderne après Pasteur, Lister : utilisation du Phénol pour laver les plaies, Terrier et Terrillon séparent les malades, utilisent des gants, et mise en oeuvre d'autoclaves [6].

Au total, le bloc opératoire est issu de ces évolutions mettant en évidence le besoin d'un environnement de plus en plus lourd et complexe de matériel, de diagnostic, d'assistance et de contrôle. Parallèlement, l'équipe opératoire s'est agrandie et diversifiée.

Ces exigences croissantes ont conduit aux évolutions techniques : matériel et mobilier spécialisé, protection contre les contaminations, rapprochement de la stérilisation, éclairage du champ opératoire, traitement de l'air, et pour la rationalisation du personnel, les salles ont été regroupées en blocs opératoires.

Mais avec la spécialisation des activités chirurgicales, on assiste à une évolution vers des blocs opératoires spécialisés qui trouvent leurs limites dans la difficulté de faire fonctionner correctement un ensemble de plusieurs salles. Le caractère déterminant des circuits (entrée et sortie des malades, personnel et matériel) influence l'implantation des blocs opératoires dans le bâtiment et sa position dans l'ensemble de la structure hospitalière.

I.3. CONCEPTION ARCHITECTURALE

La notion de bloc opératoire contigu au service semble définitivement révolue pour céder laplace au concept de bloc opératoire pluridisciplinaire unique, solution beaucoup moinscoûteuse et plus rationnelle. L'avantage essentiel est en effet de mettre en commun leséquipements mais aussi la majorité des personnels : anesthésistes, infirmiers de bloc, aidessoignants,agents de service, brancardiers [8].

Actuellement, il existe une si grande diversité de procédures et de moyens chirurgicaux nécessitant des équipements spécifiques et un environnement adapté, qu'il est essentiel d'avoir une exigeante conception des blocs opératoires.

De manière traditionnelle, les blocs opératoires se trouvent au Rez de Chaussée ou au premier étage, parfois même au sous-sol, proche de l'urgence et de la radiologie. Il faut noter, toutefois, que la contamination est plus présente près du sol que dans un endroit élevé. Il serait donc pertinent de prévoir la construction du bloc opératoire à un étage plus élevé. Ceci permettrait en outre d'envisager périodiquement l'ouverture des fenêtres, même dans les salles d'opération, lors de maintenances hebdomadaires ou mensuelles [9]. Ensuite, il faut penser à la proximité et la facilité de communication avec l'unité de réanimation, l'unité des soins intensifs postopératoires ainsi que l'unité de stérilisation centrale.

En ce qui concerne la situation du bloc opératoire par rapport au reste de l'établissement, et ce, du point de vue fonctionnel, le bloc opératoire doit fournir une simplicité de mouvements à l'intérieur et en-dehors du bloc, en permettant au personnel sanitaire de travailler sans qu'il soit nécessaire d'en ressortir pour réaliser des tâches telles que l'accompagnement des patients ou l'envoi des analyses au laboratoire. Ceci peut être appliqué en disposant de vestiaires et de locaux nécessaires à l'intérieur même du bloc. Du point de vue aseptique, il faut minimiser le risque de contamination dû au transport de déchets ou de matériel souillé. Le matériel « sale » sera évacué à l'aide de containers hermétiques. Le matériel propre sera livré quant à lui à l'aide de containers étanches. D'ailleurs, cela permettra le déplacement de personnes dans les couloirs sans risque de contamination.

I.4 ORGANISATION DU BLOC OPÉRATOIRE

Il s'agit d'un sujet difficile et complexe ; de nombreuses possibilités existent, qui vont toutes avoir des conséquences sur les flux au sein du bloc opératoire. Un des principes fondamentaux à respecter est celui de « la marche en avant », en allant du plus sale vers le plus propre. Ce concept de l'asepsie progressive, constitue un des remparts essentiels à l'infection au bloc opératoire. Il délimite cinq zones d'asepsie différenteet croissante, tout le long du cheminement, depuis l'extérieur du bloc opératoire jusqu'à la table d'opération[10].

L'asepsie progressive va être obtenue par la mise en place d'une surpression d'environ15 pascals entre différentes zones du bloc opératoire et le franchissement de «douanes» dont le rôle est de réduire l'introduction de micro-organismes de la zone d'amont vers la zone d'aval[7].

La première douane permet ainsi le passage de l'extérieur du bloc à la zone commune du bloc opératoire, s'appliquant aussi bien au chirurgien (sas du vestiaire) qu'au patient (sas de transfert) et au matériel (sas de décartonnage)[10].

- La deuxième douane conduit à la salle d'intervention, par l'intermédiaire de la salle de préparation pour le chirurgien, de la salle d'induction pour le patient et de l'arsenal stérile pour le matériel.

- La zone opératoire doit être approchée par des personnes ou du matériel ayant reçu une préparation spécifique : pour le patient, il s'agit de la préparation et de l'antisepsie cutanée, pour l'équipe opératoire du lavage chirurgical des mains et de l'habillage stérile, et pour le matériel stérile de la sortie de son emballage ou de son contenant. Cette zone « hyperpropre » autour de la table d'opération peut par ailleurs être délimitée et signalée par un revêtement de sol de couleur différente.

Figure1 : organisation du bloc opératoire [5]

I.4.1. Les différents locaux du bloc opératoire

Le sas est un lieu de passage obligé qui doit être doté d'un équipement spécifique le différenciant de son environnement et lui permettant de répondre à son objectif premier : le passage contrôlé et sous certaines conditions entre deux zones de qualité aseptiques différentes.

a. Le bureau des cadres infirmiers

Il sera situé à l'entrée du bloc opératoire, près du point d'accueil et de transfert des patients dans le bloc. C'est également un lieu où le personnel du bloc opératoire, infirmiers et anesthésistesdoivent pouvoir communiquer avec le personnel hors bloc.

Une solution peut consister en un guichet qui permettra les échanges verbaux et la transmission des dossiers (clichés radio, résultats d'analyses, ...)

Ce bureau devra recevoir tous les moyens de communication souhaités : téléphone, écran informatique, pneumatique, voyants de contrôle du traitement de l'air des salles d'opération.

b. L'accès des patients

Il faut envisager les deux alternatives de la chirurgie conventionnelle et de la chirurgie ambulatoire, les aspects à aborder sont les suivants :


· Mode de transfert du patient (lit, civière, chariot, ...)


· Stockage de ces moyens de transfert hors du bloc.


· Utilisation d'un »passe-malade» pour l'entrée du patient au bloc opératoire.

En ce qui concerne les aspects particuliers de la chirurgie ambulatoire, il faudra prendre encompte un espace de déshabillage, de toilette et de préparation, le transfert en salle d'opération etun espace de récupération différent de celui de la chirurgie conventionnelle[9].

c. Les vestiaires d'accès au bloc opératoire

Ce vestiaire incontournable crée la contrainte de changement de tenue. Il doit contenir les éléments suivants :

- Vestiaire d'entrée (pour déposer la tenue extérieure), où se trouvent les casiers (à double entrée) de rangement des vêtements, des effets personnels et des chaussures;

- Vestiaire d'entrée (d'habillage) qui comporte les lavabos pour le lavage des mains et un meuble de rangement pour le stockage des tenues de bloc opératoire;

- Vestiaire de retour (de déshabillage), où le personnel dépose la tenue de bloc opératoire;

- Vestiaire de retour (de reprise de la tenue extérieure), où le personnel reprend ses vêtements, ses effets personnels et ses chaussures;

- Sanitaires équipés de toilettes, douches et lavabos, lesquels sont accessibles depuis le vestiaire de retour (de reprise de la tenue extérieure).

I.4.2. l'unité opératoire

a. la salle d'opération

C'est l'unité immobilière et mobilière destinée aux interventions chirurgicales [6], c'est une salle de forme carrée ou rectangulaire avec angles arrondis ou en pans dont la surface d'au moins 36 à 50 m² est raisonnablement nécessaire pour un fonctionnement correct [7].

Le sol doit être antistatique et conducteur, les murs doivent être lisses, mais non éblouissants, lavables à l'eau et aux désinfectants, sans joints, sans crevasses et n'accumulant pas de charge statique.Les plafonds doivent être lisses et lavables.

Les salles d'opération doivent être équipées d'un système d'aération fonctionnant avec des filtres absolus, assurant au moins 15 renouvellements d'air par heure. Ildoit être possible de régler la température jusqu'' à 24°C et le degré d'humidité de 40à 60 %.[11]. Les salles d'opération sont toujours en surpression[9].

La salle d'opération ne possède qu'une porte par laquelle entrent et sortent l'équipe chirurgicale, le patient, les équipements et différents matériels.Cette porte est de préférence coulissante, commandé par une ouverture au pied (détecteur de présence à placer en partie basse de la cloison) [7].

b. la zone périphérique (locaux annexes) [9]

b.1. Local préparation patient

C'est une salle spécifique pour la préparation du malade avant d'entrer à la salle d'opération.

Cet espace doit disposer d'un point d'eau, d'équipements mobiles ainsi que d'un plan de travail pour recevoir les champs opératoires, les draps et les chemises chaudes.

b.2. Salle de pré anesthésie

Cette salle est normalement adossée à la salle d'opération et doit être suffisamment spacieuse pour le chariot du patient, l'équipe médicale, le matériel sur chariot (moniteur, respirateur, ...)et les plans de travail. Elle doit contenir un point d'eau ou un lave-mains. La salle doit toujoursêtre assez grande pour permettre l'accès d'un possible équipement d'éclairage d'ambianceet/ou spécialisé, d'un bras anesthésiste (avec son équipement) ainsi qu'une arrivée des fluideset vide médicaux. Cette salle ne doit avoir aucune porte de communication avec la salled'opération.

b.3. Local préparation équipe chirurgicale

Cette salle est dédiée à toute l'équipe chirurgicale et à la pré-anesthésie avant l'entrée du patient dans la salle d'opération et/ou de pré-anesthésie. Ces salles peuvent être situées dans un dégagement aménagé au plus près de l'entrée des salles d'opération et ne doivent jamais donner directement sur la circulation générale interne du bloc opératoire.

b.4. la salle de réveille

La salle de réveil est l'endroit où le patient est conduit après l'opération à l'aide d'un chariotbrancard qui est conservé jusqu'au retour du patient dans son lit lors du transfert à la sortie de la même salle de réveil. Elle est aménagée de manière à ce qu'on puisse y installer les divers équipements de réanimation. Ceci comprend une potence pouvant recevoir un bras articulé avec éclairage focalisable pour les soins, des prises électriques murales et une alimentation en fluides médicaux (oxygène, protoxyde d'azote, air comprimé médical et le vide).

I.4.3. locaux de stockage et locaux de stérilisation [9]

a. locaux de stockage

La définition des locaux de stockage prend en compte l'activité du service et la fréquence des approvisionnements en provenance des divers fournisseurs, des services d'approvisionnement et de la stérilisation centrale ; ce qui permettra de définir le nombre de locaux nécessaires, leur surface, leur position dans le bloc opératoire et leur équipement (rayonnages et plans de travail, containers, ...)

a.1. Stockage des produits et matériels

On prévoit le stockage :


· Des produits stériles : linge et matériel médico-chirurgical.


· Des produits non stériles : linge et matériel.


· Des produits pharmaceutiques : solutés et médicaments divers.


· Des matériels en »dépot-vente» tels que les prothèses.


· Des matériels coûteux tels que les optiques de microscopes ou le matériel vidéo.

a.2. Local »anesthésistes» (produits et matériel)

C'est un local spécifique conçu en surface au sol et en équipements de rangements pour recevoirles produits propres à cette activité et le matériel d'anesthésie et de réanimation y compris éventuellement les respirateurs.

a.3. Rangement des gros matériels et du mobilier

Ce local est destiné à recevoir par exemple :


· Mobile de radioscopie.


· Echographe.


· Microscope opératoire.


· Endoscopes.


· Equipements laser.


· Bistouris à ultrasons, à l'argon, bistouris de dépannage.


· Eclairage opératoire mobile d'appoint.


· Générateur à lumière froide.


· Aspiration mobile.


· Circulation extracorporelle.


· ...

Eventuellement, un local annexe pourra être nécessaire afin de recevoir les accessoires des tables d'opération tels que les matelas et couvertures chauffants, les accessoires d'orthopédie et les guéridons d'accessoires complémentaires.

a.4. Stockage des produits et matériels d'entretien

Un local spécifique est nécessaire, il doit être bien ventilé et placé en dépression. Il ne contiendra que des produits et matériels réservés exclusivement à l'usage du bloc opératoire, c'est à dire : produits et matériels d'entretien sur rayonnages, chariots de nettoyage, monobrosses et aspirateurs à eau, un point d'eau et un de vidange.

b. Locaux de stérilisation[9]

b.1. Nettoyage et désinfection

Une analyse préalable de l'organisation fonctionnelle du bloc opératoire permettra de déterminer où seront effectués le nettoyage et la désinfection des équipements mobiles courants des salles d'opération ainsi que des équipements biomédicaux tels que microscopes, ventilateurs,moniteurs...

Les instruments chirurgicaux, quant à eux, sortent des salles d'opérations dans des bacs de trempage fermés et posés sur des guéridons roulants pour rejoindre la stérilisation.

b.2. Stérilisation

Elle est du ressort de la stérilisation centrale. Selon la taille et l'organisation de l'établissement, les modalités pourront être différentes. Au bloc opératoire, il sera souvent utile de prévoir un stérilisateur »flash» ou stérilisateur au plasma pour restériliser rapidement un instrument non souillé, tombé à terre lors d'une erreur de manipulation.

I.4.4. Autres locaux

1. local d'anatomie pathologie

2. local d'informatique

3. salle de détente

I.5.L'ÉQUIPEMENT DU BLOC OPÉRATOIRE

I.5.1. Equipement fixe [6]

a. Eclairage opératoire

Figure 2 : Lampes chirurgicales fixées sur un bras articulé [5]

La disposition des scialytiques doit être fonction de la position de la table d'opération, du type dechirurgie, et ne pas entrer en incompatibilité avec les positions des bras plafonniers. On évitera deles fixer au centre du plafond soufflant, leur conception actuelle permettant aisément de les implanter en périphérie.

b. Table d'opération

Figure 3: Table operatoire gynecologique electrique/ hydraulique/ trendelenburg FM500 [10]

La table d'opération est un des éléments les plus importants du bloc opératoire, car au-delà des considérations techniques à prendre en considération, il conditionne l'organisation même des blocs opératoires, leur infrastructure, la gestion des flux et les choix stratégiques [5].La table peut être standard fixe ou sur roulettes.

c. Bras anesthésiste

Figure 4 : Bras de distribution plafonnier d'anesthésie articulé Mg-penx-md-s[11]

Le bras plafonnier qui offre une meilleure flexibilité que les prises murales pour assurer l'arrivée des fluides en salle d'opération. Il ne constitue donc pas un élément indispensable au fonctionnement de la salle d'opération, mais comporte néanmoins de nombreux avantages en termes de sécurité, d'ergonomie et d'hygiène.

d. bras chirurgien

Figure 5 : Bras plafonnier colonne up 700[12]

Le bras chirurgien se positionne du côté des pieds du patient. Ce positionnement doit, comme pour le bras anesthésiste, être étudiéen fonction du type de bras, de manière à n'avoir aucune incompatibilité avec les méthodes del'équipe utilisatrice ni avec les autres équipements suspendus.

I.5.2. Équipement mobile [6]

a. Rangements et présentoirs

Le mobilier, contenant entre autres le matériel médico-chirurgical, la pharmacie ainsi que les tables d'instruments, sera mobile, donc il pourra être évacué en fin d'opération ou de journée.Cela aidera aux tâches de nettoyage et de désinfection.

b. Bistouri électrique

Le bistouri électrique est constitué d'un générateur de courant de haute fréquence qui permet la section et/ou l'hémostasie des tissus lors d'une intervention chirurgicale [5]. Le bistouri est à haute fréquence afin d'éviter la stimulation électrique musculaire ou nerveuse.

On peut le retrouver lors d'une opération chirurgicale générale, neurologique, dermatologique, ou lors d'une opération chirurgicale endoscopique et sous liquide.

c. Equipements d'anesthésie

Le poste d'anesthésie est en général constitué d'un moniteur de surveillance cardio-respiratoire, d'un ventilateur et d'une table d'anesthésie équipée des produits nécessaires.

d. Equipements radiologiques

L'appareil de radiologie le plus utilisé au bloc opératoire se trouve être le mobile de radioscopie ou arc en C de par sa forme où sont montés en opposition à ses extrémités l'amplificateur debrillance et le tube à rayons X. Il est équipé d'une chaîne de traitement d'image permettant unevisualisation statique ou dynamique sur un écran de télévision.

I.5.3. Autres équipements

Outre les principaux équipements mentionnés ci-dessus, il sera nécessaire de prévoir, dans les salles d'opération, ou à disposition dans le bloc opératoire, divers appareillages d'utilisation spécifique, afin de répondre aux éventuels besoins des différents types de chirurgie. :

Défibrillateur, Instruments endoscopiques, Lasers, Microscope opératoire, Echographe, Aspirateur ultrasonore, Bistouris argon, Matériel de coeliochirurgie...

CHAPITRE II : BONNES PRATIQUES ET COMPORTEMENT PROFESSIONNEL AU BLOC OPÉRATOIRE

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"Nous voulons explorer la bonté contrée énorme où tout se tait"   Appolinaire