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Dégénérescence morale: Une étude comparative de Gabriel Gradère et De Ferdinand Bringuet dans Les Anges Noirs de François Mauriac et La Retraite aux Flambeaux de Bernard C lavel

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par Virginie Blanche NGAH
Université Yaoundé I - Maà®trise en Lettres Modernes Françaises (Option Littérature) 2007
  

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CHAPITRE V :

DU DÉSÉQUILIBRE MENTAL

Dans sa théorie de la dégénérescence, Morel avance que l'origine des comportements et des maladies mentales est héréditaire. La dégénérescence pour lui, se manifeste par la transmission d'un terrain « taré » d'une génération à l'autre, avec une aggravation de génération en génération.190(*)Ce déséquilibre mental se remarque chez un personnage à travers la défectuosité de son caractère moral, et la perversion qui en découle. Favorisant des comportements troubles, répréhensibles et parfois bizarroïdes qui marquent la dégradation des qualités psychologiques, éthiques et même physiologiques, la dégénérescence morale est un volet de la déchéance mentale. Ce désordre psychique qui est source et conséquence de plusieurs actes délictueux, peut être d'origine héréditaire tel qu'on le voit chez ces personnages. Parlant de cela, Zin affirme :

Les signes auxquels (sic)191(*) on peut reconnaître la dégénérescence mentale héréditaires sont de trois ordres : intellectuels, moraux et physiques. Les combinaisons multiples de ces symptômes, leurs associations inégales et la prédominance de certains d'entre eux créent ces types excessivement variés de psychopathes dont nous allons décrire les caractères communs, et qui vont de l'idiotie au génie, de l'excentricité à la folie confirmée, de la simple exagération des sentiments jusqu'à l'absence total de morale, de la vertu au crime. 192(*)

À partir de cette déchéance psychique, naissent souvent des problèmes de conscience, comme on le voit chez ces deux personnages. Selon qu'elle survient comme cause ou conséquence de la dégénérescence morale, on analysera l'action pour ressortir l'éthopée de Gabriel Gradère et de Ferdinand Bringuet.

Issu du latin actio, le mot ``action'' peut être entendu comme le fait ou la faculté d'agir, de manifester sa volonté en accomplissant quelque chose.

Parler de leur action, c'est prendre en compte tous les agissements, tous les actes qu'ils posent par rapport à eux-mêmes et à leur entourage, conséquemment aux situations dans lesquelles ils se trouvent. Bourneuf et Ouellet définissent l'action comme le  jeu de forces opposées ou convergentes en présence dans une oeuvre.193(*) Et celle qui est étudiée, semble posée consciemment, d'où le rapport qui sera établi entre les agissements du personnage et la conscience qu'il a de ses actes. Par ailleurs, cette conscience se définira comme ce sentiment intérieur qui pousse l'individu à porter un regard rétrospectif et un jugement de valeur sur ses propres actions ; afin d'en déduire le sens du bien et du mal. Considérant la conscience comme instinct divin, immortelle et céleste voix, Rousseau exalte celle-ci en relevant son importance. C'est le  guide assuré [...] juge infaillible du bien et du mal, qui rend l'homme semblable à Dieu, [qui fait] l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions.194(*) Elle agit comme ce baromètre qui mesure, non plus la température atmosphérique, mais celle des actions des personnages. C'est un vieil ennemi195(*) qui ne peut permettre de trouver la paix intérieure tant que l'action posée n'est pas en conformité avec la morale intrinsèque ou la nature. En un mot, on peut dire avec Jean Zin, que les dégénérés mentaux

[...] pêchent surtout par l'imperfection de leur personnalité morale [...] Cette pleine conscience de soi, l'attribut le plus noble d'un esprit large et bien équilibré et qui est le résultat des perfectionnements de la personnalité humaine accumulés de siècle en siècle, s'en va chez eux morceau par morceau. Cependant, il n'est pas rare de les voir occuper dans la société de hautes situations, remplir des rôles en vue et exercer sur les affaires de ce monde une énorme influence196(*).

Mettre en rapport l'action et la conscience du personnage dans ces romans, interpelle l'expertise de Greimas qui, dans son modèle actantiel, propose six pôles actantiels dans lesquels se répartissent les acteurs de la narration. D'après cette représentation, un Sujet S (personnage central) recherche un Objet O (ce qu'il désire), avec lequel il cherche à se conjoindre. La réussite de cette conjonction définit le programme narratif (PN), duquel il va ressortir une relation de communication entre le destinateur (ce qui détermine le sujet à désirer l'objet) et le destinataire (but pour lequel le sujet désire l'objet). La quête de l'objet par le sujet va mettre sur son chemin, un adjuvant (Adj), soit un opposant (Opp) comme on a pu le voir dans l'interaction sociale. Sa performance (F) consiste à transformer sa situation initiale de disjonction d'avec l'objet de sa quête (SVO), en situation finale de conjonction (S O).

Il convient de souligner que cette approche choisie est une approche structurale parmi beaucoup d'autres qui permettent toutes d'appréhender le récit de manière scientifique et objective. Bourneuf et Ouellet le pensent aussi puisqu'en fin de compte [...] l'intention commune est de ramener la multiplicité des intrigues à un nombre limité de modèles197(*). À notre sens, ce choix s'avère judicieux dans la mesure où [...] cette démarche constitue la base d'une étude objective du récit le plus largement que celle d'une science de la littérature. 198(*)

V-I- Action et conscience de Gradère et de Bringuet

Gabriel Gradère est un personnage de cinquante ans dont la beauté est un moyen très efficace grâce auquel il atteint tous les objectifs qu'il s'est fixés. Pour quitter la misère dans laquelle le destin l'a fait naître, il séduit sans scrupules des femmes et devient un gigolo. Sa quête pour un niveau social plus élevé et une vie meilleure a débuté très tôt ; et durant tout le récit, il se montre sous son aspect le plus exécrable. Sa quête vers une nouvelle condition sociale l'a tellement obnubilé qu'il fait délibérément le mal, en profitant de son  masque de l'innocence199(*). Dans ce processus qui semble héroïque dans la mesure où la recherche du héros paraissait déjà pertinente [...] à la fois sur le plan métaphysique et psychologique [...] chez Mauriac200(*), l'on voit s'affirmer certains caractères qui, au lieu de rehausser certaines valeurs, semblent plutôt dévaloriser celles-ci. Gabriel apparaît comme un être dominé par une force maléfique qui l'habite et le pousse à faire du mal. Il subit une ascendance négative qui serait due non seulement au pouvoir de son nom Gradère, mais aussi à un problème d'hérédité. Cela se ressent lorsqu'il parle de ses origines :

Ma mère est morte quand j'avais dix-huit mois. Je lui ressemble. Elle était blanche de peau, fine, d'une autre race que son mari... Je crois savoir sur elle des choses que l'on m'a cachées longtemps : un homme qui a roulé très bas éprouve le besoin de chercher un responsable parmi ses ascendants. Nous sentons tellement que cette puissance pour nous avilir dépasse les forces de l'individu misérable et que pour être entraîné à ce rythme il faut une vitesse acquise et accrue de génération en génération. Que de morts s'assouvissent en nous et par nous ! Que de passions ancestrales se délivrent ! Pour ce geste que nous hésitons à faire, combien sont-ils à nous pousser la main ? 201(*)

Ceci démontre que sa décadence morale a une origine héréditaire. Pleinement conscient de ses actes, Gabriel use de façon délibérée, de la perfidie et de la malice, en cultivant le mensonge, la corruption, la convoitise et d'autres astuces. Il donne ainsi raison à ceux qui pensent qu'en fait la conscience qui dégénère prend goût à sa propre dégénérescence et trouve à s'éplucher elle-même une sorte d'amère et morose délectation.202(*) Ces puissantes armes s'avèrent efficaces pour son projet. Et son parcours donne lieu au profil actantiel suivant :

Destinataire

(O)

Destinateur

Pauvreté, concupiscence ----------> Mariage ------------> Bourgeoisie, Richesse

(OPP)

( S )

(ADJ)

Adila ---------------> Gabriel ------------> Son père, Aline

Seulement Gabriel Gradère ouvre le texte par une confession, car il désire se justifier devant le père Forcas, et à priori, seule une mauvaise conscience qui a des choses à se reprocher peut entreprendre une telle initiative. En principe, on ne va généralement à confesse que parce qu'on a des remords causés par la conscience de certains actes posés antérieurement et jugés négatifs. Pour le cas d'espèce, Gabriel a beaucoup de mauvaises actions sur la conscience ; sa confession est un déballage de faits presque monstrueux, pour lesquels il reconnaît qu'il est  enlisé en pleine boue, déjà cadavre203(*). À l'âge de 50 ans, toutes ses actions semblent le répugner et il décide de s'ouvrir à l'abbé Forcas. Pourtant la conscience morale semble souvent se replier sur la personne, et demeurer par là, un mystère si profond que nous hésitons des fois à reconnaître nos fautes. Or à un moment donné, il arrive que cette conscience soit, comme le disait André Gide,

directement aux prises avec elle-même ; et comme elle ne peut ni se regarder en face, ni se détourner de cette vue, elle est tourmentée par la honte et les regrets. C'est l'un des éléments essentiels de la mauvaise conscience que cette affreuse solitude d'une âme qui a dû renoncer à toute diversion et qui éprouve une sorte d'horreur panique ou d'agoraphobie morale.204(*)

Cette conscience craint de se sentir nue en présence de l'être même, mais aussi en présence du Seul Témoin auquel elle ne peut se soustraire : L'Omniscience divine. Elle devient alors évaluation et appréciation intuitive des actions personnelles ; d'autant plus que tout ce qui est lié au moi a une valeur bonne ou mauvaise. Ainsi, la valeur d'un acte, d'une intention, d'un sentiment, ou d'un mouvement de l'âme ne désigne pas une particularité structurale ou morphologique, mais comme le dit si bien Jankélévitch, elle intéresse notre ipséité, puisqu' avec chacun de nos actes se joue, en quelque mesure, notre destinée morale.205(*) Aussi Mauriac peut-il insister sur le fait que chaque fois que nous faisons le bien, Dieu opère en nous ; chaque mauvaise action, en revanche, n'appartient qu'à nous.206(*) La conscience de Gradère vient indubitablement à résipiscence ; c'est la mauvaise conscience d'une âme en repentance, et le fait d'en parler à l'abbé Forcas est une sorte de défoulement. Et pour tout dire, la conscience de [cette] misère est la condition de [son] rachat,207(*) puisque cette lucidité qui lui donne conscience de la fugacité et de l'évanescence des désirs obsessionnels de la chair, par rapport à la noblesse du salut éternel, inscrit son destin dans une nouvelle perspective. Seulement, la grivoiserie et la cruauté même de sa confession, nous laissent perplexe quant à son intention véritable,

[puisqu'] il faut préciser que la confession ne saurait être ni la profession cynique ni la confidence bavarde : faire profession de péché, battre sa coulpe par fanfaronnade, ce n'est pas avouer, mais c'est commettre un péché de plus, un péché d'endurcissement, d'impudence et d'impénitence ; la conscience éhontée, la conscience qui « a toute honte bue », se vautrant dans son scandale invétéré, n'a jamais été mauvaise conscience. 208(*)

Cependant, nous croyons en sa sincérité, puisqu'il semble que par le principe de la réversibilité des mérites, [ces dégénérés] parviennent au salut. Il n'est pas jusqu'à `` l'ange noir de Gradère'', le personnage le plus sombre de Mauriac qui ne parvienne au salut.209(*) Cette seconde quête est noble, parce qu'après toute cette concupiscence et cette dépravation manifestées, il semble s'intéresser à un nouvel objet : La miséricorde et la grâce divines qui lui étaient dévolues par prédestination, dès avant la fondation du monde. La recherche du salut éternel qui se profile dès les premières lignes de sa confession, donne à voir un deuxième schéma qui permet de ressortir son profil actantiel. Dans ce schéma, le péché va plutôt être le destinateur, c'est-à-dire cette cause qui va le déterminer à faire un autre type de quête :

Destinataire

(O)

Destinataire

Le péché, le mal ------------> La grâce divine ---------> Le salut de son âme

(S)

(OPP)

(ADJ)

Adila, Mathilde, Andrès, ---------> Gabriel <---------- Aline, Symphorien, L'abbé Forcas , la nature Catherine Desbats

La quête de Gabriel n'est pas seulement celle de la richesse. L'on se rend compte qu'après cette quête charnelle, il entreprend une recherche spirituelle : celle du rachat de son âme tombée bien bas. L'action de ce personnage est fluctuante : parti de la misère vécue pendant une enfance impure et malheureuse, il parvient à la bourgeoisie qui ne lui apporte pas non plus le bonheur. Nonobstant tout le mal commis pour se hisser au niveau social tant voulu, il a l'inspiration de se racheter, puisque le remords qu'il semble éprouver le taraude. Voilà ce qui le pousse à tourner ses regards vers ce nouvel intérêt qui paraît plus important. Gabriel Gradère réussit donc à toutes ses entreprises et parvient avant sa mort, à se conjoindre aux objets désirés. Ce qui donne lieu à ce programme narratif positif :

PN : F(S) [(SVO) ------------------------> (S O) ]

Ferdinand Bringuet par contre, arrive jusqu'au bord du désespoir. N'ayant presque jamais fait de mal à personne jusqu'à cette fatidique nuit du retrait de l'ennemi, cet homme de soixante et onze ans s'est distingué durant sa vie par de bonnes actions. Le vieux cheminot, malgré sa sénilité, ne veut pas d'histoire. Son seul désir est que le village, jadis si tranquille, retrouve sa quiétude d'antan. Mais le reflux de tant d'années d'humiliations qu'il ne peut plus contenir, aura raison de sa tempérance. C'est ainsi qu'il se révolte et plonge sur le soldat pour garder l'objet qui déclenche le conflit : le vélo pour lequel il a travaillé toute sa vie. Cette vieille mais précieuse bicyclette est considérée comme l'objet de sa quête. Mais celle-ci a pour but final la paix ; raison pour laquelle il essaie de se racheter en proposant lui-même de donner ce vélo, mais il est trop tard. Habituellement,

[...] il et bien rare que « la voix de la conscience » parle en nous comme un instinct ou pressentiment des tâches à venir, comme une précaution contre ce que nous appelons justement « les cas de conscience » ; elle reste muette au moment où, pour agir, nous attendrions ses oracles ; et elle ne se prononce, reproche dérisoire et posthume, que lorsque l'irréparable est accompli.210(*)

Contrairement à Gabriel, Ferdinand n'a pas attendu de nombreuses années pour écouter sa conscience. Mais, la machine qu'il a déclenchée, ne peut plus s'arrêter. Ainsi, le schéma qui décrit son profil actantiel est le suivant :

Destinataire

(O)

Destinateur

La débâcle de l'ennemi --------------> Le vélo ---------------------> Le climat

de paix d'antan.

(S)

Maria, Jérôme, la nature ------------> Ferdinand <------------ Klaus, Joseph,

(OPP)

(ADJ)

La situation de guerre. La mort de Klaus.

Face au dilemme auquel il est confronté, Ferdinand entame une autre quête : celle de préserver la vie du jeune soldat. Mais il faut choisir entre libérer celui-ci et faire sauter tout le village ! Fusiller les gens, brûler les maisons et tout...211(*). Il opère le choix moral que sa conscience lui impose : sauver son village et tuer Klaus. Cette quête donne un nouveau profil actanctiel :

Destinataire

(O)

Destinateur

Conscience ------------> survie de klaus ----------- > paix avec sa conscience.

Humanisme,

Allocentrisme.

(ADJ)

(S)

Maria ------------------> Ferdinand <---------------- situation de guerre,

(OPP)

Joseph, le salut du village.

L'action de ce personnage est mouvementée, variante et trouble ; par conséquent, il ne parvient à se conjoindre, ni socialement, ni spirituellement aux objets désirés. Cette situation entraîne sa mort, d'où ce programme narratif négatif dans lequel on remarque que le sujet, après toutes les transformations du récit, ne parvient pas à se conjoindre à l'objet.

PN: F(S) ----------------- (S V O) --------------------- ( S V O ).

Le corpus confronte deux personnages en dysharmonie mentale : Gradère et Bringuet. Dans leur déséquilibre moral respectif, l'un pèche volontairement et parvient à une position sociale plus élevée ; et l'autre, malgré le fait malgré lui, en se souciant même de son ennemi, sans pouvoir atteindre son but. Gabriel est semblable à un homme d'affaires véreux pour qui tous les moyens sont bons à condition d'être efficaces, alors que Ferdinand paraît être un homme de coeur. Jankélévitch conclut en parlant des deux types de personnages que : l'homme d'affaires veut son propre bien, un point c'est tout, et l'homme de coeur veut le bonheur de l'autre.212(*) Seulement il s'avère que les deux vont parvenir au crime, qui marque pour chacun, une étape particulière dans leur décadence psychique.

* 190 Théorie de la dégénérescence, in http//www. wikipédia.org.

* 191 Par lesquels

* 192 J. Zin, La dégénérescence de l'homme, in http// www.wikipédia.org, du 27 avril 2008

* 193 R. Bourneuf et R. Ouellet, L'univers du roman, op.cit., p. 159.

* 194 A. Lagarde et L. Michard, Coll. Litt. « Lagarde et Michard, XVIII ème siècle », op.cit., p.312.

* 195 V. Jankélévitch, Philosophie morale, op.cit., p. 141.

* 196 A. Cullerre, La dégénérescence morale, op.cit.

* 197 R. Bourneuf et R. Ouellet, L'univers du roman, op.cit., p.43.

* 198 Idem.

* 199 F. Mauriac, L.A.N., p.26.

* 200 B.Valette, Le Roman, op.cit., p.81.

* 201 F. Mauriac, L.A.N., p.8.

* 202 V. Jankélévitch, Philosophie morale, op.cit., p.390.

* 203 V. Jankélévitch, Philosophie morale, op.cit., p.7.

* 204 A. Gide, cité par V. Jankélévitch in Philosophie morale, op.cit., p.64.

* 205 Ibid., p.65.

* 206 F. Mauriac, L.A.N., p.171.

* 207 M. Vounda Etoa, François Mauriac et l' Ecriture : Essai d'analyse de l'intertexte biblique dans sept de ses romans, op.cit., p. 415.

* 208 V. Jankélévitch, Philosophie morale, op.cit., p.162.

* 209 M. Vounda E., François Mauriac et l' Ecriture : Essai d'analyse de l'intertexte biblique dans sept de ses romans, op.cit., p. 415.

* 210V. Jankélévitch, Philosophie morale, op.cit., p.163.

* 211 B. Clavel, R.A.F., P.53.

* 212 V. Jankélévitch, Philosophie morale, op.cit., p. 182.

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"Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années"   Corneille