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Retraite et vie associative: Cas de l'association des retraités de Cocody(ARECO)

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par Noel Pacome BROU
Université Cocody-Abidjan - Maitrise 2007
  

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I-4- REVUE DE LA LITTERATURE

I-4-1-Approches sociologiques de la retraite

Généralement, le concept de retraite renvoie à une double image : il désigne le statut d'un individu ou l'individu qui porte ce statut (retraité); et comporte parfois une connotation négative (personne âgée). Cela n'est pas totalement juste ou faux selon les considérations.

Par ailleurs, la retraite a été diversement appréciée par plusieurs auteurs ; relevée par L. Grattié (1988) dans sa thèse sur la retraite en Côte d'Ivoire. Nous nous referons à certaines de ces approches et à la lumière d'une analyse, dégager une définition adaptée à la réalité de notre terrain pour une meilleure orientation dans le cadre de ce travail.

Ainsi, la retraite est selon Orbach (1960), un processus social, une transition imposée de la position de personne non économiquement active d'après les normes selon laquelle la société définit et détermine la nature de ce changement. Pour Sussman (1972), la retraite est un statut qui permet de dire que l'individu est encore actif dans certains secteurs de la vie, mais moins ou du tout actif dans d'autres. Quant à Ménard (1975), la retraite est un éloignement total, définitif et brutal d'une activité professionnel à une échéance prévue et inéluctable.

En outre, Woodruff et Biren la conçoivent comme le moment où une personne quitte totalement ou partiellement la vie active et commence à percevoir les avantages de la sécurité sociale et d'autres revenus liés à la retraite.

Au regard de toutes ces approches de la retraite, nous pouvons constater que ce concept a connu une définition pluridimensionnelle et évolutive. IL renvoie tantôt à un processus social, à un statut, ou tout simplement, à un évènement. Tout compte fait, cette situation demeure le résultat des mécanismes institutionnels déclarant une personne comme étant un retraité. Du coup, la retraite rime avec l'âge avancé, l'invalidité ou la vieillesse qui sont tous socialement construits. Toutefois, nous pensons pouvoir nous appuyer dans le cadre de cette étude sur l'approche de la retraite selon Sussman, Woodruff et Biren qui nous semble commode pour la suite de notre réflexion. Ainsi, pour nous la retraite doit être perçue comme un statut assigné par la société à un l'individu encore actif dans certains domaines de la vie active et qui de ce fait bénéficie d'une pension de retraite et des avantages de la sécurité sociale.

I-4-2-Quelques théories sociologiques de la retraite

Plusieurs théories ont été élaborées dans l'intention d'expliquer la retraite et la manière dont elle est individuellement ou collectivement vécue. Ainsi, Elaine Cummings et William Henry (1963)12(*) ont démontré à travers la théorie du désengagement que le vieillissement rime avec le désengagement réciproque de l'individu et de la société. Pour eux, le désengagement est un processus de retrait progressif de l'individu des activités sociales ; et la société lui offre aussi de moins en moins de possibilités d'expression et d'avantage de toutes sortes. C'est aussi la baisse de ses interactions qui sont davantage centrées sur des liens affectifs. Résumant cette théorie, Anne Marie Guillemard (1974) écrit que : «  le processus normal du vieillissement correspond à un double désengagement réciproque et inévitable. D'une part l'individu se retire de la société. D'autre part la société reprend à l'individu toute responsabilité sociale qui lui était auparavant conférée. Une des manifestations sera la moindre cohésion des relations sociales dans lesquelles est inséré le retraité. Cette modification qualitative accompagnera la réduction quantitative des échanges sociaux s'effectuant entre la personne âgée et la société »13(*).

Cependant, il est certes vrai qu'avec la retraite et l'accélération du processus de vieillissement, on peut constater une baisse de l'intensité des activités individuelles. Mais la théorie du désengagement ignore ici la diversité des modes de vie des personnes âgées et des retraités,  des styles de vie variables selon les individus et selon les milieux sociaux. Toutefois, soulignons que ce sont les mécanismes sociaux qui déclarent d'un point de vue général des personnes âgées inactives dans certains domaines. C'est pourquoi, nous pensons que la théorie du désengagement ne s'illustre pas clairement à la réalité et de ce fait ne contribue pas à une meilleure connaissance du phénomène de la retraite.

Ce qu'il convient de retenir c'est que la théorie du désengagement a suscité de vives critiques. Celles-ci ont conduit à l'élaboration de la théorie de l'activité qui avait pour but de combler les lacunes de la précédente.

En effet, la théorie de l'activité recommande le maintien d'un niveau élevé d'engagement en substituant au rôle professionnel ou social perdu par d'autres à l'effet de permettre au retraité d'être toujours en activité et de ce fait minimiser les effets négatifs de la retraite. Ainsi, selon cette théorie, le bonheur en situation de retraite est fonction de l'engagement et de la participation du retraité à la vie sociale. Car le temps de la retraite n'est pas le temps de l'immobilité mais plutôt celui du perpétuel loisir et aussi de la participation.

La théorie de l'activité apporte une description des problèmes sociaux tout en mettant en exergue les causes de l'inadaptation des personnes âgées. Le retrait de certains rôles chez les personnes âgées doit être comblé par d'autres rôles au risque d'entraîner la déchéance, la désintégration, voire la perte d'identité de celles-ci. Toutefois, en admettant le retrait de certains rôles, cette théorie ne définit pas clairement ce qui leur reste comme pouvant leur permettre d'assurer entièrement leur intégration dans la vie sociale. Or, Robert Havighurst et Ruth Albrecht souligne que le vieillissement réussi est lié par une attitude volontariste consistant à maintenir un niveau élevé d'engagement. Cependant, nous pensons que celle-ci est loin d'être en conformité avec la réalité empirique que nous observons. Par ailleurs, convenons ensemble que certaines personnes s'adaptent à toutes les situations. Aussi, la satisfaction dans l'activité est-elle variable selon les individus d'autant plus qu'une personne peut déclarer être satisfaite dans peu d'activité comme cela peut être le cas contraire chez d'autres. Donc cette approche ne s'inscrit pas dans notre vision en vue d'apporter une explication cohérente à ce phénomène aussi dynamique soit-elle à notre époque.

Pour nous résumer, notons que toutes ces théories (la théorie du désengagement de l'activité) ont été élaborées dans une perspective fonctionnaliste. En effet, l'analyse fonctionnaliste a dominé les sciences sociales au cours des années 1960 notamment dans les pays occidentaux. A cette époque, elle privilégiait l'étude des phénomènes sociaux selon une optique microsociologique. Ainsi, les théoriciens fonctionnalistes étaient occupés par le fait que les éléments du système social répondent à certaines exigences fondamentales et remplissent certaines fonctions vitales pour l'ensemble de la société en assurant l'équilibre de celle-ci. Par ailleurs, en dehors de ces théories de type fonctionnaliste, l'on a constaté l'émergence d'un autre type de la retraite. Il s'agit de la théorie des mondes sociaux.

La théorie des mondes sociaux, élaborée par David Unruh (1983) est fondée sur l'intégration des personnes âgées. A cet effet, il définit les mondes sociaux comme des formes d'organisation sociale aux contours peu définis, dont les membres ne sont pas liés par leur coprésence dans un même espace, mais par le partage des perspectives semblables résultant d'un centre d'intérêt commun et la participation aux mêmes canaux de communication14(*). Il montre que ces divers mondes sociaux occupent une place prépondérante dans la vie des personnes âgées et les retraités.

Aussi, David Unruh (1983) montre-il que l'intégration ne cesse d'évoluer à travers un double processus d'engagement et de désengagement, qui concerne à la fois les mondes sociaux et les formes classiques d'intégration, au cours de l'avancée en âge. Néanmoins, il est indéniable qu'avec l'avancé en âge, le retrait de la vie sociale s'impose au fur et à mesure à l'individu.

Enfin, la dernière notion que nous proposons d'analyser en ce qui concerne les différentes approches du phénomène de la retraite est la déprise. En effet récemment introduite dans le langage sociologique par Serge Clément et Marcel Drulhe (1988), la déprise15(*) est selon eux un processus de réaménagement de la vie déterminé par  une sorte d'amoindrissement de l'impulsion vitale que bien de personnes âgées en parfaite santé physique et mentale expriment de la façon suivante : ne peut plus suivre. Ce réaménagement est donc marqué par l'abandon de certaines activités et de certaines relations, parfois remplacées par d'autres qui demandent moins d'efforts. La déprise se présente ainsi un principe de choix rationnel des activités en privilégiant l'essentiel pour soi.

En outre, nous pouvons relever que ce postulat de la déprise présente des liens forts avec la théorie du désengagement qui se caractérise par une baisse des relations sociales, un désir de se mettre en retrait. Cependant, il convient de souligner que la notion de la déprise vise une portée très réduite et donc peu satisfaisante.

Partant de ce qui précède, nous pouvons dire que la théorie du désengagement, de l'activité et des mondes sociaux ont été renforcées par la thèse de la déprise en ce sens que qu'elles ont chacune une partie qui se retrouve en celle-ci. Cela est donc pour nous une contribution essentielle et intéressante dans l'approche théorique de la retraite et du vieillissement. Car nous estimons que la perte de certains rôles, surtout le rôle professionnel peut être remplacé par d'autres rôles qui s'adaptent mieux aux capacités psychosociales et physiques des personnes à la retraite. De ce fait, nous pouvons dire que le retraité après la perte de l'activité professionnelle pourrait trouver un substitut à travers les formes classiques d'intégration que sont les associations, les mutuelles, les clubs de troisième âge, etc. Les activités pratiquées seront en rapport avec son âge, son niveau d'instruction, son revenu et même son niveau de santé. Ainsi, cela lui permet d'être toujours relié à la société, de se restructurer de nouveau dans cette société par la reconstruction d'une nouvelle identité sociale après la perte de l'identité professionnelle. C'est donc dans cette perspective que nous voulons inscrire notre réflexion.

I-4-3-L'action politique en faveur des retraités

D'une manière générale, nous constatons que c'est l'action politique qui détermine les conditions sociales de vie à la retraite. D'autant plus que les régimes de retraite s'inscrivent globalement dans la politique sociale des Etats au bénéfice des personnes à la retraite. C'est pourquoi une exploration de ce domaine s'avère nécessaire en vue de se faire une idée claire et précise sur la question.

Guillaume Kouassi (1985) a montré que les prestations découlant du régime de retraite ne tenaient pas compte des réalités sociales africaines. Son institution a entraîné l'émergence de l'individualisme au détriment de la communauté. Aussi a-t-il ajouté qu'au plan structurel, bien que les retraités soient fortement représentés au niveau des instances administratives dans les structures en charge de la gestion de la retraite, ceux-ci n'exercent pas la pression suffisante en cas de nécessité pour défendre leur cause. Il a ensuite souligné que l'inefficacité de nos régimes de retraite est due au fait que certaines entreprises ne cotisent presque pas à l'effet de mieux financer la retraite surtout que ce régime est un régime par répartition (la solidarité intergénérationnelle). Tout ceci a un effet négatif sur les conditions de vie des retraités.

Les résultats de cet auteur sont en effet pertinentes eu égard à la situation sociale observée chez la majorité des personnes retraitées et surtout dans un pays où le code d'investissement donne la primauté aux investisseurs et moins de protection sociale au travailleur ivoirien. Toutefois, il faut reconnaître que la politique sociale en matière de retraite en Côte d'Ivoire n'est pas aussi sévère qu'on pourrait le penser comparativement à certains pays de la sous région. En abordant dans le même sens que Kouassi Guillaume, Bialy (2001) souligne les difficultés d'ordre social vécues par les retraités découlent des imperfections des politiques sociales de l'Etat en matière de retraite. Mais, celui-ci ne se focalise pas davantage sur le régime de retraite.

Par ailleurs, il relève qu'au plan structurel, l'organisation des structures de sécurité sociale ne pose pas de problèmes particuliers aux retraités. Mais, c'est surtout au niveau de leur fonctionnement que se pose l'anomalie. En effet, il faut dire c'est dans la mise en oeuvre concrète des décisions et des actions qui pose problème.

A l'analyse, on peut remarquer que tous ces auteurs présentent des régularités et des similitudes dans leurs travaux dans le but de mettre en exergue les limites et les conséquences des régimes de retraite sur la situation sociale des retraités : les déficits et les incohérences de ces régimes s'illustrent bien à la réalité eu égard aux conditions de vie de la majorité des personnes retraitées. Ce sont donc des résultats assez pertinents sur la connaissance des modes de vie des retraités dans l'ensemble de pays en voie de développement.

Cependant, nous pouvons apporter notre bémol à ces recherches. En fait, nous estimons qu'en termes d'actions politiques en faveur des retraités, il faut aller au delà des pures conséquences sociales en tant résultant des imperfections des systèmes de retraite. Il est certes vrai que les systèmes de retraite en ont une part. Néanmoins, il faut noter que le financement de la retraite et de la sécurité sociale dans un pays se fait en fonction du niveau économique de ce pays. Aussi, en matière de retraite est-il nécessaire d'explorer les rapports entre les retraités et leurs organismes de tutelle. En effet, ne serait-il pas intéressant d'analyser les relations entre cette nouvelle catégorie sociale montante aujourd'hui que constituent les retraités et les partenaires sociaux (en tant que prolongement de l'action politique étatique). Car nous pensons pour notre part qu'une meilleure collaboration avec les retraités dans le processus de prise de décision aura une influence positive sur leur image dans la sphère sociale. C'est donc les manques ou les limites de la politique sociale globale pourraient être des causes de la floraison des associations de retraités que nous connaissons aujourd'hui.

Dans l'analyse des rapports Etat-retraités, il serait intéressant de voir la place laissée à cette catégorie sociale dans une société ou le lien social est devenu si faible. Analyser si nécessaire leurs nouveaux rôles sociaux, leurs statuts, leur nouvelle identité sociale et aussi les nouvelles stratégies mises en place par eux pour le maintien de leur intégration dans la société. Ainsi, nous pensons pouvoir cerner le processus social de la mise en place de ces associations des personnes à la retraite.

I-4-4-La vie sociale des retraités

Dans cette rubrique nous nous intéressons au vécu quotidien de la retraite par les retraités. Car comme nous pouvons le constater la vie quotidienne chez le retraité semble ne pas être aussi reluisante comme on pouvait le croire. Dans son étude sur la retraite en Côte d'Ivoire, Léocadie Grattié (1988) par exemple a pu faire le constat (sur le vécu quotidien du retraité ivoirien) que la retraite n'entraîne pas une modification réelle des rapports sociaux de type familial, mais plutôt de type amical et institutionnel. Puis, « fait ressortir la faiblesse ou inexistence de stratégies d'adaptation élaborées par les retraités ».

En effet, cette étude menée dans le courant des années 80 garde encore de sa valeur. Car la retraite représente pour la plupart des travailleurs ivoiriens le début la persistance de leurs problèmes sociaux et cela entraîne une intégration sociale difficile de ces derniers. Ce sont donc des connaissances essentielles sur la retraite dans notre pays. Par ailleurs, au plan méthodologique, Grattié a privilégié dans sa technique de collecte de données, l'histoire de vie faisant l'analyse de contenu de 97 segments constitutifs de l'échantillon. Cette orientation méthodologique est intéressante surtout que son objectif était de comprendre le vécu quotidien des retraités ivoiriens. Cette option méthodologique de part sa dimension qualitative nous intéressera dans la présente étude.

Laurent Ibo (2000), dans son étude sur la condition socio-économique des retraités, aborde dans le même sens que Léocadie Grattié mais en mettant plus l'accent sur «les nuisances psychologiques » vécues quotidiennement par les retraités de la commune de Yopougon. Pour lui en effet, les effets pervers de la retraite sont liés à une insuffisance de la politique du régime de retraite. Mais ici, Ibo ne fait pas dans son étude des profondes mutations qui se sont opérées ces dernières années dans l'univers de la retraite.

En somme, nous retiendrons de ce tour d'horizon effectué sur l'état des connaissances que la retraite demeure une préoccupation pour la communauté scientifique. Les modèles théoriques élaborés pour essayer de l'expliquer en sont des preuves. Aussi, les études empiriques effectuées au niveau de la Côte d'Ivoire en général et dans le cas du district d'Abidjan restent centrées sur les conséquences individuelles de la retraite sur les retraités. De ce fait, elles ont négligé la naissance des associations de retraités dans espace urbain ivoirien bien que ces études eu lieu dans ces mêmes espaces pour la plupart. Néanmoins, ces études répondent partiellement à certaines de nos préoccupations et structurent la présente étude. Par ailleurs, les résultats produits ne sont plus aujourd'hui un secret pour personne. Elles appartiennent donc désormais aux sens communs. En conséquence, il est nécessaire d'opérer une rupture c'est-à-dire aller au-delà de ce qui existe déjà afin de faire connaître d'autres aspects de la vie à la retraite et à travers les associations des retraités. C'est pourquoi au travers de cette étude nous voulons nous pencher davantage sur les nouvelles modes de vie des retraités d'aujourd'hui à travers ces associations qui suscitent autant de curiosité à notre sens. Cela fait partie de l'un des objectifs de cette étude que nous présentons maintenant.

* 12 E. Cumming et w. Henry, « Nouvelles réflexions sur la théorie du désengagement », Revue internationale des sciences sociales, n°15 p.393-412

* 13 A-M Guillemard et R. Lenoir, Retraite et échange social, Paris, C.E.M.S., cité par Jean-Serge Lauzon, chargé de cour en gérontologie sociale, http ://www.erudit.org/revue/

* 14 David Unruh, Invisible Lives. Social worlds of the aged, Sage, Beverly Hills, 1983. Taduit de l'anglais par le logiciel de traduction SYSTRAN. C'est dans un travail fonde sur une série d'entretiens approfondis avec des personnes âgées de 62 à 85 ans. L'auteur se propose de s'interroger sur l'intégration sociale des personnes âgées en ne se focalisant pas sur les formes classiques d'intégration, dans les associations au sien des familles ou des groupes informels mais décide plutôt de privilégier les engagements dans « les mondes sociaux ».

* 15 Serge Clément et al. « Vieillesse ou vieille ment ? Les processus d'organisation des mode de vie chez les personnes âgées », Les cahiers de la recherche sur le travail social, n°15, pp.11-31.

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"Ceux qui rêvent de jour ont conscience de bien des choses qui échappent à ceux qui rêvent de nuit"   Edgar Allan Poe